Wednesday, October 31, 2018

Le Conseil de sécurité de l’ONU salue la décision de Horst Kohler de tenir une table ronde initiale à Genève

Le Conseil de sécurité de l’ONU a salué, mercredi 31 octobre 2018, la décision de l’Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations-Unies pour le Sahara, Horst Kohler, de tenir une table ronde initiale, les 5 et 6 décembre 2018 à Genève, sur la relance du processus politique relatif à la question du Sahara.

Dans sa résolution 2440 prorogeant jusqu’au 30 avril 2019 le mandat de la MINURSO, le Conseil salue la décision de M. Kohler de tenir cette table ronde initiale, sans conditions préalables et de bonne foi, « dans le but de procéder à une évaluation des derniers développements, examiner des questions d’ordre régional, et discuter des prochaines étapes du processus politique relatif à la question du Sahara ».

Dans ce contexte, le Conseil insiste sur l’importance d’un « engagement renouvelé » en vue de faire avancer le processus politique en préparation d’un cinquième round de négociations, et rappelle son « soutien à la recommandation contenue dans le rapport du 14 avril 2008 qui souligne que le réalisme et l’esprit de compromis de la part des parties sont essentiels pour réaliser des progrès dans les négociations ».

La résolution appelle également à faire montre de volonté politique et à travailler dans une atmosphère propice au dialogue dans le but de faire avancer les négociations, assurant ainsi la mise en œuvre des résolutions du Conseil de sécurité depuis 2007 et le succès des négociations.

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Le Conseil de sécurité de l’ONU proroge le mandat de la MINURSO

Le Conseil de sécurité des Nations Unies a prorogé, mercredi à une grande majorité de ses membres, le mandat de la MINURSO de six mois jusqu’au 30 avril 2019, consacrant, une fois de plus, la prééminence de l’initiative marocaine d’autonomie pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain.

Le Conseil de sécurité « décide de proroger le mandat de la Minurso jusqu’au 30 avril 2019″, lit-on dans le texte de la résolution 2440 présentée par la plume américaine.

L’instance exécutive de l’Onu a consacré, encore une fois, la prééminence de l’initiative d’autonomie, présentée par le Royaume le 11 avril 2007, en se félicitant des efforts “sérieux et crédibles faits par le Maroc pour aller de l’avant dans le processus visant un règlement » du conflit du Sahara.

La résolution consacre, dans une première historique, l’Algérie en tant que partie principale au processus visant à trouver “une solution politique, réaliste, pratique et durable” à la question du Sahara.

À cet égard, la résolution insiste sur l’importance d’un engagement renouvelé “en vue de faire avancer le processus politique en préparation d’un cinquième round de négociations », et rappelle son « soutien à la recommandation contenue dans le rapport du 14 avril 2008 qui souligne que le réalisme et l’esprit de compromis (…) sont essentiels pour réaliser des progrès dans les négociations”.

Le texte appelle, dans ce cadre, à faire montre de volonté politique et à travailler dans une atmosphère propice au dialogue dans le but de faire avancer les négociations, assurant ainsi la mise en œuvre des résolutions du Conseil de sécurité depuis 2007 et le succès des négociations.

Le Conseil de sécurité reconnait, à cet égard, que “la concrétisation d’une solution politique à ce différend de longue date et le renforcement de la coopération entre les États membres de l’Union du Maghreb Arabe contribueraient à la stabilité et à la sécurité, induisant à son tour la création d’emplois, de croissance et d’opportunités pour l’ensemble des peuples de la région du Sahel”.

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La CGEM, premier Patronat Africain à rejoindre la Global Business Coalition

En marge du Compact with Africa (CwA), Salaheddine Mezouar, Président de la CGEM, a été invité par le Patronat Allemand BDI, à rejoindre la Global Business Coalition (GBC), présidée actuellement par Dr Dieter Kempf, Président du BDI.

Première Organisation Patronale à faire son entrée dans cette prestigieuse coalition qui s’inscrit dans le sillage du G20 et qui représente une plateforme singulière en faveur du dialogue entre les secteurs privés, les gouvernements et les institutions internationales, la CGEM a vu ses efforts récompensés pour son leadership sur le continent Africain dans le développement des relations d’affaires et la consolidation de la coopération Sud-Sud.

Fondée en 2012, la GBC regroupe plusieurs patronats issus de pays aux économies fortes et développées, à l’instar des patronats Australien, Brésilien, Canadien, Français, Indien, Coréen, Espagnol ou encore Américain, totalisant ainsi plus de 6,8 millions d’entreprises à travers le monde. Ses principales missions sont de proposer des actions communes et de prendre des positions fortes sur notamment le commerce international, le climat et la croissance inclusive dans un esprit de partage d’expériences et de bonnes pratiques.

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Arabie Saoudite : Al-Ahmadi poussé vers la sortie ?

Selon des informations parues dans la presse saoudienne, la direction du club Al-Ittihad aurait décidé de se passer de l’international marocain Karim Al-Ahmadi en raison du faible niveau affiché par l’international marocain durant la saison en cours.

Selon le site « Saudi », la direction du club est convaincue de la nécessité de se débarrasser du marocain Karim Ahmadi, en raison de son faible niveau,

Le grand club saoudien pointe à la dernière place du classement du championnat saoudien avec seulement 3 points.

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« Le chasseur de sorcières » donne de ses nouvelles

Rédouane , alias « le chasseur de sorcières », est revenu s’exprimer plusieurs semaines après la controverse déclenché par une vidéo documentant la visite de plusieurs femmes dans une maison appartenant à une femme pratiquant la magie et la sorcellerie à Salé.

Dans une vidéo sur Facebook Live, Ashhashah a en effet révélé que les services de sécurité étaient venus chez lui après cette polémique et qu’il a dû fuguer de sa maison.

Il s’étonne par ailleurs de tant de zèle, expliquant qu’il est suivit à la trace comme s’il avait “tué Kennedy”. Il a également ajouté qu’il a simplement exercé son droit et que « la sorcière »  est la personne qu’il fallait enquêter et non pas lui.

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Les camionneurs ont décidé de suspendre leur grève

 

Les professionnels du transport routier des marchandises ont décidé de suspendre la grève observée depuis dix jours pour demander le relèvement du seuil de tonnage et la réduction des prix du gasoil, a annoncé mercredi 31 octobre 2018 le ministre de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau, Abdelkader Amara.

L’annonce a été faite à l’issue d’une réunion à Rabat entre le ministre et les représentants des syndicats des transporteurs et des professionnels du transport routier.

Les propriétaires de poids lourds, ont en effet mené une grève en guise de  protestations contre la récente hausse du prix du Gasoil.

Une grève qui a bloqué le transport de marchandise de Casablanca a Asfi en passant par El Jadida.

Cette grève a commencé par ailleurs à se répercuter sur la vie quotidienne des citoyens, puisque ces derniers se plaignent de plus de plus, notamment sur les réseaux sociaux, sur la hausse des prix de plusieurs fruits et légumes et autres denrées alimentaires.

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FIFA : L’ancien président de la Fédération de football ghanéenne radié à vie

L’ancien président de la Fédération ghanéenne de football Kwesi Nyantakyi a été interdit à vie de toute activité liée au football par la justice interne de la Fifa et devra s’acquitter d’une amende de 500.000 francs suisses (environ 440.000 euros) pour des faits de corruption, a annoncé l’instance mondiale.

La justice interne de la Fifa l’a jugé coupable de plusieurs violations du code éthique de la Fifa en matière de conflits d’intérêt et de corruption et l’a interdit à vie de toute activité liée au football, au niveau national et international.

Kwesi Nyantakyi avait dû démissionner début juin 2018 après les révélations explosives d’un documentaire d’investigation le filmant avec une caméra cachée en pleine négociation avec des « investisseurs potentiels », à qui il faisaient miroiter de juteux contrats avec le gouvernement ghanéen en échange de « cadeaux » de plusieurs millions de dollars. Nyantakyi aurait réclamé près de 11 millions de dollars (9,3 millions d’euros).

Cette affaire avait failli mener à la dissolution de la Fédération ghanéenne (GFA), avant que la Fifa et les autorités ghanéennes ne trouvent un accord, via la mise en place d’un comité de normalisation de la GFA.

Les révélations ont secoué le Ghana, où le football est le sport national et qui se targue d’être une démocratie stable dans une région souvent agitée.

En septembre, l’Association des arbitres du Ghana avait annoncé avoir banni huit arbitres et arbitres assistants à vie, tandis que 53 responsables étaient frappés d’une interdiction d’exercer de dix ans. (https://ift.tt/2qjpImG)

Mardi, dix joueurs de l’équipe nationale cadette du Bénin ont quant à eux été condamnés par la justice de leur pays à six mois de prison dont un ferme après avoir été exclus des qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations pour les moins de 17 ans de 2019.

Anjorin Moucharafou, ancien président de la fédération béninoise de football, a écopé de 12 mois de prison dont 2 fermes.

Autour du même sujet : http://lobservateur.info/tv/corruption-larbitre-kenyan-range-marwa-a-ete-piege-au-maroc-aussi/

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Tramway de Casablanca : Retour à la normale après les fortes intempéries

Le trafic sur la ligne du tramway a repris normalement, mercredi 31 octobre 2018 au matin, à Casablanca, après les fortes intempéries de la veille, apprend-on auprès de la RATP Dev.

« Le trafic a repris progressivement hier (mardi) vers 19H30 », précise une source de l’entreprise en charge de l’exploitation du réseau de transport en commun en site propre de la métropole.

La circulation des tramways a été totalement interrompue depuis 14H55, à cause des pluies diluviennes qui se sont abattues mardi sur Casablanca.

RATP Dev avait indiqué, dans un communiqué, que les entreprises spécialisées ont été mobilisées pour l’évacuation des eaux et permettre le rétablissement du trafic « au plus vite, dans des conditions de sécurité optimales ».

La société avait remercié les usagers « de leur compréhension suite à la gêne occasionnée, totalement indépendante de sa volonté ».

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Doing Buisness : Le Maroc améliore sa place dans le classement

Le Maroc a amélioré de 9 places son classement dans le Doing Business 2019 de la Banque mondiale, rendu public mercredi 31 octobre 2018 à Washington, pour se hisser à la 60-ème place à l’échelle mondiale.

Dans la région Afrique du Nord et Mouen-Orient (Mena), le Maroc s’est classé deuxième dans ce rapport, considéré comme le document de référence sur l’environnement des affaires dans le monde, derrière les Emirats Arabes Unis (11ème à l’échelle mondiale) et devant le Bahrein (62ème), indique un communiqué du Département du Chef de gouvernement.

En Afrique, le Royaume arrive au troisième rang derrière les Iles Maurice (20) et le Rwanda (29).

Ces performances sont le résultat des réformes audacieuses et mesures prises par les pouvoirs publics au profit du secteur privé et de l’entreprise, et qui s’inscrivent dans le cadre du « Comité national de l’environnement des affaires », explique la même source.

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Lancement d’un séminaire national pour la lutte contre la faim

Dans le cadre de la Célébration de la Journée Mondiale de l’Alimentation, Mohammed Sadiki, Secrétaire Général du ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts, accompagné de Florence Marie Rolle, représentante de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) au Maroc, a présidé, vendredi 26 octobre 2018 à Rabat, l’ouverture du séminaire national sous le thème « Agir pour l’avenir, la Faim Zéro en 2030, c’est possible».

A l’instar des pays membres de la FAO, le Royaume du Maroc célèbre le 16 octobre de chaque année, la Journée Mondiale de l’Alimentation (JMA) et ce, conformément à l’appel de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), de sensibiliser et mobiliser davantage les populations sur les questions alimentaires, nutritionnelles et de préservation des ressources naturelles. Il s’agit également d’attirer un maximum d’attention sur la problématique de la faim, de la malnutrition et de la pauvreté dans le monde.

L’édition de cette année marque le 73ème anniversaire de la création de la FAO. Placée sous le thème « Agir pour l’avenir, la Faim Zéro en 2030, c’est possible », cette édition met l’accent sur l’éradication de la faim et interpelle sur les enjeux de fonds que posent le développement de l’agriculture et de l’alimentation à l’échelle mondiale.

Eliminer la faim dans le monde est l’affaire de tous et à tous les niveaux et nécessite une mobilisation totale et mondiale comme l’exprime l’objectif de développement durable relatif à la faim zéro (ODD2) qui vise à éradiquer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir une agriculture durable.

Sadiki a précisé dans son allocution d’ouverture que le Maroc a, sous les orientations du Roi Mohammed 6, lancé des chantiers solides pour surmonter les entraves au bon fonctionnement des secteurs productifs et créateurs de richesse dont l’agriculture. Il a ajouté que la mise en œuvre du Plan Maroc Vert et du plan Halieutis en cohérence avec les autres grands chantiers socio-économiques structurants, est la parfaite illustration des engagements durables pris par le Royaume depuis plus d’une décennie.

 

Il est à rappeler que le Maroc a reçu en 2014 la distinction de la FAO pour la réalisation du premier Objectif du Millénaire pour le Développement (OMD-1/c) consistant à réduire l’extrême pauvreté et la faim et ce, deux ans avant la date prévue (fin 2015). Cette performance a été possible grâce aux politiques adoptées par le Maroc, notamment le Plan Maroc Vert, le Plan Halieutis et le Programme Forestier National.

Sadiki a en outre déclaré que la reconnaissance par la FAO du Plan Maroc Vert comme modèle en matière de développement du secteur agricole conforte le Maroc dans son approche de transfert d’expertise et de coopération rapprochée avec ses partenaires africains dans le cadre de la coopération Sud-Sud.

La rencontre a connu la participation de représentants de plusieurs organismes internationaux, de représentants des Départements ministériels, ainsi que des professionnels du secteur agricole et responsables centraux et régionaux du ministère.

Les interventions ont porté sur les efforts qui restent à déployer pour parvenir à la sécurité alimentaire et à l’amélioration des conditions de vie des populations, à travers la lutte contre la faim, la pauvreté et la vulnérabilité.

Il est à rappeler que la faim, la malnutrition et la pauvreté continuent malheureusement à toucher plus de 800 millions de personnes dans le monde. Pari ailleurs, les deux tiers des personnes vivant dans l’extrême pauvreté dans le monde sont des ruraux et leurs moyens de subsistance dépendent de l’agriculture.

En marge du séminaire, le Secrétaire Général et la Représentante de la FAO ont procédé à la remise de trois prix au titre de la 1ère édition du concours d’idées innovantes, tenu les 06 et 07 octobre 2018 à l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II. Ce concours vise à rendre hommage aux étudiants pour l’esprit d’initiative, de compétition et d’innovation.

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Les jeunes européens s’inquiètent…

23% des jeunes Européens disent connaitre « au moins une personne radicalisée », selon une étude menée dans douze pays européens. Plus de la moitié a lu ou entendu des discours prônant le djihad.

 

Financé par l’Union européenne, Practicies (Partenariat contre la radicalisation violente dans les villes) est reconnu comme étant l’un des projets les plus sensés ayant été menés ces dernières années pour permettre une meilleure compréhension du terrorisme en vue de mieux le combattre. Cette initiative est participative. Elle mobilise des réseaux de villes européennes, des chercheurs en sciences humaines, politiques et sociales, des experts et professionnels de la radicalisation, et des acteurs de la société civile. L’objectif final est de construire des outils concrets et des pratiques de prévention. Pour ce faire, l’institut Kantar (anciennement Société française d’en- quêtes par sondages – Sofres) a mené pour le compte de Practicies une étude dans douze pays européens sur «Les Jeunes et la radicalisation menant à la violence ». 12.000 personnes ont été interrogées sur le sujet. Cette étude prend en compte tous les types de radicalisation, qu’elle soit liée à l’islamisme, le racisme, la xénophobie, le fondamentalisme religieux ou le sexisme. Les conclusions tirées sur la base de leurs réponses sont cinglantes. 70% ou plus des jeunes en France, Espagne, Grèce et Italie disent que la violence est fréquente dans leur pays. 23% des jeunes Européens disent connaitre « au moins une per- sonne radicalisée ». En France, ce pourcentage atteint 18% des personnes interrogées.

Par ailleurs, 83% des jeunes pensent que ce phénomène s’amplifiera ou restera au même niveau dans les prochaines années. Par ailleurs, 80% des 12.000 personnes interrogées à travers douze pays disent avoir été confrontées à des discours incitant à l’action violente au cours de l’année écoulée et près des deux tiers à des propos incitant à l’antisémitisme. Plus de la moitié a également lu ou entendu des discours prônant le djihad. Autre constat cinglant : la moitié des jeunes Européens pensent que leur pays « devrait être gouverné par un dirigeant fort qui n’aurait pas à se soucier du parlement ou des élections ». 55% des jeunes pensent même qu’il est « acceptable de limiter les libertés individuelles dans certains cas »

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Black Friday : Le guide pratique de Jumia

Pour accompagner la 4eme édition de son Black Friday, Jumia a mis à la disposition des clients un guide pratique pour profiter au mieux des promotions qui seront disponibles. Voici les étapes pour profiter au maximum :

  1. Le Black Friday, ce n’est plus un vendredi mais un mois entier !

Jumia offre un mois de soldes en lignes du 2 au 30 novembre 2018. Chaque jour, ce sont des milliers de rabais qui seront proposés avec des deals spéciaux tous les vendredis, les fameux Mega Hemza, et douze Flash Sales.

 

  1. Mega Hemza chaque vendredi à 11h : premier arrivé, premier servi !

Plus de supers deals pour encore plus de gagnants ! Jumia augmente cette année le nombre de ses Mega Hemza avec des quantités qui passent à 750 et un horaire renouvelé de minuit à 11h. Les deals les plus attendus, comme les TV et PS4, seront aussi proposés en quantité limitée à 400 et 600 dirhams. Quelques conseils à suivre pour en profiter au max : faites une simulation de commande avant, soyez en avance le jour J, faites preuve de rapidité, et limitez-vous à un produit par panier.

 

  1. Télécharger l’application Jumia : les meilleurs deals seront “App Only” !

Comme tous les géants de l’e-commerce, Jumia offre le meilleur de Black Friday sur son application. Parce que le smartphone est la première source de trafic sur la marketplace, l’application est le support le mieux adapté pour profiter des deals.

 

  1. Créer son compte Jumia avant Black Friday !

Pour faire son shopping, il est nécessaire d’avoir un compte. Alors n’attendez pas le dernier moment : inscrivez-vous en avance et soyez prêt le jour J.

 

  1. Payé cash à la livraison pour un Black Friday en toute sécurité !

Jumia offre la possibilité aux Marocains de régler leurs achats de Black Friday à la livraison et en liquide. Aucun risque de mauvaise surprise, vous payez une fois votre produit entre les mains.

 

  1. Faites vos repérages sur Jumia avant Black Friday !

Vous irez plus vite en terrain connu. Prenez le temps de faire un tour d’observation sur Jumia quelques jours avant et vous aurez un vision précise des produits que vous voulez achetez.

 

  1. Vous ne pourrez peut-être pas remporter la Mega Hemza tous les vendredis !

C’est une option tentante mais qui a peu de chances d’arriver. Alors restez calmes, il y en aura pour tout le monde 🙂

 

  1. Chiffrez votre budget avant de dépenser

Savoir combien d’argent vous avez en poche est un bon moyen de cibler les produits qui vous tentent… et de ne pas faire d’excès que vous pourriez regretter !

 

  1. Suivez Jumia partout pour être au courant de tous !

Toutes les informations sur Black Friday sont disponibles sur notre site, nos newsletters, nos comptes officiels sur les réseaux sociaux, et même chez les influenceurs qui nous accompagnent. Alors dépêchez-vous : abonnez-vous à nos pages et soyez les premiers informés.

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Black Friday : Jumia révolutionne le concept pour l’edition 2018

Forte du succès des trois précédentes éditions, Jumia, premier site e-commerce en Afrique et au Maroc et parmi les dix sites les plus visités du Royaume, s’apprête à lancer la quatrième édition du Black Friday à partir du 2 novembre 2018. Ce Black Friday sera un mois de soldes monstres jusqu’au 30 novembre 2018.

Pour accompagner l’opération, qui constitue le premier événement de ventes soldées en ligne au Maroc et dans le monde, Jumia a fait le choix d’une initiative utile : la publication d’un guide pratique et éducatif sur le e-commerce à l’attention des marocains que les clients peuvent retrouver ici

La plate-forme mise en effet sur la sensibilisation pour permettre à un maximum d’internautes de mieux comprendre le fonctionnement du Black Friday. Comment se préparer, comment acheter le jour J, comment se faire livrer, comment régler ses achats… Sous la forme d’un visuel d’une page, le guide de Jumia offre tous les conseils à suivre et les bonnes pratiques à adopter pour profiter de l’événement.

 

« La satisfaction client est au coeur du Black Friday 2018. Ce guide a pour but d’accompagner les Marocains dans cette nouvelle manière de profiter des soldes, allant jusqu’à 70 % sur des milliers de produits sur notre plate-forme. Nous voulons aussi démocratiser davantage le Black Friday, qui constitue pour beaucoup de citoyens la seule opportunité de profiter d’importantes promotions, et ce, là où ils se trouvent. Nous voulons également les informer de toutes les garanties dont ils bénéficient en matière de sécurité de paiement, puisque les produits achetés en ligne pendant le Black Friday seront tous payés uniquement à la livraison et en espèces, ce qui permettra de renvoyer l’article si le client n’est pas satisfait au bout de sept jours », a déclaré Larbi Alaoui Belrhiti, directeur général de Jumia.

Pour ce quatrième Black Friday, Jumia a retenu la leçon des années précédentes. La satisfaction client est ainsi au coeur de cette nouvelle édition. Pour optimiser l’expérience des internautes, la plate-forme va mobiliser plus de 400 livreurs, 80 agents SAV et 200 agents en logistique afin de garantir une gestion rapide des commandes et livraisons.

Pour gérer l’important trafic généré sur le site pendant la campagne, les serveurs IT de Jumia seront également renforcés afin de réduire au maximum les risques de bug. L’an passé, c’est une population équivalente à dix fois la capacité du stade Mohammed V qui s’est connectée en même temps pour profiter des meilleurs deals.

Pour satisfaire la demande des Marocains, les “Mega Hemza” de Jumia seront par ailleurs proposées tous les vendredis à un horaire plus adapté : 11 heures du matin au lieu de minuit.

Pour rappel, le Black Friday 2017 a attiré sur Jumia a battu tous les records en termes de visites et de commandes, en devenant la première application téléchargée sur le Play Store, devant Facebook et WhatsApp.

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Tuesday, October 30, 2018

Attijariwafa bank remporte le trophée Défis RSE Maroc 2018

Attijariwafa bank a reçu le Trophée Défis RSE Maroc 2018 dansla catégorie « Production et Consommation Responsable » le jeudi 25 octobre 2018 au Consulat Général de France à Marrakech.

Attijariwafa bank s’est démarquée auprès du jury des Défis RSE Maroc, notamment grâce à son engagement en faveur de l’accompagnement de la TPE et de la PME, en adoptant des pratiques et des valeurs productrices et novatrices qui permettent le développement économique de la société marocaine.

L’implication d’Attijariwafa bank en faveur de ces entreprises se traduit en effet par des engagements de financement dédiés aux TPE et aux PME et le déploiement d’un dispositif adapté et innovant.

Dernière innovation en date, ce sont les centres Dar Al Moukawil créés par le Groupe depuis 2017. Ce concept exclusif dédié à l’accompagnement des TPE clientes et non clientes est venu enrichir les services de la plateforme web gratuite https://ift.tt/2ziOCqv lancée en 2016.

Les centres Dar Al Moukawil sont des centres d’expertise, d’accompagnement et de conseil, notamment pour la création de l’entreprise, le développement de projets, l’accès aux marchés, ou encore l’activation des mécanismes de l’État dédiés au soutien des TPE, etc.

À travers ces dispositifs, Attijariwafa bank a permis à plusieurs milliers de TPE et porteurs de projets de bénéficier de formation et de conseil à titre gracieux sur diverses thématiques.

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Une Marocaine de 9 ans remporte l’Arab Reading Challenge

La Marocaine Meriem Amjoune, 9 ans, a remporté, mardi 30 octobre 2018, le titre du « défi de lecture arabe » (Arab Reading Challenge), le plus grand concours du genre dans le monde arabe.

Le vice-président des Emirats Arabes Unis, président du Conseil des ministres et gouverneur de Dubaï, Cheikh Mohamed Ben Rached Al Maktoum a remis le Prix de ce prestigieux concours à Meriem Amjoune, élève d’une école primaire à Tissa (Province de Touanate) et lauréate de ce concours qui a connu la participation de 10,5 millions de participants et participantes issus de tout le monde arabe.

Dans une déclaration, la récipiendaire s’est dite très heureuse de remporter ce concours, affirmant que le mérite en revient à sa famille, principalement à ses parents, tous deux des enseignants.

Pour cette fillette qui rêve de devenir architecte, cet exploit l’encouragera à persévérer dans ses études. Meriem Amjoune a ainsi décroché une enveloppe d’environ 150.000 dollars USD. 100.000 USD seront réservées à ses études universitaires et 50.000 USD iront à sa famille en guise d’encouragement.

La cérémonie de remise des prix s’est déroulée en présence de hauts responsables émiratis et de membres du corps diplomatique accrédité aux Emirats arabes unis, dont l’Ambassadeur du Maroc Mohamed Aït Ouali, en plus des parents et tuteurs des élèves primés.

Le concours, lancé en 2016, récompense également les meilleurs instituteur et superviseur du monde arabe. Le montant global des prix décernés s’élève à 11 millions de dirhams émiratis, soit environ 30 millions de dirhams.

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Sabr Debbah : « Derrière toute grande dame, il y a un homme ».

Nous avons tous besoin d’un retour aux sources à un moment ou un autre de notre existence. Un repli sur soi-même qui peut servir un tremplin pour accéder à une meilleure version de nous-même. C’est en substance le message véhiculé par Sabr Debbah dans son premier roman « Pourquoi pas moi ? »

Ce besoin est encore plus important lorsqu’il s’agit d’une femme. Une question se pose alors : « Pourquoi pas moi ? ». Dans son roman Sabr Debbah explore le destin de cinq femmes d’âges, d’origines et de cultures différentes, qui ont toutefois un point commun et non des moindres : elles ont réussi à triompher et à atteindre leurs objectifs.

Cinq destins différents dont l’auteure s’est inspirée, les ayant toutes côtoyées alors qu’elle-même se ressourçait pour mieux rebondir.

Un évènement, tragique, sera le point d’un nouveau départ pour Sabr Debbah puisqu’il s’agit du décès de ses parents, à qui elle dédit ce premier roman.

Nous avons rencontré l’auteure de «Pourquoi pas moi ? », lors de la présentation de son nouveau livre, jeudi 25 octobre 2018 à Casablanca. Cette rencontre a été organisée par All Ladies League, une association qui promeut le « lien » comme moteur de la transformation et qui a accompagné Debbah dans son aventure romanesque.

Quel message voudriez-vous passé à travers ce premier roman ? 

Le message que j’aimerai véhiculer à travers ce livre, c’est que toutes les femmes peuvent aller jusqu’au bout de leurs réalisations et qu’il faut le faire. Il ne faut pas laisser le doute et la peur nous paralyser. Il y a des femmes qui l’ont fait avant nous, des femmes qui le font aujourd’hui et d’autres qui le feront demain. Nous avons toutes ces aptitudes, ces qualités qui font que les femmes que nous connaissons aujourd’hui ont réussi.

D’où vous est venue l’idée de ce roman ? 

Je suis très engagée pour la femme depuis déjà six à sept ans à la CGEM notamment. J’ai écrit beaucoup d’articles sur le leadership féminin, j’anime des ateliers et donc le je porte à cœur le sujet de la femme.

Il y a sans doute d’autres raisons notamment personnelles et familiales. D’un côté, mon papa était un grand intellectuel. De l’autre, ma maman avait arrêté ses études en CM2. Et cette femme avait pourtant une intelligence qui lui a permis de gérer des situations incroyables. Je suis sûre que mon père n’aurait pas pu réaliser beaucoup de choses si elle n’était pas là. C’est une des spécificités de notre société marocaine et je trouve que c’est dommage que la femme marocaine ne s’affirme pas plus dans ce sens.

La dimension spirituelle est centrale dans votre roman, mais n’exclut pas la dimension réaliste… 

Il y a effectivement deux dimensions. Une dimension spirituelle qui nous permet de nous réconcilier avec la vie quand on passe par des moments difficiles. C’est ce qui nous permet d’avancer. Il y a également une dimension plus pragmatique. J’entends par là que la femme doit se prendre en charge et qu’elle prenne toute sa place.

Quelle place réservez-vous alors aux hommes dans votre roman ? 

Dans le livre, dans chaque histoire de ces cinq femmes, il y a un homme quelque part. Soit un homme qui a été la cause et donc ça va la pousser, ça va la propulser, soit à un moment donné dans sa construction, il va y avoir un homme qui sera là. Pour conclure, on pourrait dire que derrière toute grande dame, il y a un homme.

Le livre de Sabr Debbah a été publié en septembre 2018 en France aux éditions « Le Lys Bleu » et est disponible sur commande sur Amazon. Au Maroc le roman est disponible à Essaouira au sein de la MGallery.

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Vidéo – Des centaines d’enseignants ont manifesté leur mécontentement à Casablanca

Des centaines d’enseignants contractuels ont organisé une marche allant du quartier Derb Omar au quartier Maarif ce lundi 29 octobre. Leurs principales revendications: la fin du système de contrats et leur intégration dans la fonction publique.

 

De Derb Omar a Maarif, des centaines d’enseignants contractuels ont défilé lundi 29 octobre 2018, pour manifester leur mécontentement. La fin du système de contrats et leur intégration au sein de la fonction publique, étaient leurs principales revendications.

Des altercations ont par eu lieu entre les manifestants et les forces de l’ordre au niveau du quartier Anfa. Les forces de l’ordre ont en effet tenté de mettre fin à cette marche de protestation.

Au cours de la même journée, les taxis blancs ont mené une grève pour manifestation leur mécontentement face à la hausse du prix du gasoil. (http://lobservateur.info/la-une/transport-urbain-grogne-des-taxis-blancset-de-leurs-clients-aussi/)

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Donald Trump veut mettre fin au droit du sol

Le président américain Donald Trump envisage de signer un décret présidentiel mettant fin au droit du sol, qui permet à tout enfant né sur le territoire des Etats-Unis d’en obtenir la nationalité, rapporte, mardi 30 octobre 2018, le site d’information Axios.

Dans un entretien à « Axios on HBO », une série documentaire en quatre parties dont la diffusion débute dimanche sur la chaîne à péage américaine, le président affirme qu’il veut signer ce décret pour que les enfants nés sur le sol américain de parents en situation irrégulière ne bénéficient plus de ce droit.

« Nous sommes le seul pays du monde où une personne entre et a un enfant et cet enfant est de fait un citoyen des Etats-Unis pour 85 ans avec tous les avantages », déclare Trump dans cet entretien. « C’est ridicule et cela doit cesser ».

« On m’a toujours dit qu’il fallait un amendement constitutionnel, mais vous savez quoi, on peut le faire avec une loi au Congrès. Et maintenant on me dit qu’on peut le faire avec un décret », affirme-t-il.

Le président américain dit en avoir parlé avec ses conseillers et précise que la procédure est en cours. « Cela va se faire avec un décret », précise M. Trump.

Une telle décision pose une question de constitutionnalité en ce qu’elle paraît en contradiction avec les dispositions du 14e amendement de la loi fondamentale américaine qui stipule que « toute personne née ou naturalisée aux Etats-Unis, et soumise à la juridiction afférente, est citoyen des Etats-Unis et de l’Etat dans lequel elle réside ».

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Deux projets de décrets seront examinés en Conseil de gouvernement

Un Conseil de gouvernement se tiendra, jeudi 1er novembre 2018, sous la présidence du Chef du gouvernement, Saâd Dine El Otmani.

Au début de ses travaux, le Conseil examinera deux projets de loi, le premier relatif à l’organisation des appels à la générosité publique et le second à la modification de la loi relative au micro-crédit, indique un communiqué du Département du Chef du gouvernement.

Le Conseil de gouvernement examinera, ensuite, deux projets de décret, le premier modifiant le décret portant institution de la commission interministérielle permanente chargée du développement de l’espace rural et des zones montagneuses, ajoute la même source, notant que le second est relatif à l’application des dispositions de la loi relative aux mines en ce qui concerne la détermination de la liste de documents que doivent nécessairement détenir les titulaires de titres miniers.

La réunion s’achèvera par l’examen de propositions de nominations à de hautes fonctions, conformément à l’article 92 de la Constitution.

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Essaouira, ce don du ciel …

Hajja Hamdaouia et Raymonde Bidaouia

 

Pour célébrer en fanfare sa 15e édition, le festival des Andalousies Atlantiques d’Essaouira nous a concocté une programmation à couper le souffle. Encore une fois, ce rendez-vous musical hors normes se surpasse et pousse la créativité et l’émotion à leur paroxysme pour nous faire vivre des moments uniques d’extase musicale.

Nadia Marquez et Curro Pinana

Encore une fois, dans cette cité bénie du ciel, les amoureux de musiques andalouses, venus des quatre coins du monde, se sont délectés d’un florilège de chants andalous entre Metrouz, Samaa, Chgouri, Melhoun et Châabi, communs aux civilisations musulmane et juive depuis des siècles.

Happyout et Andalucious

Essaouira, qui célèbre à nouveau cette grande fête spirituelle autour du thème de la paix. Essaouira qui dans cette édition anniversaire rappelle « l’importance du lieu et du lien », si chers à André Azoulay, président Fondateur de l’Association Essaouira Mogador ! Essaouira qui ose des duos improbables et qui réussit divinement à réunir sur la même scène, juifs et musulmans interprétant des chansons véhiculant des messages de paix, d’harmonie et d’amour.

Ensemble Hapyout

Essaouira qui réussit l’exploit de réunir pour la première fois deux divas du chaâbi marocain, Hajja El Hamdaouia et Raymonde El Bidaouia, une rencontre historique sous la direction du Maestro Ahmed Charkani.

Synagogue

Nous garderons en mémoire la performance hors pair des groupes Hapyout et Andalucious qui réunissent une trentaine de chanteurs et de musiciens juifs. Hapyout qui nous ont subjugué par leur chant fraternel et nous ont fait découvrir les poèmes chantés du judaïsme mythique du Tafilalet, dans la lignée des oeuvres du Grand Rabbin Yaacov Abihssera.

Said Belcadi et Curro Pinana

Le groupe Andalucious avec à sa tête le jeune violoniste étoile Elad Lévi nous a enchanté avec son concert kaléidoscope qui a revisité les pièces les plus emblématiques du Melhoun, du Chgouri et du Matrouz judéo-arabe dont Essaouira n’a pas fini de nous faire découvrir les partitions écrites à deux mains et chantées à deux voix.

Synagogue

Petit clin d’œil au Maghreb Uni, le concert de la grande Hayat Boukhriss, en compagnie de l’algérienne Rym Hakiki  et la tunisienne Syrine Benmoussa. Trois perles qui nous ont conté, chacune à sa façon notre Maghreb réuni dans un répertoire qui ne connait pas de frontières. Avec cerise sur le gâteau, l’invité surprise Enrico Macias !

Sanaa Marahati

Autre moment d’exception de cette fête andalouse, le concert à Dar Souiri à deux voix, celle de Said Belcadi, maître du Madih et du Samaa au Maroc et de Curro Pinana, l’héritier du cante minero en Espagne. Deux virtuoses qui nous ont fait revivre le legs des grands poètes andalous, Ibn Arabi et Ibn Gabirol. Les rendez-vous « Au-delà de Minuit » ont réuni pour leur part, une quarantaine de maîtres du Madih et du Samaa à Dar Souiri en hommage à Abdelmajid Souiri qui nous a quitté le 2 avril dernier.

Andalucious

On retiendra également la soirée d’ouverture du jeudi 25 octobre qui a regroupé près d’une centaine de musiciens et chanteurs sur scène dirigés par l’immense Anass El Attar. Avec son Rbab du 18e siècle, il a accueilli la chorale des « Mélomanes de la Musique Andalouse », le mounchid Ahmed Marbouh, les cantors Benjamin Bouzaglo, Hay Korkos et la diva du Melhoun Sanaa Marahati, qui ont donné à ce concert les accents et les mots du répertoire de Samy Al Maghribi, Albert Suissa et Salim Halali.

Happyout et Andalucious

 

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El Malki appelle à la mise en place d’un plan d’urgence pour le développement de l’Afrique

Le président de la Chambre des Représentants, Habib El Malki a souligné, mardi 30 octobre 2018 à Rabat, que la communauté internationale est appelée à mettre en place un plan d’urgence pour le développement de l’Afrique, de sorte à contribuer au lancement de dynamiques économiques et sociales intégrant la jeunesse africaine qui aspire à une vie meilleure.

Intervenant à l’ouverture du Séminaire international sur « le rôle des parlements et des conseils économiques et sociaux et institutions similaires d’Afrique face aux nouveaux défis de la migration », El Malki a appelé la communauté internationale à œuvrer d’arrache-pied pour faire face aux racines et aux causes de la migration et ce à la lumière des engagements convenus à la COP21 à Paris et à la COP 22 à Marrakech, notant que la gestion des flux migratoires ne se fera pas par la construction des murs, ni par la fermeture des frontières, mais par le dialogue et la coopération.

El Malki a indiqué qu’il incombe aux parlements, aux organisations parlementaires multilatérales et aux conseils économiques et sociaux, la responsabilité majeure de plaider en faveur de la paix, la stabilité, la sécurité et le règlement pacifique des différends, ainsi que pour une justice climatique pour tous, en particulier pour l’Afrique, qui paie le prix des déséquilibres climatiques.

Il a aussi précisé que la migration est placée au cœur du débat politique, tant aux pays d’origine qu’aux pays d’accueil, ajoutant qu’il demeure regrettable de voir la migration devenir le point de croisement des multiples problèmes et défis auxquels font face les pays d’accueil, alors que ce phénomène a « été longtemps considéré comme une dynamique d’interaction, de fécondation et d’enrichissement humain et culturel”.

Le président de la Chambre des Représentants a de même rappelé la nécessité de corriger les stéréotypes erronés sur la migration et d’élargir le cercle des défenseurs des avantages de la migration, au niveau des pays, d’organisations politiques et sociales et des mouvements civils, faisant savoir que les migrants, contrairement à l’image stéréotypée qui leur a été attribuée contribuent à la prospérité des pays dans lesquels ils sont installés.

El Malki a aussi rappelé la responsabilité commune des membres de la communauté internationale de transférer des technologies et d’opérer des investissements et des capitaux, conformément à la logique du gagnant-gagnant, que SM le Roi ne cesse de rappeler, appelant à davantage de coordination et de solidarité entre les pays qui constituent les zones de migration, en particulier ceux de la rive sud de la Méditerranée afin de mettre en œuvre des politiques et des approches sociales et humanitaires pour faire face au phénomène et pour lutter contre la traite des êtres humains.

Pour sa part, le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Nizar Baraka a indiqué que les vagues de migration internationale ont connu une augmentation significative ces dernières années et ont subi des transformations profondes en termes de nature et d’ampleur, ajoutant que la migration sur le continent africain est connue par sa dynamique particulière (le total des migrants s’établit à plus de 24 millions en 2017, soit 14% des migrants dans le monde).

Baraka a noté que l’image stéréotypée des médias et de certains partis politiques en Europe, alimente le rejet et conduit à des phénomènes discriminatoires et à la xénophobie, affirmant que les vagues d’immigration devraient s’intensifier sous l’effet du changement climatique et des catastrophes naturelles, de la diminution des réserves en eau et de la dégradation des terres agricoles combinés à une insécurité alimentaire.

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Diapo- Essaouira, ce don du ciel …

Pour célébrer en fanfare sa 15e édition, le festival des Andalousies Atlantiques d’Essaouira nous a concocté une programmation à couper le souffle. Encore une fois, ce rendez-vous musical hors normes se surpasse et pousse la créativité et l’émotion à leur paroxysme pour nous faire vivre des moments uniques d’extase musicale. Encore une fois, dans cette cité bénie du ciel, les amoureux de musiques andalouses, venus des quatre coins du monde, se sont délectés d’un florilège de chants andalous entre Metrouz, Samaa, Chgouri, Melhoun et Châabi, communs aux civilisations musulmane et juive depuis des siècles.

Essaouira, qui célèbre à nouveau cette grande fête spirituelle autour du thème de la paix. Essaouira qui dans cette édition anniversaire rappelle « l’importance du lieu et du lien », si chers à André Azoulay, président Fondateur de l’Association Essaouira Mogador ! Essaouira qui ose des duos improbables et qui réussit divinement à réunir sur la même scène, juifs et musulmans interprétant des chansons véhiculant des messages de paix, d’harmonie et d’amour. Essaouira qui réussit l’exploit de réunir pour la première fois deux divas du chaâbi marocain, Hajja El Hamdaouia et Raymonde El Bidaouia, une rencontre historique sous la direction du Maestro Ahmed Charkani.

Nous garderons en mémoire la performance hors pair des groupes Hapyout et Andalucious qui réunissent une trentaine de chanteurs et de musiciens juifs. Hapyout qui nous ont subjugué par leur chant fraternel et nous ont fait découvrir les poèmes chantés du judaïsme mythique du Tafilalet, dans la lignée des oeuvres du Grand Rabbin Yaacov Abihssera.

Le groupe Andalucious avec à sa tête le jeune violoniste étoile Elad Lévi nous a enchanté avec son concert kaléidoscope qui a revisité les pièces les plus emblématiques du Melhoun, du Chgouri et du Matrouz judéo-arabe dont Essaouira n’a pas fini de nous faire découvrir les partitions écrites à deux mains et chantées à deux voix.

Petit clin d’œil au Maghreb Uni, le concert de la grande Hayat Boukhriss, en compagnie de l’algérienne Rym Hakiki  et la tunisienne Syrine Benmoussa. Trois perles qui nous ont conté, chacune à sa façon notre Maghreb réuni dans un répertoire qui ne connait pas de frontières. Avec cerise sur le gâteau, l’invité surprise Enrico Macias !

Autre moment d’exception de cette fête andalouse, le concert à Dar Souiri à deux voix, celle de Said Belcadi, maître du Madih et du Samaa au Maroc et de Curro Pinana, l’héritier du cante minero en Espagne. Deux virtuoses qui nous ont fait revivre le legs des grands poètes andalous, Ibn Arabi et Ibn Gabirol. Les rendez-vous « Au-delà de Minuit » ont réuni pour leur part, une quarantaine de maîtres du Madih et du Samaa à Dar Souiri en hommage à Abdelmajid Souiri qui nous a quitté le 2 avril dernier.

On retiendra également la soirée d’ouverture du jeudi 25 octobre qui a regroupé près d’une centaine de musiciens et chanteurs sur scène dirigés par l’immense Anass El Attar. Avec son Rbab du 18e siècle, il a accueilli la chorale des « Mélomanes de la Musique Andalouse », le mounchid Ahmed Marbouh, les cantors Benjamin Bouzaglo, Hay Korkos et la diva du Melhoun Sanaa Marahati, qui ont donné à ce concert les accents et les mots du répertoire de Samy Al Maghribi, Albert Suissa et Salim Halali.

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Le projet de loi relatif au service militaire présenté à la chambre des représentants

Le projet de loi 44.18 relatif au service militaire vise à consolider le sentiment d’appartenance à la patrie, dans le cadre d’une corrélation entre droits et devoirs de citoyenneté, et à promouvoir l’esprit de sacrifice et d’abnégation, a souligné le ministre délégué chargé de l’Administration de la défense nationale, Abdellatif Loudyi.

Présentant le projet de loi devant la commission de la Justice, de la législation et des droits de l’homme à la Chambre des représentants, Loudyi a indiqué que ce texte va ouvrir la voie aux jeunes pour s’intégrer dans la vie professionnelle et sociale, en permettant aux appelés de bénéficier d’une formation militaire et leur inculquer la culture militaire fondée sur la discipline et le courage, l’engagement et la responsabilité. Le service militaire aura ainsi un apport indéniable en termes d’encadrement, de qualification et de renforcement des compétences des jeunes, clé de voûte pour préparer tout un chacun pour une insertion réussi dans la vie socio-professionnelle.

Ce projet vise aussi à « faire connaître les rôles essentiels assumés par les Forces armées royales (FAR) dans la défense de la patrie, lors des opérations de maintien de la paix et de sécurité internationales et dans la lutte contre les défis et les dangers liés au terrorisme, à la migration clandestine et au crime organisé, outre les opérations de sauvetage et d’assistance humanitaire au profit des populations dans les régions éloignées et sinistrées », a-t-il ajouté.

Le service militaire constitue, selon le ministre délégué, un devoir national et une étape fondamentale dans la vie de tout citoyen ainsi qu’une mesure adoptée par de nombreux pays afin d’ancrer chez les jeunes générations les valeurs de civisme, de patriotisme et d’attachement à leur identité nationale dans le cadre d’une corrélation étroites entre les droits et les devoirs.

Après avoir exposé les dispositions de ce texte de loi, Loudyi a relevé qu’il s’agit d’instaurer le service militaire obligatoire pour les citoyens âgés de 19 à 25 ans pendant une période de 12 mois, alors que les personnes ayant plus de 25 ans, qui ont bénéficié de dispense ou d’exemption, peuvent être convoquées pour effectuer le service militaire jusqu’à l’âge de 40 ans, en cas de cessation du motif de dispense.

Les personnes qui, pour quelque motif que ce soit, n’ont pas accompli leur service militaire peuvent être mobilisées lorsque les circonstances l’exigent, a-t-il poursuivi.

Le ministre a d’autre part noté que des exemptions provisoires ou définitives peuvent être accordées pour certains motifs, dont l’inaptitude physique ou de santé, la prise en charge familiale ou la poursuite d’études, ajoutant que « ce projet de loi permet aussi aux appelés de bénéficier d’une solde et d’indemnités exonérées de tout prélèvement fiscal.

Il a à cet égard souligné que le rétablissement du service militaire a pour objectif de « renforcer la cohésion sociale, d’ouvrir aux appelés la voie de l’intégration dans la vie professionnelle et sociale et de mettre en place une force de réservistes à laquelle on pourra faire appel le cas échéant pour contribuer à la défense de la patrie, à la lutte contre les risques sécuritaires et les catastrophes naturelles ».

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Ryanair lance une ligne directe entre Athènes et Marrakech

Une nouvelle liaison aérienne directe entre la capitale grecque Athènes et Marrakech a été lancée, lundi 29 octobre 2018, par la compagnie low-cost irlandaise « Ryanair ». Disponibles lundi et vendredi, les départs de Marrakech sont programmés à 6 heures du matin et les vols retour à partir d’Athènes à 12 heures 50 minutes.

Le lancement de cette nouvelle ligne s’inscrit dans le cadre de l’intérêt qu’accorde la compagnie à sa base régionale à Marrakech d’où elle opère des vols réguliers vers plusieurs destinations notamment Rome, Budapest, Londres, Bruxelles, Madrid, Venise, Paris et Eindhoven.

En plus d’Athènes, d’autres destinations seront desservies prochainement depuis la ville ocre. Il s’agit notamment de Berlin, Nuremberg et Baden-Baden en Allemagne qui seront accessibles en vol low-cost depuis Marrakech. En 2013, la compagnie avait inauguré sa première base aérienne au Maroc, à l’aéroport international de Marrakech-Menara, avec l’arrivée d’un avion de la compagnie en provenance d’Italie avec à bord quelque 186 passagers.

La compagnie Ryanair représente plus de 19 pc du mouvement du transport commercial et 16 pc du mouvement des avions au niveau de l’aéroport de Marrakech-Menara.

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Météo : De fortes rafales de vent, atteignant 70 à 90 km/h sont attendues

De fortes rafales de vent et fortes pluies parfois orageuses, avec chutes de neige et temps froid sont prévus du mardi 30 octobre au jeudi 1er novembre 2018 dans plusieurs villes du Royaume, a indiqué mardi la Direction de la météorologie nationale (DMN).

Ainsi, de fortes rafales de vent, atteignant 70 à 90 km/h et pouvant être dépassés sur les reliefs, sont prévues les mardi et mercredi dans les villes d’Al Hoceima, de Benslimane, Berrechid, Boulemane, Casablanca, Chefchaouen, Driouech, El Hajeb, El Jadida, Essaouira, Fahs-Anjra, Fès, Figuig, Guercif, Ifrane, Jerada, Kénitra, Khémisset, Khénifra, Khouribga, Larache, M’Diq-Fnideq, Médiouna, Meknès, Midelt, Mohammedia, Moulay Yacoub, Nador, Nouaceur, Ouazzane, Rabat, Rhamna, Safi, Salé, Sefrou, Settat, Sidi Bennour, Sidi Kacem, Sidi Slimane, Skhirate-Temara, Tanger-Assilah, Taounate, Taourirt, Taza, Tétouan et Youssoufia, a précisé la DMN dans un bulletin météorologique spécial.

En outre, de fortes pluies parfois orageuses (30 à 40 mm) sont attendues le mardi de 11H00 à 18H00 dans les villes de Chefchaouen, Fahs-Anjra, Kénitra, Larache, Ouazzane, Taounate,Tanger-Assilah,Tétouan, Rabat-Salé, Skhirate-Témara, Casablanca, Médiouna et Mohammedia.

Le même phénomène intéressera, le mardi de 18H00 à 24H00, les provinces de Sefrou, Khénifra, Azilal, Beni Mellal et Al Haouz (25 à 30 mm), et du mercredi à 24H00 au jeudi à 6H00 les provinces de Taounate, Ouezzane et Chefchaouen (70 à 100 mm), ainsi que Larache, Kénitra, Al Hoceima (reliefs) et Sidi Kacem (de 40 à 60 mm).

Le mardi et le mercredi, des chutes de neige, pouvant atteindre 40 cm de hauteur, sont prévues dans les villes d’Al Haouz, d’Azilal, de Béni Mellal, Boulemane, Ifrane, Khénifra, Midelt, Sefrou et Ouarzazate, selon la même source.

En sus, un temps froid (-03 C° à 10 C°) régnera, du mardi au mercredi, sur les villes d’Al Haouz, Azilal, Béni Mellal, Boulemane, Figuig, Guercif, Ifrane, Jerada, Khénifra, Midelt, Ouarzazate, Sefrou, Taza et Tinghir, selon le bulletin météorologique.

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80 000 inscrits au régime de l’auto-entrepreneur à septembre 2018

La mise en œuvre du régime de l’auto-entrepreneur a permis de réaliser un bilan significatif avec un total de 80.000 bénéficiaires jusqu’à fin septembre 2018 et un chiffre d’affaires d’environ 400 millions de dirhams, a indiqué lundi 29 octobre 2018 à Rabat le chef du gouvernement, Saâd Dine El Otmani.

En réponse à une question centrale sur « La politique du gouvernement en matière d’insertion des jeunes » lors de la séance mensuelle consacrée à la politique générale à la Chambre des représentants, El Otmani a souligné que le régime d’auto-entrepreneur constitue un mécanisme efficace pour favoriser l’intégration économique des jeunes et leur accès au marché de l’emploi, et encourager chez eux l’esprit d’initiative et d’entreprenariat.

En outre, il a été décidé de mettre sur pied une commission composée des différentes départements ministériels concernés, chargée de mettre en œuvre une politique intégrée en faveur de la jeunesse et dont la première réunion se tiendra cette semaine, a-t-il fait savoir, notant que cette structure se veut un gage de bonne gouvernance en la matière.

El Otmani a également relevé qu’afin de mettre en application cette politique intégrée en faveur des jeunes, quelque 42 mesures ont été définies en lien avec nombre de domaines se rapportant notamment à l’emploi, l’enseignement, la santé, les services de proximité, les loisirs, le sport, la gouvernance et la participation citoyenne.

Concernant l’adéquation entre formation et besoins du marché, le chef du gouvernement a rappelé qu’une série de mesures ont été adoptées en vue de favoriser une transition linguistique souple de l’enseignement secondaire qualifiant vers l’enseignement supérieur, conformément à la Vision stratégique de la réforme du système d’éducation, tout en prenant en considération le potentiel de l’étudiant afin de lui permettre de concrétiser son propre projet.

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Championnat arabe : Le Raja fait match nul à l’extérieur

Le Raja de Casablanca a fait match nul (0-0) face au club égyptien d’Al-Ismaïly, en match comptant pour les 16e de finale aller du Championnat arabe (Coupe Zayed des clubs champions), disputé lundi 30 octobre2018  au Stade d’Al-Ismaïly en Egypte.

La première mi-temps a été marquée par une forte pression du club égyptien sur le portier du Raja Mohamed Bouamira.

En seconde période, les deux clubs n’ont pas su concrétiser les nombreuses occasions qu’ils se sont créés.

Les verts ont atteint ce stade de la compétition après avoir éliminé le club libanais Salam Zgharta, alors que l’équipe égyptienne s’est qualifiée aux dépens du club de Koweit.

Le match retour aura lieu, le 11 décembre 2018, à Casablanca. Les verts sont appelés à gagner pour passer au prochain tour.

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Festival International de la Mode en Afrique, une première au Maroc

Placé sous le Haut Patronage du Roi Mohammed VI, le Festival International de la Mode en Afrique (FIMA) célèbre au Maroc son 20e anniversaire à l’occasion d’une édition qui se déroulera pour la première fois dans le royaume.

Rendez-vous incontournable de la mode en Afrique, le FIMA s’arrête en effet cette année à Dakhla, du 21 au 24 novembre 2018. Sur le thème « L’art et la culture, vecteurs d’intégration africaine », la manifestation promet de nombreux temps forts.

Au programme : des conférences, des ateliers, des expos-ventes de produits artisanaux et d’autres rencontres qui réuniront des acteurs culturels, des professionnels du tourisme, des artistes et des opérateurs économiques qui viendront des cinq continents.

Ainsi, dans le contexte de la coopération Sud-Sud, le FIMA offrira une plate-forme unique d’échanges sur le rôle de la culture en Afrique comme vecteur de développement, de paix, et levier d’intégration et de rapprochement des peuples.

La créativité artistique et culturelle du continent sera célébrée à travers une foule d’animations dont une nuit musicale dédiée à la mode en présence de vedettes nationales et internationales, un défilé panafricain, les concours des finalistes jeunes créateurs et top models mais aussi meilleur bijoutier, maroquinier, ou encore un défilé de grands créateurs avec personnalités africaines et d’ailleurs.

Le FIMA abritera aussi la première édition du salon Haské de la création et de l’innovation. Dédié aux professionnels de la mode, de la beauté et de l’art en Afrique, cet espace accueillera des marques et conférenciers férus de mode, de beauté et d’art. Destiné à mettre en lumière les acteurs professionnels qui feront la création africaine de demain (Haské signifie « lumière » en langue haoussa), le salon proposera également un espace BtoB autour de l’habillement, des accessoires, de la bijouterie et des cosmétiques.

Si le FIMA pose ses valises pour la première fois au Maroc, son histoire avec le royaume est ancienne. Dès 1998, le Maroc a appuyé les premières initiatives de la manifestation au Niger, dans le désert du Ténéré. Parmi les premiers pays africains à avoir compris la portée économique de l’événement et son rôle intégrateur, le royaume a soutenu cette année le FIMA en offrant du matériel et en mettant en place une rotation aérienne de plus de quatorze vols vers le Niger.

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