Les œuvres de Hassan Kouhen exposées à Almazar Art de Marrakech

Hassan Kouhen

Du 29/12/2017 au 5/01/2018

A travers cette exposition inédite, la galerie Almazar Art de Marrakech fête les quarante ans de peinture du plasticien Hassan Kouhen. Un artiste chevronné à mi-chemin entre la figuration et l’abstraction,  et sa gestuelle hautement symbolique où la vie est toujours présente. Furtive, incisive et juste, la touche de H. Kouhen nous introduit directement dans l’univers pictographique d’un plasticien qui donne libre cours à sa sensibilité. Le tout dans un rendu visuel attrayant où la vie est toujours présente. Sa passion : la peinture. Sa devise : la créativité et le sérieux. Et son terrain de jeu : la toile. Il s’agit d’un plasticien dont la fertilité intellectuelle se reflète dans la production picturale. Cette expérience, Hassan Kouhen  l’a partagée un peu partout depuis plus de quarante ans, aux Etats-Unis, au Maroc et aux quatre coins du monde, à travers plusieurs expositions et rencontres d’art.  

Natif de Fès, l’artiste qui vit et travaille à Lake Forest, en Californie, aux États-Unis, dévoile ainsi ses œuvres récentes inspirées de fragments et de symbolisme, plus gestuelles et moins formelles. Le roi de la couleur nous révèle une palette diversifiée avec des pictographies finement tracées, productions plus libres reposant sur l’emploi de signes, de symboles, de motifs géométriques riches en termes de plasticité et de picturalité. Et une synthèse d’expressions aussi proches que lointaines. Son œuvre révèle une audace picturale et une intensité stylistique originale.

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RAHALA-Quand le défi devient réalité !

Du 29 janvier au 28 mars 2018

Sous l’impulsion du roi Mohammed VI, l’engagement du Royaume au service du développement durable du Maroc, a pris de multiples formes. Le jeu d’aventure « Rahala » compte contribuer aux réformes en cours, en impliquant aussi bien les partenaires institutionnels que la société civile. Objectif de la saison 1: sensibiliser et fédérer les consciences. A l’issue de  cette première saison, quatre écoles primaires, situées en milieu rural dans quatre régions du Maroc seront réhabilitées.

Initiée par Olive Agency, développé avec l’aide de l’Association de Culture et des Arts, cette première saison est un jeu d’aventures qui repousse aussi bien les limites physiques des participants que leurs aptitudes intellectuelles. S’inscrivant aussi bien dans le spectaculaire que dans l’exploit en plus de la réflexion et l’instinct d’instigation, le jeu est un enchainement d’étapes dont les participants en devront sortir indemnes. Sport, dépassement de soi, culture générale, énigmes seront au rendez-vous sans oublier la redécouverte du patrimoine marocain. Car, c’est un jeu qui nous emmène aussi bien à la visite de nos plus belles villes qu’aux régions les plus reculées du Maroc. Un jeu de piste qui immerge chaque participant au cœur d’un mystère qui regorge de charades et de prouesses. S’articulant autour de la compétition inter-entreprise, les participants ont accepté de relever le défi et d’unir leurs valeurs entrepreneuriales. Youssef Boujlid, DG d’Olive Communication, explique les règles du jeu : « Rahala est un jeu d’aventures, un jeu de piste, une chasse au trésor géante qui dure deux mois. Les 30 équipes, composées de trois personnes chacune, doivent déchiffrer une énigme principale. Afin d’obtenir les indices, elles doivent franchir quatre étapes. Chaque étape dure deux semaines, composée de plusieurs épreuves. Ces épreuves font appel aux capacités physiques, psychologiques et intellectuelles des participants. L’équipe gagnante décrochera le gros lot: un voyage de rêve dans une destination de rêve à découvrir dans la première étape du jeu ».

Par ailleurs, des champions et aventuriers marocains, toutes disciplines confondues comme Hassan Baraka, Nadia Benbahtane, Lahcen Ahansal et Saad Abid parrainent les équipes dans cette nouvelle aventure en leur prodiguant soutien psychologique et motivation intérieure. En effet, Rahala a été pensée pour promouvoir des principes auxquels sont confrontées dans leur quotidien les entreprises participantes.

Rendez-vous donc du 29 janvier au 28 mars 2018 sur : http://ift.tt/2DretgK

 

 

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19è anniversaire de la disparition de feu SM le Roi Hassan II : Le Souverain préside une veillée religieuse

Le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, présidera, ce jeudi au Mausolée Mohammed V à Rabat, une veillée religieuse à l’occasion du 19è anniversaire de la disparition de feu SM le Roi Hassan II. Le communiqué du ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie, qui annonce cette veillée religieuse précise qu’elle sera diffusée en direct sur les ondes de la radio et à la télévision après la prière d’Al-Icha.

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Forum économique Maroc–Espagne : Pour créer de nouvelles chaînes de valeurs

A l’occasion de la visite du Roi d’Espagne au Maroc (prévue du 9 au 11 janvier 2018 ), un Forum Économique Maroc-Espagne est programmé le 10 janvier 2018 à partir de 14h00 au Hyatt Regency de Casablanca. Thème choisi pour cet événement dont le monde économique des deux pays attend beaucoup : « De nouvelles chaînes de valeurs pour une croissance partagée ».

Il est précisé dans le communiqué d’annonce de ce Forum qu’une importante délégation de 150 patrons espagnols y est attendue. Organisé en partenariat avec la Confederación Española de Organizaciones Empresariales (CEOE) et le Conseil Économique Maroc – Espagne (CEMAES), l’événement devra connaître la participation d’officiels de très haut niveau. Objectif tracé : identifier de nouvelles opportunités de coopération industrielle entre les entreprises des deux pays et explorer les pistes d’un développement partagé dans plusieurs domaines. On saura lesquels le jour du Forum.

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Pharma 5 démarre les travaux de son usine à Abidjan

Le groupe pharmaceutique Pharma 5 a lancé, le mercredi 27 décembre, en Côte d’Ivoire les travaux de sa première unité industrielle en Afrique en présence du Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly et de la Ministre en charge de la santé et de l’hygiène publique Raymonde Goudou Coffie. L’usine d’Abidjan qui s’étend sur 1,5 ha va nécessiter un investissement initial de 100 millions de dirhams et sera opérationnelle dès 2019.

Pharma 5 pourra produire en Côte d’Ivoire jusqu’à 100 millions de comprimés et 10 millions de sachets par an. L’usine va générer 200 emplois directs et 2.000 emplois indirects.

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Quatre nouveaux Boeing 787 Dreamliners pour RAM

La compagnie nationale confirme son ambition d’élargir sa flotte de 787 pour renforcer ses dessertes aériennes à travers le monde.

Boeing et Royal Air Maroc (RAM) annoncent aujourd’hui une commande pour quatre nouveaux avions 787-9 Dreamliners, évaluée à 1,1 milliard de dollars au prix catalogue. Les appareils permettront à la compagnie nationale marocaine d’étendre ses services, notamment à l’international.

La commande, précédemment répertoriée comme non identifiée sur le site des commandes et livraisons de Boeing, comprend deux 787 achetés en décembre 2016 et deux autres achetés ce mois-ci.

Royal Air Maroc, qui a déjà pris livraison de cinq 787-8, portera sa flotte de 787 à un total de neuf avions. Royal Air Maroc exploite les 787 sur les routes internationales de Casablanca vers l’Amérique du Nord, l’Amérique du Sud, le Moyen-Orient et l’Europe et prévoit de densifier le service à ces zones avec les avions supplémentaires.

« Aujourd’hui, Royal Air Maroc propose des vols directs vers 80 destinations internationales. Grâce à notre position géographique unique et à la qualité de notre service, nous transportons des clients du monde entier vers leurs destinations. Avec plus de 850 vols par mois vers l’Afrique, Royal Air Maroc est la compagnie aérienne qui dispose de la plus large présence sur le continent », a déclaré Abdelhamid Addou, Président de Royal Air Maroc. Il a également ajouté : « Notre vision est d’être la compagnie aérienne leader en Afrique en termes de qualité de service, de qualité des avions et de connectivité. Commander des avions de nouvelle génération tels que le Dreamliner met notre compagnie sur la bonne voie pour réaliser cette vision. »

 « Les commandes additionnelles de Royal Air Maroc sont une formidable reconnaissance de la performance économique, de l’efficacité énergétique et de l’expérience passagers inégalée du Dreamliner », a précisé Ihssane Mounir, Vice-président des ventes et du marketing monde de Boeing Commercial Airplanes.  « A travers l’expansion de la relation entre nos entreprises, qui remonte à près de 50 ans, Boeing est fier de soutenir les projets de croissance de Royal Air Maroc en Afrique et de relier davantage le Maroc au reste du monde. »

RAM : 60 ans déjà !

Royal Air Maroc célèbre cette année son 60ème anniversaire. Sa flotte comprend plus de 56 avions Boeing, comprenant les modèles 737, 767-300ER, 787 et 747-400. Le transporteur basé à Casablanca exploite un réseau domestique dans tout le Maroc et dessert plus de 80 destinations en Afrique, au Moyen-Orient, en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique du Sud.

Un avion de rêve

Le Boeing 787 Dreamliner est une famille d’avions ultra-efficaces avec de nouvelles caractéristiques pensées pour offrir aux passagers une expérience agréable. Le fuselage du 787-9 est allongé de 20 pieds (6 mètres) par rapport au 787-8 et peut transporter 290 passagers sur une distance allant jusqu’à 14 140 kilomètres dans une configuration typique à deux classes.

L’efficacité énergétique incomparable du 787, avec une réduction de la consommation de carburant et des émissions de carbone de 20% par rapport aux avions qu’il remplace, et la flexibilité de la gamme permettent aux transporteurs d’ouvrir de nouvelles routes plus rentables et d’optimiser les performances du réseau et de la flotte. Pour le confort des passagers, le Dreamliner propose de grandes fenêtres à opacité réglable, de grands bacs de rangement, un éclairage LED moderne, une humidité plus élevée en cabine, une altitude en cabine plus basse, un air plus pur et une conduite plus douce.

Boeing-RAM, un long parcours

Boeing est également un partenaire de longue date du Maroc dans le domaine de l’aéronautique, où l’entreprise soutient le développement de l’industrie et des ressources humaines qualifiées. A ce titre, Boeing a été l’une des premières grandes entreprises mondiales à investir dans l’aéronautique au Maroc, à travers MATIS Aerospace, une joint-venture avec le groupe Safran basée à Casablanca, qui emploie plus de 1 000 collaborateurs pour la fabrication de faisceaux de câbles pour Boeing et d’autres sociétés aérospatiales. MATIS Aerospace est un fournisseur de haute qualité, reconnu par le prix Boeing Performance Excellence Award.

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Retraite – La CIMR s’ouvre aux particuliers

En cette fin d’année, voici une bonne nouvelle pour les salariés du secteur public ou privé, les travailleurs indépendants, les commerçants et à toute personne exerçant une profession libérale : « Al Moustakbal Individuel ». C’est le nouveau produit que vient de lancer la CIMR et qui offre la possibilité de fixer son départ à la retraite à partir de 50 ans. Cerise sur le gâteau : le montant de la contribution mensuelle dépend du libre choix du cotisant, selon son objectif en termes de pension. L’autre faiclité offerte est que la cotisation est payée automatiquement par carte bancaire.

Tant attendu par de nombreux salariés, commerçants et par d’autres professionnels indépendants, « Al Moustakbal Individuel » n’aurait jamais été possible si la CIMR n’avait pas changé de statut pour devenir désormais une société mutuelle de retraite.

Comment adhérer ?

L’adhésion au produit « Al Moustakbal Individuel » se fait directement à travers une application accessible via le portail www.cimr.ma, donnant à l’adhérent accès à son compte personnel. Cette plateforme offre une panoplie de services. On peut y réaliser à tout moment des versements exceptionnels sans plafonnement, suspendre le prélèvement automatique de ses contributions forfaitaires, demander la restitution du prélèvement (délai de 7 jours à compter de la date de son exécution), sans avoir à justifier sa demande, demander à tout moment le report, la modification ou l’annulation du prochain prélèvement à exécuter ou encore modifier ses données personnelles ou coordonnées bancaires.

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Maroc-Niger : 16 accords signés pour raffermir les relations bilatérales

Rabat et Niamey sont déterminés à donner une très forte impulsion à leur partenariat. Avec en toile de fond, un demi-siècle de relations diplomatiques, les deux pays entendent inscrire leurs liens dans une dimension stratégique. C’est le constat qui se dégage de la tenue de la quatrième commission mixte tenure à Rabat, ce mardi 26 décembre. Cette réunion intervient après quelques années de stand-by. Désormais, les deux pays entendent propulser leurs relations, si particulières, dans le sens de la capitalisation de l’acquis historique, tout en optant pour la diversification. Joingant l’acte à la parole, les deux pays ont signé 16 nouveaux accords de coopération dans les domaines de la justice, le Tourisme, les services aériens, la formation professionnelle, etc.

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Ceremony Wedding à Marrakech !

Du 2 au 4 février 2018 à la Mamounia

Ceremony Wedding & Event Planners trade show a choisi la MAMOUNIA pour le déroulement de la 3e Edition du Salon du Mariage et des Grands Événements qui aura lieu du 2 au 4 février 2018. Une symbiose parfaite d’une adresse de Luxe et d’un événement d’Excellence.

Un choix de lieu idyllique pour un salon boutique premium inédit au Maroc. Un rendez-vous signé finesse et glamour qui vient en réponse à la demande des organisations de célébrations de haut de gamme et de renom pour Marocains et étrangers.

A travers le choix de ses partenaires, exposants et sponsors, CEREMONY se veut une vitrine de luxe synonyme de fascination. Un lieu unique dans son genre qui regroupe des marques  et des noms triés sur le volet à l’image de cet événement et de sa grandeur. Une véritable mise en valeur sans précédant de tous les exposants, tant par le choix du lieu que par l’attention accordée au moindre petit détail. De l’implantation des stands à la promotion, tout est pensé et mis en œuvre de sorte à créer une atmosphère empreinte d’harmonie et de féérie.

Tigmiza

Partenaire premium de CEREMONY, le TIGMIZA Suites & Pavillons 5*, niché au cœur de la Palmeraie de la ville ocre, demeure au fil des ans ce lieu où la quiétude de la nature, la beauté de l’architecture et le raffinement du cadre s’unissent harmonieusement pour offrir à ses hôtes et convives  un séjour  indéniablement inoubliable. La magnificence du lieu, lui confère une âme tout aussi vivante qu’ensorcelante.  6500 m² d’espaces atypiques et singuliers, chargés d’histoires enchanteresses contées en beauté pour éblouir et fasciner. Un lieu magique offrant des hébergements de charme, (suites, villas ou encore pavillons) et une vue imprenable sur l’Atlas et ses montagnes et non loin des souks de la médina.

D’espace en espace, vous changez d’ambiance, d’ère et d’époque pour un voyage exaltant aux quatre coins du monde… Le Tigmiza Suites & Pavillons 5*, une invitation à la découverte du Charme.

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Libre cours

Naïm Kamal

La guerre du PJD n’a pas eu lieu. Ce n’est que partie remise ? Sans doute. Toujours est-il que le congrès s’est terminé en beauté en départageant ses deux principaux courants par une presque égalité. L’écart entre le chef du gouvernement et ancien président du Conseil national du parti, Saâdeddine El Othmani, et son challenger, candidat

du charismatique Abdelilah Benkirane, Driss Idrissi El Azami, ne dépasse guère la centaine de voix. On peut donc avancer avec certitude que les deux principales composantes des islamistes du gouvernement s’équivalent et leur cohabitation a des chances d’être piquante sans être paralysante. En même temps on ne peut négliger les cinquante nuances de gris qui traversent les deux courants et leurs probables évolutions à venir.

Nul doute que les péjidistes ont su et pu, avec talent mais non sans piques et répliques, traverser les secousses qui les parcourent depuis que M. Benkirane a fait un blocage psychologique et égotique sur la participation des socialistes de Driss Lachgar au gouvernement, précipitant par là-même son limogeage par le Roi Mohammed VI du poste de chef du gouvernement désigné pour la formation d’une nouvelle coalition. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, M. Benkirane a bien essayé de se montrer grand seigneur, mais il avait de la peine à cacher sa tristesse de se voir débarqué de la tête du gouvernement, et surtout de constater le peu de solidarité dont a fait montre la majorité étriquée qui

a porté son rival de toujours, Saâdeddine El Othmani, à la tête du parti, confortant par la même occasion son leadership sur le gouvernement.

Dès son arrivée au poste de secrétaire général du gouvernement, Saâdeddine El Othmani a concocté un secrétariat général à sa mesure. Aucun de ses contestataires n’y figure. C’était largement suffisant pour que ceux-ci hurlent à la chasse aux sorcières. Le chef du gouvernement et désormais patron du parti ne l’a peut-être pas entendu ainsi. Pour bien mener ses affaires il avait besoin d’une équipe cohérente et un tant soit peu soudée pour ne pas le faire tituber à chaque étape de son action. A charge pour le conseil national que présidera son challenger et, faut-il le rappeler, candidat des benkiranistes, de se faire l’écho de la contestation et des critiques. Quant à la reddition des comptes, elle se fera à la fin de la mission ou à l’occasion d’une crise majeure.

Crise que Abdelilah Benkirane peut provoquer à tout moment en dépit de ses professions de foi sur sa volonté de préserver l’unité du parti. L’ancien secrétaire général n’est pas à terre. Tant s’en faut. Le congrès a certainement permis à chacun de compter ses forces. Mais outre que les lignes peuvent bouger et les alliances s’inverser au
gré des vents, M. Benkirane a, depuis le mouvement du 20 février, pris des couleurs, des reliefs et de l’ampleur. Son éviction du gouvernement puis sa mise en minorité toute relative lui ont ajouté l’image de la victime expiatoire à laquelle on a fait payer le prix de son courage politique. De sa grosse gueule, diront ses adversaires. Il n’en est devenu que plus audible auprès de certaines catégories de la population et de la base du PJD. Une force d’action, ou capacité de nuisance, dont il peut user.

 

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Le Maroc va accueillir la Conférence Internationale sur la Migration

Le Maroc a été désigné par l’Assemblée des Nations Unies pour abriter la Conférence Internationale sur la Migration prévue les 10 et 11 décembre 2018.

Approuvée dimanche dernier à New York, la résolution onusienne porte sur l’adoption du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières qui fera suite au Forum Mondial sur la Migration et le Développement, co-présidé par le Maroc et l’Allemagne les 6 et 7 décembre à Marrakech.

Cette double consécration traduit la reconnaissance du rôle pionnier du Maroc dans la gestion migratoire à travers l’impulsion du Roi Mohammed VI qui a été désigné par les chefs d’Etat africains comme le leader de l’Union Africaine sur les questions de la migration.

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La Fringale By Aladdin

Une cuisine authentique, goûteuse et généreuse ! Le restaurant La Fringale by Aladdin vient d’ouvrir ses portes en plein centre de Casablanca.

Aladdin se lance sur un nouveau créneau de restauration rapide. La Fringale est un nouveau concept, un lieu unique où la cuisine, l’architecture, l’ambiance, se mêlent harmonieusement et trouvent un équilibre parfait à la croisée entre urbain et chic.

Situé au boulevard d’Anfa en plein centre de Casablanca, tout dans son moindre détail a été pensé pour accompagner le savoir-faire des restaurants Aladdin et magnifier une cuisine gourmande et rapide, tout en offrant un confort optimal pour la clientèle. Cela va du service voiturier à la dizaine de professionnels qui sont là pour servir irréprochablement la clientèle.

Après une rencontre avec un chef Libanais en 1995, Aladdin a vu le jour à Casablanca tel que nous le connaissons aujourd’hui, une cuisine rapide venue tout droit d’Orient. En 1997, Aladdin brochettes est né, inspiré de la cuisine marocaine fast-food. Aujourd’hui avec ce nouveau concept, La Fringale by Aladdin se positionne toujours dans la cuisine rapide mais inspirée des cantines.

C’est une expérience unique, une invitation au voyage, pensée pour les 5 sens. Les assiettes sont gourmandes, goûteuses et généreuses. Plusieurs mois de création ont été nécessaires pour choisir, débattre, réfléchir et imaginer les recettes dégustées dans ce lieu unique. Une cuisine dont la touche est cette recherche constante de justesse, de précision et d’essentiel.

L’adresse est aussi une adresse incontournable pour tous les épicuriens en quête d’authentique. Des plats qui reflètent l’enthousiasme, le professionnalisme et la belle énergie d’une brigade de passionnée.

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GLAM’S MAKE UP ouvre sa première boutique au Maroc

La marque de maquillage et d’onglerie Made in Italy vient d’ouvrir sa première boutique à Rabat. Conçue par Hoda, Dina et Imane, les trois sœurs Ghandour héritières d’une famille pionnière dans l’univers de la cosmétique depuis quarante ans, GLAM’S MAKE UP est le fruit d’une histoire exceptionnelle et d’une ambition partagée : bâtir une marque de qualité internationale qui révèle le glamour de chaque femme, quel que soit son type de beauté.

C’est en Italie, le pays qui a fait naître en elles le goût de la mode, que les soeurs Ghandour ont décidé en 2013 de collaborer avec les plus grands spécialistes européens pour lancer leur propre gamme de vernis.

Dès le début, la marque fait un choix responsable : les formules aux composants nocifs sont éliminées et celles enrichies en vitamines sont favorisées. Chaque nuance de couleur est étudiée et toutes les textures sont testées. Sitôt commercialisé, le premier vernis à ongles de la marque se révèle un succès. La réussite est également au rendez-vous avec la première gamme de maquillage de la marque, qui tombe rapidement en rupture de stock.

Rapidement, l’enseigne élargit ses gammes en proposant des produits pour les ongles, le visage, les yeux et les lèvres. De plus en plus nombreuses, les clientes plébiscitent ses produits de maquillage adaptés à tous les climats, notamment : le fond de teint Full Fluid qui propose tout ce que recherche les femmes : une couvrance idéale sans effet desséchant et qui permet d’avoir un fini mat et sans brillance ; le contouring, qui inclut tous les must have de cette nouvelle tendance qui permet de sculpter les contours de votre visage ; pour les lèvres, des textures matifiante, semi-matifiante, hydratante et glossy avec toutes les couleurs du moment ainsi qu’un mascara Make It Wow présentant un applicateur double usage qui s’utilise pour un maquillage du plus léger au plus intense.

En plus de sélectionner minutieusement les textures de ses produits, la marque choisit ses couleurs pour qu’elles conviennent à toutes les couleurs de peaux, des plus foncées aux plus claires. Ses packagings sont également chics et sobres, et ses produits vendus à des prix accessibles !

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La police des eaux est enfin opérationnelle

Après de longues années d’attente, la police des eaux sera finalement opérationnelle en 2018 et ceci sur l’ensemble du territoire marocain.

Une équipe de 200 agents formés aux nouvelles techniques et dotés des moyens matériels et judiciaires pour mettre fin aux différents abus ciblant les ressources en eau dans notre pays : c’est la mission première de la Police des eaux.

Lors d’une journée d’étude organisée par le Secrétariat d’Etat Chargé de l’Eau le 20 décembre à Rabat, Charafate Afilal, Secrétaire d’Etat chargé de l’eau, a profité de l’occasion pour rappeler le rôle et les missions de la «Police des Eaux ». «Cette police spéciale et spécialisée est en effet un mécanisme légal au service des usagers du domaine public hydraulique et au profit de la préservation des ressources en eau», explique la responsable en marge de cette rencontre.
Opérant à travers 10 agences de bassins hydrauliques, les équipes de la police des eaux couvriront des périmètres régionaux précis sous la tutelle de ces agences. «La création de l’organe de « la Police de Eaux » est principalement motivée par la nécessité de garantir pour tous le droit d’accès à l’eau et le droit de vivre dans un environnement sain avec justice et équité. Il s’agit également d’assurer la bonne gouvernance dans la gestion des ressources en eau en veillant aux respect des principes de participation, de concertation, de gestion intégrée et décentralisée ainsi que la consolidation de la solidarité spatiale et de la protection du milieu naturel tout en visant la consécration de l’exploitation durable des ressources en eau», rajoute Afilal. Toujours dans cette optique de conservation et de protection du domaine public hydrique déjà malmené par les aléas climatiques, 200 agents vont parcourir le territoire pour traquer toute utilisation illégale d’eau.
En application des termes de la nouvelle loi 36-15, cette police aura accès à tout ouvrage hydraulique (de particuliers ou de personnes morales). Puits, forages, installations d’utilisation ou d’exploitation du domaine public … tout y passe sous l’œil vigilant de la police des eaux. Cette dernière a le droit d’émettre des contraventions, suspendre les travaux et procéder à des saisies de matériels de détournement des eaux. En collaboration avec l’institution judiciaire, les agents procèderont à des contrôles et des constatations quand des infractions seront commises dans le domaine public hydraulique que ça soit des puits, forages, canaux d’irrigation, séguias, digues, barrages, cours d’eau naturels ou artificiels ou plans d’eau naturels.
A noter que le premier Dahir consacré au contrôle de l’utilisation des ressources hydriques date de 1925. La police des eaux, quant à elle, a été créée en 1995. Elle n’a jamais été opérationnelle par de manque de moyens humains, matériels et judiciaires adaptés aux infractions. Un état des lieux qui va changer en aout 2016, lorsque la loi 36-15 a été adoptée définitivement. Cette dernière comprend 163 dispositions. «Nous sommes en train d’élaborer les textes d’application de la loi 36-15 émise en 2016, notamment le décret régissant la police des eaux pour que ce système ait plus de soutien», conclut Afilal.
Rappelons que le Maroc dispose de sources naturelles limitées ne dépassant pas 29 milliards m3 constituées à 30% d’Eaux souterraines et 70% d’eaux superficielles.

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Les abus du PJD à la Chambre des Conseillers

Un scandale révélé par le porte-parole de la famille de Issa Aït El Jid, l’étudiant assassiné, le 25 février 1993, par des étudiants islamistes du parti Justice et développement. Le groupe parlementaire du parti islamiste à la Chambre des Conseillers aurait publié un manifeste de soutien à un des accusés de cet assassinat, Abdelali Hamieddine, membre de la Chambre.

Or le groupe parlementaire a rédigé son soutien sur un papier à en-tête de la deuxième chambre du Parlement. Un en-tête au nom du Royaume du Maroc, Parlement, Chambre des Conseillers, avec la couronne entourée des deux lions. Pour le porte-parole de la famille Aït El Jid, il s’agit d’un subterfuge pour induire les citoyens en erreur, dans la mesure où il suggère que l’Etat marocain dans son ensemble est du côté de l’accusé.

De fait, les conseillers ont-ils le droit d’utiliser les moyens du Parlement dans une affaire qui n’entre pas dans les prérogatives de l’institution ? Le porte-parole a annoncé qu’il entamerait une action en justice.

Le 25 février 1993, un groupe d’étudiants du mouvement Réforme et renouveau, l’actuel PJD, et d’Al adl wal ihsan, avait extrait deux étudiants du taxis qu’ils avaient pris et les avaient tabassés, tuant l’un d’entre eux, Issa Aït El JId.​

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La Banque Populaire lance la 2e édition du Forum de la Micro-entreprise à Oujda

Après le succès de la 1ère édition à Marrakech, le Groupe Banque Populaire, accompagnateur historique de la TPE à l’échelle des régions, a organisé, le vendredi 22 décembre à Oujda, le 2ème Forum régional de la micro-entreprise, sous le thème « La micro-entreprise, une passerelle vers la TPE ».

Au terme de cet événement, un jury composé d’experts a décerné plusieurs prix aux micro-entrepreneurs les plus méritants.

Pour réussir cette initiative à l’adresse des entrepreneurs régionaux, le Groupe Banque Populaire, fort de la synergie de ses entités et lignes métiers spécialisées, a mis en place un dispositif d’accompagnement adapté à chaque projet entrepreneurial.

A l’instar de la précédente édition, organisée à Marrakech en janvier 2017, la Fondation Banque Populaire accompagne les micro-entreprises dans leur processus de transition vers la TPE à travers un suivi rapproché durant tout le cycle de création d’entreprise, voire au-delà. Pour sa part, Attawfiq Micro-Finance assure aussi bien le volet financement que l’accompagnement post création pour la commercialisation des produits et le développement de leurs activités. Enfin, la Banque Populaire d’Oujda, qui contribue à hauteur de 60% au financement de l’économie régionale, soutient, à partir d’un certain seuil de maturité, le potentiel de croissance desdites entreprises.

Lors de cette seconde édition, le Groupe Banque Populaire a réuni les principaux acteurs de l’écosystème régional et national (CRI, Maroc-PME, ANAPEC, Chambre de Commerce, Centre Mohammed VI pour la Micro-Finance, CGEM…), à même de contribuer au succès de la mutation de la mircro-entreprise et de renforcer, in fine, le tissu économique de la région. Une centaine de micro-entrepreneurs régionaux, ont, à cet effet, participé à ce Forum.

Ce positionnement de pionnier en termes d’accompagnement du rayonnement économique de la région, conforte, de surcroît, la stratégie de proximité prônée par le Groupe Banque Populaire, aussi bien à l’échelle nationale qu’au niveau régional. Une vision taillée sur mesure aux spécificités et nouvelles prérogatives de la régionalisation avancée, à même d’opérer l’amorçage de la stratégie nationale de développement de la TPE.

Les forums régionaux de la Banque Populaire dédiés à la Micro-entreprise, sont organisés conjointement par la Fondation Banque Populaire, la Fondation Attawfiq Micro-Finance et les Banques Populaires Régionales (BPR). Ils visent, d’une part, à soutenir les micro-entrepreneurs dans leur transition vers des structures plus formelles, essentiellement, la TPE, et d’autre part, à promouvoir le statut de l’auto-entrepreneur à l’échelle nationale.

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Lettre Royale à l’émir du Koweït

Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita, et celui de l’Économie et des finances, Mohamed Boussaid, ont été reçus ce lundi par Cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah.

L’agence nationale de presse koweïtienne Kuna, qui donne cette information précise qu’au cours de cette rencontre, Bourrita a remis à l’émir du Koweït lettre du Roi Mohammed VI. Dans sa missive, le roi du Maroc a abordé les moyens de renforcer les relations bilatérales dans tous les domaines, ainsi que des sujets d’intérêt commun, selon la même source.

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MRE, défenseurs du Sahara marocain

Signature de l’accord de formation et de qualification

Abdelkrim BENOUTIQ, Ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, chargé des Marocains résidant à l’étranger et des Affaires de la Migration, accompagné par Mr Abdellah Boussouf, Secrétaire Général du Conseil de la Communauté marocaine à l’étranger (CCME) ont procédé à la signature d’une Convention de Partenariat, le vendredi 22 décembre 2017 à l’Univesité Al Akhawayn à Ifrane, portant sur le formation et la qualification des marocains du monde à plaider la cause du Sahara marocain.

A travers cette convention, signée en marge de l’organisation de l’Université d’hiver à AL AKHAWAYN, le Ministère Délégué et le CCME collaboreront à la préparation et à l’exécution d’un programme de travail relatif à la formation et à la qualification des potentialités de la communauté marocaine résidante à l’étranger pour plaider sur la question du Sahara marocain. les marocains du monde ont toujours montré une implication exceptionnelle et un engagement nationale exemplaire sur la question du Sahara marocain et défendu l’intégrité territoriale du Royaume.

Ce programme de qualification, dont le lancement est prévu en 2018, ambitionne d’outiller les Marocains du monde avec de les connaissances scientifiques et les supports nécessaires sur ce dossier.

Une application smartphone (Sahara.Maroc) et un guide de formation en français, anglais, arabe et en espagnol ont été réalisés à cet effet. Le contenu comprend quatre axes essentiels à savoir, l’histoire de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, les atouts géographiques, culturels, sociaux …de la région, les organisations internationales concernées et les initiatives prises sur ce dossier.

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Le Roi Mohammed VI écrit au Roi Salmane Ibn Abdelaziz Al-Saoud

Nasser Bourita et Mohamed Boussaid, respectivement ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale et ministre de l’Economie et des Finances ont remis un message écrit du Roi Mohammed VI au Souverain saoudien.

Le Serviteur des deux Lieux Saints de l’Islam, le Roi Salmane Ibn Abdelaziz Al-Saoud a reçu, hier (dimanche 24 décembre 2017) à Riyad, Nasser Bourita et Mohamed Boussaid, respectivement ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale et ministre de l’Economie et des Finances, qui lui ont remis un message écrit du Roi Mohammed VI.

En donnant cette information, l’Agence de presse saoudienne SPA rapporte qu’après avoir reçu le message royal, le Souverain saoudien a chargé les deux ministres de transmettre ses salutations au Roi Mohammed VI.

Cette audience s’est déroulé en présence du Prince Abdelaziz Ben Saoud Ben Nayef Ben Abdelaziz, ministre de l’Intérieur, du ministre d’Etat et membre du conseil des ministres, chef du cabinet royal, Khalid Ben Abderrahmane Al Issa et du ministre des Affaires étrangères, Adil Ben Ahmed Al Jubair.

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BCP accompagne la lutte contre le cancer en Côte d’Ivoire

La Banque Centrale Populaire va accompagner le ministère ivoirien de la santé publique et de l’hygiène dans le renforcement des dispositifs de lutte contre le cancer à travers la sensibilisation, le suivi et le dépistage des cancers.

Ainsi la Banque Atlantique, filiale ivoirienne du groupe marocain va soutenir le gouvernement dans l’équipement de 2 centres de traitement du cancer et la formation des 50 médecins qui exercent dans ces centres.

La Côte d’Ivoire enregistre un taux de mortalité lié au cancer de 68% avec 12.000 nouveaux cas décelés chaque année.

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Hassan Bargach, nouveau président du CRT de Rabat-Salé-Kénitra

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L’assemblée générale du Conseil régional du Tourisme (CRT) de Rabat-Salé-Kénitra a élu, jeudi à Rabat, Hassan Bargach, nouveau président du conseil.

L’assemblée, qui s’est tenue en présence du Wali de la région de Rabat-Salé-Kénitra, gouverneur de la préfecture de Rabat, Mohamed Mhidia, a élu à l’unanimité Hassan Bargach à la tête du CRT et procédé également à l’adoption des rapports moral et financier.

Le nouveau président du Conseil a indiqué que « la région Rabat-Salé-Kénitra doit être positionnée comme une destination touristique phare dans le Royaume », insistant sur la nécessité d’impliquer l’ensemble des partenaires régionaux autour de ce projet.

« Ces ambitions sont réalistes et légitimes eu égard au fort potentiel dont dispose la région et qui demeure très peu connu au niveau international », a souligné Bargach, ajoutant que « le grand défi est de permettre à la région d’être dans les radars des tours opérateurs internationaux et de développer la notoriété de la ville de Rabat, à travers les réseaux sociaux et l’ensemble des outils de communication ».

Bargach a ajouté que la région doit profiter de la proximité des capitales européennes, dont Paris, Madrid et Londres, pour drainer plus de touristes européens, tout en ciblant d’autres marchés comme la Chine, l’Inde, le Brésil et l’Afrique.

Après l’adoption des rapports moral et financier par les membres du CRT, le nouveau président a affiché, dans une allocution circonstance, les ambitions du Conseil, en présentant une première esquisse d’un plan d’action pour positionner la région Rabat-Salé-Kénitra comme destination touristique, conformément à une approche consensuelle, avec le soutien des élus locaux.

Par ailleurs, le nouveau directeur a mis en exergue les atouts touristiques de la ville de Rabat, notamment d’excellentes infrastructures, une bonne accessibilité nationale, un climat tempéré toute l’année, un patrimoine culturel et naturel authentique riche et diversifié.

Il a toutefois relevé certaines faiblesses au niveau de la région, notamment une capacité hôtelières très limitée, un littoral délaissé, un patrimoine culturel peu valorisé et un marketing quasi inexistant de la destination. Le directeur ambitionne de faire émerger la ville de Rabat comme destination « City Break », qui est une nouvelle tendance du tourisme de courte durée, et de la doter d’une marque comme la ville de Casablanca.

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Aménagement du territoire: Le Roi Mohammed VI appelle à l’élaboration d’une vision commune

Le Roi Mohammed VI a appelé, jeudi 21 décembre 2017, à l’élaboration d’une « vision commune » autour d’un système intégré d’aménagement du territoire, qui aura pour finalité de rationaliser l’exploitation du territoire et la gestion des ressources disponibles.

Ce système aidera aussi à renforcer la capacité de ces territoires à s’adapter aux différentes transformations économiques, sociales, environnementales et technologiques et contribuera à réduire le fossé séparant espaces urbains, quartiers périphériques et zones rurales, a indiqué le Souverain dans un message adressé aux participants à la 2ème édition du Forum ministériel arabe sur le logement et le développement urbain, dont lecture a été donnée par le Conseiller du Roi Mohammed VI, Abdellatif Mennouni.

Dans le message adressé à ce forum organisé à Rabat sous le thème « Mise en œuvre du nouvel Agenda urbain dans la région arabe », le Souverain a également souligné l’importance d’asseoir les bases d’un urbanisme qui « tienne compte des identités et des spécificités locales » et de réfléchir à l’adoption de mécanismes inédits et innovants, permettant la conception d’un nouveau système urbain « propre à assurer une bonne qualité de vie au profit de nos citoyens ».

Outre la fourniture aux populations de logements décents pour préserver leur dignité, le Souverain a jugé nécessaire de mettre en place, à leur bénéfice, un environnement propre adapté aux exigences de la croissance économique et d’élaborer des plans d’urbanisme intelligents, qui « font de l’élément humain leur raison d’être et leur finalité ».

SM le Roi a également mis l’accent sur la nécessité d’engager les réformes institutionnelles nécessaires en conférant aux régions, aux instances décentralisées, aux initiatives citoyennes des prérogatives leur permettant de jouer « un rôle plus actif » pour que les politiques publiques soient plus à même de satisfaire les besoins et les attentes des citoyens.

« Nous tenons à souligner que la durabilité de nos métropoles passe par la mobilisation des énergies et des expertises nécessaires pour leur permettre de faire face aux changements climatiques, d’optimiser la gestion des risques inhérents aux catastrophes naturelles et d’apporter des solutions aux problématiques liées à une planification durable et au système de gouvernance urbaine », a-t-il relevé.

Le Roi Mohammed VI a, à cette occasion, invité à intensifier les efforts visant à renforcer les liens de coopération et à favoriser l’échange d’expertises et d’expériences au sein du monde arabe, vu que les pays arabes ont les mêmes préoccupations, font face à des défis similaires et « envisagent l’avenir dans une même optique ».

Le Souverain a estimé que les centres urbains doivent être « un espace d’inclusion et d’engagement citoyen », aspirant à voir émerger des villes vertes: « des cités qui stimulent la créativité des individus, développent leur sens civique, instillent en eux les valeurs de tolérance et de coopération ».

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L’Université d’hiver pour les jeunes MRE s’ouvre à Ifrane

Le Ministère délégué Chargé des Marocains Résidant à l’Etranger et des Affaires de la Migration, en partenariat avec le Secrétariat d’Etat Chargé de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et l’Université Al Akhawayn, organise, l’université d’Hiver au profit d’une centaine de jeunes MRE sous le thème du Vivre Ensemble,  les 21-22-23 décembre à Ifrane.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un nouveau programme culturel lancé par le Ministère envers les jeunes MRE. Partant de l’expérience des universités d’été, développée par le ministère depuis 2009, ce nouveau programme se veut novateur dans le sens où il permettra de couvrir un plus grand nombre de jeunes MRE sur différentes périodes de l’année.

Ainsi, le Programme des Université Saisonnières s’étalera sur cinq (5) sessions : université d’automne,université d’hiver, université de printemps et deux universités d’été.Ceci permettra, à terme, de porter le nombre des bénéficiaires de 260 à plus de 500 jeunes par an. Ce programme sera réalisé avec le concours de plusieurs universités marocaines. A ce titre, une convention cadre sera signée entre les deux ministères, Le Ministère délégué Chargé des Marocains Résidant à l’Etranger et des Affaires de la Migration et le Secrétariat d’Etat Chargé de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, à l’occasion du lancement officiel de l’université d’Hiver à Ifrane ce jeudi 21 décembre.

 

Participeront à cette édition une centaine de jeunes marocains du monde, sélectionnés sur la base de leur parcours estudiantin exemplaire, âgés de 18 à 25 ans, dont 66% de genre féminin, en provenance de différents pays de résidence à travers le monde. Y prendront également part des étudiants marocains et étrangers poursuivant leurs études supérieures au Maroc. Le but étant de favoriser davantage le partage des expériences et l’échange interculturel. Durant trois jours, ces jeunes étudiants seront conviés à participer à des conférences et débats animés par d’éminentes personnalités, chercheurs et experts marocains, mettant en exergue le vivre ensemble.

Plusieurs thématiques seront abordées:

• Le concept du Vivre ensembledans le contexte religieux, politique et social tant dans les pays d’origine que dans les pays d’accueil.
• L’inter-culturalitéet le rôle du Maroc en tant que terre de dialogue et d’accueil favorisant le vivre ensemble.
• Le rôle de la jeunesse dans le renforcement de l’image du Maroc et des marocains résidant à l’étranger : success stories de jeunes ayant eu un impact positif sur le vivre ensemble.

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Migrations, Le sens des réalités

Ahmed Charaï

Emmanuel Macron et son gouvernement déclinent un programme vis-à-vis des phénomènes migratoires, dur selon les uns, intenable selon les autres, droitier, pur humaniste, selon les extrêmes. Pourtant, ces positions sont celles de tous les gouvernements français depuis quinze ans, sans application réelle, il est vrai. Le Président français dit, ceux qui fuient une guerre civile ou un régime dictatorial doivent pouvoir trouver refuge, sont éligibles à l’asile en France. Les migrants économiques doivent être raccompagnés chez eux, parce que la France n’a pas de projet digne à leur proposer, quand on sait que le taux de chômage avoisine les 10% et que les prestations sociales ne sont plus assumées par le budget de l’Etat. La question migratoire ne peut plus être otage de positions morales. Elle est déstabilisatrice des deux bords. Angela Merkel s’est montrée très «généreuse» parce que la population de l’Allemagne est vieillissante. Elle l’a regretté, y compris électoralement. Les risques climatiques, les conflits récurrents, continueront à renforcer le flux migratoire. Or celui-ci ne peut être absorbé par le pays d’accueil, non pas par manque de générosité, mais par réalité économique, et, de manière subsidiaire, par réticence culturelle. Des pays africains, auparavant pays de parcours, se retrouvent face à la même problématique. Le Maroc en est un. Nous essayons d’accueillir au mieux les migrants de l’Afrique subsaharienne qui s’arrêtent chez nous. On voit bien que cela crée des tensions et nécessite des moyens dont nous ne disposons pas. Cette problématique ne peut pas être traitée par des mesures à court terme. Il faut inciter les gens à rester chez eux, en leur y offrant un avenir. Cela passe par la recherche de la paix, chaque fois qu’on peut y parvenir et surtout une véritable politique de co-développement, créant des emplois, de la richesse, sur place. Ce choix doit se matérialiser par des politiques fortes et non pas des énoncés de principe, dirigés davantage vers une consommation médiatique que vers une action réelle. Nous savons tous que la pression démographique en Afrique est extraordinaire. Dans vingt ans, le quart des jeunes humains sera en Afrique. Si l’on veut éviter une déferlante en Europe, il faudra leur proposer un avenir chez eux. C’est possible, si sur les problèmes de paix, de stabilité, les interventions étrangères sont plus subtiles, tiennent compte des réalités locales et fixent des règles intangibles. Or, ce n’est pas le cas, les positions varient en fonction des intérêts matériels immédiats. Le co-développement ne peut plus se résumer à l’utilisation des matières premières du sous-sol africain. Il faut aider à la valorisation sur place, à la construction des infrastructures, à l’Education, à l’établissement de vrais systèmes sanitaires. Ce n’est qu’ainsi qu’on pourra arrêter les flux migratoires vers les pays du Nord. Les politiques dites dures n’empêcheront rien. Elles constitueront juste un sujet de débat national.

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Mode-« WINTER IS BEAUTIFUL IN MARRAKECH ! »

Cette fin d’année s’annonce exceptionnelle à Marrakech ! Sous le signe de la mode et du sublime, le duo de créatrices mère-fille Fouzia Naciri et Rim Biaz présenteront samedi 30 décembre, au Radisson Blu Hotel Marrakech Carré Eden, un défilé exceptionnel au cours duquel les deux grandes stylistes marocaines, mère et fille, proposeront leurs regards croisés et complices dans la vie… et pour la première fois sur les podiums !

Dans le superbe écrin du Radisson Blu, le spectacle célébrera la mode avec une mise en scène surprenante et magique qui marquera les esprits ! Inspiré des grands duos mère-fille qui font l’actualité de la mode, le défilé de Fouzia Naciri et Rim Biaz mettra ainsi à l’honneur la Ville Ocre sur le thème : «Winter is beautiful in Marrakech.»

Fouzia Naciri

Au programme : des robes de gala d’inspiration européenne avec une touche marocaine qui subliment la beauté féminine, mais aussi des caftans sublimes qui expriment un savoir-faire ancestral imprégné de la plus séduisante modernité !

Le défilé conjuguera ainsi le meilleur des styles du Maroc, de France et d’ailleurs pour un défilé unique où les maîtres-mots seront l’harmonie, le chic et l’élégance intemporelle.

Rim Biaz

 

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KRARE ouvre ses portes à Casablanca !

C’est au coeur de ville blanche, sur le boulevard d’Anfa, que KRARE HAUTE JOAILLERIE ouvre son écrin pour le plus grand bonheur des amateurs de haute joaillerie.

L’ouverture de cette boutique s’inscrit dans le désir de la propriétaire Soumia Maalal Bennani de réaffirmer son attachement particulier au « beau ». En effet, baignée dès sa plus tendre enfance dans le monde de la joaillerie, Soumia, dont le père est bijoutier a d’abord fui cet héritage avant de se laisser guider par ses envies et revenir aux racines même de son éducation. C’est après des études de gemmologie à Anvers qu’elle décide de réaliser son rêve en ouvrant sa propre boutique.

La nouvelle bijouterie est l’aboutissement de nombreuses années de travail et propose des bijoux au design étudié qui allie raffinement et modernité pour des parures uniques. L’enseigne réunit beauté des pierres, travail méticuleux et raffinement pour un voyage dans le monde l’exquis et du précieux.

C’est dans une atmosphère où le luxe se découvre avec étonnement que la magie opère grâce à une certaine alchimie d’ambiance et de matière, de couleurs et de lumières. Le souci du détail déployé dans une boutique où les jeux de lumières ainsi que le mélange de matière est au centre de la décoration.

KRARE HAUTE JOAILLERIE, est la boutique où les bijoux proposés et créés à la demande seront résolument contemporains, luxueux et raffinés. Une adresse que nul ne sera en mesure d’oublier et qui ravira la plus exigeante des clientèles.

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Infrastructures : Le Maroc et le Gabon renforcent leur partenariat

Le Maroc et le Gabon préparent une feuille de route et une plateforme qui permettront d’asseoir une nouvelle coopération plus dynamique dans le secteur du transport.

En visite de travail au Maroc, le ministre d’État, ministre des infrastructures, des travaux publics et de l’aménagement du territoire du Gabon, Jean Pierre Oyiba, a affirmé, lundi 18 décembre, lors d’un entretien avec le secrétaire d’État chargé du Transport, Mohamed Najib Boulif, que le Gabon souhaite tirer profit de l’expérience du Maroc dans les infrastructures à l’exemple de Tanger Med.

Pour concrétiser les accords bilatéraux dans le transport et les infrastructures, les 2 responsables ont convenu de créer une commission technique chargée de suivre la mise en œuvre des projets et des conventions.

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États-Unis – Palestine : Trump saute le pas

Mireille Duteil

Que cherche Donald Trump ? Pourquoi le président américain, en reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël, prend-il le risque de susciter une explosion de colère au Proche-Orient ?
Al-Qods est de la dynamite. La visite d’Ariel Sharon, le chef du Likoud, en septembre 2000, sur l’Esplanade des Mosquées, avait déclenché la seconde intifada ; en juillet 2016, c’est l’installation de portiques de sécurité devant la mosquée Al-Aqsa, qui avait provoqué des manifestations spontanées de jeunes Palestiniens jusqu’à ce qu’ils obtiennent leur retrait.
Récemment, alors que le désespoir est profond en Palestine face à l’absence de perspectives d’un règlement politique, Trump joue les pyromanes. Car, de fait, en installant son ambassade à Jérusalem – les États-Unis seraient le premier pays à le faire – le chef de la Maison Blanche remet en question le statut de la Ville sainte qui doit faire l’objet d’un règlement négocié entre
Palestiniens et Israéliens. Ceux-ci ont déjà annexé la partie ouest de la ville, grignote chaque jour un peu plus l’Est de la Ville sainte et veulent en faire la capitale indivisible du seul Israël. Trump fait donc fi des résolutions d’une ONU qu’il rejette. Inadmissible. Mahmoud Abbas, mais aussi Al-Sissi, les rois Abdallah de Jordanie et Ben Salman d‘Arabie Saoudite, le Roi du Maroc, président du Comité Al Qods, l’ont mis en garde, « C’est la ligne rouge à ne pas dépasser », a tonné le président turc. « Les portes de l’enfer s’ouvriront contre l’Occident dès l’annonce de ce transfert », a prédit le cheikh d’Al-Azhar qui craint que cette décision ne fournisse un nouveau combustible, très inflammable, aux djihadistes et autres extrémistes.
Aussi imprévisible qu’il soit, Donald Trump ne peut ignorer qu’il joue avec le feu. Et met un point final à la relance des négociations de paix confiée à son gendre. Pour les uns, les optimistes, le président américain, face au blocage des relations israélo-palestiniennes, voudrait, par ce coup d’éclat, faire bouger les lignes et relancer des pourparlers entre les protagonistes.
En fait, Trump, comme la plupart de ses pairs, a une priorité : la politique intérieure. Il sait que tous les six mois, comme ses prédécesseurs depuis 1995, il doit renouveler une clause dérogatoire à une loi votée par le Congrès – c’était sous Bill Clinton – qui prévoit le transfert de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem. Tous les chefs d’État américain l’ont régulièrement voté.
Trump a hésité en juin dernier. Mais à la veille du premier anniversaire de son mandat, il sait qu’il a besoin de resserrer les rangs de ses fidèles. Il veut tenir cette promesse électorale et remotiver ainsi sa base de la droite républicaine si la justice lui cherche demain des noises dans l’enquête russe. Or, son électorat le plus à droite, des protestants fondamentalistes, les « sionistes chrétiens », estiment que le Christ ne pourra revenir sur terre tant que Jérusalem ne sera pas la capitale d’Israël. Ces fondamentalistes ne sont pas très nombreux, mais ils sont une force d’appoint électorale non négligeable. Et Trump fait feu de tout bois.

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AWB pose son Club Afrique Développement au Gabon

Le Club Afrique Développement a tenu, les 13 et 14 décembre, sa 6e mission multisectorielle à Libreville axée sur la promotion de l’investissement au Gabon. Initiée par le groupe Attijariwafa Bank, la plateforme de Networking a rassemblé les membres du club avec plus de 200 rendez-vous B2B et a mené une visite à la Zone franche à régime privilégié de Nkok selon la directrice du Club Afrique Développement, Mouna Kadiri.

La conférence sur les opportunités d’investissement au Gabon s’est penchée sur le renforcement des partenariats public-privé et a vu la participation de la ministre en charge de la Promotion des Investissements Privés, Madeleine Berre.

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Le CHU Mohammed VI de Marrakech accompagne l’Etat du Plateau au Nigeria

Le centre hospitalier et universitaire Mohammed VI de Marrakech va apporter son assistance et son expertise à l’Etat du Plateau au Nigeria. Une délégation du CHU a effectué, la semaine dernière, une visite de travail auprès de plusieurs structures hospitalières de l’Etat du Plateau, suivie d’une réunion de travail avec le directeur régional du ministère nigérian de la santé.

Le CHU Mohammed VI va donc accompagner le Nigeria à travers une assistance technique pour l’établissement du 1er Centre de Chirurgie Cardiovasculaire, et une assistance par la formation, la supervision et le suivi de la création de la 1ère unité de chirurgie d’oto-rhino-laryngologie.

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La CEDEAO reporte l’adhésion du Maroc

L’adhésion du Maroc à la CEDEAO a été reportée durant le Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement qui s’est tenu samedi 16 décembre à Abuja au Nigeria.

Selon le communiqué final du Sommet, un comité composé des présidents togolais, ivoirien, ghanéen, guinéen et nigérian a été mis en place pour adopter les termes de références et superviser l’étude approfondie des implications de cette adhésion.

Durant cette rencontre, les Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO ont désigné l’ivoirien Jean Claude Brou comme nouveau Président de la Commission de la CEDEAO en remplacement du béninois Marcel de Souza. Actuellement ministre de l’industrie et des mines de la Côte d’Ivoire, Jean Claude Brou prendra fonction en mars 2018 pour un mandat de 4 ans.

Les travaux du sommet se sont intéressés également à la situation économique et sécuritaire de la région.

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Attijariwafa Bank triplement primé par EMEA Finance

Le groupe Attijariwafa Bank a été primé 3 fois lors des « EMEA Finance awards 2017 », organisés par le magazine britannique de référence sur le marché bancaire et financier de la zone EMEA. Ainsi, le prix de la « Meilleure banque marocaine de l’année 2017 » est revenu à Attijariwafa Bank, qui a remporté également le prix de la « Meilleure banque d’investissement au Maroc » et de la « Meilleure banque sénégalaise de l’année 2017 » avec sa filiale CBAO Sénégal.

Ces 3 consécrations récompensent la stratégie progressive et dynamique de la banque à travers ses initiatives dans la finance inclusive et l’acquisition de Barclays Bank Egypt, étape importante dans le développement de la plate-forme Europe, Moyent-Orient et Afrique.

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Climat, Un enjeu intergénérationnel

Ahmed Charaï

Le sommet de Paris a été une réussite pour le Président français Emmanuel Macron. Il a d’abord pu contourner le retrait du Président américain Donald Trump de l’accord international, en s’assurant de la présence d’Etats américains, de philanthropes américains, d’entreprises américaines. Plus de 60 chefs d’Etats et de gouvernements étaient présents. En face, il y avait la société civile, le système financier, les entreprises, mais aussi une forte implication des enfants et de la jeunesse. Des annonces ont été faites. La Banque Mondiale ne financera plus de projets liés à l’énergie fossile, des donateurs se sont engagés sur des montants, loin d’être décisifs, mais importants. Cependant, la réussite de ce sommet, appelé à devenir régulier, est ailleurs. Emmanuel Macron l’a rappelé dans son allocution, le défi est en train d’être perdu. Parce que les engagements pris ne sont pas respectés, on n’a pas vu la couleur des milliards de dollars qui devaient financer la transition écologique dans les pays pauvres. Mais, le Président français a tenu aussi à placer le sujet dans sa dimension historique. Des pays peuvent disparaître et les générations futures auront affaire à une terre avec 10 milliards d’habitants dans des conditions de vie intenables. C’est notre responsabilité vis-à-vis de ces générations qui a été pointée. Le Maroc était représenté par SM le Roi Mohammed VI et le Prince Héritier Moulay El Hassan. Notre pays est engagé de manière extraordinaire, à son échelle. Tous les engagements pris à Paris lors de la COP 21, confirmés à Marrakech, sont tenus, nous sommes même en avance sur l’agenda. Sur les énergies renouvelables, nous sommes leaders. L’approche développement durable impacte toutes les politiques publiques alors que les besoins de croissance, d’industrialisation, de création d’emplois sont prégnants. La présence du Prince Héritier Moulay El Hassan porte un message encore plus important. Il y a bien sûr sa formation, en tant qu’héritier du trône, aux enjeux internationaux qui est un aspect important dans la tradition de l’institution monarchique. Mais au-delà de ce volet institutionnel, Moulay El Hassan est le représentant de la génération qui devra subir tous les aléas des renoncements de la génération actuelle. Sa présence signifie aussi que la lutte contre le réchauffement climatique va s’inscrire dans la durée, sur plusieurs générations et qu’il faut en partager les termes, sensibiliser la jeunesse et les enfants dès maintenant. La présence du Prince Héritier signifie aussi, la permanence des choix du Maroc, son implication réelle, dans un développement durable respectueux de l’environnement. Ce n’est pas un engagement de circonstance. Emmanuel Macron adore les symboles, la monarchie marocaine a toujours été prescriptrice. Feu le Roi Mohamed V a dévoilé ses filles publiquement en 1947, ses successeurs ont souvent été en avance sur la société et ont impulsé des changements profonds. Le Roi Mohammed VI transmet au Prince héritier l’importance centrale du drame climatique. C’est un signal pour toutes les forces vives de la nation, appelées à une plus forte mobilisation. Il ne faut pas oublier que ce combat ne sera gagné que si ONGs, Système financier, entreprises, mais surtout citoyens en sont convaincus. C’est d’ailleurs le message de ce sommet de Paris, la responsabilité de tout un chacun pour éviter la catastrophe prévue, dans l’unanimité par les scientifiques.

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Crédit Agricole Du Maroc, meilleure institution de financement au développement en Afrique

Le Groupe Crédit Agricole Du Maroc a été primé comme la meilleure institution africaine de financement du développement en 2017, par l’Association des Institutions de Financement du Développement d’Afrique. Le groupe marocain a été distingué parmi les 33 meilleures institutions les plus performantes du continent en termes de bonne gouvernance, de solidité financière et d’efficacité commerciale.

La filiale du groupe « Tamwil el fellah », spécialisée dans le financement des petites et moyennes exploitations agricoles, a également été primée en tant que 3e meilleure institution de financement d’Afrique.

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African Entrepreneurship Award : BMCE Bank of Africa offre 1 M$ aux 12 lauréats

Le Programme African Entrepreneurship Award, initié par le groupe BMCE Bank of Africa, a distingué, lundi 11 décembre, à Casablanca, 12 lauréats issus de 9 pays africains en récompense aux projets durables à fort impact dans les catégories de l’éducation, de l’environnement et les domaines inexplorés.

Sélectionnés parmi 40 finalistes provenant de 19 pays africains, les 12 lauréats se sont partagés une enveloppe de 1 million de dollars pour soutenir le développement de leurs projets.

Le premier prix d’une dotation de 100.000 dollars a été attribué, dans la catégorie éducation, à la sud-africaine Louise Williamson pour la fabrication de fours à combustible durable destinés aux écoles dans les contrées reculées.

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Le Groupe Mfadel se dote d’une nouvelle identité visuelle

Fondé dans le début des années 80 par son Président, Mohamed MFADEL, le Groupe familial, véritable référence de l’immobilier moyen et haut standing au Maroc, entre dans une nouvelle ère et change d’identité visuelle.

Avec une « nouvelle identité visuelle plus humaine et actuelle », le groupe immobilier dont le siège social se trouve en plein parc de Mohammedia signe ainsi le début d’une nouvelle phase dans son histoire et change ainsi de dimension dans un univers en accélération continu.

Diversification des métiers, création de nouveaux pôles d’activités, sa nouvelle vision exprime une nouvelle stratégie branding, visant à renforcer la relation client, à s’adapter face à un marché exigeant et contribuer à un meilleur environnement de travail. La nouvelle identité s’accompagne d’un nouveau site web « GROUPEMFADEL.COM », la plateforme de communication entre toutes les parties prenantes permettant d’accompagner la clientèle et de s’aligner avec l’évolution du marché.

Avec sa nouvelle stratégie avant-gardiste, sa politique orientée autour de la satisfaction client et sa nouvelle structuration, le Groupe multi-segment s’affirme aujourd’hui sur 4 principaux pôles stratégiques : Promotion immobilière, foncière/gestion locative, hôtellerie et construction.

Les complexes hôteliers développés par le Groupe Mfadel seront opérationnels début 2018

Son nouveau programme immobilier urbain mixte : Kamal Park Center, situé aux abords du Parc Moulay Hassan, doté de composantes résidentielles, des espaces de bureaux, de commerces et de deux hôtels, est fin prêt.

Pour leur part, les complexes hôteliers que le groupe développe depuis 2014 avec le Groupe Accor, leader mondial de l’hôtellerie, seront opérationnels dès le début du premier semestre de 2018. Il s’agit d’un Ibis trois étoiles de 96 chambres et un Novotel quatre étoiles de 114 chambres ; destinés tous deux aux tourismes d’affaires et de loisirs.

Un Business Center de 16 000 m2, respectant les standards internationaux, dédié aux entreprises et aux professionnels a également été réalisé sur mesure pour le compte d’un opérateur téléphonique international côté au CAC 40.

Egalement au programme, le MFADEL Shopping Center regroupant des galeries marchandes de proximité en plein centre de Mohammedia, et effectué en partenariat avec des experts du Retail. Plusieurs marques et enseignes de renom y seront présentes.

Avec plus de 5000 unités immobilières réalisées, 40000 m2 de bureaux, et 20000 m2 de commerces, sur plus d’une vingtaine de programmes (Casablanca, Zenata, Mohammedia, Mansouria, Cabo Negro, Mdiq, Tetouan), le Groupe qui a près de 40 ans d’expérience dans le secteur est devenu au fil du temps le promoteur-constructeur marocain par excellence.

Acteur global de l’immobilier multi-segment, il est devenu l’un des opérateurs économiques et financiers les plus importants au Maroc. Créateur de plus de 1000 emplois directs et indirects, il apparait aujourd’hui comme un véritable catalyseur de développement du royaume.

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One Planet Summit – En vidéo, le vibrant hommage rendu au Roi Mohammed VI et à Moulay El Hassan

La participation du Roi Mohammed VI et du Prince héritier Moulay El Hassan au One planet summit a été hautement saluée.  

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(Vidéo-One Planet Summit) Macron sonne l’alarme : » On est en train de perdre la bataille »

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One planet summit : 12 engagements internationaux annoncés

Douze engagements internationaux en matière de lutte contre les effets du changement climatique ont été annoncés mardi dans le cadre du sommet international sur le climat « One planet summit », organisé à l’initiative du président français Emmmanuel Macron.

Ces engagements visent à amplifier le financement de l’adaptation et de la résilience au changement climatique pour faire face aux évènements extrêmes dans les états insulaires, protéger les terres et les ressources en eau, mobiliser la recherche et la jeunesse en faveur du climat et faciliter l’accès des collectivités aux financements climat.

L’autre engagement concerne l’accélération de la transition vers une économie décarbonée pour atteindre l’objectif zéro émission, contribuer aux révolutions sectorielles vers une économie décarbonée, développer des transports sans pollution et atteindre un prix du carbone compatible avec l’accord de Paris.

Il s’agit aussi d’ancrer les enjeux climatiques au cœur de la finance et des décisions de ses acteurs à travers des actions des banques centrales et entreprises, la mobilisation internationale des banques de développement, l’engagement des fonds souverains et la mobilisation des investisseurs institutionnels.

Pour sa part, la France s’est engagée à amplifier le financement de l’adaptation au changement climatique et la résilience pour faire face aux évènements extrêmes dans les Etats insulaires, protéger les terres et les ressources en eau face aux effets du dérèglement climatique et mobiliser la recherche et la jeunesse en faveur du climat.

La France s’engage aussi à accélérer la transition vers une économie décarbonée pour atteindre l’objectif zéro émission, sortir des énergies du passé et accélérer le développement des énergies renouvelables.

L’engagement français vise aussi à ancrer les enjeux climatiques au cœur de la finance et des décisions de ses acteurs en incitant la Coalition d’entreprises et autorités de marché en faveur d’une meilleure prise en compte des risques climatiques.

A cet égard, les Banques publiques de développement s’engagent à aligner leurs financements avec l’Accord de Paris et les investisseurs expriment leur mobilisation pour le climat.

Organisé conjointement avec l’Organisation des Nations unies et le groupe de la Banque mondiale avec le soutien de plusieurs partenaires internationaux, ce Sommet vise à traduire en actions concrètes les engagements pris en 2015 à Paris, en insistant en particulier sur le rôle de la finance publique et privée dans la lutte contre les effets du changement climatique.

Un observatoire spatial pour le climat verra le jour avec le soutien de plusieurs pays dont le Maroc

Dans le cadre des engagements internationaux du sommet international sur le climat One Planet summit, tenu mardi à Paris, il a été annoncé la création d’un observatoire spatial pour le climat, une initiative soutenue par plusieurs pays dont le Maroc.

La création de cet observatoire à l’initiative du Centre national d’études spatiales en France, s’inscrit dans le cadre des efforts visant l’accélération de la transition vers une économie décarbonée.

Cet observatoire vise à mettre à disposition des Etats et de la communauté scientifique toutes les données spatiales utiles à la surveillance de l’état de santé de notre planète.

Outre le Maroc, cette initiative est soutenue par la totalité des agences spatiales européennes, ainsi que par la Chine, l’Inde, la Russie, le Mexique, les Emirats Arabes Unis et d’autres pays. L’interopérabilité des données spatiales d’observation sera un pas en avant significatif pour l’observation du système Terre.

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