En laissant s’éteindre TANjazz, à cause du manque de soutien financier, Tanger a perdu un grand festival. La ville en a gagné un autre, qu’elle doit protéger: Tanja Latina.Pour sa cinquième édition, ce festival des rythmes endiablés se déroulera du 12 au 14 juillet 2018.
Au menu, « un ‘panaché’ ensoleillé de ce qui fait la diversité du son latin d’aujourd’hui : Salsa, Cumbia, Merengue, Mambo, Samba, Guajira, Batucada, Reggaeton, Dancehall, Ska, Cha-cha-cha, Latin House, etc.», promettent les organisateurs. «De la plus pure sauce piquante cubaine, colombienne ou new-yorkaise jusqu’aux délires électriques et éclectiques les plus déjantés…», insistent-ils.
Pour un prix modique, le public pourra assister chaque jour à quatre concerts dans l’enceinte du superbe Palais Moulay Hafid des Institutions Italiennes : dès 20H, deux concerts sur la grande scène extérieure accessible à tous et dès 22H, 2 concerts sur la scène intérieure (La Bodega) pour les plus de 18 ans.
«Une infatigable batucada (orchestre de percussions) animera également les deux scènes et un DJ résident prendra les commandes de la Bodega à partir de 1h30 pour faire danser les festvaliers jusqu’au petit matin», annoncent les organisateurs.
Formations à l’affiche
Cumbia Chicharra
Elle est née à Marseille de la rencontre entre des musiciens sud-américains et marseillais, réunis autour de la « Cumbia », la musique la plus populaire et la plus dansée d’Amérique latine, originaire de Colombie.
Diabloson
Cette formation, créée en 1999 suite à la rencontre de 12 musiciens venus de pays les plus chauds d’Amérique latine. Sa musique prend ses racines dans les musiques traditionnelles pour arriver à une salsa très festive.
Ocho y Media
Qualifiée par Cocazine de « gang le plus actif de la scène salsa-ragga-ska », avec un répertoire de compos jubilatoires, un concentré d’énergie positive sur scène, et une réponse enthousiaste du public de tous poils…
Grupo Salsafon
Formé en 2004, motivé par une passion commune : la salsa des années 70, née dans les quartiers populaires de New-York, où elle connut son âge d’or, restée authentique, un peu à l’écart de la grande « sono mondiale ».
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via Abdo El Rhazi TANJAzz est mort, vive Tanja Latina
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