‘Du 16 au 24 avril 2016 à Casablanca’
Pour sa 11e édition, Jazzablanca fait peau neuve et se dote d’une nouvelle identité, mettant en avant une approche à la fois moderne, franche et élégante. L’événement réaffirme aisni sa position de festival à part, à la fois inclusif et festif, et de grande rencontre pour les casaouis avec leur ville et avec le monde ! Dans cette nouvelle identité, le J de Jazzablanca fait écho à la double croche, le cuivre aux instruments, et le rouge, dans les déclinaisons, à l’imaginaire de la ville de Casablanca.
Coté programmation, cette édition démarrera avec un concert exceptionnel de Macy Gray. La chanteuse américaine d’RNB Soul se produira pour la première fois au Maroc, le samedi 16 avril à la scène Anfa. Auteur compositeur, Macy Gray se fait connaitre à travers son premier album, « On How Life Is » paru en 1999. En 2001, elle est récompensée d’un Grammy Award pour la « meilleure performance vocale pop » pour son titre I Try. Deux albums, un best-of et un live plus tard, elle revient en force en 2007 avec son 6ème opus, « Big », considéré comme un album de come-back, sur lequel elle collabore avec des stars de la pop et du jazz comme Justin Timberlake, Fergie ou Natalie Cole. Sa voix à la fois cassée et puissante, où l’on retrouve l’influence de Billie Holiday, la propulse parmi les divas de la soul contemporaine.
Lundi 18 avril, c’est la franco-marocaine Hindi Zahra qui viendra présenter son dernier opus à Jazzablanca « Homeland » sorti en 2015. Un mélange de blues, de soul et de rock, porté par la voix puissante et envoutante de la chanteuse et fondus dans le tempo capiteux qui donne le ton de l’album. Des chansons en français, en anglais et en berbère, des chansons d’aventurière qui, remontée des tréfonds, danse sur les flots et vogue sur les déserts. Il y a de la mélancolie dans les chansons d’Hindi Zahra, mais de l’extase dans sa voix, et des mélisses qui font le tour du monde en spirales. Une soul mondiale progressive, qui libère les corps et les cœurs en douceur, en profondeur.
Enfin, c’est Jamie Cullum, jazzman britannique le plus célèbre de sa génération avec deux Grammy, deux Golden Globes et plus de 10 millions de ventes d’albums dans le monde, qui se produira le jeudi 21 avril à la scène Anfa.
A peine sorti avec les honneurs de la Reading University d’Oxford, Jamie Cullum réalise son plus grand succès commercial avec son premier opus « Pointless Nostalgic ». C’est à travers le jazz que Jamie s’est fait connaître avec son 2e LP « Twentysomething » paru en 2003, qui lui vaudra un disque de platine et le titre d’artiste de jazz le plus vendu de l’histoire. Sa connaissance et son amour de tous les genres musicaux, de Miles Davis à Tom Waits, le propulsent sur la scène mondiale.
Artiste pluridisciplinaire et versatile, Jamie Cullum a imposé son interprétation unique du jazz, mêlé de pop et de rock, de Seoul à Sao Paulo, en passant par le Mont Fuji, Glastonbury, Hambourg ou encore Hollywood où il a collaboré avec Clint Eastwood pour la bande originale de « Gran Torino ». Cullum s’était déjà fait remarqué au cinéma en signant la musique de « Bridget Jones : l’âge de raison » avec le single « Everlasting love ». Depuis avril 2010, il présente son émission de jazz tous les mardis en prime time sur BBC Radio 2, émission pour laquelle il a remporté deux New York Radio Awards et le prestigieux Gold Sony Radio Award en Grande-Bretagne. En 2014, il sort son huitième album, « Interlude ».
via Abdo El Rhazi Macy Gray, Hindi Zahra et Jamie Cullum au Jazzablanca 2016
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