Covid-19, les enfants aussi contagieux que les adultes

Les enfants infectés par le nouveau coronavirus sont aussi contagieux que les adultes. C’est le résultat d’une récente étude menée par des virologues allemands. un résultat totalement contradictoire avec l’hypothèse émise au début la pandémie qui suppose que la charge virale du covid-19  est moins forte chez les enfants. L’équipe de recherche pilotée par le virologue allemand Christian Drosten qui a analysé la charge virale du virus chez  3.712 patients porteurs du Covid-19, tous âges confondus a conclu qu’il n’y a aucune différence significative entre les catégories d’âge, y compris pour les enfants.

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Zoom sur les levées de fonds chez les Start-up africaines

2,020 milliards de dollars de fonds ont été levés dans la tech en Afrique en 2019, soit une croissance de 74% sur un an, selon le cabinet Partech Africa. Le nombre de levées de fonds est, lui aussi, en forte augmentation (+ 52%). Elles ont émané de 234 startups, avec plus de 158 tours de table qui ont dépassé ainsi le record de 1,16 milliard de dollars levés en 2018. La tendance est croissante au Nigeria et au Kenya, mais aussi dans des pays comme le Ghana et l’Ouganda,  qui ont été les deux grandes révélations en 2019, en termes de levées de fonds de leurs startups De toutes les startups africaines, ceux qui évoluent dans le segment de la FineTech, ont été les plus financés en 2019, avec à elles seules, 528 millions de dollars contre 95 millions de dollars en 2018, selon les estimations du cabinet FT Partners Research. Les plus gros bailleurs des Starts up africaines en termes de levées de fonds en 2019, seraient entre autres, la Banque africaine de développement (55 millions de dollars); Partech Ventures (70 millions de dollars), Digital Africa (76,14 millions de dollars)

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Plus de 8 millions de Marocains regardent la télé

Depuis le début du mois de confinement, le nombre moyen de téléspectateurs Marocains par jour a explosé.  , Il est passé de 5.340.200 de téléspectateurs avant confinement (du 10 Février au 15 mars 2020) à 8.055.500 pendant le mois de confinement (du 20 mars au 19 avril 2020) soit une hausse de plus de 50%, d’après les statistique de Marocmétrie. Du 25 au 28 Avril 2020, soit le début du mois de ramadan, un individu âgé de 5 ans ou plus regarde en moyenne par jour les différentes chaines nationale pendant 06 heures et 41 minutes

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Le paiement sans contact séduit

Plus de 70 % des personnes interrogées au Moyen-Orient et en Afrique utilisent désormais le paiement sans contact. Dans le contexte de la pandémie, 84 % des sondés déclarent que le paiement sans contact était un moyen de paiement plus propre. Ce sont les résultats d’une nouvelle étude de Mastercard qui note par ailleurs que ce moyen de paiement est passé au dessus du portefeuille. En chiffres, Six personnes interrogées sur dix (61 %) dans la région ont échangé leur carte en haut de leur portefeuille contre une carte sans contact. Autre chiffres révélateurs : près de deux personnes interviewés sur trois (64 %) confirment que la pandémie les avait amenées à utiliser moins d’argent liquide, et 81 % soulignent qu’ils continueraient à utiliser le sans contact une fois la pandémie terminée, ce qui indique un changement de comportement à long terme. Au Maroc, et d’après Mohamed Benomar, directeur général de Mastercard pour l’Afrique du Nord-Ouest, la décision des banques marocaines d’augmenter les limites de paiement par carte, et les mesures économiques et sociales du gouvernement pour aider les entreprises et les travailleurs, montrent un engagement fort envers l’économie locale. «Le Maroc adopte véritablement cette technologie dans le cadre de sa réponse à la pandémie et reconnaît le sans contact comme un moyen de paiement plus sûr, plus propre et plus rapide », insiste Mohamed Benomar. En effet, au cours des dernières semaines, Mastercard a annoncé des engagements visant à augmenter les limites de paiement sans contact dans plus de 50 pays dans le monde. Le Maroc a également soutenu cette initiative, et les banques ont accepté de relever la limite de la CVM (méthode de vérification du titulaire de la carte) à 400 dirhams. « L’augmentation des limites fait partie de l’effort global de Mastercard pour s’assurer que les consommateurs, les commerçants et les petites entreprises disposent des ressources nécessaires pour payer, recevoir des paiements et poursuivre leurs activités en toute sécurité pendant la crise COVID-19 », explique Mastercard qui ajoute qu’entre février et mars, les transactions sans contact ont augmenté deux fois plus vite que les transactions en direct dans les catégories des épiceries et des pharmacies, où de nombreux produits de première nécessité sont achetés.

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Covid-19, Air France sera sauvée mais…

Impossible de laisser Air France couler. Des prêts de 7milliards d’euros ont été octroyés par l’Etat à la compagnie. Mais pas sans contrepartie !  Les prêteurs exigent de la compagnie un effort environnemental et une réduction de 50% de ses émissions en CO2. Pour atteindre cet objectif, le secteur domestique sera allégé. Concrètement, tous les vols intérieurs dont la durée ne dépasse pas les deux heures trente seront réduits au profit du TGV qui assurera la relève. « Dès lors qu’il y a une alternative ferroviaire à ces vols intérieurs, ces derniers devront être drastiquement réduits et limités simplement aux transferts vers un hub », lance d’emblée le ministre de l’Économie devant la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale. Même si les mesures gouvernementales n’ont pas toutes été annoncées. Une chose est sûre : Si Air France n’opère plus de vols internes, le retrait serait une aubaine non seulement pour le TGV mais aussi pour les pour les low cost européennes Ryanair, easyJet ou Vueling.

Autre contrainte imposée par le prêteur, le renouvellement de la flotte pour réduire les émissions. Le processus est déjà en marché et va être accéléré dans les semaines qui viennent. Ainsi les anciens Airbus A340, et A380  seront ferraillés et vendus en pièces détachés et remplacés par des A350 qui permettront à la compagnie de réduire la consommation et la pollution de l’ordre de 25% chacune. Le moyen courrier est aussi concerné. Et l’objectif est de baisser de 20% la consommation et la pollution encore. En même temps, le gouvernement exige de la compagnie l’utilisation de 2% de carburant alternatif.

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Après le déconfinement, la relance

Abdelhamid Addou, PDG de Royal Air Maroc.

La période du confinement a été utile au pays, elle a limité la propagation de la pandémie. Après, il faudra bien reprendre les choses en main et penser à la relance économique. Les secteurs les plus touchés comme le tourisme auront besoin d’un véritable plan de sauvetage d’abord, suivi d’une politique volontariste de croissance. L’un des piliers du tourisme c’est le transport aérien  opéré par la compagnie nationale Royal Air Maroc qui doit faire l’objet de soins particuliers, non seulement parce qu’elle emploie beaucoup de monde et soutient le secteur touristique, mais aussi parce qu’il s’agit d’une entreprise nationale qui a une grande notoriété notamment en Afrique. On se souvient lors de l’épidémie Ebola, la RAM était la seule compagnie à continuer à desservir le continent. Le gouvernement doit prendre cela en compte et accélérer le plan de soutien à la compagnie. Et surtout, une fois le plan arrêté, il faudra bien débloquer les fonds nécessaires. Un plan c’est bien, mais sans argent il n’aidera pas beaucoup. Surtout que la compagnie a beaucoup investi dans de nouvelles destinations facilitant l’arrivée de touristes de pays lointains comme la Chine et dans de nouveaux appareils des plus modernes. En outre, elle a lancé un grand processus de restructuration qui lui a permis de mieux rationaliser ses coûts et mieux servir ses clients.

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Aéroports de Paris, on prépare le déconfinement !

Les aéroports de Paris (ADP) se préparent au déconfinement.  Un plan très rigoureux est mis en place.  Au départ, les voyageurs sont tenus  de remplir  une déclaration sur l’honneur attestant de ne pas présenter de symptômes en attendant la présentation d’un résultat de test négatif au Covid-19. Ensuite, le port de masques est obligatoire dès l’entrée dans le terminal avec l’installation de plaques de plexiglas au niveau e chaque point de contact avec les passagers. Pour certaines destinations, les ADP recourent au contrôle de température à distance. Concernant les zones d’attentes, le plan de reprise prévoit la neutralisation d’un siège sur deux. Et afin d’éviter les attroupements à l’embarquement, les appels se feront par petits groupes ou de manière personnalisée grâce à l’usage d’un QR Code sur smartphone. Tous les lieux collectifs non indispensables au fonctionnement de l’aéroport : salles de culte, salle fumeurs, aires de jeux, nurseries….seront fermés.

A l’arrivée, outre le contrôle de température à l’aide des caméras thermiques, et la l’adoption d’un dispositif de test rapide, les ADP instaurent une fiche de déclaration de résidence pour assurer la traçabilité. Les gestes barrières sont exigées lors de toutes les étapes de l’entrée à l’aéroport jusqu’à l’enregistrement ou encore la livraison des bagages.

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« Kalimbati » de Amine Bliha en Live Sessions

Pour faire découvrir les musiciens marocains pendant le confinement, les Live Sessions du Studio HIBA mettent en avant cette semaine le percussionniste virtuose Amine Bliha via sa chanson « Kalimbati ». L’artiste avait interprété ce morceau lors de son passage au festival Visa For Music en live session. Ses performances disponibles sur Youtube avaient été enregistrées et filmées par les Studios Hiba lors de 5^e édition de VFM, convertis à l’époque en studio mobile.

Batteur, percussionniste et compositeur marocain originaire de Zagora, Amine Bliha est connu apprécié pour son style musical unique mêlant percussions marocaines, latines et africaines. Lauréat de L‘Ecole supérieure de la Batterie Dante Agostini, ce musicien talentueux a joué sur les grandes scènes marocaines et internationales avec des artistes marocains et sub-sahariens de renom, notamment Samira said, Naima samih, Bassekou Kouyate, Aly Keita, Corey Harris, le maâlem Hamid El Kasri, Bakbou, et Majid Bekkas.

https://www.youtube.com/watch?v=PlrUCdBTcas

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La lutte contre le mariage des enfants se renforce

Alors que l’on s’inquiète au niveau  mondial pour la santé physique, mentale, sexuelle et reproductive des femmes fortement affectée par la crise sanitaire liée au Convid19 (voir notre article : Rapport. Impact catastrophique de la pandémie sur les femmes ), le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) viennent de signer ce jeudi 30 avril 2020, un accord de partenariat pour la période 2020-2021. Son objectif ? Promouvoir les droits des femmes et des filles, y compris les droits à la santé sexuelle et reproductive au Maroc. Avec cet accord de partenariat, les deux parties s’engagent à collaborer dans l’objectif de renforcer la lutte contre la pratique du mariage des enfants, promouvoir les droits à la santé sexuelle et reproductive et renforcer la mobilisation pour la mise en œuvre des recommandations internationales en la matière. Il s’agit également, de renforcer l’appropriation par les acteurs de la société civile, des mécanismes internationaux visant à améliorer la situation des droits humains en général et des droits à la santé sexuelle et reproductive en particulier.

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Confinement : La violence conjugale représente 91,7% des cas

Pendant le confinement, le nombre des femmes violentées a considérablement augmenté. Du 16 mars au 24 avril, les cellules d’écoute de la Fédération des ligues des droits des femmes (FLDF) ont reçu 240 appels pour signaler des cas de violences et 230 femmes victimes.

Un chiffre inquiétant dû essentiellement au confinement engendré par la pandémie du Covid-19. Dans un communiqué, la Fédération enregistre, en matière de suivi de la violence à l’égard des femmes, 541 actes de violence. La violence psychologique représentant à elle seule le taux le plus élevé avec 48,2%, suivie par la violence économique avec 33% et la violence physique, dont le taux a dépassé 12%, en plus de certains cas de violence sexuelle.

Selon les chiffres recueillis pendant le confinement, la violence conjugale représente 91,7% des formes de violence durant le confinement, suivie par la violence familiale (4,4%). La Fédération indique avoir fourni à travers le réseau Injad contre la violence axée sur le genre, 492 services répartis entre écoute, conseils et soutien psychologique, en plus de l’orientation, de l’intervention, de la coordination et de la coopération avec différents acteurs institutionnels.

La Fédération qui tire la sonnette d’alarme appelle ainsi les départements concernés à prendre des mesures urgentes pour éviter l’aggravation de la situation et renforcer les mesures prises.

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Pour une réouverture des écoles en toute sécurité

Pour une réouverture des établissements scolaires en toute sécurité, de nouvelles lignes directrices ont été rendues publiques aujourd’hui par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le Programme alimentaire mondial (PAM) et la Banque mondiale. En tête de ces directives, vient la réforme des politiques spécialement celles en rapport avec l’ouverture et la fermeture des écoles en cas d’urgence sanitaire. Ces réformes concernent également  l’accès équitable à l’école aux enfants marginalisés et non scolarisés et le renforcement des pratiques d’apprentissage à distance. Les directives onusiennes mettent également l’accent sur les besoins de financement afin de pallier efficacement à l’impact du COVID-19 sur l’éducation et d’investir davantage dans le renforcement des systèmes éducatifs pour une véritable reprise.

D’ailleurs la question de la sécurisation de la reprise est au cœur des directives de l’UNESCO. Cette dernière appelle en effet à l’adoption de mesures réduisant la transmission des maladies, protégeant les services et les fournitures essentiels tout en favorisant un comportement sain. En termes pratiques : un accès facile au savon et à de l’eau pure pour le lavage des mains, des procédures en cas de malaise remarqué chez les élèves ou le personnel en plus des protocoles sur la distanciation sociale et les bonnes pratiques d’hygiène.

Pour rattraper le temps perdu durant le confinement, l’organisation onusienne insiste sur l’apprentissage compensatoire en renforçant la pédagogie et en s’appuyant sur des modèles d’apprentissage hybrides. Ceci sans oublier le renforcement de  la protection des enfants via les soins de santé et l’alimentation scolaire.

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DGSN : 81.489 arrestations pour infractions de l’état d’urgence

Selon les données de la Direction générale de la sureté nationale datant du 28 avril 2020,  4582  personnes ont été arrêtées ces 24 dernières heures sur tout le territoire national pour infractions de l’état d’urgence sanitaire, dont 1934 sont actuellement en garde à vu. Ces nouvelles arrestations portent le nombre total des arrestations depuis l’application des restrictions de l’état d’urgence sanitaire à  81.489 individus, dont  42.967 ont été traduits devant le procureur. En tête du classement, Casablanca a enregistré le plus grand nombre d’arrestations avec 10.805 cas, suivi de Rabat avec 10.292 cas puis Kénitra avec 9347 arrestations.

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Lucile Cornet-Vernet : « Nous avons écrit sur l’Artemisia à une vingtaine de gouvernements africains »

Occultée par l’Organisation Mondiale de la Santé, mais très prisée par de nombreux Africains pour son efficacité, prouvée, contre le paludisme, l’Artemisia fait beaucoup parler d’elle ces derniers temps. C’est de cette plante qu’a été extrait le Covid-Organics (CVO) qui serait le « remède miracle » contre le Covid-19. Ce « remède traditionnel amélioré » a été dévoilé récemment, en grande pompe, par le Président malgache et aussitôt distribué en grandes quantité dans tout Madagascar. Le Sénégal, la Guinée et la RDC s’y intéressent eux aussi.  

A l’origine du protocole ayant permis de fabriquer le Covid-Organics, le jeune médecin congolais, Dr Jérôme Munyangi, qui dirige les essais cliniques et les recherches médicales et scientifiques à la Maison de l’Artemisia. Cette association (devenue Fondation), a été créée par Lucile Cornet-Vernet en 2013 en vue de prouver l’efficacité médicale de l’Artemisia et de développer son utilisation en Afrique en faveur des plus démunis. Devenue célèbre après la diffusion, en janvier 2019, de « Malaria Business » (à visionner en bas de cette interview), la Maison de l’Artemisia se retrouve de fait au cœur de l’actualité. Avant de nous arrêter dans un prochain article sur le Dr Jérôme Munyangi et le « remède miracle qui commence à se propager en Afrique» qu’il dit avoir trouvé, nous avons interviewé celle qui a amené ce chercheur-militant à la Maison de l’Artemisia à Paris.

En répondant à nos questions axés sur l’Artemisia et ses pouvoirs thérapeutiques, Lucile Cornet-Vernet s’est dit « impressionnée par ce que fait le Maroc contre le Covid-19 ».

 Entretien réalisé par Mohammed Zainabi

Lucile Cornet-Vernet, fondatrice de la Maison de l’Artemisia et auteur de « Artemisia : une plante pour éradiquer le paludisme ».

 

lobservateur.info : Est-ce vrai que c’est la Maison de l’Artemisia qui avait soufflé à l’oreille du Président Rajoelina l’idée d’essayer l’Artemisia annua comme remède contre le Covid-19 ?

Lucile Cornet-Vernet : Il est vrai que vous avons envoyé une lettre à plus d’une vingtaine de gouvernements africains pour les enjoindre à étudier cette plante. C’était fin mars.

Après les preuves d’efficacité données par l’Artemisia contre le paludisme, est-ce qu’il y a une étude prouvant sur son efficacité contre le Covid-19 ?

Il n’y a pas encore eu d’études cliniques publiées où l’Artemisia annua fut testée seule sur des malades Covid19. Il existe  une indication et une posologie issue de la Médecine Traditionnelle Chinoise en cas de Covid-19 qui comprend aussi d’autres plantes. Ces cocktails de plantes furent donnés en complément des  médications occidentales comme lors de l’épidémie de SARS en 2003. Ces plantes ont fait l’objet d’études qui montrent une efficacité contre le SARS. Dans ce cadre, l’Artemisia annua a été donnée séparément des autres plantes et pour les cas avec signes pulmonaires.

C’est pour cela que nous avions alerté les gouvernements africains . Si cette plante pouvait aider à ce que les patients basculent moins en réanimation, pour des pays avec peu de possibilités de ventilation artificielle, il nous semblait que c’était une information utile.

Depuis la diffusion de « Malaria Business » que nous partageons avec nos lecteurs en bas de cette interview, est-ce que quelque chose a changé ?

Oui ! Des chercheurs de plusieurs pays et d’institutions très réputées se sont rassemblés pour adresser les questions en suspens et faire les études y répondant. C’est en cours donc, et c’est sur le paludisme. Ils sont aussi à la recherche de fonds, qui ne sont pas faciles à collecter pour une plante que tout un chacun peut faire pousser dans son jardin !

Les Président sénégalais et guinées viennent de demander au Président Rajoelina de leur envoyer le Covid-Organics. Cela pourrait-il changer quelque pour l’Artemisia qui demeure occultée par l’OMS ?  

Ce qui peut changer la donne c’est une coalition de chercheurs réalisant sur le continent africain les études validant une solution thérapeutique simple, locale, efficace et très peu chère.

C’est l’avenir pour un monde plus résilient !

A voir : #« Malaria Business »

Documentaire choc d’une heure 10 minutes qui dévoile les dessous de la guerre menée par les laboratoires contre l’Artemisia et la médecine naturelle. Sa descrition introductive en dit long sur son contenu : « L’artémisia n’est dangereuse que pour ceux qui font de la Malaria un business »

Lire aussi

Le Président malgache : « Madagascar a trouvé le remède contre le Covid-19 »

 

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Réouverture du portail CNSS dédié au Covid-19

La Caisse Nationale de Sécurité Sociale porte à la connaissance de l’ensemble des entreprises affiliées que la nouvelle version du portail covid19.cnss.ma, tenant compte des dispositions prévues par le Décret n°2-20-331, est accessible à partir du 28 avril 2020. Ainsin ces entreprises peuvent désormais déclarer leurs salariés en arrêt total ou partiel de travail du fait de la pandémie Covid-19.

Pour rappel, le Conseil du Gouvernement a adopté, le 24/04/2020, le décret n° 2.20.331 qui définit les critères d’éligibilité pour bénéficier des mesures d’accompagnement des entreprises affiliés à la CNSS. Pour être éligible l’employeur doit satisfaire l’un des critères suivants:

• Etre en arrêt total d’activité suite à une décision administrative prise à cause de la pandémie COVID-19 ;
• Avoir subi une baisse nette du chiffre d’affaires (CA) d’au moins de 50% au titre des mois d’Avril, Mai et Juin 2020 par rapport aux mois correspondant de l’exercice 2019, à condition que le nombre d’employés en arrêt provisoire de travail ne dépasse pas 500 personnes.
• Lorsque le nombre d’employés, en arrêt provisoire de travail, dépasse 500 personnes et/ou le chiffre d’affaire, cité au paragraphe précédent, enregistre une baisse comprise entre 25% et moins de 50%, les demandes des employeurs concernés sont soumises à la commission instituée à cet effet par le décret susmentionné.

Par ailleurs, les dispositions réglementaires prévues par le décret suscité, donne aux autorités gouvernementales compétentes la possibilité de juger de la nécessité de la poursuite des activités de secteurs ou sous–secteurs particuliers. Par conséquent, les employeurs opérant dans ces secteurs ou sous-secteurs ne sont pas considérés en situation difficile et ne devront pas bénéficier des mesures d’accompagnement sauf exception. Aussi, le comité de veille économique (CVE) a prévu le service de l’indemnité forfaitaire, attribuée aux employés déclarés en février 2020 et en arrêt de travail partiel ou total durant la période de crise liée à la pandémie Covid-19, selon la durée d’arrêt de travail déclarée par l’employeur : Si l’arrêt de travail concerne tout le mois : octroi de 100% de l’indemnité mensuelle, soit 2.000 DH. Si l’arrêt de travail est  de trois quarts (3/4) du mois : octroi de 75% de l’indemnité mensuelle, soit 1.500 DH; De la moitié (1/2) du mois : octroi de 50% de l’indemnité mensuelle, soit 1.000 DH ; Du quart (1/4) du mois : octroi de 25% de l’indemnité mensuelle, soit 500 DH.

Un manuel d’utilisation et une vidéo didactique décrivant la nouvelle procédure à suivre d’une manière simple et détaillée sont mis à la disposition des employeurs pour mieux les orienter.

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L’Education nationale dément toute information concernant les examens

Le ministère de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a démenti, mercredi, les fausses informations concernant le déroulement des examens et rapportés par certains médias. Cette mise au point a démenti catégoriquement que Said Amzazi, ministre de l’éducation, aurait adressé une correspondance interne aux présidents des universités concernant l’élaboration d’un protocole relatif au déroulement des examens.

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Covid 19 : Le nombre des décès reste stable

Le nombre de cas guéris continue d’augmenter pour atteindre 969 avec 41 nouvelles guérisons. Quant au nombre de décès, il reste stable à 168 cas, d’après les nouvelles données du ministère de la santé publiées sur le site dédié à la situation liée à la pandémie du coronavirus : www.covidmaroc.ma. Cependant 38 cas d’infection supplémentaires sont enregistrés jusqu’à jeudi à 10h00 en portant à 4.359 le nombre total des cas de contamination. De leur côté, les cas exclus suite à des résultats négatifs ont atteint 29.563 cas.

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Un biopic sur Whitney Houston bientôt sur les écrans

Un film sur la vie de la chanteuse américaine Whitney Houston « I Wanna Dance With Somebody » verra bientôt le jour.

En phase de préparation, il sera réalisé par Stella Meghie et co-produit par Clive Davis et le scénariste néo-zélandais Anthony McCarten, qui a également écrit le script. L’auteur de 58 ans est réputé pour plusieurs succès récents, notamment des biopics, avec “Les heures sombres” (2017), “Bohemian Rhapsody” (2018) et “Les deux papes” (2019).

Morte à l’âge de 48 ans, Whitney Houston a été retrouvée noyée dans sa baignoire après avoir ingéré une grande quantité de cocaïne. Malgré ses déboires avec la drogue, la chanteuse est considérée comme l’une des grandes voix du R’n’B et de la musique populaire de ces 30 dernières années.

Deux documentaires récents avaient dévoilé des aspects tabous et méconnus de la vie de celle qui s’est initié au chant dans une chorale gospel de Newark (New Jersey). Dans le premier, la chanteuse affirmait avoir été agressée sexuellement durant sa jeunesse par une cousine beaucoup plus âgée qu’elle. Dans le second : « Whitney: Can I Be Me », elle évoquait sa relation amoureuse avec une autre femme, Robyn Crawford, qu’elle a cachée pendant une grande partie de sa vie. « L’histoire de Whitney Houston n’a pas encore été racontée dans sa totalité », a rappelé Clive Davis. Le producteur a précisé que le scénario serait cette fois-ci « sans tabou » et « riche musicalement ».

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Rapport : Impact catastrophique de la pandémie sur les femmes

Le Covid-19 aura un impact désastreux sur la santé physique, mentale, sexuelle et reproductive des femmes dans le monde, prévient un rapport de l’ONU. D’après Natalia Kanem, directrice exécutive du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), de nouvelles données révèlent l’impact catastrophique que le Covid-19 aurait bientôt sur les femmes et les filles dans le monde entier. Les inquiétudes de l’ONU s’expliquent  par le grand nombre de femmes privées d’accès au planning familial et qui sont confrontées à des grossesses non désirées, à la violence sexiste et à d’autres pratiques préjudiciables risquant de prendre de plus importantes ampleurs dans l’avenir. Ainsi selon cette étude, 47 millions de femmes dans 114 pays à faible et moyen revenu risquent de ne pas avoir accès à la contraception et 7 millions de grossesses non désirées devraient se produire si le confinement se poursuit pendant 6 mois et si les services de santé restent fortement perturbés. Chaque période de 3 mois supplémentaires de confinement signifierait que 2 millions de femmes en plus dans le monde n’auraient pas accès à la contraception.

D’un autre côté l’ONU estime que 31 millions de cas supplémentaires de violences conjugales envers les femmes se produiront dans les six prochains mois si toutefois le confinement continue.  Les programmes de prévention des mutilations génitales féminines interrompus à cause de la pandémie vont également impacter la santé des femmes dans le monde. Ceci sans oublier le mariage d’enfants et ses désastreuses répercussions.

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Laftit : 5,1 millions de familles aidées et le déconfinement encore à l’étude

Le ministre de l’Intérieur Abdelouafi Laftit

Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a affirmé  hier (mercredi 30 avril 2020) que les scénarios possibles pour la levée de l’état d’urgence sanitaire sont actuellement étudiés et que toutes les mesures d’accompagnement sont examinées pour le déconfinement.

S’exprimant lors d’une réunion de la Commission de l’intérieur, des collectivités territoriales, de l’habitat et de la politique de la ville à la Chambre des représentants, le ministre a appelé de nouveau les citoyens à veiller au respect des mesures prises par les autorités publiques pour faire face à la pandémie du coronavirus.

En mettant en avant les mesures prises pour faire face aux retombées de la pandémie avec comme premier objectif la protection des citoyens, le ministre de l’Intérieur a souligné que la mise en œuvre optimale de l’état d’urgence sanitaire requiert avant tout « une conviction profonde de tous les citoyens en leur destin commun ».

Avant de lancer ces messages, Laftit a donné les derniers chiffres concernant les aides financières débloquées du Fonds spécial pour la gestion de la pandémie du Covid-19, au profit des détenteurs de la carte Ramed et des personnes affiliées à la CNSS.  Il a indiqué qu’un total de 5,1 millions de familles ont bénéficié des aides financières du Fonds spécial.

« Le fonds a aussi permis de soutenir 800.000 personnes affiliées à la CNSS, en arrêt de travail, et 2,3 millions familles détentrices de la carte Ramed, impactés par le Covid-19, en plus de deux millions de ménages non-Ramédistes », a-t-il affirmé.

Au cours des débats qui ont suivi l’intervention du responsable devant les membres de la commission, le ministre a évoqué l’application mobile lancée par la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), permettant aux agents de sûreté à différents barrages de contrôle de suivre les mouvements des citoyens. « Il s’agit d’une application 100% à caractère provisoire, développée par des cadres marocains », a-t-il précisé.

L’utilisation de cette application a été déployée avec l’accord de la Commission nationale de contrôle de protection des données à caractère personnel (CNDP), en ce sens qu’elle est respectueuse des informations personnelles.

« la mise en œuvre optimale de l’état d’urgence sanitaire requiert avant tout « une conviction profonde de tous les citoyens en leur destin commun. »

Mesures fortes prises par le Maroc

Laftit a rappelé que dès la confirmation des premiers cas de coronavirus, le Royaume a suspendu toutes les liaisons aériennes et maritimes avant de décréter l’état d’urgence sanitaire le 20 mars, ensuite prolongé jusqu’au 20 mai. « Tous les intervenants ont été mobilisés dès le départ avec en particulier la création d’une cellule locale de suivi dans chaque province et chaque région, afin d’apporter avec la célérité requise des solutions aux problèmes rencontrés », a poursuivi le ministre.

Le ministre a aussi mis en exergue  la mise à disposition des moyens et équipements de santé au niveau des hôpitaux, ainsi que la création d’hôpitaux de campagne, tout en assurant l’approvisionnement des marchés en produits de première nécessité.

Parmi les mesures adoptées, le responsable gouvernemental a rappelé le port obligatoire des masques médicaux pour toutes les personnes autorisées à se déplacer hors leur résidence dans les cas exceptionnels. A cet égard, l’effort visant l’approvisionnement du marché en quantités suffisantes de masques a permis la production de 110 millions d’unités.

(Avec MAP)

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via Abdo El Rhazi Laftit : 5,1 millions de familles aidées et le déconfinement encore à l’étude

L’Observateur N°532

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via Abdo El Rhazi L’Observateur N°532

Report des échéances bancaires pour deux ans? C’est possible!

Les Marocains qui ont été impactés par la crise du covid-19, peuvent bénéficier du report des échéances des crédits bancaires pour une durée pouvant aller jusqu’à 24 mois et non seulement de quatre mois comme décidé par le secteur bancaire et le comité de veille économique. Ce « droit de grâce » est possible selon l’article 149 de la loi sur la protection du consommateur qui offre aux emprunteurs la possibilité de suspendre le contrat de prêt via une procédure juridique.  «L’exécution des obligations du débiteur peut être, notamment en cas de licenciement ou de situation sociale imprévisible, suspendue par ordonnance du président du tribunal compétent. L’ordonnance peut décider que, durant le délai de grâce, les sommes dues ne produiront point intérêt», stipule l’article en question. Donc, les personnes qui peuvent justifier les difficultés économiques et sociales rencontrées ainsi que leur caractère temporaire peuvent solliciter le tribunal. Les sommes non réglées ne seraient pas productrices d’intérêts durant toute la période de report.

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Le plan de relance de l’économie verra le jour avant la fin de l’état d’urgence sanitaire

Les travaux pour la mise en place d’un plan de relance intégré et cohérent de l’économie nationale ont démarré lors de la sixième réunion du Comité de Veille Economique. Ce plan s’appuiera sur des plans de relance sectoriels, en tenant compte de la phase de redémarrage propre à chacun de ces secteurs selon ses spécificités. Ainsi, les membres du CVE ont acté les principes fondateurs du plan global et les mécanismes transverses d’appui à la relance y afférents. « une fois finalisés, ces plans seront soumis à l’appréciation du CVE pour consolidation et mise en cohérence dans le cadre d’un plan de relance global qui sera communiqué avant la date de la fin de l’Etat d’urgence sanitaire », précise le ministère de l’économie et des finances. La réunion virtuelle a été aussi l’occasion pour la présentation de la situation économique et financière globale du Maroc, en se basant sur les indicateurs conjoncturels les plus actualisés. Suite à l’adoption du décret édictant les nouvelles conditions d’accès aux mesures exceptionnelles en faveur des employeurs affiliés à la CNSS et de leurs employés déclarés, qui subissent les répercussions de la propagation de la pandémie du Covid-19, la rencontre a permis  la mise en place de la commission chargée de statuer sur les dossiers des entreprises ayant déclaré plus de 500 employés en arrêt provisoire du travail ou enregistrant une baisse de leur chiffre d’affaires entre 25% et 50%. Constituée des représentants des départements chargés de l’Economie et des Finances, du Travail, des secteurs concernés, et de la CGEM, cette commission, se réunira chaque jour à 14 h pour statuer sur les dossiers déclarés au niveau du portail dédié de la CNSS le jour précèdent. Lors de la prochaine rencontre prévue le vendredi 8 mai 2020 à 14H, le comité examinera particulièrement des solutions de financement long terme, adaptables à chaque secteur, pour soutenir la reprise des grandes entreprises, assortie d’une réduction des délais de paiement, et pour appuyer le redémarrage des PME et TPE opérant dans les différents secteurs d’activité. Des dispositifs de stimulation de la demande seront également discutés dans les prochains CVE, avec une attention particulière à la promotion du contenu local.

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La CGEM prépare l’après crise

La Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a mis en place trois guides pratiques et un kit de formation au profit des entreprises habilitées à reprendre leurs activités. Il s’agit d’un guide pratique des mesures préventives et sanitaires COVID-19 destiné aux Petites et Moyennes Entreprises (PME), un autre destiné aux Grandes Entreprises, un guide pratique d’audit interne sanitaire COVID-19 et un kit de formation mesures sanitaires COVID-19 au profit de l’ensemble du personnel. Ces 4 outils ont été présentés aujourd’hui lors de la réunion du Comité de Veille Économique (CVE). Ils visent à accompagner les entreprises en termes de mesures préventives et sanitaires pour assurer une sécurité maximale à leurs collaborateurs et à leurs clients. « Notre objectif, à travers la mise en place de ces outils, est de permettre aux entreprises, notamment les TPE et PME, d’appliquer les mesures préventives et sanitaires sur les lieux de travail. Leur utilisation est un prérequis important pour garantir une conformité exemplaire et limiter le plus possible les risques de propagation de la pandémie » indique Mohamed Bachiri, président de la commission « Innovation et Développement Industriel » chargée du projet.

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Florian Philippot attaque la France en louant le Maroc

Par sa bonne gestion de la pandémie du nouveau coronavirus, les bonnes pratique du Maroc font l’unanimité au sein de la sphère politique française, toutes tendances confondues.

Hier, mardi 28 avril 2020 au parlement français, Jean-Luc Mélenchon, figure de proue de l’extrême gauche française, invitait la France à imiter le Maroc.

Aujourd’hui, pour mieux critiquer la France, c’est au tour de l’ex-Front national et actuel président des « Patriotes », Florian Philippot d’abonder dans les louanges envers le Royaume. Il doit juste réviser les livres d’Histoire qui lui rappelleront que le Maroc n’a jamais été une colonie française.

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Un site e-commerce en quelques heures, c’est possible !

La start-up Hsabati lance un créateur de site e-commerce accessible afin d’aider les commerçants à continuer à générer du chiffre d’affaires durant cette crise sanitaire, mais aussi de préserver des emplois et de continuer de servir les foyers marocains.

« Shoppie », un créateur de site e-commerce permet à n’importe quel commerçant ou individu de créer une vitrine de vente en ligne sans avoir à investir dans l’achat, le développement ou encore la maintenance de l’infrastructure d’un tel canal de vente.

Si cet investissement s’élève en temps normal à plusieurs milliers voire dizaines de milliers de dirhams, Hsabati a décidé de mettre à disposition sa solution, son savoir-faire et son accompagnement, aux TPE, PME et auto-entrepreneur pour un prix à partir de 100 dhs/mois.  «Grâce à notre solution, il est possible de générer un site e-commerce en quelques heures, et créer un réel canal de distribution pour ses produits », explique Saad Kemmou, CEO de Hsabati, à l’origine de cette initiative.

La start-up ouvre aussi l’intégralité de sa plateforme de gestion gratuitement, et pour une période de 6 mois, à toute entreprise intéressée afin de pouvoir continuer à travailler et collaborer à partir de chez elle. 

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Sara Bellali, la chercheuse marocaine qui fait partie de l’équipe Raoult

Rendue célèbre grâce à ses premiers clichés au microscope du Covid-19, la jeune ingénieure casablancaise Sara Bellali, âgée à peine de 28 ans, combat désormais le virus auprès du Pr Raoult à Marseille.

Après des études en biologie à la Faculté des Sciences de Ben M’sik et un Master international en sciences de la santé et du développement, en partenariat avec l’Institut Pasteur du Maroc, la brillante ingénieure est sélectionnée en 2015, pour effectuer son stage de fin d’études à Marseille. Embarquée dans les locaux de l’IHU Méditerranée Infection, la chercheuse se spécialise dans la microscopie électronique. C’est là qu’elle sera encadrée par le Pr Didier Raoult, l’homme qui a dévoilé l’efficacité de la chloroquine contre le covid-19 alors que l’OMS demeurait sceptique. Elle se fait par la suite remarquer par ses recherches en microbiologie, avant d’occuper un poste important dans le prestigieux laboratoire à Marseille.

Fière des mesures drastiques prises par le Maroc, la chercheuse s’engage à redoubler d’efforts pour lutter contre le virus.

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Google meet offre ses services au grand public

Google s’y met aussi ! Après le grand succès de l’application Zoom boosté par le grand confinement mondial, Google offre gratuitement son outil professionnel de visioconférence « Google meet » aux utilisateurs grand public. La plateforme de conférences vidéo va être progressivement étendue dans les prochaines semaines, à condition de disposer d’un compte Google (Gmail) ou d’une identité Google, chose que l’on peut faire avec n’importe quel email personnel ou professionnel. Réservé jusqu’à maintenant aux clients professionnels, Google meet servait 6 millions d’entreprises et organisations utilisant G-Suite, la gamme de logiciels de Google (avec les emails, le calendrier, le partage de documents…). Avec le déclenchement de la pandémie et l’instauration de l’état d’urgence sanitaire partout dans le monde,  l’outil de Google a vu le volume de ses communications exploser. Ainsi l’application enregistre 3 millions de nouveaux utilisateurs chaque jour depuis début avril tandis que son utilisation quotidienne a été multipliée par 30 depuis janvier, comme l’affirment les chiffres publiés par la division cloud du moteur de recherche.

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Skate le monde. Echappée au Maroc avec Yassine Boundouq !

La nouvelle série documentaire SKATE LE MONDE sur TV5 Monde Canada vous fait voyager à travers vos écrans en cette période de confinement ! Après Israël, l’Espagne, l’Allemagne, le Japon et la France c’est au tour du Maroc d’accueillir l’équipe de Mathieu Cyr, humoriste et comédien québécois, passionné de BMX et de surf depuis son plus jeune âge. L’occasion pour les Marocains de découvrir, à travers son regard et ses rencontres, ce sport longtemps considéré comme un symbole de contre-culture.

L’épisode de 52 minutes sera diffusé sur TV5Monde le Mardi 12 mai 2020 : destination Agadir, Casablanca et Safi, en compagnie des pros de la glisse marocaine, dont Yassine Boundouq, aka « Moultawa ».

Né à Safi, Yassine Boundouq manie avec brio une grande variété de styles : free style, down hills, dancing et freeride. L’athlète du longboard réside aux Etats-Unis (Philadelphia) depuis 2017 mais revient régulièrement au Maroc où il réalise des vidéos dans le but de démocratiser le longboard et les sports extrêmes dans le Royaume.

« Cela me rend heureux et fier de voir que ceux à qui j’ai appris à skater ont persévéré et sont devenus très bons dans la discipline. A Agadir, plusieurs de mes anciens élèves sont aujourd’hui sponsorisés. Ils donnent des cours de skate aux enfants, organisent des championnats… Transmettre c’est ce qu’il y a de plus beau dans le sport et c’est ce qui donne de la valeur à ce que je fais ».

Présente au Maghreb depuis plusieurs années, la communauté des skateurs forme une fraternité qui transcende les barrières culturelles traditionnelles. L’univers de la planche réunit des communautés hétéroclites de tous âges qui se comprennent, qui se suivent et qui s’accueillent à bras ouverts. Au Maroc, les skateurs sont de plus en plus nombreux (preuve en est : l’ouverture d’un skate-park dans la capitale économique du pays en 2019) et développent des styles variés.

Les 13 épisodes de 52 minutes sont à voir en replay sur : https://ift.tt/2zIc98r.

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Vaccination perturbée, les enfants sont en danger

Les dommages collatéraux de la pandémie n’en finissent pas de se multiplier. Plus de 13 millions d’enfants, partout dans le monde, n’ont reçu aucun vaccin depuis l’année dernière. Lançant une alerte,  le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) appelle les gouvernements à intensifier leur action en avertissant contre les dangers de la perturbation des services de vaccination dans le contexte de la pandémie de Covid-19. «Les enjeux n’ont jamais été aussi importants. Alors que le Covid-19 continue de se propager à l’échelle mondiale, notre travail vital pour fournir des vaccins aux enfants est essentiel», déclare Robin Nandy, conseiller principal et chef de la vaccination à l’Unicef. Avec les perturbations dans les services de vaccination en raison de la pandémie de Covid-19, le sort de millions de jeunes est en jeu. L’Unicef estime que 182 millions d’enfants ont manqué la première dose du vaccin contre la rougeole entre 2010 et 2018, soit 20,3 millions d’enfants par an en moyenne. En effet, la couverture mondiale de la première dose de rougeole n’est que de 86%, bien en deçà des 95% nécessaires pour prévenir les flambées de rougeole.

Rappelons qu’au Maroc, le ministère de la santé a déjà annoncé que les activités de vaccination des enfants sont maintenues dans tous les centres de santé du royaume et dans les cabinets médicaux privés. Ceci malgré la situation actuelle de l’épidémie Covid 19. Le ministère  a assuré d’ailleurs que des mesures organisationnelles et préventives sont prévues afin de protéger les enfants, les parents et les agents de santé contre l’épidémie.

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Covid-19 : Des experts OCP transforment la crise en opportunité

Une équipe OCP 100% marocaine vient de réaliser une prouesse technique qui doit servir de bon exemple à suivre au niveau national.

Au lieu de déprimer, comme nombre de leurs homologues d’autres secteurs ici et ailleurs, qui se noient dans les prévisions catastrophistes fusant de toutes parts, des experts OCP ont choisi de trouver des solutions rapides aux problèmes d’entretiens de leurs outils de production.

Dans cet esprit, dans l’usine OCP de Safi, une équipe100% OCP et 100% marocaine annonce avoir réussi à faire une révision totale d’une turbine à vapeur (turbosoufflante). Cette équipe de choc affirme avoir réussi à changer tout le rotor. Résultat : « la turbosoufflante a pu tourner à une cadence de 115% supérieure à la nominale », détaille un communiqué du Groupe.

Pour rappel, la grande révision de ce type de turboréacteur se fait une fois tous les dix ans et constitue l’une des machines les plus complexes dans leurs révisions au sein d’OCP. Ce travail exige donc une très grande précision et des réglages très pointus. D’ailleurs, il était d’ordinaire assuré par des experts étrangers. Comme ces derniers sont obligés de rester chez eux, confinement sanitaire oblige, c’est pour cela que leurs homologues de l’OCP Safi ont décidé d’assurer ce travail sans attendre pour assurer le fonctionnement normal des installations industrielles de leur unité.

« Ceci ne peut que confirmer la compétence et l’expertise technique dont disposent nos collaborateurs et leur capacité à surmonter les challenges les plus complexe et difficiles pour le bien de notre groupe OCP et l’économie marocaine », affirme Youssef Azour, pilote OCP de la grande révision de la turbosoufflante de PSIII, cité dans un communiqué.

Tout le monde au sein du Groupe OCP se félicite de la prouesse et de l’exploit ainsi réalisé. Il est le fruit d’une intelligence collective porteuse qui donne un exemple concret sur la possibilité de transformer la crise sanitaire en opportunité.

« D’autres travaux similaires sont en cours par les équipes d’OCP maintenance Solutions (OCP-MS) en présentiel ou à distance à travers nos solutions digitales pour satisfaire d’autres clients sur d’autres périmètres », souligne Abdenour Jbili qui pilote cette unité.

Le noyau d’experts certifiés du Groupe a prouvé qu’il dispose de la haute compétence et technicité requise ainsi que de tout le matériel nécessaire pour les révisions des machines les plus complexes. L’avis est lancé aux entreprises nationales intéressées.

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Confinement ? L’OMS n’y est pour rien

Vous en avez assez du confinement? Ne blâmez pas l’OMS, elle n’y est pour rien.  “Nous n’avons jamais dit d’instaurer des mesures de confinement. Nous avons dit de suivre, tracer, isoler, traiter”, soutient Margaret Harris, la porte-parole de l’organisation dans un entretien au Sydney Morning Herald. Donc, le confinement est une décision des gouvernements qui « n’étaient pas en mesure de savoir où se déroulaient la plupart des transmissions”. Par contre, l’OMS reproche aux pays qui ont tout misé sur le confinement de ne pas avoir imposé un contrôle strict des personnes infectées ou « la mise en quarantaine de ceux qui auraient été en contact avec elles » et surtout de ne pas avoir fait de dépistage massif. Et pour le déconfinement que préconise l’OMS? “Vous devez pouvoir séparer les personnes infectées des personnes en bonne santé”. C’est-à-dire savoir auparavant d’où proviennent les transmissions. A en Coire la porte-parole, la pandémie n’est près de s’arrêter, « elle ne ferait d’ailleurs que commencer en Europe de l’Est et en Russie » dit-elle, assurant que l’OMS allait établir un bilan et serait même prête à accepter une enquête mondiale indépendante.

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Les arnaques du confinement

En cette période de confinement, le consommateur n’échappe pas aux différents types d’arnaques. «Nous avons enregistré plus de 600 plaintes écrites rien qu’en cette période de confinement », nous confie Ouadi Madih, président de l’association de protection du consommateur UNICONSO. Un réseau de guichets de consommateurs est mis en place par la fédération pour régler les problèmes des consommateurs. Vu le confinement, la fédération a convenu une entente avec le ministère de l’industrie et du commerce pour la remontée et la centralisation de tout type de réclamations. « En tête de liste des plaintes celles liées, aux prix et à  disponibilité des masques avant et après la réglementation du processus par le ministère. Ensuite, les consommateurs ont exprimé leur mécontentement par rapport aux prix des fruits et légumes que certains commerçants ont augmenté de manière abusive au début de la pandémie. Nous avons reçu aussi des plaintes concernant le paiement des écoles privées et l’e-commerce », détaille Ouadi Madih. Sur ce dernier point justement, président de l’association de protection du consommateur UNICONSO ne cache pas son inquiétude. « L’e-commerce sur les réseaux sociaux et la livraison à domicile se sont accentués ces dernières semaines. Mais le phénomène n’est pas dénudé de risques. Les offres se multiplient, et certains commerçants sont assimilés à des ferrachas électroniques. On ne les connait pas. Et ils n’affichent qu’un numéro de téléphone qu’ils pourront éteindre en cas d’arnaque. Il faut que le consommateur soit vigilant », prévient Ouadi Madih qui assure avoir reçu de nombreuses requêtes dans ce sens.

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L’ONMT prépare l’après crise

#3lamantla9aw, ou « Partager en attendant de nous retrouver», une nouvelle campagne de tourisme interne lancée par l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) en direction des Marocains.  « Derrière ce  hashtag se cache un véritable appel au ralliement dont l’objectif est d’accompagner l’ensemble des Marocains durant cette période de confinement, et de leur rappeler combien notre pays est notre plus précieuse ressource », souligne l’ONMT. La campagne comprend également une série de capsules présentant des acteurs du tourisme dans leur quotidien pendant ce confinement. « L’ONMT souhaite à travers cette campagne rendre hommage aux métiers du tourisme et fait voyager les Marocains au cœur de cet univers », ajoute l’ONMT qui explicite les objectifs de cette campagne «Trois objectifs ont motivé la mise en place de cette campagne : valoriser les femmes et les hommes du secteur, mobiliser

tout le secteur du tourisme mais aussi impliquer tous les marocains, les personnes référentes, les influenceurs…et sensibiliser au « made in Morocco » en alimentant cet état d’esprit qui contribuera à soutenir l’industrie pendant, et surtout après la période de crise.

Cette campagne sera déclinée dans un premier temps durant tout le mois de ramadan sur les réseaux sociaux et sur les chaînes de télévision nationales et sera suivie dans un second temps, après le déconfinement, par une autre campagne d’inspiration au voyage au Maroc.

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Étude. Disparition de la pandémie en juin

La pandémie du covid-19 disparaitrait à hauteur de 97% au 31 mai prochain,  à 99% au 12 juin 2020 avant une disparition totale au 29 juillet 2020. Ce sont les prévisions d’une étude menée par l’Université de Technologie de Singapour. Les estimations concernent aussi plusieurs autres pays dans le monde. Dans la région du moyen orient et de l’Afrique du nord, l’étude prévoit la fin de pandémie entre les mois de mai et de juin prochains. En Tunisie par exemple, l’épidémie disparaitrait à partir du 5 mai à 97%. Pour le Liban et la Jordanie où l’épidémie a commencé plus tôt, l’étude note que le virus aurait déjà disparu entre le 19 et le 22 du mois d’avril courant.

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Ford reprend ses activités en Europe

Ford relance la production dans la plupart de ses usines en Europe à partir du 4 mai. L’approche sera progressive dans les usines en Allemagne, en Roumanie… Et la production reprendra à l’usine de moteurs de Valence en Espagne le 18 mai. Dans les usines de moteurs au Royaume-Uni, la date sera confirmée ultérieurement. « Nous devons nous préparer à un nouvel environnement une fois que nous aurons dépassé le pic initial de la pandémie de coronavirus en Europe. La priorité essentielle de notre plan de ‘retour sur le lieu de travail’ étant le déploiement des normes mondiales de Ford sur la distanciation sociale et le renforcement des protocoles de santé et de sécurité. Nos employés ont besoin de savoir que nous prenons les mesures appropriées pour préserver leur santé et leur bien-être au travail », a déclaré Stuart Rowley, président de Ford Europe. Selon le groupe, la priorité sera donnée aux commandes affectées clients et sera progressivement accélérée au cours des prochains mois avant de reprendre la production à plein régime. Les plans de reprise de production tiennent également compte de la capacité des fournisseurs à reprendre l’activité, des restrictions de circulation nationales, de la réouverture des concessions Ford sur les marchés clés ainsi que de la tendance de la demande des marchés. La priorité  sera donnée également à la préservation de la santé des employés. “Nos responsables syndicaux à travers l’Europe ont convenu de mesures de grande envergure pour la meilleure protection possible des employés, des mesures qui vont au-delà de celles prescrites au niveau national et s’appliquent à toutes nos usines en Europe », note Martin Hennig, président du comité d’entreprise européen de Ford.

Le groupe entend aussi produire des masques de protection qui seront utilisés dans ses installations à travers toute l’Europe. L’objectif est double : produire pour son propre usage, et contribuer à la réduction de la demande sur les chaînes d’approvisionnement dont ont également besoin les services médicaux et d’autres secteurs.

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« Ana Maak » : 7000 familles soutenues en moins de 20 jours

 

En cette période de confinement, nombreux sont les journaliers(ères), les commerçants (es), les travailleurs et les travailleuses dans le secteur informel, hommes et femmes, qui n’ont plus aucun revenu parce que ne pouvant plus avoir aucune activité rémunérée. Certes, l’État fournit un effort colossal pour leur venir en aide, mais leurs concitoyens peuvent aussi les soutenir directement. « Ana Maak » facilite l’aide directe à ces populations.

Formé de bénévoles engagés en faveur de la solidarité, le collectif « Ana Maak » offre la possibilité aux donateurs d’acheter des bons d’achats Sodexo sous forme de carnet comprenant 25 tickets de 20 dirhams chacun. L’octroi de ces carnets aux familles nécessiteuses se fait par des relais qui sont désignés par les autorités locales à Casablanca, Rabat, et Meknès.

« Le collectif a décidé d’associer les autorités locales à son action pour des raisons de sécurité sanitaire et de fiabilité. Celles-ci ont l’expérience des opérations à grande échelle comme pour l’INDH et d’autres initiatives… », explique le collectif.

Les bénéficiaires peuvent utiliser leurs bons d’achat pour s’approvisionner en produits de première nécessité dans les supermarchés (Marjane, Acima, Carrefour, Aswak Assalam et Atacadeo) ou pour acheter des médicaments dans les pharmacies.

En moins de vingt jours, la chaîne de solidarité ainsi formée a déjà rendu le sourire à près de 7000 familles. Et elle continue à grandir…

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Le Royaume-Uni ouvre son réseau 5G à Huawei

Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni, a officiellement autorisé Huawei à participer à la construction du réseau 5G britannique. Faisant du déploiement de nouvelles infrastructures télécoms l’une de ses priorités, Boris Johnson veut jouer la carte de la technologie auprès des investisseurs étrangers au moment où le pays s’apprête, ce vendredi, à quitter l’UE. « Cette décision fondée sur des données probantes se traduira par une infrastructure de télécommunications plus avancée, plus sûre et plus rentable, adaptée à l’avenir.», commente Victor Zhang, Vice-Président de Huawei qui est déjà partenaire du Royaume-Uni pour son réseau 4G depuis une quinzaine d’année et y emploie plus de 1600 personnes.

Aujourd’hui, des technologies comme la 5G, le cloud et l’Intelligence artificielle sont les principaux moteurs de l’innovation qui pourraient accélérer la transformation numérique dans toutes les industries. D’ici 2025, il y aura 100 milliards de connexions dans le monde, toutes les entreprises utiliseront le cloud et 77% des applications cloud seront alimentées par l’IA. Ken Hu, vice-président de Huawei a déclaré que lorsque ces technologies seront combinées, il y aura des changements fondamentaux dans toutes les industries. Ces technologies vont également remodeler tout ce que nous connaissons aujourd’hui, a-t-il fait savoir.

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