Thursday, December 31, 2020

2020 LE MAROC RÉSILIENT

Cet article 2020 LE MAROC RÉSILIENT est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi 2020 LE MAROC RÉSILIENT

Le Maroc se dote d’un institut de formation aux énergies renouvelables

A l’issue du conseil de gouvernement de ce jeudi, il a été décidé de lancer l’institut de formation aux métiers des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique à Ouarzazate. Le projet de décret adopté a pour objectif de doter cet institut d’un cadre juridique définissant son organisation, ses conditions d’accès, les cycles de formation et les dispositions liées à son administration et sa gestion.

Cet article Le Maroc se dote d’un institut de formation aux énergies renouvelables est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Le Maroc se dote d’un institut de formation aux énergies renouvelables

ONEE, un contrat pour un parc éolien à Essaouira

L’ONEE, Nareva Holding et Enel Green Power ont signé les contrats relatifs au parc éolien de Jbel lahdid près d’Essaouira. 
Situé à environ 25 km au Nord Est de la ville d’Essaouira, le parc éolien de Jbel Lahdid, est doté d’une puissance installée de 270 MW. Il mobilisera un investissement d’environ2,8 milliards de dirhams. La mise en service de ce troisième parc du Programme éolien Intégré 850 MW sera progressive et est prévue à partir du premier semestre 2023.

Pour rappel, le Programme Eolien Intégré 850 MW est composé des parcs éoliens « Midelt -210 MW », « Boujdour-300MW », « Jbel Lahdid- 270 MW « , et « Tiskrad- à Tarfaya – 100MW ». il constitue une composante importante de la stratégie énergétique nationale, dont l’objectif est d’atteindre 52% de la puissance électrique installée à base d’énergie renouvelable à l’horizon 2030.

Développé dans le cadre de la production privée d’électricité, c’est le groupement « Nareva Holding – Enel Green Power », associé au fabricant d’éoliennes « Siemens Gamesa Renewables (Allemagne) », qui avait remporté en 2016 l’appel d’offres international pour le développement, la conception, le financement, la construction et l’exploitation et la maintenance du Programme Eolien Intégré 850 MW. Ce Projet structurant a également permis l’émergence d’une industrie éolienne Marocaine à travers, notamment, la mise en place à Tanger par le fabricant susmentionné d’une usine de production de pales avec une capacité annuelle d’environ 600 unités (soit l’équivalent de plus de 600 MW/an).

Cet article ONEE, un contrat pour un parc éolien à Essaouira est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi ONEE, un contrat pour un parc éolien à Essaouira

Affaire Maati Mounjib : Le parquet général met les point sur les «i»

 

Suite à la publication d’un communiqué du «Comité de solidarité avec Maati Mounjib», le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat répond point par point aux allégations avancées dans ce document.  

 

Le procureur du Roi près le tribunal de première instance de Rabat affirme dans un communiqué, publié ce jeudi 31 décembre, avoir pris connaissance d’un communiqué du «Comité de solidarité avec Maati Mounjib». Il en rappelle la teneur ainsi :

Ce document considère comme abusive et enfreignant les dispositions du code pénal, l’arrestation de Maati Mounjib sous prétexte qu’elle s’est déroulée le mardi 29 décembre 2020 à 15H à l’intérieur d’un restaurant à Rabat, alors que le mis en cause était en train de manger. L’illégalité de l’arrestation est également mise en doute parce que l’accusé a été arrêté par de nombreux agents en civil qui étaient arrivés sur les lieux à bord de deux voitures de police.

Regrettant que de tels préjugés soient avancés sans aucun égard aux dispositions légales, le parquet général note, en outre, qu’ils n’obéissent ni au bon sens ni à la logique.

Dans son communiqué, le procureur du Roi remet en question les éléments fondateurs ayant conduit à la conclusion que l’arrestation est illégale et ne respecte pas le code pénal. Il pose donc une série de question :  est-ce que l’interpellation serait contraire à la loi parce qu’elle s’était déroulée à 15H ? ou parce qu’elle a eu lieu un mardi ? ou parce qu’elle a eu lieu dans un restaurant à Rabat ? ou parce que la personne interpellée était en train de manger ? ou parce que cette interpellation a été effectuée par des agents qui étaient en civil ? ou parce que ces derniers sont arrivés à bord de deux voitures de police ?

Le procureur du Roi note que les auteurs du communiqué se sont érigés en tribunal s’arrogeant le doit de conclure à l’illégalité de procédures judiciaires. Il note aussi que ces « juges » ont leur propre grille de lecture leur faisant croire qu’une arrestation n’est légale que si elle se déroule à domicile du prévenu qui doit être interpellé, selon cette même grille, en flagrant délit. Selon les mêmes allégations, la fin de l’enquête préliminaire n’autorise, en aucune façon, le parquet général à astreindre l’accusé à se présenter devant le juge d’instruction. De ce point de vue, le parquet général serait juste habilité à demander l’ouverture d’une enquête sans possibilité de présenter l’accusé devant le juge d’instruction.

Le parquet général affirme s’empêcher de discuter de telles assertions n’ayant rien à voir avec la saine application de la loi, et déclare laisser le soin à l’opinion publique judiciaire pour qu’elle évalue la pertinence ou pas des décisions judiciaires prises. Il rappelle au passage que seule la justice est habilitée à décider de la légalité des procédures.

Par ailleurs, se disant attaché à la stricte application des dispositions légales, le parquet général regrette de telles instrumentalisation visant à nuire à des institutions nationales. Il rappelle que les lieus indiqués pour débattre des procédures judiciaires sont uniquement les bureaux des juges et les salles des tribunaux.

Il a été également rappelé que les communiqués du parquet général sont publiés pour éclairer l’opinion publique nationale et assurer au citoyen son droit à l’information quand il s’agit d’affaires judiciaires suscitant de l’intérêt de la part du grand public et pouvant donner lieu à la circulation d’informations. En communiquant, le parquet général souligne que son objectif est aussi de mettre fin à certaines rumeurs, aux informations tendancieuses et aux fake news.

« Les communiqués ne sont pas des PV d’enquête et d’investigation qui servent de base aux jugements », rappelle la même source. Le procureur du Roi souligne que ses communiqués ne constituent pas des décisions judiciaires, c’est juste un moyen d’information des différentes catégories de l’opinion publique, utilisant de ce fait un langage simple et non le jargon technique qu’on retrouve dans les PV et autres documents juridiques.

 

Cet article Affaire Maati Mounjib : Le parquet général met les point sur les «i» est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Affaire Maati Mounjib : Le parquet général met les point sur les «i»

Perturbations du trafic à Casablanca

La Société Nationale des Autoroutes du Maroc informe ses clients usagers que dans le cadre du projet d’élargissement de l’autoroute Casablanca – Berrechid, les travaux de reconstruction et de remplacement du pont ferroviaire desservant l’aéroport international Mohammed V par deux ponts métalliques de type RAPL, atteignent leur phase finale.

Cela entrainera des perturbations de trafic entre l’échangeur Sidi Maarouf et l’échangeur de l’aéroport international Mohammed V pendant la nuit du 03/01/2021 au 04/01/2021.

  • Sens Berrechid vers Casablanca: A partir de 21 h00 du 03/01/2021 jusqu’à 7h00 du matin du 04/01/2021, suspension de la circulation autoroutière :

Les clients-usagers empruntant l’autoroute en provenance de Berrechid et à destination de Casablanca, El Jadida et Rabat sont priés de quitter l’autoroute au niveau de l’échangeur de l’aéroport international Mohamed V

  • Sens Casablanca vers aéroport Mohamed V et vers Berrechid : A partir de 21 h00 du 03/01/2021 jusqu’à 7h00 du matin du 04/01/2021, légère perturbation de la circulation autoroutière :

Les clients-usagers empruntant l’autoroute en provenance de Casablanca, El Jadida et Rabat et à destination de l’aéroport Mohammed V, Berrechid et les villes suivantes continueront à emprunter l’autoroute, avec un basculement provisoire de la circulation au droit de la zone du projet.

Cet article Perturbations du trafic à Casablanca est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Perturbations du trafic à Casablanca

48MDH pour la promotion du tourisme à Souss-Massa en 2021

Le Conseil de la région Souss-Massa a consacré une enveloppe de 48MDH à la mise en place d’une stratégie et des projets  pour la promotion touristique en 2021.

A l’issue de sa dernière session ordinaire, le conseil de la région Souss-Massa a approuvé une convention de partenariat avec la société de développement touristique Souss-Massa (SDR). Objectif : fixer les mécanismes de coopération entre les deux parties afin de relancer le secteur touristique dans la région. Sur les 48 MDH objet de l’accord, quelque 44,64 MDH sera dédié au financement des projets délégués à la SDR. Les 3,36 MDH restants, y compris la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), seront destinés à la SDR en contrepartie de ses services.

Cet article 48MDH pour la promotion du tourisme à Souss-Massa en 2021 est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi 48MDH pour la promotion du tourisme à Souss-Massa en 2021

Médicaments/CNOPS, plus besoin de vignettes de prix

Pour les dossiers de remboursement des actes médicaux, la CNOPS annonce la suppression des vignettes du prix public de vente pour les assurés

Selon la CNOPS, cette décision prendra effet à partir du 2 janvier 2021. Les producteurs de traitements seront aussi exemptés de la présentation de ces vignettes lors du dépôt des dossiers de facturation liés à la prestation de services dans le cadre du tiers payant. Les assurés sont donc appelés à déposer leurs dossiers de demande de remboursement portant l’identité de l’assuré avec le montant des frais engagés, l’identité du médecin traitant son cachet, sa signature et la date du traitement, l’identité du pharmacien, son cachet, sa signature datée et la somme des frais des médicaments. La CNOPS précise que l’INPE du pharmacien doit obligatoirement figurer dans les dossiers de maladie à partir du premier mars 2021. L’ordonnance des médicaments soit aussi être signée et cachetée à la fois  par le médecin traitant et le pharmacien. Et le dossier doit être déposé avec le numéro de série des médicaments achetés imprimé sur la boîte de médicaments ou le remplacer par la boite du médicament

Cet article Médicaments/CNOPS, plus besoin de vignettes de prix est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Médicaments/CNOPS, plus besoin de vignettes de prix

Pourquoi le vaccin tarde-t-il à arriver ?

 

Contrairement à ce qui a été déjà annoncé, la campagne de vaccination anti-Covid-19 n’a pas été lancée fin 2020. Un membre du comité scientifique national du vaccin nous explique les raisons de ce retard.

 

Par Hayat Kamal Idrissi 

 

Alors que tout le monde attend, avec impatience, l’annonce du démarrage officiel de l’opération de vaccination anti-Covid-19, beaucoup de questions se posent à propos du retard de son arrivée sur le territoire national.

Dans une déclaration au site d’information Kifache.com, Dr  Amina Barakate, membre du comité scientifique national du vaccin, a dévoilé que ce retard est imputé principalement aux procédures techniques et administratives au niveau du pays de provenance du vaccin. Niant que ça soit pour des causes internes, l’experte a noté que le Maroc a tout préparé pour un démarrage immédiat de l’opération dès la réception du vaccin chinois. « Nous avons déjà tout préparé. Les autorisations locales sont prêtes. Nous attendons juste que celles chinoises soient à point pour que le vaccin puisse arriver au Maroc », détaille Barakate.

Trois mois

Quant au vaccin chinois arrivé mercredi en Turquie, l’experte a expliqué qu’il ne s’agit pas du même vaccin commandé par le Maroc. « Au Maroc, nous n’utiliserons que les vaccins autorisés et approuvés médicalement et administrativement et dont l’efficacité et la sécurité d’utilisation sont déjà prouvées », insiste Dr Amina Barakate.

Fort d’une grande expérience en matière de vaccination, notre pays s’apprête, tout confiant, à mener cette nouvelle campagne ; en déployant tous les moyens pour remporter cette bataille contre le virus. « Notre grand défi serait d’accomplir cette grande mission dans un délais de trois mois. Objectif : Permettre une immunisation efficace de 80% de la population et permettre un retour progressif à la vie normale », conclut l’experte.

 

Cet article Pourquoi le vaccin tarde-t-il à arriver ? est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Pourquoi le vaccin tarde-t-il à arriver ?

Wednesday, December 30, 2020

Haro sur la discrimination contre les femmes en situation de handicap  

 

Une nouvelle initiative de sensibilisation pour la lutter contre toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes en situation de handicap sera lancée à partir d’aujourd’hui.

Par Hayat Kamal Idrissi 

C’est une campagne digitale de sensibilisation pour la lutte contre toutes les formes de discrimination dont sont victimes les femmes et les filles en situation de handicap. Initiée par le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et son mécanisme de protection des droits des personnes en situation de handicap, cette nouvelle opération sera lancée à partir d’aujourd’hui.

Double discrimination

«Nous lançons cette campagne digitale pour lutter contre les discriminations composées et doubles dont souffrent les femmes et les filles en situation de handicap »,  déclare Amina Bouayach, présidente du CNDH. Insistant sur la participation de cette catégorie dans la gestion de la chose publique, Bouayach note l’importance de lutter contre « les stéréotypes qui donnent lieu à plusieurs formes de discrimination », déplore-t-elle.

Fruit de l’interaction du CNDH avec la recommandation du Comité des Nations unies, cette nouvelle campagne est la concrétisation de ses efforts de déconstruction des préjugés discriminatoires envers cette catégorie de la population. La campagne cible particulièrement les utilisateurs des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Youtube) qui regroupent différentes catégories sociales. En langue arabe (dialectal), en amazighe et en langue des signes, la campagne essaiera de toucher le maximum de personnes pour un meilleur impact.

Témoignages vivants

D’après le CNDH, des moyens adaptés et spécifiques seront déployés pour réussir cette campagne de sensibilisation.  Des outils audiovisuels sont au menu avec une vidéo témoignage de femmes et de filles en situation de handicap,  une vidéo dispensant des conseils et des messages de sensibilisation et une autre de questions/réponses sur la question du handicap.

Rappelons que le mécanisme national pour la protection des droits des personnes en situation de handicap (PESH) est chargé notamment de recevoir les plaintes présentées directement par les personnes en situation de handicap victimes de violation de l’un de leurs droits, par leurs représentants ou par auto-saisine.

« Le mécanisme procède aussi à toutes les investigations nécessaires pour la protection et la promotion des droits des PESH, en tenant compte des principes de l’égalité des chances et de la non-discrimination » affirme de son côté Zhor Alhorr, coordonnatrice du Mécanisme national des droits des personnes en situation de handicap.  La responsable rappelle d’ailleurs le rôle joué par ce dernier leur intégration dans la société tout en veillant à leur pleine participation fondée sur le respect de l’indépendance individuelle et  la dignité humaine.

 

Cet article Haro sur la discrimination contre les femmes en situation de handicap   est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Haro sur la discrimination contre les femmes en situation de handicap  

SOMACA. José Manuel Fuentes prend les commandes

Dès le 1 er janvier 2021, José Manuel Fuentes sera officiellement le nouveau Directeur Général de la SOMACA – l’Usine Renault de Casablanca.

Succédant à Mohamed Bachiri, l’actuel Directeur Général du concessionnaire à Tanger, ce fils d’Espagne est ingénieur de formation. Fuentes a rejoint le Groupe en 1999 en tant que chef d’atelier Peinture à l’usine de Palencia. 

Parti ensuite pour la France en 2013, il occupera le poste de Directeur de Fabrication à l’usine de Maubeuge puis celle de Douai. Il entame ensuite son parcours en 2017 à la région AMI Pacific, en tant que Directeur Manufacturing Projet Iran. 

Depuis maintenant 2 ans, il dirige Renault Algérie Production à Oran.

Cet article SOMACA. José Manuel Fuentes prend les commandes est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi SOMACA. José Manuel Fuentes prend les commandes

Ahmed Al Barrak, l’exposition hommage

A l’occasion du premier anniversaire du décès d’Ahmed Al Barrak, Medina Art Gallery de Tanger nous convie à un vibrant hommage posthume : une grande rétrospective retraçant les diverses facettes de son œuvre. Du 10 janvier au 10 février 2021.

 

 

Cette exposition en hommage au peintre Ahmed Al Barrak donne à voir l’ensemble de ses œuvres. Un parcours hanté par la quête de la mémoire, d’empreintes, de signes, de traces… et du temps qui passe. A coup de traits, maîtrisés ou gestuels, de tons, tantôt sombres, tantôt chatoyants, Ahmed Al Barrak voile et dévoile l’archéologie d’un infini palimpseste.

 

 

Né le 24 janvier 1952 à Tétouan, Ahmed Al Barrak y poursuit ses études primaires avant de débarquer à Tanger à l’âge de 12 ans. Passionné par les arts et les lettres, ses professeurs et amis l’encouragent à enjamber les méandres d’une carrière artistique. Il passe alors, avec succès, son concours pour intégrer les Arts Appliqués de Casablanca. Après l’obtention de son Diplôme de Technicien Marocain, il intègre le Centre Pédagogique Régional de Rabat d’où il sort diplômé en 1975. Il enseigne alors dans le premier cycle, puis il est reçu au concours d’entrée au Cycle Spécial de Rabat en 1979. Après cette formation il enseigne dans le second cycle et continue de suivre divers stages au Maroc et à l’étranger pour parfaire ses techniques pédagogiques. Ainsi durant 45 ans, Ahmed Al Barrak   mène une vie dédiée à la création artistique, à la formation de générations de jeunes filles et garçons, à l’organisation et à la participation aux diverses activités culturelles.

 

 

Plasticien aux multiples talents, artiste peintre, photographe, blogueur… Ahmed Al Barrak décède le 10 Janvier 2020 à Tanger nous léguant une œuvre, traces de la palette d’une vie riche et passionnée.

Cette grande exposition/hommage est accompagnée d’un beau livre, «Ahmed Al Barrak, le peintre de la mémoire », rehaussé des plumes de Mohamed Ameskane, Mohamed Métalsi, Khalil M’Rabet, Omar Salhi et Hafida Aouchar.

 

LIRE AUSSI :

Mararkech. Acturial rend un vibrant hommage à Mohamed Melehi

Cet article Ahmed Al Barrak, l’exposition hommage est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Ahmed Al Barrak, l’exposition hommage

Export. Côte d’Ivoire : Une mine d’opportunités pour les investisseurs marocains

L’ASMEX a organisé dans la journée un webinaire de la série « Doing business ».  En partenariat avec le cabinet Harvard Consulting, le but a été d’appréhender les opportunités d’affaires qu’offre le marché ivoirien. 

Les relations du Maroc et de la Côte d’Ivoire remontent à 1962. Elles ont pris une nouvelle dimension après la signature, le 21 janvier 2015, d’un accord de partenariat stratégique et économique.

Aujourd’hui, plus de 50 acteurs économiques marocains sont engagés aux côtés de plus de 80 partenaires ivoiriens pour la réalisation de 160 projets structurants.

Ces projets touchent plusieurs domaines notamment celui du logement social, de l’agriculture, du tourisme, des communications, des mines, de la pêche et des infrastructures ainsi que la valorisation de la baie de Cocody.

Il en ressort de ce  webinaire,  présidé par Saloua Karkri Belkeziz, présidente de la Commission Afrique au sein de l’ASMEX et animé par  Philippe Cordier, fondateur de Ceemo, spécialisée dans le conseil et les services opérationnels en Afrique de l’Ouest, que le taux d’inclusion financière de ce pays ouest-africain est plutôt faible malgré un grand nombre de banques.

Pour info, 22% de la population de plus de 15 ans possède un compte bancaire tandis que 55% de cette même population possède un compte mobile money. La Côte d’Ivoire compte aussi 29 banques dont 26 filiales et 1 agence pour 36.000 habitants contre 1 agence pour 5.400 habitants au Maroc.

En 2019 la Côte d’Ivoire était le 26ème marché d’exportation du Maroc (0,6% des exportations marocaines) et le 79ème marché d’importation du Maroc.

Les exportations du Maroc vers la Côte d’Ivoire couvrent plusieurs domaines d’activité, à savoir par exemple, 70 à 80% des médicaments du pays proviennent du royaume ou encore, les exportations de fertilisants qui s’élèvent à 45 millions de dollars et l’équipement électrique à 28 millions de dollars.

Le secteur du papier exporte quant à lui pour 14 millions de marchandises tandis que pour les produits de la mer les échanges s’élèvent à 11 millions de dollars.

Les importations du royaume en provenance de Côte d’Ivoire concernent le bois à hauteur de 4,9 millions de dollars et le cacao à hauteur de 4,3 millions de dollars.

«Depuis 2017, le marché des dispositifs médicaux en Côte d’Ivoire a connu une forte croissance de près de 100% au niveau des importations », a informé dans ce sens, Philippe Cordier les exportateurs marocains.

Selon le fondateur de Ceemo, le secteur des cosmétiques est aussi porteur et représente une opportunité viable pour l’offre exportable marocaine. « La femme ivoirienne utilise en moyenne 9 produits capillaires, 7 produits de maquillages et 5 autres produits de soins de la peau. Les marques étrangères sont préférées par 73% des Ivoiriens contre 27% pour les marques locales ».

Toutefois, la Côte d’Ivoire comme beaucoup de pays en voie de développement comptent un nombre d’entreprises qui opèrent dans le secteur informel et dont l’importance est indéniable.

Quoiqu’il en soit, l’excès de régulations publiques ne constitue pas une entrave importante au développement des activités informelles car il existe entre l’administration et le secteur informel un modus vivendi basé sur l’ignorance mutuelle.

Cet article Export. Côte d’Ivoire : Une mine d’opportunités pour les investisseurs marocains est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Export. Côte d’Ivoire : Une mine d’opportunités pour les investisseurs marocains

La Fondation Attijariwafa bank s’intéresse aux spécificités de la culture juive marocaine

La Fondation Attijariwafa bank clôture l’année 2020 avec la thématique « à la redécouverte de la culture juive marocaine » dans le cadre de son cycle de conférences « Échanger pour mieux comprendre ».

 

 

Plusieurs personnalités ont pris part à ce voyage historique, culturel et artistique notamment Françoise Atlan, Chanteuse lyrique, spécialisée dans l’interprétation des anciennes musiques traditionnelles arabo-andalouses ; Joseph Yossi Chetrit, Professeur émérite de l’Université de Haïfa, chercheur spécialiste dans l’étude des langues juives et de la culture juive en Afrique du Nord et Ahmed Harrouz, artiste peintre et chercheur, coordinateur de l’association Essaouira Mogador.

Le professeur Chetrit a procédé à un rappel de faits historiques, démontrant que la culture musulmane et juive sont indissociables, depuis le VIe siècle. « Les Juifs d’Espagne qui subissaient la persécution des Wisigoths effectuaient des va-et-vient permanents entre la Péninsule Ibérique et le Maroc pour s’y réfugier ; par la suite, la conquête de l’Andalousie par les Musulmans aura lieu en 711 avec l’aide active des Juifs d’Espagne afin que ces derniers puissent bénéficier de leur protection. Plus tard, les précurseurs de l’âge d’or espagnol seront issus, pour la plupart, du centre culturel juif de Fès. » Ce brassage culturel et intellectuel doublé d’une liberté de culte, cesseront entre 1140 à et 1269, durant le règne des Almohades ; avant d’être rétablis par les Mérinides.

Cette convivance apaisée trouve aussi son origine dans la complémentarité des rôles des deux communautés, sur les plans économique et social. « Alors que les Musulmans s’adonnaient à l’agriculture, la pêche et l’artisanat ; les Juifs étaient traditionnellement tournés vers le commerce, la joaillerie et les langues étrangères ».

Sur le plan artistique, Atlan a insisté sur les grandes similitudes entre les musiques judéo-andalouse et arabo-andalouse qui ont permis de faire jouer ensemble les musiciens les plus talentueux, issus des deux communautés.

Depuis une décennie, nous assistons à un regain d’intérêt témoignant de la volonté des jeunes générations de mieux connaître ce pan de la culture marocaine. Plusieurs documentaires et films cinématographiques initiés par la nouvelle vague de réalisateurs marocains explorent cette mémoire pour tenter de comprendre les raisons du départ des Juifs marocains et de mesurer le vide laissé dans leurs localités d’origine.

Enfin, Ahmed Harrouz a rappelé la genèse du projet Bayt Dakira dont l’inspirateur est André Azoulay, Président d’honneur de l’association Essaouira Mogador. Cette genèse a requis une profonde réflexion sur la portée de l’héritage culturel et artistique judéo-marocain. « Aujourd’hui, Bayt Dakira, est un lieu unique au sud de la Méditerranée, à la fois musée et centre de recherches historiques, culturelles et spirituelles.  Il témoigne du passé judéo-musulman d’Essaouira et de la destinée exceptionnelle des Juifs de Mogador dans le monde ainsi que de la richesse de leurs relations avec les populations musulmanes ».

 

LIRE AUSSI :

Andalousies Atlantiques 2020. Le « Matrouz » réunit Juifs et Musulmans

 

Cet article La Fondation Attijariwafa bank s’intéresse aux spécificités de la culture juive marocaine est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi La Fondation Attijariwafa bank s’intéresse aux spécificités de la culture juive marocaine

Jérôme Cohen OLivar. « L’amour est la plus belle des religions »

Après « L’Orchestre de minuit » (2015) et « The 16th épisode » (2019), le réalisateur franco-marocain Jérôme Cohen Olivar revient avec un nouveau projet personnel « Autisto », fruit de la première co-production cinématographique entre le Maroc, Israël et les Etats-Unis.

 

 

 

Votre prochain film s’appelle « Autisto ». De quoi s’agit-il ?

 

C’est l’histoire d’une femme juive qui vit à Te Aviv et qui a un enfant autiste et épileptique. Cette maman mène une vie effrénée pour pouvoir joindre les deux bouts et subvenir aux besoins de son enfant. Un jour, l’état de ce dernier se dégrade, il tombe par terre et se retrouve à l’hôpital après une crise d’épilepsie… C’est un peu le bout du rouleau, elle est confrontée à l’inévitable et refuse de mettre son enfant dans un centre. A l’hôpital, elle rencontre une dame qui lui conseille d’aller visiter un saint qui fait des miracles au Maroc, Rabbi Haïm Pinto, à Essaouira, puisqu’il l’a guéri de mon cancer. Bien qu’elle soit sceptique, elle y va quand même y aller et se retrouve sur la tombe de ce saint, sauf que ce n’est pas le ce dernier qui va sauver le petit !

 

Vous ne croyez pas aux miracles des saints ?

 

Je crois en l’Homme avant de croire au Religieux, avant de croire en ce que l’Homme a fabriqué. Et pour moi, l’amour est la plus belle des religions. C’est peut-être puéril de dire cela mais je ne trouve pas d’autres mots pour exprimer ce que je ressens.

 

Votre enfant est autiste. C’est un thème qui vous tient à cœur ?

 

Absolument. Ça faisait très longtemps que mes amis, mes proches me demandaient d’écrire une histoire sur l’autisme ? J’e n’avais ni le courage ni l’envie ni l’angle. Des fois, le destin fait bien les choses, certains événements se sont produits petit à petit et ça a commencé à m’envahir, jusqu’au moment, comme pour tous mes projets, je n’ai plus le choix que de les accoucher sur du papier. Et à partir de là, ça devient une véritable urgence, une envie qui vous ronge de l’intérieur jusqu’à ce que le projet se concrétise.

 

Quelle est la part autobiographique dans ce film ?

 

Je pense que c’est film personnel, tout comme « L’orchestre de minuit ». C’est tiré de faits qui me sont proches ; je ne parlerais pas d’autobiographie, mais plutôt d’inspiration qui vient de mon propre vécu, car il y a des choses qu’on écrit et qui jaillissent de notre subconscient et qu’on finit par transmettre : ça peut être des peurs, des envies, … C’est un film personnel mais c’est aussi un film pour le public, un film pour ces femmes qui ont des enfants autistes ou avec un handicap et qui se battent tous les jours et qui crient leur détresse sur les réseaux sociaux. Et moi, ces cris me transpercent. Ce film, je le fais aussi pour ces femmes.

 

Sur Facebook, vous avez annoncé le projet en parlant de « rêve qui se concrétise » ?

 

Oui, c’est le rêve du rapprochement entre le Maroc et Israël, qui pour ma part, était inévitable. J’avais peur de ne pas être au rendez-vous, peur de quitter cette planète avant que ça ne se concrétise. Je suis rempli de joie et d’espoir et je suis plus déterminé que jamais d’aller de l’avant, pour foncer et dire ouvertement ce que je pense.

Ces deux peuples sont là, se côtoient, ont des unions sans qu’elles ne soient légitimées, et cette nouvelle ère, ce n’est finalement que donner la permission à deux peuples qui s’aiment de pouvoir entretenir des relations sans avoir à se cacher. Ça rejoint un peu mon film « L’Orchestre de minuit », dans une scène au début où le protagoniste dit que « son père est arrivé la veille d’Israël, via Istanbul », et ce stop à Istanbul c’est la symbolique de tout ce problème. Aujourd’hui, il n’y aura plus besoin de stop pour venir au Maroc, c’est énorme ! Certes, le Maroc a toujours entretenu des relations avec Israël et vice-versa mais le fait de ne plus avoir à se cacher, de pouvoir célébrer cette union et cet amour qui existe entre les deux peuples de façon légitime, c’est extraordinaire !

 

Le tournage va se faire dans plusieurs pays ?

 

Oui, les 2/3 du film se feront au Maroc, à Essaouira. La première partie sera tournée à Tel Aviv et on aura une semaine à New York. Le tournage du film débutera dès que la situation sanitaire le permettra.

 

Et par rapport au casting ?

 

Je ne fais jamais de pronostic à l’avance, parce que les choses évoluent. En tout cas, ça sera de grands acteurs, pour la mère j’ai des idées, elle sera israélienne avec peut-être des racines marocaines, …Vous savez, en Israël, chaque fois qu’on prend un chemin, on se retrouve au Maroc, c’est un melting pot mais il y a aussi un énorme patrimoine nord-africain, et surtout marocain. Le petit aura l’âge de la puberté, entre 12 et 13 ans, tout comme mon fils d’ailleurs.

 

Peut-on avoir une idée sur le budget ?

 

Vous savez, parler de budget, c’est un peu réducteur pour le moment, parce que ça dépend des acteurs, de la configuration du projet…mais généralement pour ce genre de projet, la moyenne varie entre 4 ou 5 millions d’euros. Pour l’instant, on n’a pas de budget fixe, j’ai toujours des partenaires qui souhaitent se joindre aux films.

 

Sur Facebook, vous avez évoqué également « un cinéma sans frontière »

 

 

C’est extraordinaire parce que je pense que les Israéliens ont beaucoup à apprendre de nous, autant qu’on a à apprendre d’eux. Au niveau artistique et cinématographiques, ce sont des échanges qui vont permettre pour nous d’évoluer, car on a tellement à offrir au Maroc : on a une telle sensibilité, on sait raconter des histoires, on a d’énormes talents, on a une histoire, une culture, …Israël a une grande technicité, c’est aussi un pays tout jeune, le peuple israélien croque la vie, les jeunes ont une réelle envie de découvrir leurs racines au Maroc, et c’est valable aussi pour ceux qui ne sont pas forcément d’origine marocaine. On dit souvent qu’il y a 1 million d’israéliens d’origine marocaine en Israël, je pense qu’ils sont 3 ou 4 millions si on inclut la 2e et la 3e génération. Ces jeunes qui ont leurs parents ou grands parents qui sont nés au Maroc ont la même soif de venir et découvrir ce pays, si ce n’est plus que les personnes de 1ère génération. C’est une sorte de tsunami qui arrive dans le bon sens, je pense qu’il va falloir être intelligent pour que ça dure et ne pas être pollué par certains mauvais esprits.

 

Que signifie pour vous la signature de cette première co- production cinématographique maroco-israélo-marocaine ?

 

C’est une grande réussite. Vous savez, dans « L’Orchestre de minuit », le protagoniste repart en Israël à la fin, et c’était pour moi quelque chose de douloureux d’écrire parce que tu es obligé d’être plausible. Et le fait de pouvoir dire que les choses vont aller dans l’autre sens, qu’il est possible désormais pour les israéliens de venir chercher des solutions et de l’amour au Maroc, pour moi, c’est extraordinaire, ça me remplit de bonheur !

 

Pensez-vous que l’Art peut changer les choses là où les politiques échouent ?

 

Absolument, je suis persuadé que l’Art a ce pouvoir de fédérer les gens et ce, quel que soit leur religion ou leur race. La politique a toujours échoué, elle ne dure qu’un moment donné, les présidents et premiers ministres changent, la politique évolue, ce qui ne change pas, c’est le désir des gens à vivre en paix et en harmonie.

 

Après « Kandisha », vous avez réalisé un autre film d’horreur « The 16th épisode » qui est sorti en 2019 aux USA. Pourquoi cette attirance pour ce genre cinématographique ?

 

 

J’adore l’horreur et je continuerais toujours à en faire, c’est un genre qui me distrait et qui est complètement en opposition avec mes projets personnels. C’est un besoin viscéral chez moi de réaliser des films d’horreur. Je trouve que ça véhicule aussi des sentiments, comme la peur, les phobies… J’ai toujours essayé à travers mes films de donner de l’amour, de la joie, de la peur…j’aime faire peur, faire rire, c’est presque vital pour moi, c’est comme un 2ème exercice.

La peur me permet d’exorciser mes démons, mes phobies…c’est presque thérapeutique.

Le film a été une véritable réussite commerciale aux USA. Il sortira bientôt au Maroc quand la situation sanitaire le permettra.

 

LIRE AUSSI :

L’Orchestre de minuit, Un confetti d’amour signé Jérôme Cohen Olivar

 

 

 

 

 

Cet article Jérôme Cohen OLivar. « L’amour est la plus belle des religions » est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Jérôme Cohen OLivar. « L’amour est la plus belle des religions »

Le PDG de Wafasalaf parmi les leaders de demain

Choiseul classe le président du directoire de Wafasalaf parmi les 10 premiers jeunes dirigeants africains appelés à jouer un rôle majeur dans le développement économique du continent dans un avenir proche.

Une étude réalisée par l’Institut Choiseul identifie, recense et classe les 100 jeunes dirigeants africains de 40 ans au plus, considérés comme les futurs leaders du continent. 17 marocains parmi les 200 profils recensés figurent dans le classement dont quatre femmes et 13 hommes. Neuf marocains figurent même parmi les 100 premiers leaders économiques africains de demain, parmi eux une seule femme.
Badr Alioua, Président du Directoire de Wafasalaf, occupe la 8e place de ce classement. Il convient de rappeler que Badr Alioua est reconduit pour la 7e année consécutive dans ce classement et ce, depuis 2014.  ); Marouane Ameziane, vice-président exécutif de la stratégie et du développement du Groupe OCP est classé19ème. A la 26ème place vient Abdellatif Kabbaj, directeur général de Softgroup suivi de Saad Sefrioui, directeur général délégué du Groupe Addoha (28e). A la 36ème position, on trouve Sarah Kerroumi, secrétaire générale de Ynna Holding puis à la 51ème Ibrahim Belkora, directeur général de Agro Juice Processing. Mehdi Alj, président-directeur général de Sanam Agro occupe de son côté la 66ème place.  Le directeur général du groupe Mutandis Mehdi Bennouna est classé 78ème suivi directement par Naoufel Ghafir, directeur général Maroc, Tunisie, Afrique de l’Ouest AXA Partners

Cet article Le PDG de Wafasalaf parmi les leaders de demain est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Le PDG de Wafasalaf parmi les leaders de demain

Maati Mounjib poursuivi en état d’arrestation

 

Maati Mounjib a été interpellé hier mardi 29 octobre. Il est désormais poursuivi, en état d’arrestation, pour des présomptions de crimes financiers.

Le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat annonce, dans un communiqué, que sur la base des résultats de l’enquête judiciaire lancée le 7 octobre dernier à l’encontre de Maâti Mounjib, ce dernier a été présenté devant le juge d’instruction qui a ordonné son arrestation, après l’avoir auditionné. Il fera l’objet d’une enquête judiciaire pour présomptions  de blanchiment d’argent. L’une des proches du prévenu a été également convoquée dans la même affaire.

Pour rappel, le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat avait ordonné l’ouverture d’une enquête sur des transactions et des transferts financiers douteux effectués par Maâti Mounjib et des membres de sa femme. Il était question d’importantes sommes d’argent et de bien immobilier.

La justice avait alors expliqué que cette enquête a été ouverte suite à une saisine reçue par le parquet général de la part de l’Unité de traitement du renseignement financier (UTRF) qui comprend des données sur des faits susceptibles de constituer une infraction de blanchiment de capitaux.

Le parquet général a reçu une saisine de l’UTRF conformément à l’article 18 de la loi n °43.05 comprenant un inventaire de transferts de fonds importants et une liste de biens immobiliers ayant fait l’objet de déclarations de soupçon car ils ne correspondent pas aux revenus habituels déclarés par Monjib et les membres de sa famille, indique un communiqué du procureur général du Roi près le tribunal de première instance de Rabat.

La correspondance de l’UTRF fait partie des tâches régulières de cette unité, visant à honorer les engagements constitutionnels et internationaux du Royaume en matière de lutte contre les crimes de blanchiment d’argent, précise la même source. Étant donné que les informations reçues par l’Unité comprennent des données sur des faits susceptibles de constituer une infraction de blanchiment de capitaux, le parquet général a chargé la brigade nationale de la police judiciaire de mener une enquête préliminaire sur la source et la nature des transactions et des transferts financiers effectués par les personnes concernées, d’identifier la source des biens immobiliers objet de déclarations de soupçon, et de déterminer ses liens avec d’autres actes criminels, considérés comme des infractions principales aux fins de blanchiment d’argent, relève la même source.

Cette enquête préliminaire s’inscrit, d’un point de vue juridique, dans le cadre des missions habituelles de la police judiciaire, chargée d’enquêter sur les infractions, de vérifier leur occurrence et d’appréhender leurs auteurs, ce qui permet aux autorités judiciaires qui supervisent les enquêtes de prendre les mesures juridiques adéquates, avait précisé le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat dans son communiqué.

Cet article Maati Mounjib poursuivi en état d’arrestation est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Maati Mounjib poursuivi en état d’arrestation

Des institutions étatiques se défendent contre les diffamations…à but lucratif

 

Trois institutions sécuritaires nationales annoncent, ce mercredi, avoir déposé plainte, pour diffamation, auprès du procureur général près du parquet général près le truibunal de première instance de Rabat.

 

Les diffamateurs des institutions nationales croyaient qu’ils pouvaient continuer indéfiniment à insulter, en toute impunité, des institutions nationales pour engranger encore plus de clics et donc d’argent. Ils doivent désormais déchanter.

Dans un communiqué commun publié ce mercredi 30 décembre, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), la Direction générale de surveillance du territoire (DGST) et la Direction générale des études et de la documentation (DGED) annoncent avoir déposé plainte auprès du parquet général près le tribunal de première instance de Rabat contre des personnes résidant à l’étranger. Ces individus, expliquent les trois institutions, injurient des fonctionnaires en plein exercice de leurs fonctions, insultent et diffament des organisations et signalent des crimes imaginaires. En perpétrant ces actes flagrants de diffamation, ils propagent des rumeurs et des fake news.

En présentant leur plainte devant les juridictions spécialisées, les trois institutions sécuritaires précisent qu’elles ne font qu’exercer leur droit à réclamer justice que leur garantit la loi. Elles soulignent également qu’elles sollicitent la protection que doit assurer l’État aux fonctionnaires sécuritaires contre les insultes et les diffamations qu’ils subissent lors de l’exercice de leurs fonctions. Surtout, notent-elles, que de tels actes ne cessent de se multiplier de la part des personnes objet de la plainte.

Depuis longtemps déjà, de nombreux internautes marocains enrageaient de voir certains YouTubers s’enrichir en passant le plus clair de leur temps à insulter des institutions, sans aucune réaction de la part de l’Etat. La plainte qui vient d’être déposée montrent que l’heure de l’impunité sur YouTube et sur le reste des réseaux sociaux a sonné.

Cet article Des institutions étatiques se défendent contre les diffamations…à but lucratif est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Des institutions étatiques se défendent contre les diffamations…à but lucratif

Covid-19. La santé mentale des fonctionnaires en danger

Administration publique, l’effet Corona n’est pas négligeable

33% des fonctionnaires estiment que leur santé physique a souffert des mesures anti-pandémie. Le tiers donc, et c’est déjà assez inquiétant. Mais il y a plus inquiétant encore, la détérioration de la santé mentale a touché 45% d’entre eux.

Nous avons là les résultats d’une étude réalisée par de le ministère de la Réforme de l’Administration avec la Banque Mondiale auprès de tous les ministères, du 10 août au 30 septembre derniers.

On ne peut pas le cacher, nos administration doivent disposer d’un véritable suivi psychologique de leurs fonctionnaires. C’est important parce la santé physique et mentale influe sur la performance.

Et pour la suite? 43% des employés ne se sentent pas à l’aise et en sécurité pour retourner au bureau. D’où l’intérêt du travail à distance. Mais là encore ce n’est pas gagné puisque 30% seulement des fonctionnaires ont une connexion internet suffisamment bonne pour effectuer leur travail efficacement de chez eux.

Cet article Covid-19. La santé mentale des fonctionnaires en danger est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Covid-19. La santé mentale des fonctionnaires en danger

Maroc-Israël. Les pro-Palestiniens veulent annuler les accords

Abderrahman Benameur. Il faut éviter les généralisations abusives

Abderrahmane Benameur, un des membres du collectif qui veut annuler par la Justice nos accords avec Israël : « ces accords sont illégitimes parce qu’ils heurtent les objectifs et les ambitions du peuple marocain qui a rompu tout lien historique et spirituel avec l’entité sioniste ».
On peut ne pas répondre, mais à la réflexion pourquoi pas. Ce qui est illégitime c’est de parler au nom de TOUS les Marocains. Rien que sur facebook il y’a des millions qui applaudissent ces accords.
Mais on le sait le fascisme est dur d’oreille.
Question accessoire.
La reconnaissance par les USA de la souveraineté marocaine sur le Sahara heurte-t-elle les ambitions de quelqu’un ? Si oui qui est ce quelqu’un ?

Il est vrai que chacun est libre de s’exprimer et de recourir à la Justice, sauf qu’il ne faut pas impliquer tout le monde. Un juge peut les renvoyer la main dans le dos en leur demandant d’abord de lui fournir les données scientifiques qui leur permettent de généraliser leurs fantasmes à « tous » les Marocains.

Affaire suivante!

Cet article Maroc-Israël. Les pro-Palestiniens veulent annuler les accords est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Maroc-Israël. Les pro-Palestiniens veulent annuler les accords

Covid-19 : Un vaccin du laboratoire chinois Sinopharm déclaré efficace à 79,34%

 

Le chiffre tant attendu est tombé. Le laboratoire chinois Sinopharm annonce, ce mercredi, que l’un de ses deux vaccins anti-covid-19 a une efficacité de 79%. C’est ce vaccin qui sera utilisé au Maroc. 

« L’efficacité (de notre vaccin) est de 79,34% », peut-on lire dans dans un communiqué publié par l’Institut des produits biologiques de Pékin, filiale du groupe pharmaceutique étatique Sinopharm. Cette annonce est la première du genre de la part d’un laboratoire chinois qui a développé deux vaccins. L’annonce concerne le vaccin qui sera utilisé à grande échelle en Chine, mais aussi dans des pays ayant participé aux essais cliniques comme le Maroc, en plus des Emirats arabes unis, de l’Argentine, du Pérou, de l’Egypte ou encore de la Jordanie.

D’ores et déjà, avant même les autorisations légales nécessaires, au moins un million de soignants, d’employés effectuant un métier à risque, ou encore d’étudiants et diplomates devant se rendre à l’étranger ont pu se faire injecter un vaccin expérimental, selon le gouvernement chinois. Le dernier mort à cause du nouveau coronavirus date de la mi-mai.

L’Institut des produits biologiques de Pékin, qui a conçu le vaccin, souligne avoir envoyé une demande officielle de mise sur le marché à l’administration chinoise chargée des médicaments.

Pour rappel, le vaccin chinois objet de l’annonce est dit « inactivé ». C’est-à-dire qu’il utilise une méthode très classique faisant appel à un virus « tué » pour déclencher une réaction immunitaire chez le sujet. Son efficacité déclarée est inférieure à celle annoncée pour des vaccins des laboratoires Pfizer/BioNTech (95%) et Moderna (94,1%).

Le britannique Astrazeneca, associé à l’Université d’Oxford, a pour sa part revendiqué un taux d’efficacité de 70%, mais qui pourrait atteindre 100% avec deux doses.

 

Les Marocains dans l’expectative 

Le Maroc a acquis 65 millions de doses des deux vaccins pour lesquels le Royaume a opté, a annoncé le ministre de la Santé , Khalid Ait Taleb, devant le Conseil de Gouvernement réuni jeudi, précisant que la population ciblée s’élève à 25 millions de personnes.

Ait Taleb a fait savoir qu’il sera procédé, conformément aux Hautes Instructions royales, à la vaccination de la population ciblée gratuitement et d’une manière progressive dans le cadre d’une campagne nationale. Cette campagne va concerner tout le Royaume et durant laquelle la priorité sera notamment donnée aux personnels de première ligne, en l’occurrence le personnel de Santé, les autorités publiques, les forces de sécurité et le personnel de l’éducation nationale, ainsi qu’aux personnes âgées et aux personnes vulnérables au virus et ce, avant de l’élargir au reste de la population.

Les préparatifs pour le lancement de cette campagne ont été marqués par des formations sur le terrain ayant bénéficié à tous les sites aménagés pour la vaccination des citoyens, et même par une simulation du transport des vaccins et de leur entreposage chez la Régie autonome des frigorifiques de Casablanca, comme on peut le voir dans cette vidéo.

Avec Agences

 

 

Cet article Covid-19 : Un vaccin du laboratoire chinois Sinopharm déclaré efficace à 79,34% est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Covid-19 : Un vaccin du laboratoire chinois Sinopharm déclaré efficace à 79,34%

Tuesday, December 29, 2020

L’ambassadeur J. Peter Pham présent à la cérémonie de prise de fonction du Président burkinabé

C’est l’envoyé spécial des États-Unis pour la région du Sahel, l’ambassadeur J. Peter Pham, qui a représenté son pays dans la cérémonie de prise de fonction du Président Roch Marc Christian Kaboré.

 

Plus d’une centaine de chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que d’autres hauts responsables étaient présents, hier mardi 28 décembre à Ouagadougou. Ils sont tous venus assister à la cérémonie de prise de fonction du Président burkinabé Roch Marc Christian Kaboré qui a rempilé pour un second mandat.

Les Etats-Unis étaient représentés à cette cérémonie par son ambassadeur Peter Pham. L’envoyé spécial des États-Unis pour la région du Sahel était à la tête d’une délégation qui a été désignée pour ce déplacement par le Président américain Donald Trump. L’ambassadrice des États-Unis au Burkina Faso, Sandra E. Clark, faisait partie de cette délégation.

En plus des événements liés à la cérémonie, l’ambassadeur Pham a participé à des réunions bilatérales avec le président Kaboré et d’autres représentants du gouvernement du Burkina Faso lors desquelles il a réaffirmé la solidité du partenariat entre les États-Unis et le Burkina Faso. L’objectif tracé est de faire progresser la paix et la sécurité régionales, pour favoriser le développement économique et pour promouvoir la démocratie ainsi que le respect des droits de l’homme.

Cet article L’ambassadeur J. Peter Pham présent à la cérémonie de prise de fonction du Président burkinabé est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi L’ambassadeur J. Peter Pham présent à la cérémonie de prise de fonction du Président burkinabé

Pierre Cardin n’est plus

Le couturier et styliste français Pierre Cardin, est mort à l’âge de 98 ans.

Fils d’immigrés italiens devenu un homme d’affaires au nom mondialement connu, Pierre Cardin s’est éteint dans la matinée à Paris. « Jour de grande tristesse pour toute notre famille, Pierre Cardin n’est plus. Le grand couturier qu’il fut, a traversé le siècle, laissant à la France et au monde un héritage artistique unique dans la mode mais pas seulement », a écrit sa famille dans un communiqué. « Suprême consécration, il a été le premier couturier à entrer à l’Académie des beaux-arts, faisant reconnaître la mode comme un art à part entière… En atteste aujourd’hui son épée d’académicien qu’il a lui-même créée et sur laquelle sont gravés les symboles de sa réussite », conclut le communiqué familial.

Cet article Pierre Cardin n’est plus est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Pierre Cardin n’est plus

Made in Morocco, un partenariat structurant

Lamalif Group et Green Energy Park Marrakech s’associent pour promouvoir le made in Morocco, développer la recherche et l’innovation, déployer des solutions énergétiques économes et intelligentes au profit des villes et des territoires…

 La convention de partenariat conclue entre Lamalif Group et Green Energy Park, vise à hisser les standards et déployer des solutions innovantes 100% marocaines. Concrètement, il s’agit de la promotion et le développement des échanges techniques, la structuration et la réalisation de projets industriels structurants. «Le principal enjeu de cette convention est celui de la Ville marocaine de demain», déclare Moulay Lakbir Ismaili Alaoui, PDG de Lamalif Group. «Notre partenariat avec Lamalif Group couvre plusieurs domaines clés, à commencer par le renforcement de la recherche, le développement de solutions smart pour la gestion des villes et territoires, le transfert de technologies et la formation», a fait valoir, de son côté, Badr Ikken, DG de l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN) et Co-président de Green Energy Park. Des projets prioritaires seront mis en œuvre en vertu de cette convention de partenariat. Ils portent sur le déploiement de solutions énergétiques intelligentes notamment le développement de mobilier urbain smart, connecté et intégrant des solutions d’énergie solaire, la création de solutions innovantes de gestion des parcs d’éclairage au profit des pouvoirs publics et des gestionnaires délégués. Aussi, l’objectif est la mise en place d’un dispositif de recharge, intelligent et efficace des véhicules électriques, intégré aux candélabres conçus et déployés par Lamalif Group.

Selon les signataires, cette convention n’est qu’une première phase dans le développement d’une coopération dense entre les deux parties dans les domaines de la R&D made in Morocco

Cet article Made in Morocco, un partenariat structurant est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Made in Morocco, un partenariat structurant

Justice : Arrestation de Maati Mounjib pour des crimes financiers  

Maâti Mounjib et des membres de sa famille faisaient l'objet d'une enquête judiciaire

Maâti Mounjib 

 

Maati Mounjib a été arrêté ce mardi 29 octobre et a été présenté au parquet des crimes financiers. Il est poursuivi pour détournement d’aides associatives reçues de l’étranger et blanchiment d’argent dans l’immobilier

Sur la base des résultats de l’enquête judiciaire préliminaire diligentée par le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat à l’encontre de Maâti Mounjib, ce dernier a été arrêté ce mardi et a été aussitôt présenté au parquet des crimes financiers. Il est désormais poursuivi pour blanchiment d’aides financières reçues de l’étranger pour des actions associatives et blanchiment d’argent dans l’immobilier.

Cette arrestation est le signe que les soupçons qui pesaient sur lui se seraient confirmées. Pour rappel, le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat avait ordonné l’ouverture d’une enquête sur des transactions et des transferts financiers douteux effectués par Maâti Mounjib et des membres de sa femme. Il était question d’importantes sommes d’argent et de bien immobilier.

La justice avait alors expliqué que cette enquête a été ouverte suite à une saisine reçue par le parquet général de la part de l’Unité de traitement du renseignement financier (UTRF) qui comprend des données sur des faits susceptibles de constituer une infraction de blanchiment de capitaux.

Le parquet général a reçu une saisine de l’UTRF conformément à l’article 18 de la loi n °43.05 comprenant un inventaire de transferts de fonds importants et une liste de biens immobiliers ayant fait l’objet de déclarations de soupçon car ils ne correspondent pas aux revenus habituels déclarés par Monjib et les membres de sa famille, indique un communiqué du procureur général du Roi près le tribunal de première instance de Rabat.

La correspondance de l’UTRF fait partie des tâches régulières de cette unité, visant à honorer les engagements constitutionnels et internationaux du Royaume en matière de lutte contre les crimes de blanchiment d’argent, précise la même source. Étant donné que les informations reçues par l’Unité comprennent des données sur des faits susceptibles de constituer une infraction de blanchiment de capitaux, le parquet général a chargé la brigade nationale de la police judiciaire de mener une enquête préliminaire sur la source et la nature des transactions et des transferts financiers effectués par les personnes concernées, d’identifier la source des biens immobiliers objet de déclarations de soupçon, et de déterminer ses liens avec d’autres actes criminels, considérés comme des infractions principales aux fins de blanchiment d’argent, relève la même source.

Cette enquête préliminaire s’inscrit, d’un point de vue juridique, dans le cadre des missions habituelles de la police judiciaire, chargée d’enquêter sur les infractions, de vérifier leur occurrence et d’appréhender leurs auteurs, ce qui permet aux autorités judiciaires qui supervisent les enquêtes de prendre les mesures juridiques adéquates, avait précisé le procureur du Roi près du tribunal de première instance de Rabat dans son communiqué.

Cet article Justice : Arrestation de Maati Mounjib pour des crimes financiers   est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Justice : Arrestation de Maati Mounjib pour des crimes financiers  

Vignette 2021 : ce que prévoit Cash plus

Diversification de points de vente, réseau khadamat plus, paiement mobile…Cash Plus lance sa campagne de paiement vignette 2021.

Pour le paiement de la vignette automobile pour l’année 2021, Cash Plus met à disposition de ses clients un réseau d’agences étendu de Tanger à El Guergarate. Aussi, le fournisseur de services financiers et para-financiers diversifie ses points de paiement et offre la possibilité de recours aux détaillants grâce au réseau Khadamate plus. Autre nouveauté : l’application Cash Plus Mobile Wallet qui permet le paiement via mobile

Cet article Vignette 2021 : ce que prévoit Cash plus est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Vignette 2021 : ce que prévoit Cash plus

Royal Air Maroc mise sur l’innovation

Royal Air Maroc et l’Université Mohammed VI Polytechnique signent un partenariat global de recherche et d’innovation et annoncent la création d’un « Digital Innovation Lab »

 Ce DILAB aura pour objectif de permettre aux deux parties de codévelopper et de déployer des projets innovants à forte valeur ajoutée à partir de problématiques identifiées par la compagnie aérienne. Selon la Royal Air Maroc, cet espace ouvert de compétences, actif dans la recherche-action, la formation, le conseil et le déploiement de projets, engagera l’ensemble de ses collaborateurs, les enseignants, les chercheurs, les étudiants et le personnel de l’UM6P autour d’une démarche d’innovation collaborative.

L’UM6P et Royal Air Maroc associeront ainsi leurs efforts en vue de développer une composante digitale et intelligente autour des produits proposés par la compagnie aérienne, que ce soit aux clients passagers ou aux autres catégories de clients, d’explorer de nouvelles opportunités d’innovation alignées aux enjeux stratégiques et opérationnels de la compagnie et de développer des idées innovantes adaptées aux réalités du marché et aux tendances internationales du secteur. Le DILAB permettra également aux parties d’expérimenter de manière continue, de tester les nouvelles solutions auprès d’une communauté d’utilisateurs et de développer des partenariats win-win avec des acteurs externes, avec le support du réseau mondial de l’UM6P.

De son côté, l’UM6P, Université de recherche, d’innovation et de formation d’excellence, mettra à la disposition de Royal Air Maroc les infrastructures et ressources logistiques et humaines nécessaires à la création du DILAB.. L’université assurera également l’accompagnement de Royal Air Maroc dans la mise en place de partenariats dans le domaine du digital avec les universités partenaires de l’UM6P.

Cet article Royal Air Maroc mise sur l’innovation est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Royal Air Maroc mise sur l’innovation

MOHAMMED VI THE PEACEMAKER

Cet article MOHAMMED VI THE PEACEMAKER est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi MOHAMMED VI THE PEACEMAKER

Voici le seul Assureur doublement labellisé «Elu Service Client de l’Année» au Maroc

 

Pour la deuxième année consécutive, AXA Assurance Maroc décroche le label « Elu Service Client de l’Année ». C’est le seul assureur au Maroc à avoir obtenu cette double distinction. Cette labellisation reconfirme la place stratégique qu’accorde AXA à ses clients visant à prévenir les risques en amont.

«Ce trophée vient récompenser les efforts entrepris par les équipes AXA ainsi que ses Agents Généraux qui œuvrent quotidiennement pour servir leurs clients et qui ont démontré une forte capacité d’adaptation et de réactivité pour assurer ce même niveau de qualité de service durant cette période inédite de pandémie COVID 19», souligne l’assureur dans un communiqué.

Pour rappel, « Elu Service Client de l’Année » est un label international indépendant qui a pour objet d’évaluer, pour le compte des entreprises qui y adhérent, leur qualité de service sur la base de critères fiables et objectifs et à travers des tests en situation réelle effectués par un tiers indépendant.

Pour sa 4e édition qui a été menée du 1er septembre au 15 novembre 2020, ce label a évalué pour la 2e fois le secteur des assurances. Principale nouveauté, le canal Facebook a été lui aussi évalué, en plus des canaux traditionnels : visites physiques en agence, appels téléphoniques, e-mails ou formulaires et navigations internet.

«Nous sommes fiers d’être le premier assureur au Maroc à obtenir ce label pour la 2e année consécutive. Cette consécration est le fruit de la stratégie du Groupe AXA, déclinée par AXA Assurance Maroc, qui traduit notre engagement à mettre le client au centre de toutes nos actions pour anticiper et répondre à ses besoins dans les meilleures conditions. Elle est également la résultante des premiers pas de notre transformation digitale», se réjouit la directrice générale d’AXA Assurances Maroc et AXA CIMA (Sénégal, Cote d’Ivoire, Cameroun, Gabon), Meryem Chami.

De son côté, le directeur Ventes, Distribution, Marketing et Partenariats, Nassim Benjelloun ajoute que cette distinction a d’autant plus de valeur dans ce contexte inédit lié à la pandémie du COVID-19. «Les équipes et les Agents Généraux AXA ont fait preuve de grande agilité et réactivité en réadaptant les processus et en déployant les moyens requis pour continuer à servir nos clients communs.» commente-t-il. Et d’ajouter : «L’expérience client est au cœur de la stratégie du Groupe AXA déclinée également par AXA Assurance Maroc. Pour cela, nous pilotons plusieurs indicateurs (délais de traitement, nombre de sinistres traités mais également la satisfaction client et la recommandation NPS (Net Promoter Score) nous permettant d’optimiser les différentes expériences client tout en étant proactifs. Ces indicateurs sont intimement partie prenante de la culture Managériale d’AXA Assurance Maroc.»

Pour 2021, AXA Assurances Maroc annonce son ambition d’améliorer davantage l’expérience client en tirant profit de ce qu’offrent les nouvelles technologies pour mieux comprendre ses clients ; développer l’intelligence artificielle pour optimiser l’expertise des dégâts et innover avec des nouveaux produits face aux risques émergents.

 

Cet article Voici le seul Assureur doublement labellisé «Elu Service Client de l’Année» au Maroc est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Voici le seul Assureur doublement labellisé «Elu Service Client de l’Année» au Maroc

Une télé algérienne s’improvise juge à la place du juge pour nuire au Maroc

Les deux personnes menottées ont été soumises à un interrogatoire télévisé qui révolte les défenseurs des droits de l'Homme algériens

Les deux personnes menottées ont été soumises à un interrogatoire télévisé qui révolte les défenseurs des droits de l’Homme algériens

 

Une flagrante atteinte aux droits les plus élémentaires de deux prévenus, présentés comme étant de nationalité marocaine, a été commise par la chaîne de télé algérienne, Al Bilad. L’objectif de son interrogatoire saute aux yeux.

La haine provoque l’aveuglement. C’est ce qui ressort de cette vidéo montée de toutes pièces pour dire du mal du Maroc. On y voit deux personnes menottées qui répondent à la voix d’un interrogateur qu’ils appellent chef. Tout prête à croire que l’interviewer est en treillis et c’est peut-être pour cela qu’on ne le voit pas à l’image.

Les interviewés se présentent comme étant des Marocains de Bouarfa et racontent avoir été interpellés alors qu’ils étaient en possession de drogue pour l’un et de drogue et une arme pour l’autre. Dans ses questions, l’interrogateur dicte presque les réponses. Il insiste pour pour que les interrogés disent et redisent qu’ils viennent du Maroc où ils vivent dans la misère absolue…

Cet acte constitue une flagrante atteinte aux droits de l’Homme et à la présomption d’innocence doit doit jouir chaque prévenu que seule la justice pourrait interroger et déclarer coupable ou pas. C’est pour cela que le journaliste et défenseur des droits de l’Homme algérien Anouar Malek a exprimé son dégoût après avoir vu la vidéo sur la chaîne Al Bilad. Révolté, il a affirmé que l’Algérie aurait dû éviter de tomber dans le ridicule avec de telles basses cherchant à montrer les défauts du Maroc. Il s’interroge aussi sur le choix du timing pour tenter de véhiculer de tels messages. La réponse se trouve dans son interrogation. Surtout qu’il s’en prend directement aux hauts responsables de son pays.

 

 

 

Cet article Une télé algérienne s’improvise juge à la place du juge pour nuire au Maroc est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Une télé algérienne s’improvise juge à la place du juge pour nuire au Maroc

Viol conjugal, un crime passé sous silence

 

Après une première jurisprudence en 2019 par la cour d’appel de Tanger, une autre  juridiction marocaine, à El Jadida cette fois, reconnaît le viol conjugal. Un autre tabou tenace qui résiste encore aux tentatives de dénonciation et de changement. 

 

Par Hayat Kamal Idrissi

 

Serons-nous en train d’assister à une révolution socio-légale concernant le viol conjugal ? Longtemps passé sous silence, le phénomène qui fait beaucoup de victimes en toute impunité n’a jamais été reconnu auparavant comme étant un crime. Jusqu’à l’éclatement de cette affaire de viol conjugal à Larache, en décembre 2019.

Une première

 

La cour d’appel de Tanger avait converti en sursis, les deux ans de prison fermes auxquelles a été condamné l’époux en première instance tout en reconnaissant le viol. Une première condamnation a été prononcée cependant sur la base de «violence conjugale » et non par de « viol conjugal » objet de la plainte déposée par l’épouse. Malgré le remplacement de la prison ferme par un sursis suite au retrait de la plainte par l’épouse, cette jurisprudence représentait  une grande première pour la justice marocaine : La reconnaissance de l’existence du viol conjugal.

Mieux encore, « la Cour est convaincue que le crime de viol avec défloration est établi contre l’accusé… conformément aux articles 486 et 488 du code pénal », explique le jury de cette affaire dans sa décision publiée sur Legal Agenda. Rappelons que l’article 486 et 488, définissent le viol comme étant l’acte par lequel un homme a des relations sexuelles avec une femme contre le gré de celle-ci. Et il est puni de la réclusion de cinq à dix ans. Aussi, les châtiments varient en fonction de la situation familiale de la victime ou du fait qu’elle soit vierge ou non.  « Le législateur désigne toutes les femmes et n’exclut pas la femme mariée, ce qui sous-tend que cette dernière est également concernée par l’application de la loi », conclut l’arrêt de la Cour d’appel de Tanger.

Vide légal

 

Un argumentaire novateur et une initiative  assez courageuse de la part des juges tangérois ; vu le vide légal concernant le viol conjugal. Une situation qui  laisse beaucoup de marge de manœuvre aux maris violeurs. « Il faut dire que la loi marocaine n’incrimine pas clairement le viol conjugal. Il n’est même pas décrit ou identifié comme tel par les textes spécifiques et ça représente un véritable vide juridique », nous explique Maître Mohamed El Malki, avocat au barreau de Casablanca.

D’après ce dernier, la rareté des affaires de ce genre contribue largement à cette situation de « stand by » légal. « Mais ce n’est pas parce que les cas manquent ! Le phénomène existe bel et bien et fait beaucoup de victimes mais ça reste un grand tabou », dénonce l’avocat. Même analyse de la part de Bouchra Abdou, directrice de l’association Tahadi pour l’égalité et la citoyenneté.  « Les femmes n’osent pas en parler car estimant que leurs maris ont tous les droits sur leurs corps, qu’elles doivent être soumises à leurs désirs et qu’elles n’ont pas le droit de refuser de satisfaire leurs maris », nous explique Abdou.

Poids du tabou

 

Recevant des victimes de violence et de viol au centre d’écoute de l’association, les assistantes sociales remarquent que « les femmes ne parlent de leur calvaire que lorsqu’elles sont victimes d’hémorragie, qu’elles sont blessées ou que le conjoint demande des pratiques jugées dépravées ou inacceptables (religieusement en particulier) », dévoile Bouchra Abdou en nous racontant le cas particulièrement désolant d’une jeune mariée violée par son mari lors de leur première nuit de noces. « Elle a été violée avec beaucoup de violence et transportée aux urgences dans un état grave. Et elle n’est la seule ! Nombreuses vivent ce calvaire au quotidien et n’osent même pas en parler autour d’elles », explique Abdou.

Poids du Hchouma, honte et souvent incapacité de réagir sont autant de facteurs qui poussent les victimes  à se réfugier dans le silence mais pas seulement… « Nombreuses sont inconscientes même qu’elles sont victimes de viol. Elles croient que leurs maris disposent entièrement de leurs corps, qu’ils peuvent en faire ce qu’ils veulent et quand ils veulent parce qu’ils sont liés par les liens du mariage », note Maître El Malki en fustigeant l’absence d’une culture de droits.

De son côté Abdou, pointe du doigt, l’éducation sexuelle qui est aux abonnés absents. « Ces femmes, même adultes et mères de famille,  ne connaissent pas ce que c’est une relation sexuelle « saine », n’ont aucune notion sur ce registre sans parler de leur droit en tant que femmes et autant que partenaires. Comment peuvent-elles réagir face aux viols à répétitions des maris agresseurs ? », analyse la féministe.

Si la prise de conscience reste primordiale dans le démantèlement de ce tabou, prouver le viol conjugal est un véritable chemin de croix pour les victimes, comme l’affirme El Malki. « Si la victime surmonte ses peurs et les autres contraintes et dépose plainte, il va falloir prouver le viol. Ce dernier se passe souvent dans un espace privé, loin des yeux des témoins. Reste alors le recours au certificat médical et l’expertise médicale opérée à la demande de la police judicaire ou du tribunal », décrit l’avocat. Une procédure qui au-delà du courage requis pour l’entamer, est un processus de longue haleine.

« Parfois même les juges n’acceptent pas ce genre de plaintes car estimant que tant qu’il y a acte de mariage, il n’y a pas lieu de viol. Les mentalités restent assez récalcitrantes pour reconsidérer ces actes comme étant un crime », explique l’avocat. Un véritable obstacle à la dénonciation du viol conjugal  selon ce dernier. « D’ailleurs les rares fois où on évoque le viol conjugal dans les tribunaux, c’est dans les affaires de divorce, « chi9a9 » en particulier, comme l’une des raisons principales de la demande de divorce. C’est dire l’ampleur du phénomène », note maître El Malki.

Chantage

 

Empoisonnant l’ambiance dans les foyers, le viol conjugal peut profondément affecter l’existence des femmes victimes mais aussi de leurs enfants.  « En faisant nos investigations, on découvre que beaucoup de femmes mariées subissent différentes formes de violences conjugales matérielles et psychiques et qui sont en fait la traduction de violence sexuelle au sein du couple », alerte la directrice de Tahadi.

Explication : Pour punir le refus ou le manque d’enthousiasme de leurs femmes pour des pratiques sexuelles inacceptables par ces dernières, certains maris vont jusqu’à couper les vivres. « Ils arrêtent carrément de jouer le rôle du père de famille pourvoyeur finançant les besoins du foyer et des enfants. Une violence matérielle sur fond d’une autre sexuelle. Un chantage d’une violence extrême », regrette-t-on auprès de Tahadi.  Un triste vécu pour des victimes coincées entre le marteau et l’enclume. Sans sources, elles n’ont pas grand choix : Se résigner et subir en silence les assauts de maris violeurs ou se prononcer et voir leurs foyers éclater.

 

Cet article Viol conjugal, un crime passé sous silence est apparu en premier sur .



via Abdo El Rhazi Viol conjugal, un crime passé sous silence