C’est un nouveau signal fort que vient d’envoyer le Souverain en nommant à la tête d’institutions stratégiques, garantes de la bonne gouvernance, des personnalités connues et reconnues pour leur haute compétence et leur intégrité.
En nommant Zineb El Adaoui, Mohamed Abdennabaoui, Moulay El Hassan Daki et Ahmed Rahhou pour prendre les commandes d’institutions stratégiques dans le Royaume, le Roi Mohammed VI consolide le principe de la méritocratie dans le pays.
Tous les responsables nouvellement nommés font l’unanimité pour avoir fait preuve à la fois de rigueur, mais aussi de transparence lors de l’accomplissement des responsabilités qui leur ont été déjà confiées.
Tous sont connus pour leur esprit fédérateur et pour leur intransigeance quant au respect des lois ainsi que des règles de la bonne gouvernance. En plus de la légitimité que leur confère leurs parcours, leurs expériences et leurs expertises, ils sont tous connus pour être de grands modernisateurs des services en étant des réformateurs fonceurs.
Chacun des quatre hauts responsables est appelé à poursuivre le travail colossal accompli par son prédécesseur. Leurs actions devront renforcer davantage le rôle de l’État dans la consolidation de la transparence dans la vie publique et économique.
Transcende comme d’habitude les péripéties conjoncturelles, ces nouvelles nominations s’inscrivent dans la Vision Royale dont le principal objectif est la modernisation de l’ensemble des institutions de l’État pour mieux faire avancer le pays. Retour dans ce dossier sur les traits caractéristiques des profils de Zineb El Adaoui nommée première présidente de la Cour des comptes, Ahmed Rahhou nommé président du Conseil de la concurrence et Mohamed Abdennabaoui nommé premier président de la Cour de cassation et remplacé par Moulay El Hassan Daki au poste de Président du Ministère Public.
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via Abdo El Rhazi La méritocratie en marche
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