Tuesday, February 28, 2017

Libye – Le grand dessein du général Haftar

Le général Khalifa Haftar

Le général Khalifa Haftar

Le général Khalifa Haftar, chef autoproclamé de l’Armée nationale libyenne et grand patron de la Cyrénaïque, dans l’est libyen, aux confins de l’Égypte, va-t-il réussir son OPA sur le pays ? Tout semble y conduire. À commencer par l’impossibilité à mettre autour d’une table les différents acteurs du pays, qui risque de conduire le plus fort à s’emparer du pouvoir. Un état des lieux de la situation libyenne n’a rien de réjouissant.
La première évidence est l’échec du gouvernement d’union nationale du Premier ministre Fayez al Sarraj. Désigné, sous l’égide de l’ONU, par l’accord de Skhirat en décembre 2015, il est installé à Tripoli et ne règne guère, au mieux que sur l’ouest du pays. Choisi sur des bases boiteuses, Al-Sarraj n’est pas parvenu à fédérer les multiples acteurs, militaires et civils, du pays. La violence s’accroit ces dernières semaines. Dernièrement, le convoi du Premier ministre lui-même a été attaqué, dans la capitale, par des hommes armés. Il en est sorti indemne.
Deuxième évidence : l’échec de Sarraj est inversement proportionnel à l’émergence du général Khalifa Haftar. Si cet ancien officier de Kadhafi est devenu incontournable, c’est qu’il contrôle depuis plusieurs mois les terminaux pétroliers du centre et de l’est du pays. Sans oublier que ses proclamations anti-islamistes (en particulier anti-Frères musulmans, proches de certains partis du gouvernement d’union nationale) et son combat contre l’État islamique, le font apprécier des Occidentaux et des Russes. Khalifa Haftar s’est rendu à deux reprises à Moscou en 2016, et en janvier dernier, il discutait lutte contre le terrorisme avec des responsables russes sur le porte-avion Amiral Kouznetsov que Moscou avait envoyé croiser dans les eaux libyennes.
Si l’Égypte et l’Algérie voient d’un œil favorable la place prise par Haftar dans le paysage politique libyen, la majorité des pays de la région disent vouloir redonner un second souffle à l’accord de Skhirat en réconciliant les Libyens. Vœux pieux. Tunisiens et Algériens multiplient les rencontres avec les représentants des différents partis libyens et des milices islamistes ; Rached Ghannouchi a de nombreux contacts avec les Frères musulmans libyens. Même les anciens de Kadhafi réfugiés en Tunisie et en Égypte n’ont pas été oubliés. Dans l’immédiat, le dialogue n’est pas à l’ordre du jour. Une première rencontre, au Caire, il y a deux semaines, a tourné à l’échec. Au dernier moment, le général Haftar a refusé de rencontrer Al-Sarraj tant que l’organisation politique du pays ne serait pas modifiée. Depuis, Haftar a obtenu la nomination d’un Haut conseil – dont il est membreet qui, placé au-dessus du gouvernement aura la haute main sur l’armée. Une seconde réunion à Tunis, le 19 février entre les ministres des Affaires étrangères de la région n’a pas été plus probante. Qu’importe à Haftar, qui a demandé aux Russes de réactiver les contrats d’armement pour lutter contre l’EI et dit se réjouir de l’arrivée de Donald Trump, ce chantre de la lutte contre le terrorisme. Il se dit prêt à travailler avec les deux pays, qui pourraient ne pas se faire prier pour appuyer celui qui semble le futur homme fort de la Libye.
Pourra-t-il y réussir sans engager une guerre civile totale ? Rien n’est moins sûr.



via Abdo El Rhazi Libye – Le grand dessein du général Haftar

Global Media Makers est de retour

Atelier de film du 3 au 6 mars à Marrakech
Rencontres sur le film télé le 7 mars à Tanger

Global Media Makers vient à la rencontre des professionnels du film télévisé au Maroc. Ce programme culturel du département d’état américain offre des opportunités de formation et de mentoring aux porteurs de projets audiovisuels du monde entier.
Global Media Makers est organisé en partenariat avec Film Independent, une organisation artistique à but non lucratif qui soutient la production indépendante des contenus audiovisuels et l’établissement d’une communauté artistique qui incarne la diversité et l’innovation.

Atelier de formation
Du 3 au 6 mars 2017 à l’ESAV de Marrakech, un atelier sur le thème « révolutionner la création télévisuelle » sera animé par Alan Poul, producteur et réalisateur des séries Rome, Newsroom, et Six Feet Under, entre autres, et Kathleen McCaffrey, productrice chez HBO. L’atelier couvrira divers aspects de la production du film télé : techniques de la rédaction des scénarios, adaptation des contenus à l’audience cible, perspectives régionales et mondiales sur le marché du film télé, techniques du pitch, etc.
Une quinzaine de participants marocains porteurs de projets de séries télévisées ont été sélectionnés pour prendre part à cet atelier.

Rencontres ouvertes au public à Tanger
Après l’escale de Marrakech, Alan Poul et Maria Bozzi, directrice des programmes de formation au sein de l’ONG Film Independent, se rendront à Tanger pour donner deux présentations ouvertes au public le 7 mars à l’hôtel Rif.

10 :30 : « Les nouvelles tendances de la télévision américaine », par Alan Poul
Séance questions – réponses
15 :30 : « Le rôle de l’ONG Film Independent dans le soutien de la production indépendante du film », par Maria Bozzi
Séance questions – réponses

Ces rencontres sont organisées en partenariat avec le centre cinématographique marocain et la chambre marocaine des producteurs du film.
Interprétariat anglais-français disponible.



via Abdo El Rhazi Global Media Makers est de retour

Libre cours

Ancien ministre des Affaires générales puis des Finances et de l’économie, actuellement président du Conseil économique, social et environnemental, Nizar Barka vient de faire une sortie remarquée dans le quotidien Assabah du 17 février. Mais en tant que membre du Conseil National du parti de l’Istiqlal. Pour déplorer l’état de déliquescence dans laquelle se trouve sa formation politique. Il n’en fallait pas plus pour que l’on susurre qu’il a été incité, inspiré. Si vous demandez par qui, on vous répondra sur l’air entendu de « tu sais et je sais ». Donc, je ne m’engagerai pas sur cette voie.
Dans une autre vie, celle d’Aujourd’hui le Maroc, Khalil Hachimi Idrissi l’avait dépeint en « gendre idéal ». Nizar Barka est un istiqlalien de souche, de grand-père en petit-fils. C’est un gentil, mais un faux gentil. Dès sa sortie des couches, il est tombé dans la potion de la politique. C’est dire qu’il connait les alcôves de l’Istiqlal et les méandres qui y mènent. Un exemple ? Au dernier congrès de l’Istiqlal, il a quitté les assises, horripilé par l’élection de Hamid Chabat à la tête du parti. Ce n’était qu’une saute d’humeur. Dès la tenue du premier Conseil national, il est revenu à de meilleurs sentiments, en militant discipliné, comme il l’assure lui-même dans son article. Depuis, il n’a pas dérogé à la règle, probablement avec l’arrière-pensée d’être là le moment venu. Cet instant est-il arrivé ?
Il suffisait de faire un tour aux obsèques de Mhammed Boucetta pour constater que d’aucuns le soupçonnent d’y croire. Et après tout, pourquoi pas ? N’est-il pas mieux nanti que Chabat, intellectuellement, culturellement, scientifiquement, pour autant que l’économie soit une science ? Plus raisonnable aussi, plus sage, plus apaisé ? Mais au sein de l’Istiqlal tel qu’il est actuellement, est-ce vraiment des qualités, un avantage plutôt qu’un désavantage ?
Dans son article intitulé « vision d’espoir pour sauver l’Istiqlal », il annonce la couleur dès le sous-titre : « Le moment est venu de procéder à une autocritique courageuse et redresser les erreurs ». À moins que ce ne soit les « fautes ». J’ai donc lu et je dois avouer que je suis resté sur ma faim. Non pas qu’il ne fait pas une analyse correcte de la situation actuelle de son parti, il appelle même à un déballage en famille quitte à se faire mal, mais il n’indique pas les moyens, les voies et les alternatives. Il épingle aussi, sans toutefois le nommer, le secrétaire général de l’Istiqlal et stigmatise et rejette la logique de l’escalade, une fuite en avant sans horizon que mène Hamid Chabat, ne pouvant s’ouvrir que sur l’inconnu. Cela dit, la question reste entière : Que faire ? Et là l’article de Nizar Barka n’apporte pas l’esquisse de l’ébauche d’une réponse.
L’Istiqlal d’aujourd’hui est dans une double impasse. Idéologique et humaine. Idéologique, parce que le PJD a opéré une véritable triangulation sur le fonds de commerce istiqlalien qui avait le quasi-monopole du conservatisme social qui faisait son attrait auprès des couches populaires. Il l’a rendu inaudible d’autant plus qu’au plan humain, la faune istiqlalienne s’est beaucoup appauvrie. Et cet état des lieux ne peut être mis sur le solde débiteur du seul Chabat. Lui n’a fait qu’accélérer la détérioration. Le mal lui est antérieur et bien au-delà des deux mandats et demi de Abbas El Fassi.



via Abdo El Rhazi Libre cours

Emirates dévoile le bar-lounge modernisé à bord de l’A380

Emirates Skytrax World’s Best Airline 2016, lancera une série de nouveaux produits de cabine et des améliorations en 2017 pour sa flotte A380 et Boeing 777.

Le programme de mise à niveau des intérieurs de cabine qui est évalué à plusieurs millions
de dollars, comprend la modernisation du bar-lounge à bord pour son avion phare l’Airbus
A380.

« Le bar-lounge à bord de l’A380 est très prisé de nos clients, et est devenu un produit
emblématique de l’A380 d’Emirates. Particulièrement sur les vols long-courriers, nos clients
nous disent qu’ils apprécient la possibilité de se dégourdir les jambes et de se mêler dans le
salon décontracté, est qui reste pour autant un salon très classe”, a déclaré Sir Tim Clark,
Président d’Emirates Airline.

« Depuis son lancement en 2008, notre bar-lounge à bord de l’A380 a fait l’objet
d’améliorations continues pour répondre aux attentes de nos passagers pour qui nous avons
augmenté l’espace pour qu’ils puissent interagir dans le salon. Pour cette dernière
rénovation, nous nous sommes inspirés des cabines privées de yachts, avec entre autres,
un plus grand nombre de places assises et nous l’avons également rendu plus intime et
propice à nos passagers pour socialiser et apprécier les services de notre salon », ajoute-t-il.
Le nouveau bar-lounge à bord de l’A380 d’Emirates fera sa première apparition publique au
stand d’Emirates Infinite Possibilities lors du ITB Berlin, l’une des plus importantes foires du
commerce touristique au monde. Il est actuellement en cours d’installation sur l’un des
nouveaux A380 d’Emirates dans le centre d’Airbus, et sera opérationnel en juillet 2017.

Produits améliorées du bar-lounge à bord de l’A380 d’Emirates

Tout en conservant la marque du bar en forme de fer à cheval, le nouveau bar-lounge à bord
de l’A380 offrira plus d’espace avec une nouvelle disposition, le long des hublots des deux
côtés du bar. Inspiré des cabines privées des yachts, chaque place assise se verra offrir une
table et une vue sur l’extérieur. Dans l’ensemble, le salon peut confortablement accueillir
jusqu’à 26 passagers à la fois, dont 8 assis.

Le nouveau Salon à bord aura également un look plus aéré. Des couleurs champagne plus
claires seront utilisées dans les cabines et le coin salon, accentuée par une garniture en bois
sombre brillante.

Emirates mettra également en place des rideaux insonorisant pour séparer le bar-lounge à
Bord des autres cabines. D’autres options d’éclairage ambiant seront ajoutées, en plus de
nouveaux volets de hublots avec éclairage LED intégrées pour valoriser l’éclairage
d’ambiance, et aussi une sonorisation équipée de caissons de basses pour une effet
« surround ». Le salon disposera également d’un écran TV LCD de 55 pouces permettant
aux clients de consulter les dernières informations de vol, ou suivre en direct des
programmes TV d’actualité et de sport.

L’ensemble des 93 avions A380 d’Emirates qui sont actuellement en service sont équipés
d’un bar-lounge. La nouvelle version sera située au même emplacement sur le pont
supérieur de l’avion et sera accessible aux passagers de Première Classe et Classe Affaires.
Au bar-lounge, les clients peuvent déguster des canapés gastronomiques, des vins
sélectionnés du monde entier et des spiritueux en édition limitée, ainsi que des cocktails
exclusifs préparés par le barman.

Mis à part le bar-lounge, l’A380 d’Emirates est également réputé pour ses suites privées en
Première Classe, sa douche Spa, ainsi que ses fauteuils-lits luxueux et mini bar personnel
en Classe Affaire; ses cabines calmes et spacieuses; le Wi-Fi à bord, sans oublier le
système de divertissement multi-primé d’Emirates «ice Digital Widescreen » qui propose plus
de 2 500 chaînes de films, des programmes TV, de la musique et des podcasts.
Emirates opère avec ses A380 46 destinations sur 5 continents. Il est le plus grand opérateur
mondial de l’A380 avec 93 de ces avions à double pont en service, et 49 autres en
commande. Témoignage de la popularité de l’avion parmi les voyageurs, Emirates a
transporté près de 70 millions de passagers sur son avion phare depuis 2008.



via Abdo El Rhazi Emirates dévoile le bar-lounge modernisé à bord de l’A380

Un Marocain au cœur d’un projet géant à la Mecque

Maad Hospitality Towers et Abdellah Essonni

Maad Hospitality Towers et Abdellah Essonni

Maad Hospitality Towers. C’est le nom du plus grand complexe hôtelier de la Mecque : 21 tours, chacune haute de 45 étages, 11.000 chambres, en plus d’un centre commercial, une mosquée et un centre de conférences. C’est la holding saoudienne Maad International qui est derrière ce projet gigantesque. Et la cheville ouvrière de ce projet n’est autre que le Marocain Abdellah Essonni qui est Chief Hospitality Officer chez Maad Hospitality Towers.
La première phase du complexe sera livrée avant fin 2017, nous apprend ce dernier, avec quelques 4.000 chambres et le reste suivra en deux phases consécutives d’ici 2022.

Carte de visite
Abdellah Essonni est né à Casablanca en 1961. Lauréat de l’ISIT, il a débuté sa carrière en 1983 au ministère de tourisme au sein de la division de l’aménagement du territoire, avant de mettre cap sur les USA où il contribue à l’ouverture du pavillon Marocain à Disney World en Floride. Il est par la suite admis dans un programme de développement professionnel en gestion hôtelière à Cornell University, New York, suivi d’un stage opérationnel au méga complexe Marriott Marquis à Manhattan. En 1992, il intègre la chaine Hyatt, d’abord à Rabat puis à Baku et plus tard à Muscat.
Après 8 ans chez Hyatt International, il se voit confier la direction générale du pôle hôtelier du groupe saoudien ALJ à la Mecque. Abdellah restera depuis dans les pays du Golfe avec des groupes tels que Jumeirah (Burj Al Arab) à Dubaï, Four Seasons à Riyadh ou encore kempinski Mall of the Emirates.
En 2007, il intègre Sama Dubai, filiale du groupe émirati Dubaï Holding en tant que conseiller au comité d’investissement en matière de tourisme et hôtellerie.
En 2010, c’est le grand retour à Casablanca où il est directeur général Asset Management chez Actif Invest, société de gestion de fonds d’investissement spécialisé dans le développement touristique et immobilier. Deux ans plus tard, il regagne Dubaï pour occuper le poste de CEO à Abjar Hotels qui détient une dizaine d’établissements hôteliers de grande renommée tels que le Ritz-Carlton JBR et le Sheraton Dubai Creek.
Abdellah restera cinq ans chez Abjar avant d’accepter son rôle actuel de Chief Hospitality Officer chez Maad International. Ce Marocain est par ailleurs membre du comité consultatif d’AHIC (Arabian Hotel Investement Conference), la conférence de référence en matière d’investissement touristique.



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Anfaplace chouchoute ses clientes du 1er au 8 mars

Désormais habituées aux bonnes surprises de la part du centre commercial le plus moderne, tendance et
dynamique de Casablanca, les clientes d’Anfaplace Shopping Center seront au cœur de toutes les attentions durant une semaine entière, à l’occasion de la journée de la femme du 8 mars.
Au programme, de nombreuses animations spécifiques et des surprises à tous les étages, « For women only »… dont une attrayante roue de la fortune pour tenter de remporter l’un des superbes lots mis en jeu avec la participation des enseignes du centre commercial Anfaplace.
Pour les femmes d’aujourd’hui qui jonglent entre leur travail, leurs enfants et leur couple, Anfaplace Shopping Center a pensé à elles et leur propose des massages gratuits ; idéal et original pour décompresser et bénéficier d’un moment détente entre deux boutiques.
Pour finir la semaine en apothéose, ces dames profiteront de nombreuses autres surprises lors de la journée du 8 mars.
Après le succès rencontré par la célébration de la Saint-Valentin en février, Anfaplace Shopping Center
démontre une nouvelle fois son avance et l’originalité de ces propositions en termes d’animations sur les
autres destinations shopping de Casablanca.



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Ford réitère son engagement envers le Maroc

Remise-des-prix-Gagnant-Ford-Grant-3-Jacques-Brent-Abdelouahab-Ennaciri

M. Jacques Brent, Président de Ford Moyen-Orient et Afrique a félicité ce lundi SCAMA, l’importateur et distributeur de Ford au Maroc pour ses réalisations majeures en 2016. En visite spéciale au Royaume, M. Brent a également tenu à réitérer l’engagement de Ford envers le marché marocain.

Ford a enregistré de solides performances en 2016, se positionnant ainsi dans le top trois des marques de voitures les plus vendues au Maroc et assurant une part de marché remarquable de 10%. Selon M. Brent, l’année courante est marquée par une dynamique impressionnante, accompagnée par une hausse du nombre de produits et solutions mis à disposition de la clientèle aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises du royaume.

« Je suis ravi d’être ici au Maroc, notre plus large marché mais aussi le plus dynamique en Afrique du Nord », a avancé M. Brent. « Grâce aux efforts incessants de notre partenaire et famille SCAMA/Auto Hall et à nos propres équipes sur place, la marque Ford connaît aujourd’hui un succès continu et se retrouve dans une bonne position pour capitaliser sur cette performance jusqu’en 2017 ».

Les ventes de Ford ont augmenté de 40% en 2016, grâce à la croissance soutenue des ventes des best-sellers Fiesta et Focus, mais également des toutes populaires, Fusion et Kuga. Ford a démarré l’année 2017 en présentant la nouvelle Ford Kuga, récemment mise sur le marché. De nouveaux modèles seront bientôt présentés aux clients de Ford, notamment, la nouvelle fourgonnette Transit Connect rejoignant ainsi la Ranger Built Ford Tough pickup.

Cette croissance est due essentiellement à la consécration de SCAMA pour enrichir le portefeuille Ford au Maroc, à travers l’extension de son réseau et l’ouverture de nouvelles succursales – un domaine que le distributeur continue à développer avec deux points de vente supplémentaires prévus cette année. Les efforts de SCAMA pour offrir à ses clients la plus grande satisfaction ont été récompensés par cette place de leader du marché, ce qui lui a permis de remporter le prix très convoité de Ford – Le prix du Président (Chairman’s award) à six reprises au cours des huit dernières années.

« SCAMA continue d’aller plus loin au Maroc et nous demeurons engagés à offrir une satisfaction supérieure à nos clients dès l’instant où commence leur aventure avec Ford, » a expliqué M. Abdelouahab Ennaciri, Directeur Général de SCAMA. « Un bon exemple pour illustrer cet engagement est l’offre FordSalaf, une collaboration financière entre Ford Credit, SCAMA et WafaSalaf, qui a connu un succès retentissant. Les clients Ford reconnaissent de plus en plus aujourd’hui la grande valeur de ce produit financier ».

En 2016, le Fond Ford Motor Company s’est également associé à Enactus au Maroc pour aider les étudiants à trouver des solutions durables et à amplifier leur impact en reproduisant un projet réussi qui a permis d’améliorer les moyens de subsistance des populations et de changer les vies et les communautés. Enactus FST Mohammedia et Enactus EHTP ont reçu 25 000 $ pour leur travail dans le Ford Innovation Challenge, tandis que quatre autres équipes – Enactus ISCAE, Enactus Complexe Horticole Agadir, Enactus ENSA Agadir et Enactus FSJES Tanger – ont reçu le Ford C3 Building Sustainable Communities Awards d’une valeur de 25 000 $.

Il y a de cela deux années, Ford Motor Company a également introduit deux autres importantes initiatives citoyennes au Maroc, en les adaptant au niveau local.

Le programme des subventions de Ford pour l’environnement a été lancé en Afrique du Nord, offrant des subventions à des organismes à but non lucratif, des ONG et des individus travaillant dur pour sauver leur environnement. Avant son expansion en Afrique du Nord en 2015, le programme a démarré au Moyen-Orient en 2000, où il a permis à 200 projets de bénéficier d’une subvention totale d’1.64 million de dollars.

Au Maroc, les subventions Ford ont permis de soutenir des projets visant à réhabiliter les puits et les systèmes d’irrigation locaux, préserver les arganiers et développer des outils pédagogiques pour sensibiliser le public aux problèmes de pénurie d’eau.



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Samsung Electronics se distingue au MENA Forum 2017

Samsung Electronics Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA) a expliqué ce mardi à l’occasion du 7e forum annuel de la région MENA à Singapour, la manière dont le groupe exploite son héritage en matière d’innovation afin d’atteindre de nouveaux sommets au bénéfice des utilisateurs. Samsung a fait preuve d’un engagement renouvelé en faveur des utilisateurs avec de nouveaux produits offrant plus de choix et des options flexibles, une philosophie du design à la fois élégante et bien pensée et une technologie qui permet à l’utilisateur de prendre le contrôle et de gérer sa vie plus facilement.

Au cours de cet événement, certains produits phares ont été annoncés dont l’exceptionnelle gamme de téléviseurs QLED, le système de lavage FlexWash™, le climatiseur Windless et le nouveau Galaxy A (2017). En plus de sa gamme de produits, Samsung a mis l’accent sur le développement de ses activités dans le domaine de l’Internet des objets (IoT), grâce à un écosystème de produits et d’appareils qui se connectent sans problème les uns aux autres.

Lors de son allocution au Samsung MENA Forum, Samsung a organisé une session intitulée Mining Minds : des grandes données révèlent nos désirs avec Dr. Gilyoung Song, un expert en Big data et le vice-président exécutif supérieur de Daumsoft, Inc. Pendant cette session, Dr Song a détaillé ses recherches et affirmé qu’il est possible de saisir les tendances mondiales qui prévalent dans notre société en observant et en saisissant les changements et dynamiques des opinions des gens à travers les médias sociaux. Au cours de sa présentation, il a notamment évoqué la méthodologie fondamentale sociale de la big data mining ainsi que plusieurs études de cas illustrant des applications actives dans le monde réel.

« L’innovation a toujours fait partie de l’héritage de Samsung pour proposer sans cesse à nos clients des possibilités infinies et de nouvelles expériences. Au fil des ans, nous avons parlé de notre vision de l’Internet des Objets et repoussé inlassablement les limites afin de progresser dans ce secteur », a déclaré Choong Ro Lee, président de Samsung Moyen Orient et Afrique du Nord. « Cette année, nous continuerons de nous reposer sur nos acquis en matière d’innovation pour créer des produits et des services élégamment conçus et résolument centrés sur les utilisateurs. »

Dans le cadre de ses efforts pour émanciper les communautés dans la région, Samsung a lancé le programme Youngsters Academy qui permet aux jeunes de la région d’avoir recours à la technologie. De plus, en partenariat avec les ONG, les ministères de l’éducation et les universités de la région, Samsung a étendu son initiative Smart School à 10 villes supplémentaires de la zone MENA, donnant ainsi à un plus grand nombre la chance d’apprendre et de faire l’expérience de la technologie informatique en classe.



via Abdo El Rhazi Samsung Electronics se distingue au MENA Forum 2017

OPM – Un concours dédié pour la 1e fois au violon

Du 6 au 11 mars 2017

L’édition 2017 du Concours International de Musique de l’OPM sera pour la première fois consacrée au violon, un instrument « majeur », énigmatique et enchanteur. Il est aussi un instrument difficile au service duquel les compositeurs ont, au fil du temps, exigé des exécutants toujours plus de virtuosité et d’expression pour atteindre des sommets au XIXe siècle.

En introduisant un nouvel instrument dans le cycle du concours, l’Orchestre Philharmonique du Maroc offre également au public une nouvelle palette d’émotions et de communion avec la musique.

Plus de 80 jeunes violonistes ont déposé leur candidature sur le site du Concours. Une présélection sur dossier a permis d’en départager 6 candidats : Mohamed HIBER, 22 ans – France, Youjin LEE, 22 ans – USA, Kojima RYO, 24 ans – Japan, Rika MASATO, 28 ans – Japan, Elly SUH, 28 ans – USA/Corée du Sud, Fanglei LIU, 26 ans – Chine.

Pour la 1e année, c’est le virtuose Régis Pasquier qui sera président du jury. Les membres du jury étant : Ahmed ESSYAD, Suzanne GESSNER, Roland DAUGAREIL, Jean LENERT, Mark GOTHONI et Marian RYBICKI.

Créé en 2001, le Concours International de musique de l’Orchestre Philharmonique du Maroc (OPM) est une compétition musicale qui s’adresse aux jeunes musiciens dont la formation est déjà confirmée et qui se lancent dans des compétitions internationales majeures. Ce concours est devenu en 17 ans d’existence, un cercle musical réunissant chaque année des mélomanes et des néophytes venus rencontrer de nombreux pianistes virtuoses appelés au plus bel avenir.

Depuis sa création, plus de 110 jeunes pianistes âgés de 16 à 30 ans, représentants plus de 10 pays, ont participé aux différentes éditions du Concours.



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L’Afrique cherche de nouveaux modèles de croissance inclusive

Plus de 1.500 opérateurs économiques et institutionnels africains et internationaux de plus de 20 pays sont attendus à la 5ème édition du Forum International Afrique Développement, les 16 et 17 mars 2017, à Casablanca. Placée sous le Haut-Patronage du Roi Mohammed VI, cette édition aura pour thème « Les nouveaux modèles de croissance inclusive en Afrique ».

Les participants s’attelleront durant deux jours à examiner les nouveaux modèles de croissance inclusive en Afrique, notamment par la participation à 3 workshops animés par des experts reconnus traitant du rôle des acteurs privés dans la création de valeur partagée en Afrique ; de l’Urbanisation notamment

8 pays sont à l’honneur pour cette édition (Burkina Faso, Madagascar, Rwanda, République du Congo, Tunisie, Egypte, Côte d’Ivoire, Sénégal). Leurs délégations officielles présenteront les plans nationaux de développement et les banques de projets d’investissements.

Au sein du Marché de l’Investissement, outre les stands Pays, des présentations de projets structurants sont également prévues, ainsi que des sessions de présentations d’initiatives d’acteurs économiques en faveur des entreprises africaines.

Lors de cette manifestation, « Les Trophées du Jeune Entrepreneur », récompenseront les meilleurs jeunes entrepreneurs africains dans les catégories « Innovation », « Entrepreneuriat Social » et «Développement durable ».

Ce rendez-vous est aussi un moment de célébration où convergent les énergies africaines pour participer à la concrétisation d’un esprit solidaire et confiant en ses propres forces.

Depuis sa création, le Forum a réuni plus de 5.500 opérateurs de 36 pays, dont 24 d’Afrique, générant plus de 13.000 réunions B to B, et suscitant d’édition en édition, davantage d’émulations et de manifestations d’intérêts des opérateurs économiques du continent et de ses partenaires, ainsi que des partenariats et des contrats signés dans ce cadre.



via Abdo El Rhazi L’Afrique cherche de nouveaux modèles de croissance inclusive

Assaurances : Saham se lance au Togo

Saham Finances vient de lancer ses activités au Togo après avoir reçu en octobre 2016 l’autorisation de la Commission régionale de contrôle des assurances. Ainsi, à travers sa filiale dénommée Saham Assurances Vie Togo, la société marocaine devient le 6e opérateur dans la branche Vie.

Saham Finances qui couvre désormais 39 pays sur le continent avec son partenaire sud-africain Sanlam vient d’être désigné leader du marché ivoirien avec un chiffre d’affaires réalisé en 2016 de 50,5 milliards de FCFA de primes sur la branche dommages soit une augmentation de 12% par rapport à 2015.



via Abdo El Rhazi Assaurances : Saham se lance au Togo

L’UA invite ses membres à adopter le Passeport Africain

Le Conseil de paix et de sécurité de l’Union Africaine a invité jeudi dernier, lors de sa réunion ministérielle, tous les États membres à adopter le passeport africain et à appliquer le Protocole relatif à la libre circulation des personnes.

En effet, l’Union Africaine a lancé ce passeport continental pour éliminer les visas entre les pays membres et pour faciliter les voyages aux chefs d’État, aux responsables diplomatiques.

À la fin 2016, une étude a révélé que le Passeport africain pourrait apporter une croissance de 24% des dépenses effectuées pour des voyages par avion en Afrique.



via Abdo El Rhazi L’UA invite ses membres à adopter le Passeport Africain

Commerce : Le Maroc rejoint Afreximbank

Le Maroc devient le 43e pays membre d’Afreximbank, la Banque Africaine d’Import-export, l’institution de financement du commerce en Afrique.

Ainsi, le Maroc rejoint au tour de table les pays membres, les investisseurs privés mais aussi les banques centrales et institutions régionales comme la Banque Africaine de Développement.

La banque panafricaine a lancé un nouveau plan de transformation du commerce dénommé “IMPACT 2021” avec un montant de 90 milliards de dollars de financements à l’horizon 2021.



via Abdo El Rhazi Commerce : Le Maroc rejoint Afreximbank

Monday, February 27, 2017

Maroc- Côte d’ivoire : 14 nouvelles conventions signées

Le Roi Mohammed VI et le Président Ouattara applaudissant les signataires des conventions.

Le Roi Mohammed VI et le Président Ouattara applaudissant les signataires des conventions.

Le Roi Mohammed VI et le Président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, ont présidé, ce lundi 27 février 2017 au Palais Présidentiel à Abidjan, la cérémonie de présentation des travaux du Groupe d’Impulsion Economique (GIE) Côte d’Ivoire – Maroc. Les deux chefs d’Etat ont présidé, par la suite, la cérémonie de signature de 14 conventions de partenariat économique, public-privé et privé-privé (voir détails ci-dessous).
Au début de cette cérémonie, la présidente de la Confédération générale des Entreprises du Maroc (CGEM), Miriem Bensalah-Chaqroun, a prononcé, en sa qualité de co-président du GIE Côte d’Ivoire – Maroc, une allocution devant les deux chefs d’Etat, dans laquelle elle a souligné que le GIE a pu, depuis son lancement en juin 2015, renforcer la coopération entre le secteur privé marocain et ivoirien, en leur permettant d’identifier leurs points de complémentarité et de synergie.
«La Côte d’Ivoire est devenue, au cours de cette même période, la première destination des investissements extérieurs du Maroc, et les échanges commerciaux entre nos deux pays ont triplé», a ajouté Bensalah-Cheqroun, faisant observer que ces investissements ont une portée structurante, induisant une création de valeur ajoutée et d’emplois locaux dans des secteurs divers, tels que le BTP, l’industrie manufacturière, chimique et agroalimentaire, la formation, le logement et les infrastructures économiques et sociales.
La présidente de la CGEM a réaffirmé l’engagement des opérateurs privés des deux pays de passer «à un nouveau palier du co-développement» à travers notamment, une approche plus inclusive permettant aux entrepreneurs femmes et jeunes de prendre le train de notre dynamique, un climat des affaires propice à l’investissement, consacrant une place de choix à la PME, et une réciprocité réelle des flux d’investissement.
Bensalah-Cheqroun a saisi, cette occasion, pour présenter les recommandations qu’a formulées le Groupe d’impulsion économique Côte d’Ivoire-Maroc à l’issue de sa dernière réunion tenue le 24 février.
Parmi ces recommandations, Bensalah Cheqroum a fait état de la nécessité de réduire les freins à la compétitivité et à l’investissement industriel en Côte d’Ivoire, et d’améliorer le cadre des affaires entre le Maroc et la Côte d’Ivoire, à travers l’ouverture de bureaux de liaison communs à la CGECI et à la CGEM, et la ratification de la convention de non double imposition.
Le GIE Côte d’Ivoire – Maroc recommande également d’adresser les leviers permettant d’améliorer la réciprocité des flux d’investissements entre les deux pays, de baisser le coût de refinancement des banques auprès de la BCEAO, d’optimiser le cadre fiscal pour le développement du financement des PME-PMI, de mettre en place des mécanismes de garantie spécifiques permettant un meilleur accès de la PME aux financements, et d’introduire l’assurance agricole.
Il s’agit aussi d’une harmonisation des normes sanitaires, de la levée des obstacles techniques au commerce, d’une accréditation réciproque des laboratoires, le renforcement de la coopération en matière d’économie numérique et le développement de projets communs.
Pour réussir la mise en œuvre de ces recommandations, le GIE appelle à la création de groupes mixtes business to governement (B to G) qui travailleront de manière étroite pour lever les obstacles à l’investissement et au commerce, a indiqué Bensalah Chaqroun.
Et d’ajouter que la Côte d’Ivoire et le Maroc, acteurs majeurs en Afrique et hubs économiques régionaux sont des locomotives du développement de la région, notant que «la demande d’adhésion déposée par le Maroc à la CEDEAO va renforcer la communauté de destin entre nos deux pays».
Pour sa part, le président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean-Marie Ackah, a tenu à exprimer au nom des chefs d’entreprises du GIE Côte d’Ivoire-Maroc leur gratitude à SM le Roi et au Président Ouattara pour avoir mis à leur disposition ce puissant outil de coopération.
Depuis la mise en place du GIE, a-t-il rappelé, plusieurs accords de coopération bilatérale ont été signés et le groupe d’impulsion est devenu aujourd’hui «un modèle de coopération permettant aux acteurs des deux pays de mieux se connaitre et de saisir les énormes opportunités de partenariat offertes par les deux pays».
Et le Président du CGECI de souligner l’apport considérable de cette structure au renforcement et à la consolidation de la coopération gagnant-gagnant entre les deux pays, qui se matérialisera, a-t-il noté, par l’émergence de co-entreprises maroco-ivoiriennes.

Détails des accords signés
Voici les quatorze conventions de partenariat économique, public-privé et privé-privé, signés, lundi au palais présidentiel à Abidjan, devant le Roi Mohammed VI et le Président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, à l’occasion de la présentation des travaux du Groupe d’impulsion économique Côte d’Ivoire – Maroc:

1- Un mémorandum d’entente pour la mise en place du financement du projet «HEXAGONE», faisant partie des projets prioritaires de la loi de programmation militaire 2016-2020. Il a été signé par Mohamed El Kettani, PDG du Groupe Attijariwafa bank, et Alain Richard Donwahi, ministre auprès du Président de la République de Côte d’Ivoire, chargé de la Défense.

2- Un mémorandum d’entente pour le financement de l’acquisition de logements principaux pour les agents militaires des forces armées de Côte d’Ivoire. Ce mémorandum, signé par Mohamed El Kettani, et Alain Richard Donwahi, a pour objectif de faciliter l’accès d’un grand nombre de militaires au logement en tant que propriétaire, de les faire bénéficier de conditions avantageuses en termes de durée de remboursement et de taux d’intérêt pour leurs crédits acquéreurs, et de les conseiller sur les formules de financement répondant au mieux à leurs attentes.

3- Un mémorandum d’entente pour le financement du projet de construction d’une unité industrielle pharmaceutique en Côte d’Ivoire ayant pour objet la fabrication et la commercialisation de produits pharmaceutiques. L’unité, objet du mémorandum, sera spécialisée dans la fabrication de produits génériques sous forme sèche, de toutes classes thérapeutiques (hors dérivés de sang), et commercialisera ses produits en Côte d’Ivoire et dans d’autres pays de la région. Ce mémorandum d’entente a été signé, côté marocain, par Mohamed El Kettani et Myriam Lahlou Filali, Président-Directeur Général de la société «Pharma 5 – Côte d’Ivoire», et, du côté ivoirien, par Mme. Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Santé et de l’Hygiène publique.

4- Convention de partenariat en vue de la souscription aux titres publics émis par l’Etat de Côte d’Ivoire en 2017. Elle a été signée, côté marocain, par Othman Benjelloun, PDG du Groupe BMCE Bank of Africa et, du côté ivoirien, par Adama Kone, ministre de l’Economie et des Finances.

5- Convention de partenariat relatif à la mise en place d’un programme de financement du réseau routier en Côte d’Ivoire. Elle a été signée par Mohamed Benchaaboun, PDG du Groupe «Banque Centrale Populaire du Maroc» et Adama Kone.

6- Convention de partenariat relatif au financement des PME dirigées par les femmes. Elle ambitionne la mise en place d’un plan de financement afin de permettre aux commerçants, artisans et entrepreneurs de disposer d’un ensemble de services financiers en vue d’assurer le développement de leurs activités. Cette convention a été signée par Mohamed Benchaaboun, et Souleymane Diarrasouba, ministre ivoirien du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME.

7- Convention cadre portant sur le Programme «Des Compétences pour la Compétitivité et l’Employabilité». Cette convention, qui vise notamment l’accompagnement de la Côte d’Ivoire pour la mise en place des mécanismes de production des répertoires emplois-métiers et des référentiels emplois-compétences, a été signée par Mohamed Slassi, Co-président de la commission «capital humain» du groupe d’impulsion économique (GIE) maroco-ivoirien, et Aka Elete, Co-Président de la même commission.

8 – Convention cadre pour le développement de l’Economie Sociale et Solidaire et de l’Artisanat. Les commissions des deux pays ont élaboré une stratégie qui s’articule autour de six points, à savoir l’organisation d’un Salon de l’économie sociale et solidaire, le partage de l’expérience et de l’expertise de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH), l’étude des cadres juridiques, réglementaires et institutionnels, la réalisation d’une étude d’opportunités pour lancer des incubateurs et accélérateurs des entreprises, la concrétisation de partenariats avec les champions nationaux marocains installés en Côte d’Ivoire, la mise en place d’un programme « Infitah Africain» afin de moderniser et digitaliser des TPE. Cette convention a été signée par Mme Laila Miyara, Co-Président de la Commission Economie Sociale et Solidaire et de l’Artisanat (GIE- Maroc) et Kassoum Bamba, Co-Président de la Commission Economie Sociale et Solidaire et de l’Artisanat (GIE-Côte d’Ivoire).

9- Convention pour la création d’un Technocentre à Abidjan. Ayant pour objectif d’accroître la création et l’implantation d’entreprises innovantes dans le secteur des NTIC dans un cadre favorisant leur développement, cette convention a été signée su côté marocain par Aziz Dadane, Co-Président de la Commission «Economie Numérique» du GIE Maroc-Côte d’Ivoire, Mme Lamiae Benmakhlouf, Directrice Générale de la Moroccan Information Technology Company (MITC), Saloua Karkmi Belkeziz, Présidente de la Fédération Marocaine des Technologies de l’Information, des Télécommunications et de l’Offshoring. Elle a été signé du côté ivoirien par Patrick M’Bengue, Co-Président de la Commission «Economie Numérique» du GIE Maroc-Côte d’Ivoire, qui a également signé pour le compte de Patrick Brou, Vice-président du groupement des opérateurs du secteur des TIC, Jean Euloge Soro-Kipeya, Directeur Général de l’Agence Nationale du Service Universel des Télécommunications-TIC (ANSUT), et Akossi Noel Bendjo, Président de la Coordination des Maires d’Abidjan.

10- Convention de joint-venture pour la mise en place d’un centre de traitement informatique. Elle a été signée par Aziz Dadane, Président de la Société Maghrébine de Monétique « S2M », et Patrick M’Bengue, Président Directeur Général de la société INOVA.

11- Convention de partenariat pour la création d’une joint-venture entre les sociétés INVOLYS (Maroc) et INOVA (Côte d’Ivoire). Elle a été signée par Mohamed Bachir Rachdi, Président Directeur Général de la société INVOLYS et Patrick M’Bengue, Président Directeur Général de la société INOVA.

12- Mémorandum d’entente relatif à la modernisation et au maintien du parc de véhicules de transport routier de personnes et de marchandises. Ce mémorandum a été signé, côté marocain, par Abdelilah Hifdi, pour l’Union Africaine du Transport et de la Logistique (UATL), Ezzoubeir Errhaimini, pour la Fédération du Transport de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (FT-CGEM), et Mohamed Ben Ouda, directeur général de la Société Nationale des Transports et de la Logistique (SNTL). Côté ivoirien, il a été signé par Abdramane Camara, pour le Haut Conseil du Patronat des Entreprises de Transport Routier de Côte d’Ivoire, et Stéphane Eholie, Co-Président de la Commission «Transport et Logistique» du GIE Maroc-Côte d’Ivoire.

13- Accord de coopération dans le domaine de la logistique. Cet accord, signé par Younes Tazi, Directeur Général de l’Agence Marocaine de Développement de la Logistique, et Issoufou Sidibe, Président Directeur Général de l’Office Ivoirien des Chargeurs, a pour objectif de définir des actions concrètes et opérationnelles dans les domaines de Développement des zones et plateformes logistiques, la Modernisation de chaines logistiques et le développement des compétences et de la formation dans les métiers logistiques.

14- Mémorandum d’entente en vue de la coopération dans les domaines des transports publics de voyageurs et de la sécurité routière. Signé par Ezzoubeir Errhaimini, Président Directeur Général de la Compagnie de Transport du Maroc SA. «CTM» et Aissatou Cisse Sy, Président Directeur Général de PENDIS, ce mémorandum vise à apporter l’assistance de CTM et son expertise pour la structuration d’une offre de transport public de voyageurs, dans de bonnes conditions de confort et de sécurité, en vue d’atteindre une meilleure mobilité des usagers et répondre ainsi aux normes internationales. Il ambitionne également la formation en mode alterné, des conducteurs et du personnel de gestion, la définition d’une stratégie et la mise en place d’un schéma directeur des gares routières qui intègre le «space planning», et le partage d’expérience sur les différents outils et procédures dans le but d’atténuer l’impact de l’activité de transport sur l’environnement.



via Abdo El Rhazi Maroc- Côte d’ivoire : 14 nouvelles conventions signées

Attijariwafa bank et Ghana Commercial Bank s’allient

Dans le sillage de la tournée royale en Afrique, Attijariwafa bank et GCB Bank Ltd ont signé, devant le Roi Mohammed VI et le Président Nana AKUFO-ADDO, un Mémorandum d’Entente pour renforcer leurs efforts de collaboration en matière de Correspondent banking, de financement de l’Investissement, du Commerce et, plus généralement, de projets sur le continent africain.

Cette convention a été signée par M. Mohamed El Kettani, Président Directeur Général du groupe Attijariwafabank et par M. Samuel Sarpong, Chef des Opérations et Directeur Exécutif de GCB Bank Ltd. M. Samuel Sarpong et M. Mohamed El Kettani ont exprimé leur satisfaction au sujet de cet important accord de coopération, conclu entre la principale banque Ghanéenne et le Groupe financier leader au Maroc.

A ce propos, M. Sarpong a déclaré: “Cet accord est la première étape d’un partenariat à long terme entre nos deux institutions. Dorénavant, nous nous concentrerons sur le fait de mettre en place une vraie plateforme facilitatrice d’affaires pour les entreprises ghanéennes, marocaines et africaines qui ont l’intention de développer les flux de Commerce et d’Investissement à l’échelle de l’Afrique.”

M. EL Kettani a, quant à lui, fait la déclaration suivante : “Il va sans dire que ce Mémorandum d’Entente constitue une étape majeure dans le renforcement de nos liens avec des institutions financières leaders à l’échelle africaine. Aujourd’hui, nous avons signé un accord important avec la banque ghanéenne leader GCB Bank Ltd, démontrant par là notre forte confiance dans le potentiel considérable et impressionnant du Ghana. Nos deux institutions vont entreprendre les efforts nécessaires pour la mise en place de produits et services financiers aux meilleurs standards du marché, à destination de nos clientèles respectives.”



via Abdo El Rhazi Attijariwafa bank et Ghana Commercial Bank s’allient

Karim Irrgang nouveau Directeur Général de Banyan Tree Tamouda Bay

Karim Irrgang vient d’être nommé Directeur Général du Banyan Tree Tamouda Bay. Le nouveauDirecteur a une longue expérience dans l’hôtellerie et dans le groupe Banyan Tree qu’il a rejoint en2005.

Il a débuté sa carrière dans le groupe, au Banyan Tree Bangkok et  au Banyan Tree Phuket, cedernier étant le premier établissement et ‘flagship’ de la marque. Karim Irrgang a ensuite été Directeur de Restaurant au Banyan Tree Seychelles dès 2006. Il a ensuite occupé diversesfonctions à Angsana Great Barrier Reef, Banyan Tree Ras Al Khaimah Beach Club, et il a étéDirecteur d’Angsana Riad Marrakech entre 2011 et 2012.

Récemment il a travaillé comme Directeur Général de resorts en Turquie et aux MaldAvec cette nouvelle nomination au Banyan Tree Tamouda Bay, Karim Irrgang réintègre à nouveau le groupe Banyan Tree.



via Abdo El Rhazi Karim Irrgang nouveau Directeur Général de Banyan Tree Tamouda Bay

Aérien : Air Arabia ouvre Fès et Marrakech

Air Arabia Maroc renforce son activité à Fès et dévoile le lancement de 14 nouvelles fréquences internationales, ainsi que, pour la première fois au Maroc, une liaison interne entre Fès et Marrakech. Un projet de grande envergure qui s’inscrit dans la volonté de la compagnie de promouvoir la destination Maroc.

Lancé en collaboration avec l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT), ce projet de renforcement de la base de Fès confirme l’engagement des deux parties d’offrir une connectivité améliorée entre les aéroports du Maroc et les plus grands bassins émetteurs de touristes. Ce choix est motivé par le fait que la capitale spirituelle du Maroc, ainsi que sa région, présente de grandes potentialités touristiques.

En outre, le lancement de la première desserte intérieure reliant deux destinations touristiques de premier plan du Royaume, s’inscrit dans l’engagement de la compagnie au soutien du tourisme interne, outre la volonté du développement du tourisme croisé pour les passagers étrangers désireux de découvrir la magie des deux villes impériales lors du même voyage.

A partir du 14 Juin 2016, seront desservies les villes suivantes, à raisons de deux fréquences hebdomadaires par destination. Rome, Londres, Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Bruxelles et Barcelone. La plupart de ces destinations seront desservies pour la première fois de l’histoire au départ de Fès.

La liaison Fès- Marrakech sera quant à elle opérée à raison de trois fois par semaine, le mardi, vendredi et dimanche, offrant ainsi un excellent produit à des horaires confortables, et plus d’options pour les circuits touristiques combinés.

Les vols reliant Fès et Marrakech seront commercialisés à un tarif de 450 Dhs TTC, et seront opérés par la flotte d’Air Arabia Maroc, composée des confortables appareils Airbus A320, la nouvelle liaison interne entre Fès et Marrakech s’effectuera avec le calendrier suivant :

Les vols au départ de Fès vers Marrakech :

Fès- Marrakech

Vendredi

Décollage 12:05 heure locale

Arrivée : 13:05 heure locale

Fès- Marrakech

Mardi et Dimanche

Décollage 07:50 heure locale

Arrivée : 08:50 heure locale

Les vols au départ de Marrakech vers Fès

Marrakech – Fès

Vendredi

Décollage 13:45 heure locale

Arrivée : 14:45 heure locale

Marrakech – Fès

Mardi et Dimanche

Décollage 09:30 heure locale

Arrivée : 10 :30 heure locale

Ville impériale, éternelle, Fès offre l’expérience d’un séjour intemporel, aux frontières du présent et de l’histoire. Centre spirituel et culturel du Royaume, Fès a pour priorité de préserver ses traditions et l’âme de ses vielles pierres. Sa médina, classée patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco, a su garder toute son authenticité et son cachet depuis plus de 1200 ans. Son brillant passé, le respect de son patrimoine matériel et immatériel savamment entretenu ainsi que son caractère aristocratique, participent à la fascination évidente que la ville exerce sur le visiteur d’aujourd’hui

Idéales pour séjourner le temps d’un week-end ou effectuer un voyage d’affaires, ces 14 lignes assureront aux passagers d’Air Arabia Maroc des trajets réguliers, un service de grande qualité et une expérience aérienne confortable au sein d’une flotte composée de confortables appareils Airbus A320

Entamant sa huitième année d’exploitation, Air Arabia Maroc a gagné la confiance de millions de passagers grâce à des voyages confortables et fiables à partir ou à destination du Maroc.



via Abdo El Rhazi Aérien : Air Arabia ouvre Fès et Marrakech

MIT Forum Arab Start Up competition : Cinq finalistes Marocains

inwi confirme son engagement à accompagner les entrepreneurs et les porteurs de projet marocains et à participer au développement d’une économie numérique forte et compétitive.

Dans ce cadre, l’opérateur global des télécommunications a accueilli, en décembre 2017 et pour la première fois au Maroc, les représentants du MIT Entreprise Forum Arab Startup Competition.

Un appel à candidature a alors été lancé permettant à cinq entreprises de se hisser en phase finale du concours. Il s’agit notamment de Farasha Systems, Eco-Heat, Eko-Geste Dari, Evaptainers et Watech.

Les cinq start-up sélectionnées participeront d’abord à un bootcamp en Jordanie et en Egyte durant le mois de mars 2017. Ils y bénéficieront de formations et de coaching en matière d’entrepreunariat. La compétition finale se tiendra, elle, au Bahrein du 24 au 27 Avril 2017. Le MIT Entreprise Forum Arab Startup Competition, organisé en partenariat avec la communauté Jameel et l’opérateur Télécoms international Zain, est le rendez-vous incontournable pour primer l’innovation et encourager l’entreprenariat dans la région MENA. ll est doté de prix totalisant 160.000$.

En 10 ans, 80.000 candidats, en provenance de 8 pays, ont déjà participé à cette compétition, et 40% des idées présentées ont été transformées en projets concrets.



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BOA Capital présente son indice obligataire aux assureurs africains

Dans le cadre des travaux de la 41ème Assemblée Générale de la FANAF -Fédération des Assurances de Droit National Africaines-, BOA Capital a présenté le 15 février en séance plénière son indice W|BI, 1er indice obligataire de la région UEMOA -Union Economique et Monétaire Ouest Africaine-.

La Banque d’Affaires a ainsi saisi cette occasion pour exposer la genèse du W|BI ainsi que la méthodologie de sa construction transparente et conforme aux meilleures pratiques internationales en la matière. Plusieurs institutionnels de renom ont exprimé, en séance et lors de rencontres bilatérales, leur vif intérêt pour cette initiative et pour la contribution qu’elle apporte au développement du marché financier de la région.

Le W|BI, West African Economic and Monetary Union Bond Index, a pour vocation de calculer la performance des titres souverains sur le marché obligataire de l’UEMOA. Cet indice a été conçu avec l’expertise de BMCE Capital et le sponsoring de BANK OF AFRICA.

Pour rappel, BOA Capital avait procédé en décembre dernier au lancement de cet indice au cours d’une présentation à la communauté financière présente à Dakar.



via Abdo El Rhazi BOA Capital présente son indice obligataire aux assureurs africains

Engrais : OCP va livrer 100.000 T en Guinée

Le Roi Mohammed VI a présidé à Conakry la cérémonie de signature d’un Protocole d’Accord entre le groupe OCP et le Gouvernement Guinéen pour l’approvisionnement de la Guinée en engrais phosphatés adaptés aux besoins des sols et des cultures locales.

Ce Protocole d’Accord vise à renforcer le partenariat stratégique entre le groupe OCP et la Guinée pour l’accélération du développement agricole de la République de Guinée, fondé sur l’encouragement d’une fertilisation raisonnée des terres agricoles et le renforcement de la coopération technique.

Le groupe, à travers cet accord, a pour objectif de permettre au gouvernement guinéen d’assurer l’approvisionnement de la totalité des besoins d’engrais phosphatés de la République de Guinée estimés à 100 000 tonnes pour l’année 2017 et s’engage à fournir une offre promotionnelle à caractère exceptionnel incluant un don de 20,000 tonnes.

Dans un esprit de partenariat Sud-Sud par excellence, ce protocole d’accord est une suite logique de la collaboration initiée en 2014, entre le Groupe OCP et l’Etat guinéen, visant à améliorer les techniques agricoles des agriculteurs guinéens dans le but d’augmenter leurs rendements agricoles et ainsi diminuer de manière significative leur recours à l’importation en produits agricoles de base.

Le Gouvernement guinéen accorde une importance particulière à l’accélération du développement agricole du pays. Dans ce sens, ce Protocole d’Accord vient consolider les efforts de la Guinée afin de promouvoir le développement socioéconomique des agriculteurs guinéens, l’objectif étant d’atteindre un taux de croissance de 8% en 2017 pour le secteur agricole, et éventuellement une croissance à 2 chiffres.

La Guinée a d’ailleurs décidé de multiplier par cinq sa consommation actuelle moyenne d’engrais (20 000 tonnes métriques par an) en prônant une meilleure utilisation des engrais et la promotion d’une fertilisation raisonnée des terres agricoles, lesquelles constituent un pilier fondamental pour une accélération du développement agricole guinéen.

En sa qualité de leader mondial dans le domaine des engrais phosphatés, le groupe OCP est constamment engagé pour le développement agricole en Afrique. A travers le renforcement de son partenariat avec la Guinée, le groupe et le gouvernement guinéen veulent assurer la continuité des travaux communs menés par les partenaires jusqu’à présent, notamment par la poursuite du projet de carte de fertilité des sols et la poursuite de la caravane OCP dans la République de Guinée et ce, dans la continuité des travaux et projet commun sur lesquels ils se sont déjà engagés depuis 2014.

En effet, lors de la visite officielle du Roi Mohammed VI en Guinée en 2014, il a été procédé à la signature d’une convention entre le groupe OCP et le gouvernement guinéen. La convention concernait plusieurs actions de collaboration et le lancement de plusieurs projets pilotes. Il s’agit notamment de l’élaboration de la Carte de fertilité du sol, lancée dans la région de Faranah (100 000 ha, pour une meilleure connaissance des caractéristiques des sols de Guinée), de l’organisation de la Caravane OCP en Guinée (7 étapes organisées entre 2015 et 2016, plus de 3000 agriculteurs guinéens sensibilisés) et de la formation de plusieurs cadres et techniciens guinéens, ainsi que la mise à niveau des équipements des laboratoires du SENASOL à Conakry et de l’IRAG à Foulaya.



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Hafid Stitou « Le cinéma est d’abord une émotion »

L’acteur et réalisateur marocain qui vient de signer son nouveau court-métrage sombre « Seth » nous parle de sa passion pour le 7e art et son expérience de metteur en scène.

Autodidacte et homme de tous les défis, Hafid Stitou, acteur et réalisateur marocain résident en Belgique est rattrapé par sa passion pour le cinéma il y a environ six ans. Il se retrouve derrière les caméras presque par hasard et se prend au jeu. Le cinéma deviendra par la suite une sorte de thérapie pour lui, une façon de vivre et de s’exprimer.

Il enchaîne alors les rôles dans des registres variés. Aujourd’hui, il vient de terminer 3 longs métrages dont 2 au Canada (une comédie dramatique et un polar) ainsi qu’un film d’auteur au Maroc. Dans son dernier polar « Seth » qu’il produit, il incarne le rôle d’un justicier de l’ombre qui traque les brutes et ose parler d’un sujet fâcheux qu’est le trafic d’organes. Avec un casting de rêve composé de David Hallyday, Ophélie Winter et Christian Audigier, le court-métrage sera bientôt projeté au festival de Tanger qui aura lieu du 3 au 11 mars 2017.

Vous venez de réaliser un court métrage « Seth », un polar sombre où vous campez le rôle d’un justicier de l’ombre. Pourquoi un thème sur le trafic d’organes ? Parce que c’est un sujet tabou, cela excite au plus haut niveau international et les médias n’en parlent presque pas. Pourquoi ? En fait, ce sujet me tenait à cœur, je voulais me rendre utile pour les enfants et j’avais envie de raconter, de dénoncer à travers un film assez noir, un polar… Je voulais pousser un coup de gueule avec la puissante arme qu’est le cinéma. Aujourd’hui, nous avons les moyens techniques et visuels de faire prendre conscience au monde de ce fléau qu’est la pédophilie et le trafic d’organes.

Vous êtes acteur. Pourquoi avoir choisi de passer derrière la caméra ? Pour m’exprimer à travers l’histoire et les acteurs et soigner mes frustrations.

Comment avez-vous vécu cette expérience de réalisateur ? Avec beaucoup de frustrations car c’est un métier extrêmement compliqué, mais la passion prend le dessus et ça devient viscéral !

Quels étaient les défis à relever en tant que réalisateur ? La confiance des acteurs et des techniciens, le challenge aussi. J’aime la difficulté car par elle, nous arrivons à surmonter les obstacles sans frustrations et aussi accomplir nos devoirs à travers une œuvre accomplie.

Comment dirigez-vous vos acteurs ? Sans menottes mais je sais ce que je veux.

Vous utilisez peu de dialogue dans Seth. Cherchez-vous à capter plus l’émotion ? Comment y parvenez-vous ? En me nourrissant de vieux films muets. Le cinéma est d’abord une émotion avant un son, nous pouvons voir un film muet et le comprendre, nous pouvons aussi voir un film avec des dialogues sans le comprendre !

On vous voit également dans le nouveau court-métrage de Moussa Sah « Invazion ». Parlez-nous un peu de ce rôle ? Qu’est ce qui vous a séduit dans ce personnage ? La vision modeste et humble de ce réalisateur sur une musique classique de la 7e symphonie de Dimitri Shostakovitch- Leningrad. C’était une véritable aubaine pour moi car il n’y avait aucun dialogue, juste de l’expression corporelle !

A quand remonte votre passion pour le cinéma ? Absolument par hasard, j’avais remplacé un comédien malade, à cette époque, j’avais besoin d’un psy et je pense l’avoir trouvé maintenant. Et on plus, on me paie pour faire ma thérapie !

Au Maroc, nous faisons du cinéma non pour l’amour de l’art mais pour l’appât du gain

Que signifie pour vous le fait d’être acteur ? Qu’est ce que cela vous apporte personnellement ? L’équilibre professionnel, se sentir utile artistiquement, partager des émotions, l’adrénaline de l’action dont j’ai besoin, me sentir boosté par le challenge. Cela me donne de l’énergie, je m’explore intérieurement, et c’est top de se découvrir.

Comment choisissez-vous vos rôles ? J’ai la chance de gagner ma vie autrement que dans le cinéma. Donc, pour moi, le cinéma est un luxe que je peux m’offrir en choisissant mes rôles. J’ai aussi souvent refusé des rôles qui dégradent l’image de mon pays ainsi que ma religion.

Comment préparez-vous vos rôles ? Je discute beaucoup avec les réalisateurs pour cerner la profondeur du personnage, pour ce qui est de la technique, je ne suis que l’outil du réalisateur.

Vous préférez les rôles de méchants ou de gentils et pourquoi ? Quand j’incarne un rôle, j’essaie de me fondre dans le personnage. Ceci étant, j’ai une petite préférence pour les rôles de méchants car je suis tout le contraire dans la vie, donc, cela m’amuse.

Vous préférez jouer la comédie, réaliser ou produire et Pourquoi ? J’aime être derrière la caméra mais je pense que ma place est plus devant. Je suis devenu producteur malgré moi, un peu par obligation.

Quelle est la chose la plus difficile dans ce métier ? Absolument tout. Chaque chose doit être à sa place, tout doit être extrêmement bien préparé, de l’écriture au cut final.

Quel est le film dont vous êtes le plus fier et pourquoi ? Mon 1er court métrage « Trash », produit et réalisé par mes enfants Jaade et Mehdi. Mehdi avait à l’époque 14 ans et Jaade 12 ans. Se faire diriger par ses enfants est absolument extraordinaire car leur vision est complètement insouciante et innocente.

Les acteurs avec lesquels vous aimeriez tourner ? Il y en a tellement mais si je devais choisir, je pense que j’aimerais tourner avec ma fille Jaade car je me retrouve en elle. Cette fusion entre père et fille ou fils, c’est extraordinaire à jouer et extrêmement compliqué aussi.

Vous êtes sensible à quel genre de films ? J’aime les films noirs comme les films comiques. Chacun m’apporte des émotions différentes avec lesquels je m’inspire.

Vous êtes plus connu à l’étranger qu’au Maroc. Pour quelle raison selon vous ? Vous savez, je fais juste mon job, nous devons juste être des réflecteurs quand la lumière est sur nous, vous devez par la suite la rediriger vers ceux qui sont dans l’ombre.

Comment voyez-vous le cinéma marocain aujourd’hui ? Une catastrophe ! Nous faisons du cinéma non pour l’amour de l’art mais pour l’appât du gain.

Que faut-il pour l’améliorer ? Mettre un coup de pied dans la fourmilière actuelle, aider les jeunes réalisateurs, les scénaristes, les écouter, construire des infrastructures appropriées, valoriser leur travail, les encourager, …faire venir des comédiens et des réalisateurs de l’étranger pour des masters classes, donner l’envie de faire un cinéma de qualité.

Vos projets ? Je prépare un autre court-métrage « Kronos » dont je viens de finir l’écriture. Le tournage se fera entièrement à l’intérieur d’une voiture, c’est très technique sur le plan réalisation et jeux d’acteurs.



via Abdo El Rhazi Hafid Stitou « Le cinéma est d’abord une émotion »

La marocaine Ouafa Hajji rempile à la tête de l’ Internationale socialiste des femmes

Ouafa Hajji a été réélue ce dimanche 26 février à l’unanimité Présidente de l’internationale socialiste des femmes lors du 21 ème congrès de l’ organisation réuni à Carthagènes des Inde en Colombie.

Elle devient ainsi également Vice Présidente de l’Internationale socialiste pour un nouveau mandat
le congrès, qui se tient sous le thème ” les inégalités de genre – mieux comprendre les nouveaux défis et mettre fin aux inégalités à l’ horizon 2030″, a également élu le nouveau Comité Exécutif de l’ISF composé de dirigeantes et leaders socialistes des quatre continents.
Devant le bilan extrêmement positif de la présidente Ouafa Hajji , les organisations membres ont décidé de ne pas présenter de candidate et préféré réitérer leur confiance dans la Présidente sortante. Une nouvelle victoire pour le Maroc qui s’affirme plus que jamais dans les espaces internationaux.
Ouafa Hajji consolide ainsi le leadership marocain dans l’une des plus anciennes et dynamiques organisations internationales.



via Abdo El Rhazi La marocaine Ouafa Hajji rempile à la tête de l’ Internationale socialiste des femmes

Audiovisuel : Le Maroc intègre l’Association africaine

Le Maroc a intégré jeudi dernier à Dakar l’UAR, l’Union Afrique de Radiodiffusion après un vote à l’unanimité des 28 délégations de l’association présentes aux travaux de la 10e Assemblée générale.

La SNRT et la Soread 2M avaient sollicité l’UAR pour l’adhésion du Royaume au sein de cette association et l’assemblée générale a validé l’intégration de l’audiovisuel marocain à cette instance panafricaine.

La délégation marocaine présente à cette rencontre était composée de l’ambassadeur du Maroc au Sénégal, des patrons de la SNRT, de la Soread 2M et de la HACA. Pour rappel, l’UAR compte désormais avec le Maroc 49 pays membres.



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Microfinance : BCP veut se renforcer en Afrique

Le Groupe Banque Centrale Populaire compte renforcer sa filiale de microfinance en Afrique à l’horizon 2020. En effet, le groupe marocain veut se développer dans 5 à 10 pays supplémentaires afin de mettre en œuvre son engagement pour l’inclusion sociale des population africaines.

Déjà présent dans tous les pays de l’UEMOA, le groupe compte développer sa filiale Atlantique Microfinance Africa à travers son réseau dans 12 pays d’Afrique avec sa marque Banque Atlantique pour proposer un éventail de crédits individuels destinés aux micro-entrepreneurs du secteur informel.



via Abdo El Rhazi Microfinance : BCP veut se renforcer en Afrique

Oscars : “Moonlight” sacré meilleur film (+liste des autres oscarisés)

“Moonlight” du réalisateur Barry Jenkins a remporté dimanche l’Oscar du meilleur film, qui a été attribué dans un premier temps par erreur à “La La Land”.
Peu avant, le jeune réalisateur américain de la comédie musicale “La La Land”, Damien Chazelle, a remporté l’oscar du meilleur réalisateur.
Pour sa part, l’Américain Casey Affleck a glané l’oscar du meilleur acteur pour son rôle dans le film “Manchester by the Sea”.
De son côté, l’Américaine Emma Stone a reçu l’Oscar de la meilleure actrice pour son rôle de jeune actrice dans “La La Land”, une comédie musicale où elle chante et fait des claquettes, couronnant une ascension fulgurante.Voici la liste des vainqueurs dans les principales catégories des Oscars, qui ont été décernés dimanche soir à Hollywood.
– Meilleur film: “Moonlight”
– Meilleur réalisateur: Damien Chazelle, “La La Land”
– Meilleur acteur: Casey Affleck, “Manchester by the Sea”
– Meilleure actrice: Emma Stone, “La La Land”
– Meilleur acteur dans un second rôle: Mahershala Ali, “Moonlight”
– Meilleure actrice dans un second rôle: Viola Davis, “Fences”
– Meilleur film étranger: “Le client” (Iran, co-production française)
– Meilleur film d’animation: “Zootopie”-



via Abdo El Rhazi Oscars : “Moonlight” sacré meilleur film (+liste des autres oscarisés)

La terre a tremblé dans la province d’Azilal

Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,7 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée, lundi, dans la province d’Azilal, annonce l’Institut national de géophysique.
La secousse, dont l’épicentre est situé à la commune rurale de Tilougguite relevant de la province d’Azilal, s’est produite vers 04h 48min 20sec, précise le Réseau national de surveillance et d’alerte sismique de l’Institut dans un bulletin d’alerte sismique.



via Abdo El Rhazi La terre a tremblé dans la province d’Azilal

Le Maroc veut rejoindre la CEDEAO

Sommet CEDEAO 2016

Le Maroc veut intégrer la CEDEAO, la Communauté Économique des États d’Afrique de l’Ouest d’après un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.

En effet, sur instructions du Roi, la présidente en exercice de la CEDEAO Ellen Johnson Sirleaf également présidente du Liberia, a été informée vendredi dernier de la volonté du Royaume de rejoindre l’institution sous régionale.

Selon le ministère, la démarche du Maroc vient couronner les liens forts aux niveaux politique, humain, historique, religieux et économique avec les pays membres de la CEDEAO.

Pour rappel, l’institution est composée de 15 pays de l’Afrique de l’ouest avec un marché de plus de 300 millions d’habitants et un PIB total supérieur à 700 milliards de dollars.



via Abdo El Rhazi Le Maroc veut rejoindre la CEDEAO

Sunday, February 26, 2017

Touria Lahrach–CDT : « Il nous faut une culture du dialogue social »



via Abdo El Rhazi Touria Lahrach–CDT : « Il nous faut une culture du dialogue social »

Driss Guerraoui : « Il faut aller vers une nouvelle génération de dialogue social ! »



via Abdo El Rhazi Driss Guerraoui : « Il faut aller vers une nouvelle génération de dialogue social ! »

La syndicaliste Khadija Zoumi critique les syndicats



via Abdo El Rhazi La syndicaliste Khadija Zoumi critique les syndicats

Guergarate – Le Maroc effectue un retrait unilatéral de la zone tampon

Le Royaume du Maroc prend note avec intérêt de la déclaration, rendue publique le samedi 25 février 2017, par le porte-parole du Secrétaire Général de l’ONU, concernant la situation grave dans la zone de Guergarate au Sahara marocain, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.

Le Maroc enregistre les recommandations et les appréciations du Secrétaire Général, qui sont conformes à la légalité internationale, souligne le communiqué.
Cette déclaration intervient à la suite de l’entretien téléphonique du Roi Mohammed VI avec S.E.M. Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’Onu, le 24 février courant, ajoute la même source.
Dans ce contexte, et sur hautes instructions du Souverain, et afin que la demande du Secrétaire général soit respectée et appliquée dans l’immédiat, le Royaume du Maroc procèdera, dès aujourd’hui (dimanche 26 février 2017), à un retrait unilatéral de la zone, précise le communiqué.
Le Royaume du Maroc espère que l’intervention du Secrétaire Général permettra de revenir à la situation antérieure de la zone concernée, de préserver intact son statut, de garantir la fluidité du trafic routier normal et, ainsi, de sauvegarder le cessez le feu et renforcer la stabilité régionale, conclut le communiqué.



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La visite du Roi Mohammed VI en Guinée Conakry en images

Le Roi Mohammed VI et le président guinéen donnent le coup d'envoi des travaux de construction d’une nouvelle mosquée à Conakry.
Le Roi Mohammed VI et le président guinéen s'informent de l'état d'avancement de construction de l'hôpital mère et enfant à Conackry.
Le Roi Mohammed VI fait don de 10.000 exemplaires du Saint Coran à Conakry.
Amir Al Mouminine accomplissant la prière du Vendredi à Conakry.


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Saturday, February 25, 2017

Après la Guinée, le Roi se rend en Côte d’Ivoire

Le Roi Mohammed VI est arrivé ce vendredi en fin d’après-midi à Abidjan pour une visite d’amitié et de travail en République de Côte d’Ivoire, nouvelle étape d’une tournée royale qui a conduit le Souverain au Ghana, en Zambie et en Guinée.

A Sa descente d’avion à l’aéroport international «Félix Houphouët-Boigny» d’Abidjan, le Roi a été accueilli par le Président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, qui était accompagné de la Première Dame de Côte d’Ivoire, Madame Dominique Claudine Ouattara.

Le cortège des deux Chefs d’Etat s’est ensuite dirigé vers le lieu de résidence du Souverain à Abidjan au milieu des vivats et des ovations d’une foule nombreuse de citoyen et de membres de la communauté marocaine établie en Côte d’Ivoire, venus des quatre coins du pays pour acclamer le Souverain et Lui souhaiter la bienvenue en terre ivoirienne.



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Une “Mosquée Mohammed VI” à Conakry

Le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, accompagné du Prince Moulay Ismail et du président de la République de Guinée Alpha Condé, a donné, ce vendredi, le coup d’envoi des travaux de construction d’une nouvelle mosquée à Conakry que le Souverain a bien voulu baptiser “Mosquée Mohammed VI”.

Cet édifice religieux et culturel d’une superficie de 4.040 mètres carrés couverts, comprend une salle de prière pouvant accueillir plus de 3.000 fidèles, une bibliothèque, une salle de conférence, un pavillon administratif, un logement pour l’imam ainsi qu’un parking et des espaces verts.

A cette occasion, le secrétaire général des Affaires religieuses de Guinée, M. Abdekrim Joubati, a prononcé une allocution dans laquelle il a tenu à exprimer ses sincères remerciements et sa profonde gratitude au Roi pour la construction de cette grande mosquée et pour avoir bien voulu baptiser cet important édifice religieux de Son Auguste Nom.

Il a également remercié le Souverain d’avoir mis en place la Fondation Mohammed VI des oulémas africains.

Le Roi, Amir Al Mouminine, a bien voulu faire don de 10.000 exemplaires du Saint Coran aux parties en charge de la gestion des affaires religieuses en République de Guinée, à l’issue de la prière du vendredi que le Souverain a accomplie à la mosquée Ahl Sunna Wal Jamaa à Conakry.

Ces exemplaires ont été remis à M. Abdekrim Joubati, secrétaire général des affaires religieuses en Guinée.

Après la prière du Vendredi, le Souverain a été salué par les imams guinéens, lauréats de la première promotion de l’Institut Mohammed VI de formation des mourchidines et mourchidates, au nombre de 114 imams et 19 mourchidates, qui ont exprimé leur considération et leur reconnaissance au Roi, Amir Al Mouminine.



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Friday, February 24, 2017

Guergarate – Le Roi Mohammed VI prévient Antonio Guterres

Appel téléphonique du Roi Mohammed VI au Secrétaire général de l'ONU.

Appel téléphonique du Roi Mohammed VI au Secrétaire général de l’ONU.

Le Roi Mohammed VI a eu, ce vendredi 24 février 2017 un entretien téléphonique avec le Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterres, indique un communiqué du Cabinet Royal.
Au cours de cet entretien, le Souverain a attiré l’attention du responsable onusien sur la situation grave qui sévit dans la région de Guergarate au Sahara marocain, à cause des incursions répétées des éléments armés du “polisario” et de leurs actes de provocations.
Ces actes se sont préméditamment produits un mois avant le retour du Maroc à l’Union Africaine, afin de créer la zizanie et tenter, en vain, de torpiller ce processus, souligne le communiqué.
Conformément aux instructions royales, les ministères des Affaires étrangères et de l’Intérieur, ainsi que l’Inspection Générale des Forces Armées Royales, avaient signalé, à plusieurs reprises, ces actes à la Minurso et aux Nations Unies, rappelle le communiqué.
Le Roi Mohammed VI a demandé au Secrétaire Général de l’ONU de prendre les mesures urgentes et nécessaires afin de mettre un terme à cette situation inadmissible, qui menace sérieusement le cessez-le-feu et met en péril la stabilité régionale.



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