Thursday, March 31, 2016

Agression verbale

Ahmed CHARAI

Ahmed CHARAI

Il y a une centaine de Molenbeek en France». Cette phrase, lâchée par un leader politique français, a prospéré depuis. On a vu en boucle la dénonciation de territoires qui seraient «perdus» pour la République, où la radicalisation serait la norme et non pas un fait marginal. Ce discours, souvent en appui d’une demande de politiques répressives, tombe dans le pire des travers, celui de la stigmatisation de populations entières. Aujourd’hui, il est très difficile de structurer des positions cohérentes, parce que devant le choc des attentats, ce sont les excès verbaux qui ont les faveurs des décideurs. Ainsi, après Charlie Hebdo, Manuel Valls avait évoqué l’apartheid social. Mais, depuis quelques semaines, ce discours est taxé au mieux d’angélisme, au pire de justifier la radicalisation. La vérité est au milieu, comme souvent. Il y a la réalité de la ghettoïsation qui ne peut que renforcer le communautarisme. Elle est incontournable et les différentes politiques de la ville ne peuvent y remédier qu’à long terme, surtout en cette période de disette budgétaire. Au vu de la qualité des services publics, on peut inverser le discours et dire que ces territoires sont abandonnés par la République. La dimension socio-économique existe, mais ne justifie rien, et surtout pas la radicalisation. Là aussi, ce mot étant sur toutes les lèvres, on a l’impression que le phénomène touche l’ensemble des populations issues de l’immigration, ce qui est faux, absolument faux. La majorité reste constituée par des gens respectueux des lois du pays et désireux de s’élever socialement. Les discours actuels sont stigmatisant et mettent à l’index des villes entières, telles que Sevran, Lunel, ou encore tous les habitants du désormais tristement célèbre quartier belge, Molenbeek. Cela peut avoir des effets désastreux, en ce moment crucial où les identités sont plus meurtrières que jamais. Reléguer les gens à leur culture, à leur religion, pointer du doigt celle-ci, renforce le repli identitaire et crée alors un véritable terreau pour la radicalisation. C’est d’autant plus incompréhensible que le parcours des terroristes démontre que ceux-ci ne sont jamais passés par les mosquées. Pire, leur conversion à l’Islam est très récente et ne s’inscrit pas dans une démarche spirituelle ou mystique. Passant du banditisme au terrorisme, ces barbares sont uniquement animés par la haine du modèle où ils n’ont pas pu s’intégrer. Par ailleurs, réclamer des religions, toutes les religions, qu’elles s’adaptent aux lois, qu’elles évacuent tout discours haineux, fait partie des attributions des pouvoirs publics. Dans ce contexte, il faudra trouver des accommodements intelligents entre la loi sur la laïcité et le financement des mosquées, car les courants fondamentalistes utilisent cette question pour s’incruster en Europe. C’est ce qui empêche l’émergence d’un véritable Islam européen, alors que cette religion y est en pleine expansion. La guerre contre le terrorisme ne peut être que totale et donc multiforme. Le couper de tout environnement qui pourrait être inclusif, de tout possible terreau est une nécessité. Cela présuppose l’adhésion de tous les citoyens, y compris les musulmans au nom de qui ces actes sont perpétrés. C’est en ce sens que les précautions verbales prennent une importance capitale. On ne peut pas imaginer que la stigmatisation de ces populations va les amener à la dénonciation, les aider dans leur recherche d’intégration. Les débats sur la mixité sociale, le communautarisme, les trafics, sont tous légitimes. Encore faut-il, qu’ils soient menés sereinement et non pas dans une ambiance où la surexcitation l’emporte sur le rationnel. Pour y arriver, il faut s’attacher au choix des mots, qui, malheureusement, tuent eux aussi.



via Abdo El Rhazi Agression verbale

Les stars se mobilisent pour la culture

Campagne culture

Le cinéaste Kamal Kamal et les stars Marocaines se proposent de lancer prochainement à travers le Royaume une « campagne culturelle nationale » de grande envergure destinée essentiellement à la jeunesse. Ce projet a été plébiscité par l’ensemble des forces vives du pays tant l’importance de la Culture n’est plus à démontrer. Ainsi de nombreux intellectuels, artistes ou sportifs y ont adhéré naturellement, comme Omar Salim, Salahdine Bassir, N. Sail, Amal Ayouche, Naima Lemcharki, Mohamed Khyari, Abdekhalak Fahid, Rachid El Ouali, Rafik Boubker, Jihane Kamal ou Fatima Kheir.

Cette campagne bénéficie du soutien de plusieurs ministères, de fondations, d’organismes et de sociétés privées et étatiques dont la SNRT. Il s’agit d’inciter le plus grand nombre à lire trois ouvrages classiques, à écouter une vingtaine d’œuvres de musique classique et à découvrir une vingtaine de tableaux de grands maîtres. Ces œuvres seront accessibles par téléchargement  moyennant un code d’accès, ou par l’acquisition d’un coffret. Deux étapes principales marqueront cette campagne :

  • Une tournée dans toutes les villes et grands villages du Maroc où se rendront des vedettes nationales et internationales pour inciter les jeunes à apprécier les arts et les lettres et à s’inscrire au grand concours prévu pour clôturer cet évènement dont la durée dépassera les trois mois.
  • Quinze Prime seront diffusés sur la première chaîne de télévision. Ils regrouperont les candidats sélectionnés dans toutes les régions du pays. Le quizz portera sur les œuvres proposées. Au bout du 15e Prime, trois candidats se détacheront du lot : le vainqueur empochera la somme de 1 million de Dirhams, le deuxième 500 000 DH et le troisième 200 000 DH.

Kamal Kamal  ainsi que ses partenaires, Stars ou Institutions, comptent bien faire de cette campagne un rendez-vous annuel afin que cette mobilisation sans précédent finisse par porter ses fruits, à savoir la propagation de la culture au sein de la jeunesse Marocaine.



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Ambassade du Maroc à Paris – Quel sens donner aux deux têtes de porc ?

Ambassade_Maroc_ParisEtonnante découverte que celle faite au cours la matinée de ce jeudi 31 mars 2016 près de la résidence de l’ambassadeur du Maroc à Paris. Deux têtes de porc étaient accrochées sur la grille de cette résidence. L’ambassadeur du Maroc en France, Chakib Benmoussa, a informé les autorités françaises et marocaines de «cet acte malveillant» que les responsables marocains refusent d’interpréter. «On ne veut pas aller dans l’interprétation de cet acte. C’est aux autorités françaises de faire leur travail et d’identifier le ou les responsables de ces dégradations et de voir quelles sont les raisons qui les ont poussées à commettre un tel acte», ont indiqué des sources diplomatiques marocaines à la MAP. Sauf qu’il ne s’agit pas d’un acte isolé. Durant les dernières semaines, des têtes de porcs ont été déposées devant plusieurs mosquées en France. C’est ce qui laisse penser qu’il s’agit d’actes profanatoires islamophobes.

En tout cas, l’ambassade du Maroc a déposé plainte contre X. 



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Wednesday, March 30, 2016

Pour le Maroc, les propos et les actes de Ban Ki-moon ne sont ni justifiables, ni effaçables

La toute récente sortie du porte-parole du Secrétariat général de l’ONU, expliquant que les dérapages de Ban Ki-moon, lors de son déplacement à Tindouf et à Alger, relevaient du «malentendu», n’a pas laissé de marbre les autorités marocaines. Le ministère des affaires étrangères a vite fait de répliquer que les propos et les actes inadmissibles du Secrétaire Général de l’ONU lors de sa récente tournée régionale ne peuvent être réduits à un simple « malentendu». Ce département souligne qu’il s’agit d’actes d’une gravité sans précédent, qui ne sont «ni justifiables, ni effaçables». La même source confirme que les «agissements» du secrétaire général onusien sont prémédités et visent à «à altérer la nature du différend et qui préjugent de son issue». Et d’ajouter qu’il s’agit, ni plus ni moins, d’un alignement total sur les thèses des autres parties. Pour le ministère de s Affaires étrangères marocain les actes de Ban Ki-moon compromettent sérieusement les principes fondamentaux du mandat de facilitation confié par le Conseil de Sécurité, et se départissent de l’exigence de neutralité et d’impartialité auxquelles le Secrétariat Général de l’Onu devrait s’astreindre. Malgré tout, le Maroc a réitéré sa disposition à s’engager dans un dialogue responsable, global et constructif au sujet de la crise provoquée par les propos du SG de l’ONU.

 

 



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COP22 – Le Comité de pilotage met les points sur les i

Le Comité de pilotage de la COP22, chargé de l’organisation de la 22ème session de la Conférence-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, qui se déroulera, du 7 au 18 novembre prochain à Marrakech, a dénoncé «fermement» les «allégations» et les propos «diffamatoires» véhiculés par certains médias au sujet du processus d’appel d’offres pour l’aménagement et l’équipement du site de Bab Ighli.

Dans une mise-au-point adressée à tous les médias et pas seulement ceux ayant été à l’origine de cette sortie (pour, nous dit-on, éclairer l’opinion publique et c’est dans ce seul but que nous publions cette info), le Comité souligne que ce processus a été entrepris en collaboration et en «parfaite synergie» avec les instances du secrétariat exécutif de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, en vertu des termes de l’accord de siège.

Après avoir souligné que ce marché, lancé le 29 janvier dernier, consiste en la viabilisation d’un terrain d’une superficie de 25 ha, incluant son aménagement et l’équipement du site de la Conférence en matériel technique, électronique, informatique, audiovisuel et de sécurité, la même source rappelle que trois groupements, tous composés d’entreprises marocaines et étrangères, ont soumissionné pour cet appel d’offres.

Le Comité relève que la commission d’appel d’offres, réunie le 25 mars en présence des représentants des trois groupements, a annoncé que sur les trois dossiers administratifs, techniques et additifs examinés, seul un d’entre eux répondait aux critères d’appréciation des capacités techniques, juridiques et financières fixées dans le règlement de consultation, ajoutant que l’évaluation de l’offre technique du groupement retenu est toujours en cours et sera suivie par l’examen de l’offre financière, alors que l’attribution du marché «ne pourra être annoncée qu’après que tous les critères soient dûment satisfaits».

Après avoir fait un rappel exhaustif et «nécessaire» de chacune des étapes de ce processus, le Comité de pilotage de la COP22 dénonce «fermement» les «allégations» et les propos «diffamatoires» véhiculés par certains médias qui tentent ainsi, d’induire en erreur l’opinion publique sur la transparence du processus, et l’intégrité des personnes chargées de le mener à bien », affirme la même source, assurant que les enjeux liés à la préparation, l’organisation et à la tenue de la COP22 «imposent la plus grande rigueur, car elle est indispensable à la réussite de ce défi». 

Dans ce cadre, le Comité précise que le président de la commission d’appel d’offres, en la personne du Wali Abdeslam Bekrate, n’a jamais déclaré, contrairement à ce qui a été affirmé, que «rien n’a été fait», soulignant que le choix porté par la commission d’appel d’offres sur tel ou tel soumissionnaire ne peut pas faire l’objet d’une communication officielle à ce stade de la procédure. Concernant les «allégations» autour des «offres techniques», seule celle du soumissionnaire retenu a été ouverte le 25 mars, en présence des représentants des trois groupements. Ceci est dûment consigné dans le procès-verbal de ladite séance, note le Comité de pilotage de la COP22, mettant l’accent sur les critères d’appréciation du dossier administratif, technique et additif, qui portent essentiellement sur les références techniques des prestations que le concurrent a exécutées, ou celles auxquelles il a participé et la qualité de sa participation, ainsi que sur les attestations de références des prestations similaires à celle objet du présent appel d’offres, délivrées par les maîtres d’ouvrage, détaillant, entre autres, le montant et la nature des prestations. Ces éléments à eux seuls constituent une base importante et suffisante pour statuer sur la recevabilité des soumissions, selon le Comité.

«Le Comité de pilotage de la COP22 assume, avec sérieux et responsabilité la mission qui lui a été confiée. Il ne peut permettre que l’intégrité et l’engagement de chacun des membres qui le composent, soient atteints par la diffusion d’informations erronées ou mensongères ou par des propos diffamatoires», peut-on lire dans la mise au point. 
Autre précision apportée : «Les intérêts personnels de certaines parties ne sauraient avoir de place devant l’intérêt général et les enjeux de la tenue des travaux de la COP22 au Maroc».

Par ailleurs, le Comite salue la mobilisation, le professionnalisme et l’engagement des médias qu’il a qualifiés de «partenaires privilégiés dans la réussite de ce grand rendez-vous».



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Madrid – Visite de travail fructueuse pour Hassad et Hammouchi (+Vidéo)

Hollande enterre la réforme constitutionnelle

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Le président français François Hollande a annoncé, mercredi 30 mars, qu’il a décidé de clore le débat concernant la réforme constitutionnelle.

« J’ai décidé, après m’être entretenu avec les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, de clore le débat constitutionnel », a dit François Hollande, lors d’une brève déclaration, en reconnaissant qu’un compromis entre les deux chambres « parait hors d atteinte ».

« Je constate aussi qu’une partie de l’opposition est hostile à toute réforme constitutionnelle », a-t-il ajouté en déplorant « profondément cette attitude ».

La décision du chef de l’Etat français met fin aux tiraillements qu’a connue, ces quatre derniers mois, la scène politique française concernant cette réforme qui visait la consolidation de l’arsenal constitutionnel de la lutte contre le terrorisme, l’opposition et la majorité n’arrivant pas à s’entendre sur la disposition relative à la déchéance de nationalité.

Par ailleurs, le président français s’est montré résolu dans la lutte contre le terrorisme. «  Je ne dévierai pas des engagements que j’ai pris (…) pour assurer la sécurité de notre pays et pour protéger les Français contre le terrorisme, c’est mon devoir et c’est ma responsabilité, je l’assumerai jusqu’au bout et avec la force nécessaire », a-t-il dit



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Modeling Bloomea, un soin révolutionnaire anti-vergetures !

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Spécialisé dans l’amincissement, l’épilation définitive par lumière pulsée et l’anti-âge, le centre de soins A Corps Parfait à Casablanca, lance le nouveau soin Modeling Bloomea. Un procédé révolutionnaire qui estompe les vergetures, lisse votre peau tout en unifiant son teint.

Le Modeling Bloomea est un soin en 3 actions conçu spécifiquement pour les instituts de beauté par des chirurgiens esthétiques français. Ce procédé très simple d’utilisation et indolore est un soin optimal dont l’efficacité  est exponentielle : plus on avance dans les séances, plus l’efficacité du soin est importante.

A l’origine, c’est en cherchant un procédé pour estomper les cicatrices post opératoires, que des chirurgiens esthétiques français ont développé il y a plus de 10 ans le premier appareil de Macro-exfoliation par oscillations (non-médical), efficace, inoffensif et indolore, utilisable dans leur cabinet.

Plusieurs années de recherches, d’utilisation et d’optimisation leur ont permis d’aboutir à un

1er concept novateur qui révolutionne aujourd’hui les soins de surface de la peau : la Macro-exfoliation optimale Bloomea. « Optimale » dans sa sécurité et dans son efficacité, cette technique moderne  permet de lisser la peau et unifier son teint : une véritable uniformisation de la peau.

Pour compléter cette action, ils l’enrichirent avec un second concept innovant, le Modelage par Microvibrations haute fréquence Bloomea, qui vient retonifier et retendre la peau en stimulant la production d’élastine et de collagène dans le derme. Enfin, ils renforcèrent les actions de ces 2 nouveaux procédés avec l’apport des soins rayonnants : la Luminothérapie (633 nm).

Le centre propose plusieurs cures dont:

La cure Vergetures (8 à 12 séances), pour estomper progressivement les vergetures. Les zones concernées sont les fesses, les seins, le ventre, les hanches et les cuisses.

La cure Perfecteur (6 à 10 séances) pour lisser, tonifier, retendre la peau et unifier son teint. Ce soin concerne le visage, les mains, le cou, le décolleté et les cicatrices.

La cure Coup d’Eclat Bloomea pour une peau épurée, plus lisse et lumineuse, et qui est spécifique au visage. Une seule séance mensuelle ou tous les 2 mois est nécessaire pour régénérer régulièrement la peau, ou plus ponctuelle, pour se préparer à une occasion particulière. Ce soin assure une pénétration optimisée des crèmes, ainsi qu’un meilleur maintien du maquillage.



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SHEFFIELD SNOOKER LEGENDS EXHIBITION

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‘Le Samedi 9 avril 2016 au Megarama de Casablanca’

Le «SHEFFIELD SNOOKER LEGENDS EXHIBITION» est le tout premier événement exclusivement dédié au Snooker, une des variantes du billard, avec pour ambition d’être la première édition d’un grand rendez-vous annuel. Pour cette édition 2016, il va s’articuler autour de 2 grands axes :

Match Exhibition : Un match dans lequel s’affronteront deux grandes légendes du Snooker :

Ronnie O’Sullivan & Jimmy White. Ces 2 grands joueurs ne sont plus à présenter : Admirés par les amateurs et idolâtrés par les passionnés, ils nous feront profiter de leur immense niveau de jeu au cours de quelques «frames» endiablées. Spectacle et émotions garantis!

Promotion de talents marocains : Les 2 grands sélectionnés lors la SHEFFIELD SNOOKER LEGENDS TROPHY, qui s’est déroulée à la Sheffield Academy du 8 Février au 6 Mars 2016, sont : Hamadi Zerkani et Chaouki Yousfi. Ils auront la chance inestimable de se mesurer aux 2 icônes mondiales de la discipline. L’ambition de cet événement est de valoriser nos espoirs nationaux et de leur offrir une expérience unique.

 

À propos de Sheffield Academy 

Académie de Billard &Snooker

Fondée par Mourad et Reda NAITALI, la Sheffield Academy est le fruit du rêve d’une vie.

Ancien champion du Maroc, et titulaire d’un diplôme de coach validé en Angleterre par le «Big Del» Hill, Mourad NAITALI est le tout premier à avoir créé un établissement à vocation académique, avec ce dont tous les joueurs marocains rêvent : des tables de Billard et de Snooker dignes des plus prestigieuses compétitions internationales, un cadre chaleureux et convivial, des événements sportifs de qualité ayant pour objectif d’ouvrir de belles opportunités aux talents marocains du domaine. Promouvoir les talents nationaux, leur permettre d’accéder à un coaching de qualité, approcher des grands noms de la scène internationale, pratiquer leur sport avec du matériel de premier choix, ne sont que quelques uns des projets que s’est fixé le staff de la Sheffield Academy.



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SO AFRICA SENSATIONS au Resort Sofitel Agadir

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Le Resort Sofitel Agadir en partenariat avec Fine Group Télécommunication (FGT COM) s’apprête à organiser la 4e édition de son Fashion Show, un événement désormais devenu culte dans la ville d’Agadir qui, au-delà d’une destination balnéaire, se veut également un centre dynamique de la mode et des tendances design.

Une célébration fashion de la culture africaine et berbère et une ligne de créations ethniques et modernes pour une collection qui invite au voyage.

Le Resort Sofitel Agadir propose pour cette nouvelle édition de rendre hommage à la culture africaine et berbère. Les créateurs de cette édition Spring Collection ont conçu une ligne de créations ethniques et modernes inspirées de plusieurs régions. Avec un savant mélange de matériaux et textiles, la collection lance une invitation au voyage à la découverte de l’Afrique, sa principale et précieuse source d’inspiration. Le continent africain est une terre immense et riche. L’art y est une profonde relation entre l’expression esthétique, croyances religieuses, structure sociales, et les sentiments individuels.

Berceau historique de la culture amazighe, le Souss-Massa-Draa est probablement la région marocaine la mieux à même de célébrer les vertus de cette composante majeure du royaume. Dans le but aussi de contribuer au dynamisme de la ville, cet évènement vise à offrir un nouveau visage à Agadir. Plus qu’une destination balnéaire, elle se veut une vraie capitale de la mode. L’ambition de ce week-end aux 1001 sensations est aussi d’attirer les marocains des autres villes.

Au programme de cet événement d’exception, un fashion show présenté par Sidi Marrakech Tailoring au riad Sofitel Agadir Royal Bay, le samedi 9 avril en début de soirée, suivi d’un after au So Lounge Agadir animé par David Vendetta. Le dimanche 10 avril, une beach party avec vente privée sera organisée en matinée au Sofitel Agadir Thalassa Sea & Spa.

Depuis maintenant 3 ans, le Resort Sofitel Agadir célèbre la mode et l’art de vivre en s’inspirant de la saison du moment. En mêlant gastronomie et découverte culturelle, il offre ainsi un autre regard sur la ville d’Agadir. La personnalité unique de la marque Sofitel s’incarne à travers trois piliers : une attention toute particulière apportée à l’innovation et au design, une célébration constante de la gastronomie et des vins et une passion pour les événements culturels. Intimement liés à l’art de vivre à la française, ces trois piliers constituent l’essence-même de la marque Sofitel.



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Shell V-Power Diesel, le nouveau carburant premium de Vivo Energy

Shell CP

‘Vivo Energy, l’entreprise qui distribue et commercialise les carburants et les lubrifiants de Shell en Afrique, vient de lancer au Maroc Shell V-Power Diesel, un carburant premium révolutionnaire dont la formulation unique préserve la performance du moteur grâce à une technologie avancée.’

La formule révolutionnaire su nouveau carburant a été pensée pour nettoyer de manière active le moteur et protéger les pièces essentielles de celui-ci afin de l’aider à fonctionner au mieux de ses performances. Mohammed Raihani, Président Directeur Général de Vivo Energy Maroc a déclaré : « Le lancement de Shell V-Power Diesel répond à notre engagement d’offrir aux automobilistes marocains les carburants les plus performants de Shell pour leur faire vivre une expérience de conduite unique

Shell V-Power Diesel pic

Shell V-Power Diesel a été couronné de succès là où il a été lancé à travers le monde. Par ailleurs, le Maroc est le premier pays du groupe Vivo Energy à lancer le Shell V-Power Diesel. Pour le commercialiser dans son réseau de stations-service Shell au Maroc, Vivo Energy Maroc a su répondre à des exigences de qualité très élevées.

Shell V-Power Diesel a été développé à travers un ambitieux programme de Recherche et Développement en s’appuyant sur les laboratoires de Shell Global Solutions. Différentes recherches effectuées par des instituts indépendants externes ont également témoigné de la qualité supérieure de ce carburant. Sa formule unique libère davantage d’énergie et reste tout aussi efficace à mesure que l’automobiliste cumule des kilomètres au compteur. Shell V-Power Diesel inclut une technologie de nettoyage puissante qui permet de prévenir et d’éliminer les dépôts que d’autres carburants auraient laissés derrière eux. Les substances nettoyantes de Shell V-Power Diesel déploient leur effet directement là où elles rencontrent les pièces critiques du moteur. Les additifs contenus dans Shell VPower protègent en outre contre la corrosion des pièces importantes du moteur.

«Shell V-Power Diesel est la solution parfaite pour les conducteurs qui sont à la recherche de carburants diesel de qualité supérieure, offrant une performance optimale au moteur», a souligné Mehdi Abaghad, Directeur Réseau de Vivo Energy Maroc. Salwa Benslimane, Directrice Marketing de Vivo Energy Maroc a quant à elle déclaré «chez Vivo Energy, nous savons que tous les carburants ne sont pas les mêmes, c’est pourquoi nous continuons de mettre le savoir-faire technologique de Shell au service de la satisfaction totale de nos clients».

Pleinement engagé dans une démarche de satisfaction du consommateur, Vivo Energy Maroc a pour ambition d’oeuvrer à accompagner le consommateur en lui proposant des produits toujours plus performants. Vivo Energy Maroc va poursuivre cette politique d’innovation permanente en continuant à offrir des produits et des services à même de répondre à ces objectifs essentiels.



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Tuesday, March 29, 2016

Rancinan expose à Marrakech

Rancinan-Le festin des miettes

Rancinan-Le festin des miettes

‘Du 03 avril au 05 juin 2016’

La Fondation Montresso* inaugure la samedi 2 avril 2016 son nouvel espace dédié à l’Art Contemporain avec la première exposition en Afrique de Gérard Rancinan.

L’exposition Rancinan est l’événement qui inaugure le nouvel espace dédié à l’art contemporain de la Fondation Montresso* sur le site de Jardin Rouge à Marrakech.

Un des temps forts de la Marrakech Biennale 2016 dont Montresso* est partenaire, l’exposition rétrospective rend hommage à 40 ans de création photographique de l’artiste.

Une photographie monumentale de 9*13m sera exposée au sein d’une installation in situ. Précédemment dévoilée pour la 1ère fois lors de l’année France-Chine dont l’artiste était le représentant (Musée Himalays de Shangai).

Photographe plasticien engagé connu pour ses œuvres monumentales, Gérard Rancinan porte un témoignage éveillé sur son époque, photographie ses contemporains et décrypte les comportements et mouvements de nos sociétés.

Pour sa 1ère exposition solo en Afrique, Gérard Rancinan donnera à voir le plus grand tirage photographique au monde : « Le radeau des illusions » (9×13 m). La Fondation Montresso* présentera une trentaine de photographies révélant le parcours de l’artiste, l’engagement dans sont art et dans son époque et retraçant les 3 grandes étapes de sa création : Portraits, 1975-2015, La trilogie des Modernes, 2007-2013, Le destin des hommes, 2015. Le tout accompagné dans une réflexion par l’auteure Caroline Gaudriault.

Désormais, l’œuvre de Gérard Rancinan est mondialement reconnue. Il est exposé dans de nombreuses galeries et musées dans le monde entier et fait partie de prestigieuses collections privées d’art contemporain : Musée d’art contemporain de Barcelone (Espagne), Palais de Tokyo (Paris, France), Musée de la Triennale de Milan (Italie), Danubiana Meulensteen Art  Musuem (Bratislava, Slovaquie), Himalayas Contemporary Art Museum (Shangai, Chine). En 2008, l’une des ventes aux enchères à l’Hôtel Drouot, Gérard Rancinan devenait l’un des photographes d’art contemporain français les plus cotés du marché.

Rancinan, Le radeau des illusions

Rancinan, Le radeau des illusions

Fondation Montresso*

La fondation privée montresso* est née de la passion d’un homme pour les arts et est pensée comme une collection d’art moderne et contemporain. La collection a volontairement un caractère hétéroclite, hérité des intérêts successifs de son fondateur ; des pièces importantes de Robert Combas à Gloria Friedman côtoient les œuvres de jeunes artistes contemporains.

Depuis 2007, la fondation montresso* s’est investie dans la création et le développement d’un village d’artistes dans la région de Marrakech: Jardin Rouge.

Au cœur d’une oliveraie, ce lieu unique accueille des artistes en résidence tout au long de l’année créant une véritable oasis artistique où fleurissent toiles et sculptures.

Grâce à Jardin Rouge, la fondation ambitionne de participer activement à l’essor artistique de Marrakech en favorisant les rencontres entre différentes démarches picturales, graphiques et intellectuelles au sein de l’art contemporain.

La fondation est essentiellement financée par son fondateur, par les dons de différents partenaires et collectionneurs « Amis de la fondation ». Les séjours et bourses des artistes sont ainsi financés et la pérennité du projet assurée.

La fondation montresso* s’investit depuis toujours auprès de nombreuses associations et organisations de bienfaisance en leur offrant des œuvres à l’occasion d’événements caritatifs.



via Abdo El Rhazi Rancinan expose à Marrakech

Le Marathon des sables sous le signe du partage et du droit à la différence

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‘Du 08 au 18 avril 2016’

Placée sous le signe du partage et du droit à la différence, cette 31e édition en plein désert du Sahara marocain sera à la fois une épreuve sportive et humaine. Plus de 1200 concurrents, 207 femmes et 1045 hommes d’environ 50 pays seront engagés dans le plus long parcours depuis le début du MARATHON DES SABLES : 257 kilomètres. Tout au long de cette course mythique en 6 étapes, dont une la nuit, les difficultés s’enchaîneront pour offrir toutes les variantes du Sahara marocain, dans les provinces de Ouarzazate et Errachidia. En autosuffisance alimentaire, en individuel ou par équipe, il faudra traverser des ergs (champs de dunes), des jbels, des plateaux caillouteux, des lacs asséchés ou des oueds où ne coule que le sable, mais aussi des oasis, des campements nomades ou des villages traditionnels en pisé. Tous les yeux seront bien sûr rivés sur les Marocains qui ont déjà décroché 22 victoires, dont 3 pour Rachid EL MORABITY et 15 pour les frères AHANSAL, légendes du MDS.

La solidarité et le partage

Epreuve sportive avant tout, classée parmi les plus difficiles au monde, le Marathon des sables n’en est pas moins une magnifique aventure humaine, unique en son genre, où le partage devient un moteur pour avancer et aller toujours plus loin. Solidaires dans l’épreuve bien qu’ils soient aussi en concurrence, les coureurs peuvent lier des liens intenses et inoubliables. Les origines, l’âge, le genre, le niveau socio-professionnel sont gommés, tous sont sur un même pied d’égalité, pleins d’humilité face à l’immensité et la beauté du désert. Le soir, sur le bivouac, les coureurs s’encouragent, se réconfortent, se motivent. La générosité et la bonne humeur règnent malgré la fatigue et les blessures. “Le désert nous apprend l’humilité”, déclare à cet effet  Patrick BAUER, créateur et organisateur du Marathon des Sables

Le Marathon mène aussi des actions en faveur des populations locales et auprès d’associations dans les pays d’où sont issus les coureurs. Ainsi, à chaque édition, des fonds sont collectés par les coureurs pour venir en aide à des dizaines d’oeuvres caritatives dans leurs pays. Depuis de nombreuses années l’organisation du MARATHON DES SABLES, en collaboration avec d’autres associations, remet des équipements aux populations proches du circuit emprunté par les concurrents de l’épreuve (installation d’une dizaine de stations de pompage photovoltaïque pour les nomades ou les villages isolés, construction d’une coopérative, d’une école, de travaux de voirie, etc.) Sans oublier, la création en 2008 de l’association SOLIDARITE MARATHON DES SABLES, basée à Ouarzazate, qui offre un centre d’éveil sportif qui regroupe 250 enfants de la région, une coopérative artisanale pour les femmes, des cours d’alphabétisation ; et prévoit, en 2016, la construction d’un centre neuf et mieux adapté pour les enfants…

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Respect de la nature et sauvegarde du désert

De nombreuses initiatives ont été mises en place pour réduire au maximum l’impact de la course sur l’environnement : Interdiction de jeter les bouteilles et divers emballages : depuis la 3e édition, toutes les bouteilles sont numérotées et une pénalité est attribuée à celui dont la bouteille aura été retrouvée sur l’axe du parcours (ART. 27 et 28) ; réduction du volume des déchets : il est demandé à tous, coureurs et organisateurs, de compresser les bouteilles d’eau minérale afin de réduire le volume des poubelles. Il s’agit d’un geste très simple, solidaire et écologique qui peut diviser par 3 le nombre de sacs poubelles à ramasser ; utilisation de sacs poubelles écologiques ; ramassage et destruction des déchets grâce à un four incinérateur à auto combustion unique en son genre pour détruire les déchets ; installation de toilettes sèches très fonctionnelles et totalement hygiéniques ; distribution de cendriers de poche pour que les fumeurs y jettent leurs mégots ainsi que l’utilisation de l’énergie solaire : depuis 2012, l’organisation du MARATHON DES SABLES a utilisé l’énergie solaire. Ces solutions propres et silencieuses ont permis de générer chaque jour 3 000 W pour alimenter des points névralgiques comme la tente médicale au bivouac ou encore les check-points de nuit…

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Programme : 5 étapes + 1 étape Solidarité UNICEF pour décrocher la dune !

Vendredi 8 avril | Départ pays origine/Maroc Arrivée Ouarzazate, transfert en bus jusqu´au 1er bivouac

Samedi 9 avril | Contrôles administratifs, techniques et médicaux Journée d’acclimatation

Dimanche 10 au vendredi 15 avril | Déroulement de la course L’autosuffisance commence dès le petit-déjeuner de la 1ère étape – Samedi 16 avril | Etape SOLIDARITE UNICEF Cette étape obligatoire est chronométrée mais indépendante du classement du MDS. Il faudra franchir la ligne d’arrivée pour apparaître au classement de ce 31e MDS et recevoir sa médaille de Finisher. Une étape qui, pour la plupart, est une réflexion sur le vécu de cette belle aventure humaine et une prise de conscience solidaire avant de rejoindre la civilisation.

– Dimanche 17 avril | Journée détente – Lundi 18 avril | Retour dans les pays d’origine



via Abdo El Rhazi Le Marathon des sables sous le signe du partage et du droit à la différence

Jazzablanca fait swinguer la ville blanche

Golden Hands

Golden Hands

‘Du 16 au 24 Avril 2016’

Pour sa 11e édition, Jazzablanca offre un nouvel espace à ses festivaliers qui souhaiteront prolonger l’expérience de la « Scène Anfa » de l’Hippodrome Casa-Anfa-Sorec. Dédiée aux talents marocains, le Live Club proposera ainsi des concerts éclectiques, en after, qui viendront compléter la programmation ambitieuse des têtes d’affiches internationales. Le grand public pourra aussi avoir accès au Live Club à 100 DH.

En ouverture, samedi 16 avril, le Live Club accueillera Nadia Essadiqi, l’artiste pop maroco-quebecoise plus connue sous le nom de La Bronze qui a défrayé la chronique pour sa reprise en darija du tube « Formidable » de Stromae. Puis se succéderont tout au long de la semaine : Midnight Train, quintet marocain au répertoire jazz, soul, et rythm’n’blues mené par Adil Kaghat; DarJazz, autre quintet au rythme afro-jazz teinté d’inspirations gnawa ; le groupe oriental jazz Funky Touch, porté par la voix envoutante deFaty.S; Malca, prodige de l’électro pop casaouie, qui se produira pour la deuxième année consécutive pour le festival ; et enfin, GoldenHands, groupe mythique de la fin des années 70 qui signe son grand retour sur scène.

Par ailleurs, Jazzablanca s’impose comme rendez-vous annuel qui fait résonner la musique partout dans la ville avec chaque année plus d’animations et d’activités gratuites, festives et fédératrices autour de rythmes métissés. Avec la première fanfare jazz marocaine, créée spécialement pour l’occasion, Jazzablanca offre aux casaouis la rencontre inédite entre des musiciens de Dakka, fusion berbère-jazz portée par le batteur Jauk El Maleh, et les artistes circassiens et marionnettes géantes du Théâtre Nomade. La fanfare viendra animer les temps forts et espaces extérieurs du festival, et ainsi créer des moments de convivialité entre les habitués du festival et le grand public. Une première parade marquera l’ouverture de cette 11e édition le samedi 16 et dimanche 17 avril sur la Corniche Ain Diab à 18H30. Une autre performance de la fanfare annoncera les concerts de la scène BMCI, le vendredi 22 avril à 17H (devant le siège de la BMCI) et une troisième marquera la clôture de Jazzablanca, le 24 avril à 17H, sur la Place des Nations Unies.

Dar Jazz

Dar Jazz

Au niveau du lounge Cas’Art du Sofitel Casablanca Tour Blanche, les groupes de Alae Zouiten, Noa Lur et Salomea Project offriront des concerts tout au long du festival.

 

Des ateliers de musique pour enfants seront animés au Studio des Arts Vivants et donneront lieu à un concert sur la Scène Anfa le mercredi 20 avril à 14H00. La date limite des inscriptions est fixée au samedi 9 avril pour marquer le début des ateliers.

La Bronze

La Bronze

Enfin, pour les musiciens confirmés, les masterclass gratuites de Jazzablanca, initiées l’année dernière avec le luthiste tunisien Anouar Brahem, sont une occasion unique de rencontrer de véritables légendes internationales pour un moment de partage et d’échange, en comité restreint. A l’occasion de sa participation à la 11eédition de Jazzablanca, c’est le bassiste Richard Bona qui se prêtera au jeu pour une masterclass dédiée aux bassistes confirmés, le samedi 16 avril de 16H à 17H30, organisée au Studio Hiba, en partenariat avec la Fondation Hiba.

Les 6 concerts principaux de la Scène Anfa, du 16 au 21 avril, ont déjà été annoncés. Les prix des tickets démarrent à 250 DH et sont en ventes sur ticket.ma et dans les points de vente partenaires : à Casa : Studio des arts vivants, Hippodrome Casa-Anfa-Sorec ; et Rabat : Cinéma la Renaissance.

Osmose

Osmose

Et pour ceux qui souhaitent profiter pleinement de l’expérience Jazzablanca et de l’intégralité de la programmation de l’Hippodrome Casa-Anfa-Sorec, des pass sont proposés à partir de 1400 DH.

Programmation ScèneAnfa à l’Hippodrome Casa-Anfa-Sorec :

 

Les concerts débutent à 21H15

  • Samedi 16 avril          :           Macy Gray
  • Dimanche 17 avril      :           Richard Bona
  • Lundi 18 avril              :           Hindi Zahra
  • Mardi 19 avril             :           Melody Gardot
  • Mercredi 20 avril        :           Goran Bregovic
  • Jeudi 21 avril              :           Jamie Cullum
Malca

Malca

Programmation Live Club à l’Hippodrome Casa-Anfa-Sorec :

 

Les concerts débutent à 23H00

  • Samedi 16 avril          :           La Bronze
  • Dimanche 17 avril      :           Midnight Train
  • Lundi 18 avril              :           Dar Jazz
  • Mardi 19 avril             :           Funky Touch
  • Mercredi 20 avril        :           Malca
  • Jeudi 21 avril              :           Golden Hands
  • La Bronze

    La Bronze

Programmation Fanfare jazz marocaine :

  • Samedi 16 avril à 18H30 – Corniche Ain Diab
  • Dimanche 17 avril à 18H30 – Corniche Ain Diab
  • Vendredi 22 avril à 17H – Siège de la BMCI
  • Dimanche 24 avril à 17H – Place des Nations Unis


via Abdo El Rhazi Jazzablanca fait swinguer la ville blanche

Colère contre l’agression et le jugement de deux homosexuels à Béni Mellal

no-justiceL’agression de deux jeunes hommes, chez eux, récemment à Béni Mellal au motif qu’ils sont homosexuels provoque un véritable tollé. Surtout que la justice a vite fait de condamner les victimes de l’agression collective et n’a même pas inquiété les agresseurs. Du coup, les dénonciations de ce verdict et de l’atteinte, doublée de violence, à la vie privée se multiplient à travers les réseaux sociaux, mais aussi à travers des communiqués Nous publions ce communiqué que vient de rendre public 16 associations et collectifs et qui résume cette affaire et ce que réclame la société civile :

De nombreux médias ont diffusé une vidéo enregistrant un acte de violence avec humiliation à l’encontre de deux jeunes hommes dans le domicile de l’une des deux victimes dans la ville de Béni Mellal.

Il est à rappeler que le ministère de l’intérieur et le ministère de la justice et des libertés ont publié une déclaration conjointe «faisant état de poursuite pénale à l’encontre de tout individu ou groupe qui se substitue à la justice et aux lois en agissant de leur gré pour sanctionner et ce conformément aux lois en vigueur ».

Il est également important de souligner que ces évènements ne surviennent pas dans le cadre d’une affaire présentée à la justice mais il s’agit d’actes de violence sanctionnés par la loi. Or, les agresseurs n’ont fait objet d’aucune poursuite pénale tandis que le tribunal de première instance a émis un jugement de cinq mois de prison ferme pour motif d’homosexualité à l’encontre de l’un des deux jeunes agressés, sachant que l’autre victime a pris la fuite à la suite de l’agression.

Le traitement réservé à ce dossier par les autorités va à l’encontre des engagements du Maroc en termes de respect des droits humains tant sur le plan international que sur la base de la constitution de 2011, particulièrement la protection de la vie privée des personnes et l’engagement du Maroc dans la lutte contre toute forme de discrimination fondée sur le sexe, la couleur, la religion, la culture, l’appartenance sociale, régionale, la langue, la situation de handicap et toute autre appartenance.

De ce fait, nous, associations signataires de ce communiqué, appelons à :

  • La libération de la victime de cette agression ;
  • L’ouverture d’une enquête et la poursuite pénale des agresseurs ainsi que celui/celle qui a diffusé la vidéo révélant publiquement l’identité des jeunes ;
  • L’abrogation de l’article 489 du code pénal afin de garantir et de protéger les libertés individuelles et la vie privée des citoyennes et des citoyens.

Les associations signataires

Association Marocaine des Droits Humains (AMDH)

Organisation Marocaine des Droits Humains (OMDH)

Association de Lutte Contre le Sida  (ALCS)

Observatoire marocain des prisons (OMP)

Centre Marocain de la Démocratie et de la Sécurité

Forum Marocain des Alternatives Sud (FMAS)

Collectif  Démocratie et Modernité (CDM)

Observatoire Marocain des Libertés Publiques (OMLP)

Association Adala

Fédération Nationale des Associations Amazighes

Forum Marocain pour la Vérité et la justice

Association Bayt al-hikma

Fondation Driss Benzekri pour les Droits humains et la Démocratie

Collectif Aswat contre la discrimination basée sur la sexualité et le genre

Mouvement alternatif pour les libertés individuelles

Damir – Mouvement Citoyen



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Monday, March 28, 2016

La MDJS au galop

Younes El Mechrafi, Directeur Général de la Marocaine des Jeux et des Sports (MDJS)

Younes El Mechrafi, Directeur Général de la Marocaine des Jeux et des Sports (MDJS)

Le Conseil d’Administration de la Marocaine des Jeux et des Sports (MDJS) s’est tenu ce lundi 28 Mars 2016, indique un communiqué de l’entreprise. En 2015, la MDJS a réalisé un chiffre d’affaires de 1,847 milliards de dirhams, enregistrant ainsi une hausse de 12,5% par rapport à 2014, dont 1,1 Milliards de dirhams ont été reversés sous forme de gains aux joueurs, annonce le communiqué. Par ailleurs, ajoute la même source, la contribution au Fonds National du Développement du Sport (FNDS) au titre de l’exercice 2015 s’élève à 302,9 Millions de dirhams, ce qui représente une hausse de 18% par rapport à 2014.



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Avery Perfume Gallery ouvre ses portes à Casablanca

avery

Après avoir ouvert sa première boutique « Avery Perfume Gallery » à Rabat l’année dernière, c’est à l’hôtel Hyatt Regency de Casablanca qu’Intertrade Group, spécialiste en parfumerie de niche, a élu domicile.
Plus de 150 fragrances de luxe référencées sont exposées dans la nouvelle boutique dont Agonist, The Fragrance Kitchen, Boadicea the Victorious, A lab On Fire, SoOud… mais aussi des maisons prestigieuses telles que Maître Parfumeur et Gantier, Mémo Paris et Montale.
« Après deux années de lancement des Parfums de niche et l’ouverture d’Avery Perfume Gallery à Rabat en Mai 2015, nous sommes, aujourdhui, convaincus de l’existence d’une clientèle marocaine potentielle qui recherche une identité olfactive, des Parfums inédits et exclusifs », a déclaré Celso Fadelli, Président et créateur de fragrances d’Intertrade Group.
Fondé en 1989, Intertrade Group compte une quainzaine de boutiques de luxe dans le monde. Une histoire à la croisée de l’Art et du parfum, celle de son président Celso Fadelli et de Cristiano Seganfreddo, vice-président et directeur artistique du Groupe.



via Abdo El Rhazi Avery Perfume Gallery ouvre ses portes à Casablanca

Il faut être un AS pour piloter un avion de la RAM

Ram

Le reportage de l’émission « Pièces à conviction » de la chaîne de télévision France 3, a lourdement chargé la compagnie aérienne marocaine Royal Air Maroc. Les accusations étaient très graves puisqu’elles touchent à la sécurité des passagers, affaire très sensible en transport aérien. On comprend qu’un information sur des défaillances dans la formation des pilotes peut avoir des conséquences sur la vie de l’entreprise.

« Les propos de la responsable d’un cabinet lituanien citée dans le reportage et selon lesquels la compagnie nationale recourt à la formation des pilotes étrangers sans « exiger des évaluations préalables » des candidats, sont mensongers » plaide la RAM. D’autant plus, ajoute la compagnie, que Royal Air Maroc « n’a jamais collaboré avec ledit cabinet ». Pour la RAM, les réalisateurs du reportage se sont appuyés sur un faux témoignage pour avancer des conclusions erronées. Par consqéuent, la compagnie a saisi les autorités judiciaires compétentes eu regard au préjudice subi.

Royal Air Maroc, précise ensuite qu’elle ne fait « aucun compromis sur la sécurité de ses passagers et reste très vigilante sur les process de sélection de formation et de suivi de ses pilotes ».

Durant toute leur formation, précise la RAM, les pilotes marocains et étrangers sont encadrés par des Commandants de bord Instructeurs qui totalisent chacun plus de 10.000 heures de vol, et répondent aux plus hauts standards d’exigence au niveau mondial.

Depuis 2002, Royal Air Maroc forme des pilotes étrangers compte tenu de son expérience dans le domaine. Pour accéder à ces sessions de formation, les pilotes doivent impérativement être titulaires de diplômes et de qualifications délivrés par les autorités européennes, au même titre que les pilotes évoluant dans les grandes compagnies européennes. En outre, RAM « impose des conditions de sélection rigoureuses et soumet les candidats à des examens et des contrôles draconiens pour accéder à ces formations ».

Une fois retenus, les candidats sont obligés de refaire entièrement le stage de « qualification de type » conformément aux normes et standards de RAM qui figurent parmi les plus élevés dans le domaine, précise la compagnie. A l’issue de ce processus, les candidats sont obligés de passer un contrôle sur simulateur supervisé par la Direction Générale de l’Aviation Civile marocaine (DGAC) avant de pouvoir assurer des vols en ligne sous supervision du Commandant de bord instructeur Royal Air Maroc.

Enfin, précision utile, la formation des pilotes étrangers par Royal Air Maroc n’a aucune vocation commerciale, affirme la compagnie marocaine. « Elle s’inscrit dans la dynamique de mettre à profit son expertise et ses infrastructures de premier plan de la compagnie au service d’une formation qualifiante » conclut-elle.



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« L’éloquence des racines »* de Mohamed Amine Abassi

Mohamed Amine Abassi

‘4e lauréat de la Chambre Claire de la Fondation Alliances, le photographe tunisien nous parle de sa première exposition personnelle où il aborde la photographie de paysage à la manière d’un portrait humain.’

 Qu’est ce qui vous a inspiré pour ces portraits d’arbres ? L’expo présente des portraits d’arbres que j’ai rencontrés de manière hasardeuse, en fait, c’est une rencontre entre l’Homme et les arbres qui sont des personnages à part entière. Tout a commencé avec la révolution tunisienne, chacun de nous a eu une expérience particulière et a vécu ça de manière différente. Aujourd’hui, à cause d’événements difficiles qu’on a traversés, on est anxieux, perturbés dépressifs, et même 5 après, il y a toujours des hauts et des bas. J’ai cherché refuge quelque part, dans la nature pour me réfugier, m’apaiser, c’est là où j’ai fait ces rencontres et où j’ai senti que les arbres étaient des personnages intéressants qui pouvaient nous parler, des êtres qui souffrent et qui sont aussi anxieux et dépressifs que nous.

Ce sont des personnages qui résistent au temps, c’est votre façon de résister ? Oui, au-delà de la résistance, il y a aussi la patience et la ténacité. Il y a plusieurs sensations qui peuvent découler de ces personnages, il y une liaison très proche dans ce que je vois en moi ou dans la société et la jeunesse tunisienne,…Qu’on sente les choses différemment ou de la même manière, on n’arrive pas à les décrire. Il y a aussi cet espace que je donne au spectateur de se faire sa propre interprétation, de sentir et de s’approprier ce dialogue.

Ces arbres inclinés, ces branches qui tombent et ces troncs déracinés reflètent un monde un peu chaotique ? il y a aussi des arbres en bonne santé, mais c’est sûr, il y a ce paradoxe, ce contraste,… il y a des arbres qui évoluent dans des milieux difficiles, comme celui entouré d’eau dans le barrage, celui qui se trouve en bas de la colline ou sur la montagne et que le vent essaie de déraciner et d’emporter. Il y a cette question de résistance et de patience mais il y a aussi des arbres qui se tiennent debout, qui combattent, qui sortent d’entre les rochers et qui s’imposent. D’autres arbres sont accueillants et nous invitent à s’abriter sous leur ombre,…Pour moi, nous sommes assimilés à des arbres qui bougent, qui ont une histoire à raconter. Je parle plus de peine, de douleur et de tristesse que de choses joyeuses, parce que peut être, nous les humains, on se rappelle plus des choses qui nous blessent et nous font mal.

Photo Mohamed Amine

Pourquoi des arbres ? Quand ils marchent, les humains ont tendance à regarder les choses qui sont au même niveau qu’eux, on s’incline rarement pour observer un animal ou une plante sur le sol ! Au début, c’était comme une démarche inconsciente mais au fur et à mesure que je construisais le projet, ça a commencé à avoir plus de sens.

Les racines des arbres renvoient finalement à vos racines ? Oui, exactement, c’est une expérience personnelle. Dans la photographie aujourd’hui, même dans la photo contemporaine, on commence à sortir de l’humain, et du reportage. Pendant la révolution, j’ai tellement vu des photos de manifestations, de la misère, que j’ai voulu m’exprimer d’une manière implicite et indirecte. On a besoin de ne pas dire les choses de manière très sec et claire, on a besoin d’ambigüité qui nous fasse réfléchir. J’ai utilisé des techniques pour mettre la personne qui voit la photo, en discussion directe avec l’arbre, et là, libre à elle d’accepter cette discussion ou de la refuser. L’important, c’est de partager des sentiments.

Pourquoi le noir et blanc ? On l’utilise généralement pour rappeler le passé, pour travailler sur certains contrastes intéressants. Pour moi, il est très lié à la question de temps. Le noir et le blanc, associé avec cet effet de flou, c’est une manière de tuer le temps pour le faire renaître. Les humains ont un rapport assez particulier avec le temps ; des fois, on ne sent pas le temps passer, on est tellement noyé dans la quotidienneté et la routine qu’il nous échappe complètement ! C’est un peu ce que dit Homère, dans sa quête du bonheur ou ce que Nietzsche appelle, « un fragment d’éternité », un endroit où le temps se perd, où il n’a plus de corps et c’est là que tout commence. Dans mes photos, on ne peut pas définir les moments de la journée, la destruction des ombres, des détails. Je ne m’impose aucun cadre spatial ni temporel, je laisse place à des éléments qui font circuler un sentiment bien précis, pour trouver ce moment où tout s’évade, pour que ce dialogue soit sincère.

Quel genre de temps vous souhaitez recréer ? Je ne veux pas recréer un temps précis. Il n’y a pas de vérité collective, la vérité est personnelle. En fait, je reproduis une expérience personnelle envahie par des peines, des douleurs avec l’envie de résister. Et peut être qu’en partageant cette vérité personnelle et ce ressenti avec le public, nous aboutirons un jour à une vision partagée.

Pourquoi intégrer le portrait de votre grand-mère dans cette série ? J’ai voulu rendre hommage à cette femme qui m’a élevé et qui a veillé sur moi pendant des années. Elle me rappelle un arbre très vieux, et à travers ses rides, on voit le temps passer. Pourtant, elle est toujours debout sur ses pieds, elle lutte encore à 87 ans, et ça m’impressionne !

Après la poésie et la musique, vous optez pour la photo comme moyen d’expression. Oui, c’est un soulagement, un abri, un refuge qui me permet de rompre avec la routine de la vie quotidienne. C’est aussi une passion que j’ai découvert il y a 4 ans, et bien que je sois très attaché à l’art, j’ai trouvé dans la photo, un espace d’expression sans précédent. Et c’est le photographe et peintre tunisien, Ahmed Zelfani qui m’a influencé et appris la sensibilité par rapport aux choses.

Vos projets ? J’expose actuellement à Paris à l’Institut de la Culture de l’Islam sur le thème des Hammams en Tunisie, j’ai travaillé également sur un livre collectif sur la transition démocratique où j’ai présenté un reportage sur une école coranique avec une Fondation allemande et actuellement, je travaille sur un projet d’autoportraits avec un thème aussi psychédélique que celui-là, par rapport à cette lutte contre la routine.



via Abdo El Rhazi « L’éloquence des racines »* de Mohamed Amine Abassi

Friday, March 25, 2016

Le printemps des Alizés dévoile sa programmation

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Quatuor Arod

‘Du 28 avril au 01 mai 2016 à Essaouira’

Pour sa 16e édition, le Printemps Musical des Alizés annonce une programmation inédite riche et exaltante.

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Quatuor Danel

Les férus de la musique de chambre et l’art lyrique se délecteront encore une fois des spectacles proposés par des musiciens venus de tous les horizons. Des jeunes talents, des trios, des quatuors,…  revisiteront les oeuvres majeures des génies viennois : le Requiem de Mozart, les Quatuors de Beethoven, la Symphonie Inachevée de Schubert ou encore les concertos de Haydn. Autant de chefs d‘oeuvres interprétés par des musiciens et chanteurs de la scène internationale et nationale, qui porteront haut l’étendard du dialogue des cultures et de l’invitation à l’autre.

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Vassilena

Se retrouveront ainsi à Essaouira le Quatuor Danel qui nous viendra tout droit de la Philharmonie de Paris, l’Orchestre Philharmonique du Maroc, qui sera accompagné pour la première fois à Essaouira du Choeur Philharmonique du Maroc. L’incontournable Matinée jeunes talents qui mettra à l’honneur cette année encore les jeunes musiciens et chanteurs du programme socio-culturel Mazaya et la grande soprano Anaïs Constants, étoile montante et lauréate du grand concours Opéralia nous offrira pour sa part un récital lyrique des plus colorés tandis que le pianiste Adam Laloum, vainqueur du concours Clara Haskil, se produira auprès de L’Orchestre et du Choeur Philharmonique du Maroc.

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Pascal Moragues

Pour terminer en beauté, les Alizés 2016 ont préparé une matinée inattendue avec Thomas Enhco et Vassilena Serafimova qui vont se retrouver à Essaouira pour une rencontre inédite et joyeuse entre les grands standards du jazz et les pièces les plus emblématiques du répertoire de la musique de chambre et de l’art lyrique.

Programme Printemps Musical des Alizés



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Mawazine 2016-Iggy Azalea à l’OLM Souissi

Iggy azalea

‘Le Samedi 21 Mai 2016 à Rabat’

La nouvelle génération du rap fait son show à Mawazine. Iggy Azalea, l’une des rappeuses les plus talentueuses au monde se produira pour la première fois au Maroc. Cette Australienne de 26 ans a su grimper les échelons pour trouver sa place dans le rap et dans les charts. A l’âge de 16 ans, elle commence par mettre en ligne sur YouTube des vidéos de freestyle. Sa formation était parfaite pour le Hip Hop. Remarquée, la jeune femme est soutenue par le rappeur et producteur T.I. Son premier single officiel, « Work », sort dans la foulée, suivi par Bounce et Change Your Life.

The New Classic, hisse Iggy au rang des rappeuses les plus talentueuses du moment. L’opus débute à la 3e place du Billboard 200 et son 4e single, Fancy, atteint la 1ère place du Billboard Hot 100. Sa carrière lancée, elle prête main-forte à d’autres chanteuses et apparaît en avril 2014 sur le hit Problem d’Ariana Grande et sur Acting Like That de Jennifer Lopez, avec laquelle elle sort un second single à succès. Après une courte apparition dans Fast & Furious 6, elle sort en 2015 le single Pretty Girls en duo avec Britney Spears.



via Abdo El Rhazi Mawazine 2016-Iggy Azalea à l’OLM Souissi

Fatna El Bouih et Maï-Do Hamisultane, lauréates du Prix littéraire Sofitel Tour Blanche- 4e édition

Prix Littéraire Sofitel

Le premier prix de Littérature Femme a été décerné à Fatna EL Bouih  pour son roman : une femme nommée RACHID. Un livre témoignage poignant qui raconte le vécu des détenues politiques pendant les années de plomb. Un récit qui évoque les souvenirs amers de son emprisonnement et sa torture, et qui met en valeur le courage féminin en milieu carcéral. « Les femmes s’en sortent mieux que les hommes que ça soit en prison ou pendant la réconciliation, nous confie Fatna. Avant, elles accompagnaient les hommes dans la lutte armée, mais à notre époque, on était les premières militantes à s’impliquer politiquement, on l’a payé cher mais on était courageuses devant la torture ». Le 2e prix Découverte a été attribué à la jeune Maï-Do Hamisultane, pour son roman : Santo Sospir « Sans soupir », paru aux éditions La Cheminante. L’ouvrage sur l’attente des femmes de marins trahit en quelque sorte ses blessures et ses relations parfois difficiles avec les hommes.

Pour les autres œuvres en compétition, il y avait «Unis jusqu’à la mort» de Fatin El Idrissi, «Laisse Mon Corps Te Dire …» de Touria Oulehri, «La Révolution n’a pas eu lieu» de Sonia Terrab, «Pour tout l’or de Casablanca» de Imane Robelin», «Sans Contrefaçon» de Zakya Gnaoui, «Petites Chroniques d’un Toubib Ordinaire» de Souad Jamai et «Appels de la Médina Tomes 1 et 2» de Rachida Naciri.

Un hommage a été rendu à Leila Chérif, Présidente de l’association L’heure Joyeuse, par Thomas Greggory, DG du Sofitel Tour Blanche. Avec ce prix, dont l’objectif est de

faire rayonner la littérature francophone marocaine à travers le monde, le Sofitel vise à promouvoir des femmes écrivains marocaines confirmées ou jeunes talents se démarquant par leur sensibilité intellectuelle.



via Abdo El Rhazi Fatna El Bouih et Maï-Do Hamisultane, lauréates du Prix littéraire Sofitel Tour Blanche- 4e édition

« La Vache » arrive au Maroc !

la vache

‘Sortie nationale le 23 mars 2016.’

Présenté en ouverture du premier Festival du Film Français à Casablanca, la dernière comédie de Mohamed Hamidi qui a été plébiscitée par le public français avec 3 prix lors  du Festival du Film de comédie de l’Alpe d’Huez 2016 et qui a fait 1 million d’entrée depuis sa sortie, n’a pas manqué de charmer le public marocain lors de sa projection en avant-première le 18 mars au Mégarama de Casablanca.

Ce conte burlesque à la fois humain, tendre et drôle dédramatise les divergences culturelles dans une campagne française idéalisée. « Avec l’humour, on peut dire des choses hyper sérieuses et profondes, sans être donneur de leçons », nous révèle Mohamed Hamidi qui  affirme avoir voulu écrire un conte sous forme d’un road movie qui ne fasse pas peur aux enfants. « Vous savez, faire rire les Français avec un film sur un maghrébin qui traverse la France avec une vache, ce n’était pas gagné d’avance vu le contexte actuel en Europe », rappelle le réalisateur d’origine algérienne qui affirme avoir choisi la vache parce que « c’est un animal social qui incarne la gentillesse et qui est bien perçu partout ».

Le film, une fable humaniste et touchante raconte le périple de Fatah, un paysan algérien qui n’a d’yeux que pour sa Jacqueline, une Tarentaise, qu’il rêve d’emmener au Salon de l’Agriculture de Paris. Arrivé en bateau à Marseille, il traverse toute la France à pied, direction Porte de Versailles. Ce personnage de plouc naïf et inculte incarné par le talentueux humoriste Fatsah Bouyahmed ; -jusque là inconnu au cinéma- et qui se lie d’amitié avec Lambert Wilson, un aristo fauché très « vieille France » ; est à la fois touchant, drôle et brave parce qu’en osant aller jusqu’au bout de ses rêves, acquiert malgré lui, l’étoffe d’un héros. « Ce personnage de blédard que je pratique depuis des années, c’est un peu l’histoire de mon père, dans le quartier où j’ai grandi, mon père faisait rire tout le monde, sauf nous ! » nous confie fièrement le comédien  qui rappelle l’avoir joué pour la 1ère fois en 1997, dans une pièce de théâtre de rue, avant de l’exploiter plus tard dans l’émission satirique de Karl Zero. Avec ce personnage attendrissant, le cinéma français renoue avec le héro naïf comme Bourvil ou Fernandel, à qui le réalisateur fait un petit clin d’œil avec « Le prisonnier et la vache ». « Ce genre de film est rare dans le cinéma, nous explique Jamel Debbouze qui campe ici un second rôle plutôt antipathique car peu fier de ses origines « blédardes ». « Ce film, c’est la promotion de la gentillesse, de la naïveté, de la grandeur et la bienveillance qu’on galvaude dans nos sociétés modernes. A Paris, on prend les gens pour des cons dès lors qu’ils sont joyeux ou heureux », tient à nous rappeler l’humoriste qui rêve de rapprocher les deux rives française et marocaine.



via Abdo El Rhazi « La Vache » arrive au Maroc !

Sahara : Décisions irrévocables du Maroc et pas de malentendu avec le Conseil de sécurité

Mezouar_PartisLes décisions prises par le Royaume du Maroc en relation avec les derniers développements du dossier du Sahara Marocain «sont souveraines et irrévocables» et s’appuient sur un consensus national et un soutien inconditionnel de l’ensemble des composantes du peuple marocain, a affirmé, jeudi 25 mars 2016 à Rabat, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Salaheddine Mezouar.
Et d’ajouter : «le Maroc a réagi de manière sage et réfléchie face à cette situation qu’on lui a imposée».

Intervenant lors d’une conférence de presse suite à une réunion tenue au siège du ministère avec les secrétaires généraux des partis politiques et des syndicats, Mezouar a souligné que ces décisions sont responsables et proportionnelles à la gravité des dérapages du Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki Moon, lors de sa dernière visite dans la région. «Le Maroc ne permettra jamais qu’on porte atteinte à sa souveraineté et à son intégrité territoriale», a-t-il insisté.

Mezouar a souligné que les pays influents au sein de la communauté internationale sont conscients que l’initiative marocaine d’autonomie est à même de préserver la sécurité et la stabilité de la région, mettant en garde contre toute tentative de déstabilisation de la région en donnant du crédit à une entité fantoche.

Le ministre a également fait savoir que le Maroc est soutenu par plusieurs pays amis influents qui ont salué sa réaction face à ces graves dérapages. «Le malentendu n’est pas avec le Conseil de sécurité, comme tente de le faire croire le secrétariat général de l’ONU, mais il fait suite aux graves dérapages et déclarations menaçant la sécurité et la stabilité régionale et qui sortent du cadre et des dispositions régissant l’action du secrétariat général de l’ONU», a précisé Mezouar.

Par ailleurs, le Conseil de sécurité s’était lui aussi réuni le 26 mars. A la fin de sa réunion, son président, Ismael Gaspar Martins, a lu une déclaration à la presse faisant savoir que les membres du Conseil de sécurité ont souligné l’importance d’aborder de manière constructive, globale et coopérative les circonstances qui ont conduit à la situation actuelle».

 



via Abdo El Rhazi Sahara : Décisions irrévocables du Maroc et pas de malentendu avec le Conseil de sécurité

Guerre anti-terroriste : Le BCIJ démantèle une nouvelle cellule

BCIJLe Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire national (DGST), a démantelé, le 25 mars 2016, une nouvelle cellule terroriste. Celle-ci est constituée de neuf membres. Tous sont liés à la branche libyenne de la soi-disant organisation l’Etat islamique et s’activaient à Marrakech, Essmara, douar Alhidate et Zbirate (Sidi Bennour) et à Had Soualem, Selon les premières informations donénes à travers un communiqué par le ministère de l’Intérieur.

Autres informations révélées : Les éléments préliminaires ont révélé que les membres de cette cellule terroriste étaient en passe de préparer l’exécution d’opérations terroristes dans le Royaume, à l’image des pratiques sauvages perpétrées par cette organisation dans plusieurs pays du monde. Des membres de cette cellule terroriste projetaient également de rejoindre les camps de Daech en Libye pour acquérir des expertises de combat, à l’instar d’un des combattants originaires de la même région de Sidi Bennour, qui a été tué dans une attaque ayant visé un centre de détention à Tripoli en septembre 2015, précise la même source.

Les mis en cause seront déférés devant la justice aussitôt achevée l’enquête qui se déroule sous la supervision du parquet général compétent, ajoute-t-on.



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Thursday, March 24, 2016

Obama et l’Histoire

Ahmed CHARAI

Ahmed CHARAI

Depuis 1928, aucun Président des USA n’avait visité le voisin cubain. Le Président Obama l’a fait dans un contexte particulier. Il a d’abord mis fin à un conflit qui durait depuis 60 ans et qui était le plus emblématique de la guerre froide, puisque le monde n’a jamais été plus proche d’une guerre nucléaire que lors de la crise de la baie des colons. Il l’a fait à sa manière, progressivement, en s’attachant à la dimension humaine, puisqu’il a programmé une visite de trois jours, adressée davantage à la Nation cubaine qu’au régime. Mais ces pas sont définitifs, irréversibles. Les questions des droits de l’Homme ne peuvent pas être évacuées et Obama ne les évacue pas. Il continue à négocier, en rappelant que 60 ans d’embargo n’ont permis aucune avancée, tout en multipliant les difficultés quotidiennes du peuple cubain. En fait, le passage à l’acte d’Obama, souvent décrit comme décevant par rapport aux rêves esquissés lors de son élection, est réellement historique. Sur le plan interne, malgré les résistances de l’establishment, il a influé sur des politiques de santé, mais aussi d’éducation. Des actions solidaires, en rupture avec le principe de responsabilité personnelle, si prégnant dans la culture américaine. Sur le plan extérieur, il a hérité de la pire des situations. Celle d’une Amérique impériale, menant plusieurs guerres aux résultats néfastes, et n’ayant rien d’autre, à proposer, que l’envoi des Marines pour régler les conflits internationaux. Parce que ses convictions personnelles sont celles d’un homme de paix, mais aussi parce qu’il a compris que les USA seraient gagnants dans un monde multipolaire, ce qui est vrai, en prônant les compromis, plutôt que l’affrontement permanent. Cette attitude, ses résultats, peuvent paraître contrastés. Sur la question du Proche- Orient, faute d’interlocuteurs, on ne peut pas dire que le processus de paix, malgré l’engagement affiché par Washington, est plus avancé aujourd’hui. C’est un échec, mais qui ne peut être imputé à l’administration Obama, seule. Le contexte régional, les développements à l’intérieur d’Israël et chez les Palestiniens, contrecarrent tout projet de négociations sérieuses en vue de la solution des deux Etats. Par contre, l’histoire retiendra que tout en étant ferme sur les principes, l’actuel président des USA a réussi à établir des rapports sains avec la Russie de Poutine, ce qui permet, discrètement, d’entrevoir aujourd’hui une solution politique en Syrie, et ce qui a permis auparavant de désamorcer, très relativement, la crise ukrainienne et ce malgré les surenchères européennes. Obama a aussi montré de l’intérêt au continent africain, au-delà des questions stratégiques, et a mis en place des programmes de coopération visant le co-développement, une meilleure gouvernance, le soutien aux processus de démocratisation. L’histoire retiendra aussi qu’il a ramené les «boys» à la maison, d’Irak et d’Afghanistan, sans réduire l’influence de l’Amérique, qu’il a amélioré l’image de ce pays, qu’il a pacifié les relations avec l’Iran sans rien céder sur le nucléaire. Il a succédé à George Bush et sa guerre des civilisations, aussi coûteuse que funeste. Quand on voit ce qu’est Donald Trump, les divisions et les peurs qu’il suscite, on se dit que l’Amérique qu’on préfère est celle d’Obama, qui met sa puissance au service de la paix, et non pas l’Amérique de Trump, qui n’est en rien représentative du rêve américain, de la Nation de la liberté.



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Wednesday, March 23, 2016

Sahara : La position des USA reste inchangée

Mohammed VI et John Kerry (Archives)

Mohammed VI et John Kerry (Archives)

Le Roi Mohammed VI s’est entretenu, ce mercredi 23 mars 2016, au téléphone avec le Secrétaire d’Etat américain John Kerry, indique un communiqué du Cabinet Royal.
 L’entretien a essentiellement porté sur la question du Sahara marocain, précise le communiqué.

A cette occasion, Kerry a assuré au Souverain que la position américaine demeure inchangée et qu’elle s’inscrit dans le cadre arrêté conjointement par le Souverain et le Président Barack Obama, en novembre 2013 à Washington, souligne le communiqué.

Le Secrétaire d’Etat américain a également précisé au Souverain que le dialogue entre les deux pays se poursuivrait jusqu’à parvenir, sur cette base, à une solution définitive à ce différend régional, conclut le communiqué.



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Exposition « Lignes, Formes & Couleurs »

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‘Du 20 avril au 30 juin 2016 à la Galerie Duret à Marrakech’

 Cette exposition inédite réunit pour la première fois les artistes contemporains Katrin Fridriks (1974), David Gerstein (1944) et Nicolas Dubreuille (1976). À l’inverse de choix d’oeuvres monochromes, l’exposition met en valeur le mouvement, la spontanéité de courbes sans structures apparentes aux teintes riches. Des sculptures murales en métal de David Gerstein, volumineuses et déstructurées aux acryliques sur toiles de Katrin Fridriks qui fusionne les énergies naturelles de son Islande natale, en passant par les formes en résine laquée ou les dessins à l’acrylique sur papier de riz de Nicolas Dubreuille, « Lignes, Formes & Couleurs » met en scène l’alchi­mie graphique et colorimétrique de leurs travaux respectifs sur des médiums novateurs que sont le métal, le papier réfléchissant, la résine ou le papier de riz.

Galerie Duret Marrakech, 3e du nom

Marrakech compte un nouvel acteur dans le monde de l’art qui va rapidement faire parler de lui : la galerie Duret Marrakech. Située au coeur du quartier Guéliz, à quelques pas du Carré Eden, la galerie Duret Mar­rakech a choisi de promouvoir au Maroc une sélection d’artistes contemporains internationaux reconnus et émergents.

Des artistes qui ont en commun de s’exprimer à travers des médiums novateurs et variés tels que le métal, le papier (papier de riz, papier réfléchissant), la toile, la résine ou encore l’aluminium. Un parti pris novateur et dynamisant tant pour Marrakech que pour le Maroc.

Fridriks 21072015 Freestyle Love Dreamliner 100x100x5cm side

Nouvelle, cette galerie d’art contemporain n’en demeure pas moins riche d’expérience puisqu’elle est la 3e du nom de ses deux propriétaires : Mickaël Adjaj et Laëtitia Dufour. La première a été créée à Paris en 2010, dans le 16e arrondissement, dans une rue au riche passé artistique. En effet, elle était autrefois le rendez-vous d’artistes pluridisciplinaires comme Francisque-Joseph Duret (sculpteur) qui donnera son nom à la rue en 1868. Puis, elle deviendra, dans les années 70, le repère des collectionneurs d’antiquités. C’est donc tout naturellement que Mickaël et Laëtitia baptiseront leur premier espace d’art, Galerie Duret Paris. Forts de leur succès parisien, ils ouvrent un 2e lieu dans la capitale belge : la galerie Duret Bruxelles, avant d’investir, cette année, la ville ocre avec la galerie Duret Marrakech. Pourquoi Marrakech ? « Parce que c’est une ville où il fait bon vivre par son climat idyllique et parce que Marrakech est un lieu incontournable pour sa richesse culturelle » déclare le couple à la scène comme à la ville.

Avec l’exposition « Lignes, Formes & Couleurs » qui se tiendra du 20 avril au 30 juin 2016, la galerie Duret Mar­rakech démontre clairement sa vocation.



via Abdo El Rhazi Exposition « Lignes, Formes & Couleurs »

« A l’angle des possibles »

Expo oujda

‘Du 2 avril au 4 juin 2016 à Oujda’

Articulées entre la médina et la ville moderne, les oeuvres de 35 artistes européens et marocains contemporains, réunies à l’occasion de cette exposition, qui constitue la 6e édition du Festival d’art contemporain Orienta, invitent les visiteurs à une promenade philosophique et artistique dans la capitale de l’Oriental.

L’exposition est conçue comme un cheminement à travers la ville d’Oujda ouvrant de nouveaux passages dans le quotidien de la cité. Un habiter poétique s’organise à partir de fragments de vie partagés, de points de vues sur d’autres cités (Buenos Aires, Casablanca, Le Caire, Taipei), de dispositifs de résistance, de monuments merveilleux et précaires.

Une nouvelle possibilité de voyage s’offre à l’angle d’une rue, dans un patio de bibliothèque, dans un café ou dans les galeries d’un théâtre. Des poèmes viennent se déposer dans des interstices urbains, dans un parcours ponctué de rencontres avec l’art contemporain, l’art naïf ou la poésie. Une invitation au passage et une poétique des rives se développent autour de trois thèmes principaux : l’image double, le seuil et la frontière, le reflet de l’autre.

Environ 150 œuvres sont exposées : photographies, peintures, vidéos, performances, installations… L’accès à l’ensemble des lieux et des événements est gratuit.

Les artistes exposés sont : Ahmed Aajour, Emmanuel Aragon, Hassan Badreddine, Stéphanie Béghain & Olivier Derousseau, Jean-Christophe Ballet, Yasmina Benari, Mohamed Bourouissa, Charles Cako Boussion, Balthasar Burkhard, Najib Cherradi, Albert Clermont, Sebastian Diaz Morales, Mati Diop, Abderrahmane Doukkane, Abdelkrim Doumar, Fadhil Essediq, Frédéric Fourdinier, Olga Gaupmann, Houda Ghorbel, Séverine Hubard, El Yazid Kherbache, Kapwani Kiwanga, Hee-Won Lee, Manon Leroy, Chris Marker, Randa Maroufi, Sarah Mauriaucourt, Ahmed Mattougui, Lauren Moffatt, Freddy Mutombo, Zaynab Nasri, Claude et Clovis Prevost, Netty Radvanyi, Driss Rahhaoui, Claude Rutault, Chaïbia Talal, Lawrence Weiner, Ian Wilson, Abderrahman Zenati.



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Des soins à base de diamants, d’or et de caviar au Nacré & Or Spa

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Une première au Maroc. Des soins de luxe by Ainoha à base de caviar, d’or et de diamants sont proposés au somptueux Spa du nouvel institut de beauté Nacré & Or Spa. Cet havre de bien être raffiné où s’exaltent sens et émois, offre des soins sur mesure adaptés à chaque type de peau.

Nacre & or Spa

Grâce aux produits de la marque espagnole Ainhoa, vous pouvez ainsi profiter d’une cosmétique anti-âge novatrice et révolutionnaire (Khrono age) qui vous permettra de préserver votre jeunesse et défier le temps qui passe. Tout comme la crème protectrice Luxury Diamond contre le vieillissement de la peau ou la crème anti-tâches Whitess Caviar qui vous assure une peau éclatante.

Avec ses  six cabines de soins de corps, deux hammams et une salle dédiée au blanchiment des dents, vous vivrez une expérience exceptionnelle dans un monde de sérénité et de régénération, un univers nacré de détente où le luxe côtoie avec symbiose la chaleur du cadre doré, entièrement orné de feuilles en or.



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L’art africain passionne Los Angeles

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Au cœur du LA Art Show qui s’est tenu à Los Angeles du 27 au 30 janvier dernier, le public a pu découvrir un espace entièrement consacré aux artistes majeurs du continent africain. Leur enthousiasme était à la hauteur du projet curatorial  présenté par Mostapha Romli et Marisa Caichiolo réunisant des œuvres des artistes les plus intéressants d’Afrique du Nord, d’Afrique centrale et d’Afrique du Sud, parmi lesquels la germano-kenyane IngridMwangiRobertHutter, la congolaise Michèle Magema, le marocain Mostapha Romli, la côte-ivoirienne Joana Choumali, la tunisienne Mouna Jemal Siala ainsi que le marocain Abdelmalek Berhiss. L’exposition mettait ainsi en lumière des artistes qui façonnent une génération et surtout un continent.

C’était aussi la première fois que le LA Art Show, la plus grande foire d’art de la côte Ouest des Etats-Unis, se concentrait sur l’art africain contemporain. Il faut souligner que l’intérêt des collectionneurs pour ce continent s’est longtemps cantonné aux arts premiers. Cette exposition a permis aux quelque 56.000 visiteurs du Salon d’appréhender toute la dynamique et la richesse de la scène plastique contemporaine africaine.

Le succès suscité par cette première expérience a décidé le LA Art Show à se lancer dans un voyage de trois ans, une exploration toujours plus en profondeur de la scène africaine contemporaine. Le rendez-vous est donc pris pour janvier 2017 où un espace est dès à présent réservé aux artistes du continent.

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« Rythme et Mouvement » ou l’abstraction lyrique de Larbi Chrakaoui

Larbi Cherkaoui

‘Du 24 février au 31 mars 2016 à Dar Chrifa à Marrakech’

Connu pour avoir libéré la lettre arabe de son orthodoxie pour en faire un signe universel abstrait, le calligraphe et artiste plasticien Larbi Cherkaoui continue d’explorer à travers sa nouvelle exposition « Rythme et mouvement » l’univers infini des formes lettrales qu’il façonne à sa façon. Ses toiles sur peau imprégnées de « contraste » suggestif, exhibent de manière subversive des taches spontanées diverses, des lignes ondulées et des traces crypto grammatiques dont les effets lumineux renforcent la teneur en tons chauds et la qualité pigmentaire. Dans l’univers du peintre, les textes sont subtilement démantelés et le verbal y est progressivement démantelé. Le textuel, de plus en plus immergé est alors réduit à une texture charriant des soucis chromatiques et une manière de palette qui invite l’artiste à s’aventurer.

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Chez Cherkaoui, le cuir comme lieu de réminiscence patrimoniale, prend des dimensions inhabituelles, dictées par l’impératif du mouvement et l’élargissement de la vision.

La simultanéité parfaite du geste suggère une performance qui, vraisemblablement, ne peut être exécutée qu’en utilisant ses deux mains en même temps, une composition où transparaît le résidu d’une expérience scripturale aujourd’hui dépassée. Et où les signes plastiques semblent avoir une double fonction, à la fois virtuelle et esthétique. « La veine calligraphique de Cherkaoui ne s’intéresse ni à l’expression ni à la sensibilité; le tableau devient un objet arbitraire et se refuse à toute forme d’assimilation discursive. Disséminées, les formes en relation avec le fond, sont des improvisations dynamiques impliquant le regard dans une abstraction lyrique ambivalente et en appelant prioritairement à l’imaginaire dans son intensité anecdotique, peut-être aussi au hasard dans sa liberté et sa spontanéité à se manifester », dira de lui le célèbre critique d’art Abderrahman Benhamza.

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Attentats de Bruxelles, le suspect numéro 1 arrêté

Le terroriste présumé Najim Laachraoui.

Le terroriste présumé Najim Laachraoui.

Le gouvernement belge a annoncé l’arrestation de l’un des auteurs des attentats de Bruxelles. Il s’agit de Najim Laachraoui, celui qui figurait sur une image prise de la caméra de surveillance de l’aéroport de Zaventem. Les deux autres personnes qui étaient avec lui sont probablement les deux kamikazes. Ils ont été identifiés comme étant les frères Khalid et Brahim El Bakraoui. Les attentats de Bruxelles ont fait 34 morts et 250 blessés. «Les enquêtes sont en cours, les forces vives de l’Etat sont mobilisées, nous ferons face sans excès mais sans faiblesse aux attaques auxquelles nous sommes confrontés», a déclaré le Premier ministre Charles Michel dans un entretien à paraître dans L’Observateur du Maroc et d’Afrique le vendredi 25 mars 2016, avec un dossier complet sur les attentats de Bruxelles.



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