Monday, July 31, 2017

Un discours réquisitoire

Ahmed Charaï

Les Marocains attendaient du Roi que, à l’occasion de la fête du trône, il offre une issue aux événements d’Al Hoceima, ville où des manifestations ont lieu depuis 8 mois. Le Souverain a pris soin, avant la diffusion du discours, de libérer des détenus en usant de son droit de grâce, qui lui est conféré par la Constitution. Le souverain donnait un signal fort pour l’apaisement d’Al Hoceima. On prévoyait un discours royal fort, il l’a été de manière inédite. Le Roi a prononcé un véritable réquisitoire, à la fois contre les partis politiques et l’Administration. En effet, l’incapacité des partis à jouer le moindre rôle auprès des populations d’Al Hoceima a été dénoncée, tout au long de ces mois. Dans son discours, le Roi est revenu sur le rôle constitutionnel des partis, celui d’encadrement des citoyens et non pas juste la tenue de congrès et la compétition électorale. Ce constat est unanime dans ce pays qui connaît une grande défiance vis-à-vis de la classe politique, défiance renforcée par l’épisode des tractations pour la constitution de l’actuel gouvernement. D’ailleurs, dans son discours, le Souverain a fustigé l’argument de certains responsables politiques qui affirment qu’on ne les a pas laissés travailler. Le Roi leur a répondu qu’ils n’avaient qu’à démissionner, ce que rien ne leur interdit de faire. C’est une réponse claire à ceux qui se cachent derrière de tels arguments pour fuir la responsabilité de leurs propres échecs. La charge la plus lourde a tout de même été réservée à l’Administration. Pointés du doigt, ceux qui se contentent de percevoir un salaire, même modeste, sans ambition, ni sérieux dans leur engagement. Le Souverain relève le contraste avec les Marocains qui dirigent de grandes entreprises internationales. Il a rappelé que l’Administration était là pour fournir des services publics, répondre aux sollicitations des populations. Il a notamment désigné les centres régionaux d’investissements (CRI), qui au lieu de faciliter la création d’entreprises deviennent un écueil et renvoient tout à l’Administration centrale. Tous les dysfonctionnements ont été fustigés dans ce discours, où Mohammed VI a rappelé que « construire un barrage ou creuser un puits, requiert la même attention, la même importance », pour signifier qu’il est inadmissible que l’Administration centrale ne s’attache qu’aux grands projets, délaissant la vie quotidienne des populations souvent excentrées. Le seul corps qui n’a pas été épinglé dans ce discours, ce sont les forces de sécurité. Attaquées par une certaine presse, qui mettait en cause « l’approche sécuritaire » à Al Hoceima, ces forces ont eu l’appui du Roi. Le Souverain a rappelé que les forces de l’ordre n’ont fait que leur devoir en protégeant les biens et les personnes dans le cadre de la loi. Cela devrait mettre fin aux tentatives de membres du gouvernement qui, pour masquer leur incapacité à calmer les manifestants, mettent en avant « l’approche sécuritaire », alors que pendant plusieurs mois, il n’y a pas eu le moindre heurt, tant que les manifestations étaient pacifiques. Ce discours réquisitoire tranche avec les précédents. Le Roi lui-même a relevé qu’il n’avait pas parlé du Sahara ou de l’Afrique, comme pour signifier la gravité du moment. Maintenant, l’attente des Marocains concerne les effets. On peut se diriger vers une refonte profonde de l’Administration dont on devrait voir les prémices rapidement. Par ailleurs, il est clair que ce discours et la libération des détenus sont un signal pour les manifestants d’Al Hoceima. La réponse du Roi va dans leur sens.



via Abdo El Rhazi Un discours réquisitoire

Sunday, July 30, 2017

Abdellatif Jouahri devant le Roi Mohammed VI : “L’économie nationale présente encore des fragilités importantes”

Le Roi Mohammed VI a reçu, ce samedi 29 juillet 2017 au Palais Royal à Tétouan, Abdellatif Jouahri, Wali Bank Al-Maghrib, qui a présenté au Souverain le rapport annuel de la Banque Centrale sur la situation économique, monétaire et financière au titre de l’exercice 2016.
Dans son allocution devant le Souverain, Jouahri a indiqué qu’en 2016, la croissance de l’économie nationale s’est nettement repliée, s’établissant à 1,2%, dans un contexte marqué par le ralentissement de l’économie mondiale et par des conditions climatiques défavorables. Ceci n’a pas manqué de se répercuter sur le marché du travail qui a enregistré une perte d’emplois et une nouvelle baisse du taux d’activité, a précisé Jouahri.

Au niveau des équilibres macroéconomiques, Wali Bank Al-Maghrib a affirmé que le déficit budgétaire a atteint 4,1 % du PIB et que le déficit du compte courant s’est aggravé à 4,4 % du PIB, tandis que les réserves de change ont poursuivi leur renforcement, couvrant ainsi plus de six mois et demi d’importations. Il a précisé que, dans ces conditions, l’inflation s’est stabilisée à 1,6 %.

Au regard de ces évolutions, a-t-il ajouté, Bank Al-Maghrib a maintenu l’orientation accommodante de sa politique monétaire en vue de soutenir l’activité économique. Elle a ainsi réduit son taux directeur à 2,25 %, tout en poursuivant son programme de soutien au financement des très petites, petites et moyennes entreprises.

Bank Al-Maghrib a également poursuivi les réformes inscrites dans son programme prudentiel visant à atténuer les risques encourus par les banques marocaines, qui sont parvenues à préserver un bon niveau de rentabilité et de capitalisation, grâce notamment à leur expansion en Afrique et à la diversification de leurs activités.

Par ailleurs, Jouahri a indiqué que dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle loi bancaire, Bank Al-Maghrib a intensifié ses efforts pour finaliser la mise en place du cadre réglementaire des banques participatives ainsi que les circulaires relatives à la gestion des risques et à la protection de la clientèle.

Jouahri a, par ailleurs, affirmé que les évolutions qui ont marqué l’année 2016 laissent conclure que notre économie présente encore des fragilités importantes et reste vulnérable aux aléas de la conjoncture internationale et des conditions climatiques.

Malgré le maintien d’un niveau élevé d’investissement et en dépit des différentes stratégies sectorielles lancées ces dernières années et les mesures déployées pour améliorer le climat des affaires, notre économie, a-t-il précisé, reste toujours en quête d’une véritable voie et d’un modèle de développement qui la placerait durablement sur un sentier de croissance plus élevé.

Pour relever ces défis, il est impératif d’initier une nouvelle génération de réformes à même d’améliorer la productivité et de renforcer la résilience de l’économie dans un environnement international incertain, a poursuivi Jouahri, notant que c’est dans ce cadre que s’inscrit la flexibilisation progressive du régime de change. «Cette réforme renforcera la capacité de notre économie à absorber les chocs externes et contribuera à préserver sa compétitivité», a-t-il dit.

Sur un autre registre, Jouahri a indiqué que le défi de l’emploi ne peut pas être relevé seulement en réalisant des taux de croissance plus élevés, mais requiert également l’amélioration de la capacité du système d’éducation et de formation à répondre aux besoins du marché du travail, indiquant dans ce sens que la réforme du système éducatif s’impose aujourd’hui comme la priorité absolue pour notre pays.

Il n’a pas manqué de souligner que ce chantier interpelle toutes les parties prenantes, en vue d’instaurer un climat de paix et de solidarité entre les différents acteurs afin d’assurer les meilleures chances pour la réussite de sa mise en œuvre et son aboutissement dans des délais raisonnables. Le renforcement du caractère inclusif de la croissance passe également par des politiques de redistribution de la richesse nationale pour atténuer les inégalités sociales et territoriales, a affirmé Wali Bank Al-Maghrib.

A la fin, Jouahri a déclaré qu’en dépit de ces défis internes, le Maroc continue sous la conduite éclairée du Souverain de jouir d’un statut d’îlot de paix et de stabilité dans la région et bénéficie d’une grande confiance sur la scène internationale.

A cet égard, toutes les forces du pays, autorités, entreprises et partenaires sociaux, sont appelées à se mobiliser et à œuvrer pour transformer le bénéfice latent de cette confiance en retombées concrètes permettant d’accélérer la croissance et de renforcer son caractère inclusif.

Abdellatif Jouahri a, à cette occasion, remis au Roi Mohammed VI le rapport annuel de la Banque centrale sur la situation économique, monétaire et financière au titre de l’exercice 2016.



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Saturday, July 29, 2017

Le Roi Mohammed VI : « A tous ceux qui déçoivent les attentes du peuple, Je dis : Assez ! »

Le Roi Mohammed VI a adressé, ce samedi 29 juillet 2017, un discours à la Nation qui marquera certainement un tournant dans le Royaume. Il annonce une nouvelle Marche pour le pays. Fort de ses 18 ans de règne, le Souverain a établi une véritable radioscopie en louant les réussites, mais en montrant aussi, clairement, les vrais défis à relever. « Je ne voudrais pas, cher peuple, que tu penses, après avoir suivi ce discours, que je suis pessimiste. Loin s’en faut…Tu connais mon réalisme et ma propension à dire la vérité, si dure soit-elle. Être pessimiste, c’est manquer de volonté, être à court de perspectives, être dépourvu d’une approche concrète de la réalité », confiera le Souverain à la fin de son discours.
D’un ton direct, le Souverain a commencé par relever l’origine des maux du pays : faible niveau du travail en commun, absence d’une vision nationale et stratégique, dysharmonie qui l’emporte trop souvent sur la cohérence et la transversalité, passivité et procrastination qui remplacent l’esprit d’initiative et l’action concrète, problème de gouvernance, inefficience, mauvaise qualité des prestations offertes aux citoyens, immobilisme des mentalités, carences en termes d’exécution et d’innovation.
Face aux problèmes dont souffre différentes régions du pays, le Roi Mohammed VI a mis les partisans de la politique politiciennes devant leurs responsabilités. Il leur a fait voir dans le miroir de la vérité leur vrai visage : « Quand le bilan se révèle positif, les partis, la classe politique et les responsables s’empressent d’occuper le devant de la scène pour engranger les bénéfices politiques et médiatiques des acquis réalisés. Mais, quand le bilan est décevant, on se retranche derrière le Palais Royal et on lui en impute la responsabilité. »
Et le Roi Mohammed VI d’ajouter : « Voilà pourquoi les citoyens se plaignent, auprès du Roi, des administrations et des responsables qui font preuve de procrastination dans le règlement de leurs doléances et le traitement de leurs dossiers. Voilà pourquoi ils sollicitent son intervention pour mener leurs affaires à bonne fin. »
Le Souverain a donc secoué tout la classe politique en l’exhortant de remplir son devoir. Lequel « exige que les citoyens reçoivent, dans des délais raisonnables, des réponses convaincantes à leurs interrogations et à leurs plaintes ».

Connaissant parfaitement les attentes des Marocains et leurs problèmes de tous les jours, le Roi Mohammed VI a rappelé que le citoyen est en droit de se demander : à quoi servent les institutions en place, la tenue des élections, la désignation du gouvernement et des ministres, la nomination des walis et des gouverneurs, des ambassadeurs et des consuls, si, visiblement, un fossé sépare toutes ces instances du peuple et de ses préoccupations ?
Une grande question à laquelle doivent répondre les politiques marocains. Surtout que ce n’est pas la première fois que le Roi Mohammed VI les interpelle.  Le Souverain revient donc à la charge : « A tous ceux qui déçoivent les attentes du peuple, Je dis : Assez ! Ayez crainte de Dieu pour ce qui touche à votre patrie… Acquittez-vous pleinement des missions qui sont les vôtres, ou bien éclipsez-vous ! Car le Maroc compte des femmes et des hommes honnêtes et sincères envers leur pays ». Et le Roi de conclure : « Désormais, cette situation ne peut perdurer car ce qui est en jeu, ce sont les intérêts de la Nation et ceux des citoyens. Et là, Je pèse mes mots et j’exprime ici avec force et conviction le fruit d’une profonde méditation. »
Le Souverain insiste pour éveiller les consciences : « N’ont-ils pas honte, ces responsables qui n’accomplissent pas leur devoir alors qu’ils ont prêté serment devant Dieu, la Patrie et le Roi ? Ne conviendrait-il pas de destituer tout responsable à chaque fois qu’on établit une négligence ou un manquement de sa part dans l’exercice de ses fonctions ? »
Le Souverain exige que chacun prenne ses responsabilités, que la reddition des comptes soient effectives et que les lois en vigueur soient appliquées à tous, sans distinction aucune. « Nous nous trouvons à une nouvelle étape de notre action publique : il n’y a pas de différence entre le responsable et le citoyen en termes de droits et d’obligations liés à la citoyenneté, et il n’y a pas lieu de se dérober à ses responsabilités ou de jouir de l’impunité ».

Al-Hoceima

« Les événements, qui se sont produits dans certaines régions, ont révélé, hélas, une irresponsabilité sans précédent », a affirmé le Roi Mohammed VI. Et le Souverain d’ajouter : « En effet, au lieu que chaque partie remplisse son devoir national et professionnel, et que prévalent l’esprit de coopération et la volonté de mise en commun des efforts pour régler les problèmes des habitants, la situation a dérapé à tel point que les différents acteurs se sont rejeté mutuellement la responsabilité. Au moment où se sont imposés les calculs politiques étriqués, la notion de patrie s’est éclipsée et les intérêts des citoyens ont été malmenés ». Au vu de cette situation, Mohammed VI exige que la gestion des affaires publiques reste bien à l’écart des intérêts personnels et partisans, à l’abri des discours populistes. « Devant ce vide regrettable et dangereux, les forces publiques, qui se sont trouvées face à la population, ont assumé leur responsabilité avec courage, patience, retenue et ont fait preuve d’un grand respect de la loi. Elles ont ainsi préservé la sécurité et la stabilité », a souligné le Souverain qui contredit les allégations tentant de donner l’impression que le Maroc est assis sur un volcan, et qu’à chaque foyer, à chaque citoyen correspond un policier qui surveille. « Il y en a même qui affirment l’existence de deux courants, l’un radical, et l’autre modéré, ayant des vues divergentes sur l’attitude à adopter face à ces événements », a noté le Roi Mohammed VI, avant de lancer : « Cette allégation est totalement fausse ». Et de poursuivre : « La vérité, c’est que, pour garantir la sécurité des citoyens et préserver leurs biens, il y a une seule ligne à appliquer : la loi ; un engagement ferme à respecter : les institutions ». L’autre vérité mise en exergue par le Souverain : « les agents des forces de l’ordre consentent d’énormes sacrifices, travaillent jour et nuit, dans des conditions difficiles, pour remplir le devoir qui leur incombe : assurer la sécurité et la stabilité du pays, intérieurement et extérieurement, et veiller sur la tranquillité, la quiétude et la sûreté des citoyens ».
Le Roi Mohammed VI a déclaré que les Marocains ont le droit, et même le devoir, d’être fiers de leur appareil sécuritaire. « Et là, Je l’affirme avec force et sans la moindre hésitation ni complexe d’infériorité : Si certains nihilistes ne veulent ni admettre ni proclamer cette vérité, c’est leur problème à eux-seuls ».

Travailler ou démissionner

« Le modèle institutionnel marocain est parmi les systèmes politiques avancés », a délcaré le Roi Mohammed VI, qui n’a pas hésité à faire remarquer que ce modèle est resté, en grande partie, lettre morte. La cause : l’application menée sur le terrain reste insuffisante. « Mais si les responsables rechignent à faire leur devoir et mettent ainsi en péril les affaires de la Nation et des citoyens, Mes responsabilités constitutionnelles me commandent de garantir la sécurité et la stabilité du pays, de sauvegarder les intérêts des gens, leurs droits et leurs libertés », a affirmé Mohammed VI. Et d’ajouter : « Je suis pleinement et fermement attaché au respect des attributions des institutions et au principe de séparation des pouvoirs ».
Le Roi a clairement expliqué qu’il n’admettra aucun retour en arrière par rapport aux acquis démocratiques, ni aucune entrave au fonctionnement des institutions. « Car, la Constitution et la loi sont claires et les attributions qui y sont énoncées n’ont nul besoin d’interprétation », a-t-il insisté. Le Souverain dira ensuite qu’il appartient à chaque responsable d’exercer les prérogatives qui lui sont dévolues, en toute autonomie. « Il ne doit pas justifier son incapacité à agir, en ressassant le refrain : « Ils m’empêchent de faire mon travail » ! S’il n’en est pas capable, qu’il présente sa démission, personne ne l’en empêche ! »
Pour le Souverain, c’est le Maroc qui doit prévaloir au-dessus de tous, au-dessus des partis, au-dessus des élections et au-dessus des postes administratifs.
Dans son discours, historique, le Roi Mohammed VI a réitéré son engagement à continuer à agir avec sincérité et constance pour satisfaire les demandes de son peuple et concrétiser ses aspirations. « Ce à quoi Nous nous attachons, dans toutes les régions du Maroc, c’est à impulser concrètement ta nouvelle marche ; elle ambitionne la réalisation du développement humain et social, l’égalité et la justice sociale, au profit de tous les Marocains. Pour Nous, en effet, il est inconcevable que ce progrès ne soit pas commun à l’ensemble des régions de notre pays, sans exclusive ».



via Abdo El Rhazi Le Roi Mohammed VI : « A tous ceux qui déçoivent les attentes du peuple, Je dis : Assez ! »

Live – Le discours du Roi Mohammed VI à l’occasion de la fête du Trône 2017



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Grâce royale à des détenus d’Al-Hoceima et du PJD

A l’occasion de la fête du Trône, le Roi Mohammed VI a accordé sa grâce à 1178 prisonniers dont des détenus d’Al-Hoceima et à des membres de la jeunesse du PJD. Ces derniers purgeaient des peines d’emprisonnements pour apologie au terrorisme.



via Abdo El Rhazi Grâce royale à des détenus d’Al-Hoceima et du PJD

Friday, July 28, 2017

M’jid, l’inoubliable !

M'Jid Dolmy

M’Jid Dolmy

Le Maestro n’est plus. Jeudi 27 juillet en soirée, ce qui n’était qu’une rumeur s’est vite transformé en une réelle tristesse. Abdelmajid Dolmy, technicien hors pair à la précision millimétrée, s’est éteint à l’âge de 64 ans suite à un malaise. Très discret, «le « Mâallem » préférait faire parler ses talents sur les rectangles verts au lieu de se livrer devant micros et caméras. Au bout d’une vingtaine d’années de carrière, commencée au début des années 1970, Dolmy a à son compteur pas moins de 140 sélections, sachant que sa première parution avec les Lions de l’Atlas remonte à 1974. L’ancien libero du Raja de Casablanca se fera surtout remarqué lors de l’épopée mexicaine de l’équipe nationale. La discipline chevillée aux crampons, M’jid, pour les intimes, avait obtenu, en 1992, le « Prix du fair-play » décerné par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) pour récompenser un « joueur dont la moralité et la courtoisie exemplaires le font unanimement considérer par ses partenaires ou adversaires comme un ambassadeur du football ».



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Vidéo – Immersion dans la future cité Mohammed VI Tanger Tech

 

La Cité Mohammed VI Tanger Tech, telle qu’elle a été présentée par Othman Benjelloun, président de BMCE Bank of Africa :
Une ville de 300.000 habitants, devant s’étaler sur 2000 Hectares, créant 100.000 emplois et générant 11 milliards de dollars sur 10 ans.



via Abdo El Rhazi Vidéo – Immersion dans la future cité Mohammed VI Tanger Tech

Le Maroc compte le plus de millionnaires en Afrique de nord

La banque mauricienne AfrAsia Bank a publié son rapport 2017 “Africa Wealth” sur les millionnaires et multimillionnaires du continent. Ainsi selon l’étude, l’Afrique comptait en 2016 quelque 145.000 millionnaires dont la fortune cumulée s’estime à 800 milliards de dollars.

Le Maroc domine l’Afrique du Nord avec 4.600 millionnaires et 210 multimillionnaires. L’Afrique du sud et l’île Maurice dominent respectivement le classement africain dans les 2 catégories.



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Medi 1 Radio émettra à Bamako

Medi 1, la Radio Méditerranée Internationale, s’installe au Mali à travers la signature d’une convention avec la Société Malienne de Transmission et Diffusion ce mercredi à Bamako. La convention permet à Medi 1 d’installer ses équipements de transmission satellitaire et de diffusion FM grâce à la mutualisation des infrastructures techniques de la SMTD.



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Coopération : Boucetta se rend en Côte d’ivoire

Boucetta et Tanoh

Après le Sénégal, la secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale, Mounia Boucetta, s’est rendue ce jeudi à Abidjan la capitale économique ivoirienne.

Elle s’est entretenue avec le ministre ivoirien des Affaires Étrangères, Marcel Amon Tanoh, sur les moyens à mettre en œuvre pour booster davantage la coopération bilatérale. La secrétaire d’État a également présidé la séance de travail dédiée au suivi de l’état d’avancement des différents accords de coopération et de partenariat conclus entre les 2 pays.



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Thursday, July 27, 2017

Le ministre Moulay Hafid Elalamy à propos de la Cité Mohammed VI Tanger Tech : « Nous ferons ce projet ! »



via Abdo El Rhazi Le ministre Moulay Hafid Elalamy à propos de la Cité Mohammed VI Tanger Tech : « Nous ferons ce projet ! »

Vidéo – Othman Benjelloun à propos de la Cité Mohammed VI Tanger Tech : « Je suis confiant, qu’ensemble, nous réussirons ce défi ! »



via Abdo El Rhazi Vidéo – Othman Benjelloun à propos de la Cité Mohammed VI Tanger Tech : « Je suis confiant, qu’ensemble, nous réussirons ce défi ! »

Une révolution en venimologie signée l’Université Hassan II Casablanca

L’Université Hassan II Casablanca lance le VES4, premier extracteur automatique du venin de scorpions publié à l’échelle internationale comme une révolution en venimologie.
Le dispositif VES4 vient révolutionner la technique manuelle d’extraction du venin scorpionique.
Des chercheurs marocains du Laboratoire de Biologie et Santé de la Faculté des Sciences Ben M’Sik (URAC-34) de l’Université Hassan II de Casablanca ont inventé un robot pour extraire le venin des scorpions, matière première importante dans la production des anti-venins et des anti-cancéreux et d’autres applications médicales et thérapeutiques.
L’invention est sujet d’un dépôt de Brevet, d’une publication scientifique internationale de référence, ainsi que plusieurs publications dans des journaux de renommée internationale.
Le concept VES4 présenté aux conférences ICCMIT en Pologne (Avril 2017) et SEB Meeting en Suède (Juillet 2017), devant des experts scientifiques, a eu une reconnaissance mondiale.



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Cité Mohammed VI Tanger Tech – Le président de Haite réaffirme l’engagement de ce groupe dans le projet maroc-chinois

Publié par Mohammed Zainabi sur jeudi 27 juillet 2017



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Cité Mohammed VI Tanger Tech : Les précisions du représentant de la société chinoise Haite

Publié par L'observateur du Maroc & d'Afrique sur jeudi 27 juillet 2017



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Paiement mobile : Total innove au Maroc et en Afrique

Le groupe Total et Worldline s’associent avec la Fintech sénégalaise InTouch pour le déploiement de la solution “Guichet Unique” dans 8 pays africains dont le Maroc. Il s’agit d’un terminal de paiement en monnaie électronique qui sera installé dans les stations services de Total.

Le groupe pétrolier financera le déploiement de la solution en Afrique et Worldline apportera son expertise en solutions technologiques.



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Décentralisation : Le Togo sollicite l’expérience “riche” du Maroc

Le Maroc et le Togo dynamisent leur coopération bilatérale à travers la visite de travail effectuée ce mercredi à Rabat par le ministre togolais en charge de l’Administration territoriale, de la décentralisation et des collectivités locales, Payadowa Boukpessi auprès du ministre délégué auprès du ministre de l’Intérieur, Noureddine Boutayeb.

La rencontre a porté sur le partage d’expérience entre les 2 pays sur la décentralisation, l’organisation et le financement des collectivités territoriales. Le Togo sollicite ainsi l’expérience “riche” du Maroc dans le domaine de la décentralisation de l’administration.



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Wednesday, July 26, 2017

Noor sort son nouveau titre « Taxi » !

Un an après son premier titre, “#Hashtag”, Noor dévoile pour son nouveau clip pour accompagner son deuxième titre, “Taxi” tourné à Marrakech.
Après quelques apparitions dans des films en tant qu’animatrice, la star marocaine de danse orientale s’essaie une nouvelle fois à la chanson, écrite et produite par elle-même.

Dans un décor entièrement coloré, rappelant celui du clip Lame3alem de Saad Lamjerred, Noor s’entoure de danseuses et enchaîne les tenues, allant de la jupe à la gandoura façon drapeau marocain.

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Perfect Look ouvre ses portes à Marrakech

Chez Perfect Look, la perfection et le luxe n’ont jamais été une affaire d’argent et de bourse. Après Casablanca, c’est autour de la ville ocre de recevoir l’un des plus prestigieux instituts de beauté, qui depuis son ouverture n’a cessé de sublimer sa clientèle casablancaise. Aujourd’hui, le tour est venu pour les Marrakchis de gôuter au bien-être, au raffinement, au luxe, aux conseils personnalisés à et l’expertise si singulière qui fait le succès de Perfect Look.

Idéalement situé au coeur de la ville rouge dans le célèbre quartier Hivernage, l’établissement offre à sa nouvelle clientèle un espace totalement dédiée à la beauté et au bien-être.

Dans un cadre épuré, cosy et invitant à la détente et à l’évasion, le personnel de l’institut de beauté vous accueille tous les jours de la semaine de 10h à 21h.

Un personnel aux petits soins, un service irréprochable, des produits haute gamme et des équipements dernière génération à la portée de toutes les bourses.

De la simple manucure à la mise en beautés des mariées, l’institut vous propose une large palette de services et prestations pour petites et grandes occasions.

– Beauté des mains et des pieds, beauté et soins des cheveux, lissage et Kératine, Hammam, massages corporels du relaxant à l’amincissant en passant par le tonifiant, bar à ongles, bar à sourcils, espace esthétique et espace mariées avec divers packs…

Adresse : 6 Avenue Moulay El Hassan 1, Immeuble La Paix, 2ème étage, quartier Hivernage-Marrakech
Tel : 05.24.44.94.80
Facebook : Perfect LOOK Marrakech



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La présidente de la CGEM aux Marocains du monde : « Créons, ensemble, de nouveaux business ! »


Entretien réalisé en marge de la première édition du Moroccan Business Bridge/13ème région MeM de la CGEM le 24 juillet 2017 à Rabat.

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CEDEAO : La candidature marocaine à l’étude

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest s’est réunie ce lundi au Nigeria pour évaluer l’impact de l’adhésion du Maroc dans l’organisation régionale.

Après l’accord de principe accordé en juin lors du sommet de Monrovia, la commission de la CEDEAO étudie la candidature marocaine et les questions techniques liées à son intégration.



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2 nouveaux casques bleus décèdent lors d’une attaque Centrafrique

En Centrafrique, 2 casques bleus marocains sont morts ce mardi suite à une attaque par un groupe armé anti-Balaka aux alentours de Bangassou.

La Minusca, la mission des Nations Unies pour la sécurité en Centrafrique, a précisé qu’un autre soldat marocain a été légèrement blessé lors de l’attaque du convoi d’aide humanitaire.

Dimanche dernier, un autre soldat marocain avait aussi perdu la vie lors d’une pareille attaque.



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Formation professionnelle : L’OFPPT accompagne la Côte d’Ivoire

L’OFPPT va accompagner la Côte d’Ivoire dans la mise à niveau de son dispositif de formation professionnelle.

L’Office marocain réalisera l’assistance technique pour la création de 4 centres de formation professionnelle et un département pour la formation des formateurs de même que l’amélioration de la qualité de la formation professionnelle.

Le projet est financé par la Banque Islamique de Développement à hauteur de 30 millions de dollars.



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Maroc-Afrique : 17 conventions approuvées par la Chambre des représentants

17 conventions liant le Maroc à l’Union africaine ainsi qu’à d’autres pays africains ont été approuvées par la Chambre des représentants à l’unanimité.

Il s’agit de 3 conventions qui lient le Maroc à l’Union Africaine portant sur le retour du Royaume dans sa famille institutionnelle.

Les 14 autres conventions concernent la coopération bilatérale avec des pays du continent dans le renforcement des échanges économiques.



via Abdo El Rhazi Maroc-Afrique : 17 conventions approuvées par la Chambre des représentants

Tuesday, July 25, 2017

Assassinant d’un casque bleu marocain en Centrafrique – Réaction du président Touadera



via Abdo El Rhazi Assassinant d’un casque bleu marocain en Centrafrique – Réaction du président Touadera

Coopération : Mounia Boucetta reçue par Macky Sall

Après l’Afrique de l’est, la secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale Mounia Boucetta s’est rendue ce lundi au Sénégal dans le cadre de sa tournée africaine.

Elle a été reçue en audience par le président sénégalais Macky Sall après une rencontre avec des membres du Groupement d’Intérêt économique Sénégal-Maroc pour statuer sur l’état d’avancement des accords de coopération.

Mounia Boucetta a également visité les chantiers du complexe résidentiel de la Cité de l’Émergence construite par un opérateur marocain.



via Abdo El Rhazi Coopération : Mounia Boucetta reçue par Macky Sall

Monday, July 24, 2017

Coupe du Trône de Golf : Une 14ème édition réussie

Du 17 au 22 juillet 2017, les phases finales de la 14ème édition de la Coupe du Trône de Golf se sont déroulées à Cabo Negro après les qualifications qui s’étaient déroulées les 13 et 14 mai à Fès pour sélectionner les 12 équipes qualifiées sur les 20 Clubs engagés.

Après les éliminatoires à Cabo Negro, 8 Clubs se sont affrontés pour les ¼ de finales 

Match N°1 Royal Golf de Marrakech contre Royal Golf d’El Jadida :

C’est Marrakech qui l’a emporté 5/4 (Foursomes + Simples)

Match N° 2 Royal Golf de Dar Es Salam contre Royal Golf d’Agadir

C’est Le Royal Golf de Dar Es Salam qui l’a emporté 5/4 (Foursomes+Simples)

Match N°3 Royal Golf d’Anfa Mohammedia contre PalmGolf Casablanca

C’est le Palm Golf de Casablanca qui l’a emporté 6,5/2,5 (Foursomes+Simples)

Match N°4 Tony Jacklin Casablanca contre Oued Fès Golf

C’est le Tony Jacklin qui l’a emporté 5/4 (Foursomes+Simples)

 

Les Demies finales ont opposé le 21 juillet les 4 équipes restant en lice

Royal Golf de Dar Es Salam au Royal Golf de Marrakech

RGDES vainqueur (Foursomes et Simples 6/3)

Palm Golf de Casablanca au Tony Jacklin de Casablanca

C’est le Tony Jacklin qui l’a emporté 5/4 (Foursomes et simples)

La petite finale a opposé le 22 au matin le Royal Golf de Marrakech au Palm Golf de Casablanca

La Grande Finale Le Royal Golf de Dar Es Salam au Tony Jaecklin de Casablanca

C’est le Palm Golf de Casablanca qui se classait finalement 3ème au dépens du Royal Golf de Marrakech (4 à 3 foursomes et simples)

La grande finale 2017 allait opposer le Royal Golf de Dar Es Salam tenant du titre au Tony Jacklin de Casablanca.

Dar Es Salam allait-il réaliser la passe de 5 et se succéder à lui-même ?

Finalement, après un duel épique, The Tony Jacklin de Casablanca mettait un terme à la domination du Royal Golf de Dar Es Salam en triomphant 6 à 5 foursomes et simples additionnés.

Lors de la Remise des Prix présidée par Monsieur Hassan Bouya Gouverneur de la Préfecture Mdiq Fnideq, le Président Délégué de la F.R.M.G. Me Mustapha Zine, après avoir félicité les vainqueurs et remercié tous les acteurs de cette édition, a mis en exergue le développement exceptionnel du Golf au Maroc et en particulier son influence bénéfique pour la Région du Nord du Maroc et en particulier du site de Cabo Negro.

Cette 14ème édition de la Coupe du Trône a permis de mesurer les exceptionnels progrès du Golf Marocain et l’étroite coopération entre les 2 entités complémentaires : la Fédération Royale Marocaine de Golf et l’Association du Trophée Hassan II de Golf.

 

Que de chemin parcouru depuis la première édition qui se déroula du 18 au 20 novembre 2004 sur le Royal Golf Dar Es Salam de Rabat.

Le nombre de Clubs ayant engagé des équipes a augmenté de façon exponentielle ce qui prouve d’une part la formidable expansion du Golf Marocain et d’autre part l’intérêt croissant suscité par cet événement.

La Fédération Royale Marocaine de Golf en partenariat avec l’Association du Trophée Hassan II de Golf a pris soin d’impliquer l’ensemble des Clubs du Maroc en changeant de lieu à chaque édition :

2011 : 8ème édition au Royal Golf d’El Jadida

2012 : 9ème édition au Royal Golf de Dar Es Salam

2013 : 10ème édition au Royal Golf d’Agadir

2014 : 11ème édition au Royal Country Club de Tanger (qui a fêté son centenaire…)

2015 : 12ème édition au Royal Golf de Saïdia

2016 : 13ème édition au Golf de Tazegzout à Taghazout

2017 : 14ème édition au Royal Golf de Cabo Negro

 



via Abdo El Rhazi Coupe du Trône de Golf : Une 14ème édition réussie

« Baraka », le 1er single de ADAM

La nouvelle voix et le nouveau visage de la scène musicale marocaine nous fait découvrir son univers artistique avec son premier single “BARAKA”.

Après avoir sillonné les podiums du monde entier pour montrer les dernières collections des grandes marques, Adam dévoile son talent de chanteur et sort son premier single « BARAKA » que le public découvrira ces jours ci sur les ondes des radios nationales.

A l’aise devant les caméras comme devant un micro, Adam plonge les mélomanes dans un univers musical frais et original. Sa démarche artistique est inspirée de ses origines, de ses influences musicales nombreuses et variées et de toutes ses découvertes accumulées au fil du temps.

Adam invite ainsi le public à comprendre son identité et lui raconter son histoire. Issu d’une famille artistique, Adam n’est autre que le frère d’Ahmed Soultan, pionnier du mouvement Afrobian, qui est en même temps son ainé et son mentor.

Le jeune chanteur évolue alors dans une ambiance où il est bercé par la musique et motivé par son frère. Le chant devient alors une évidence et le premier fruit est déjà sorti. En plus d’être un chanteur, Adam est un mannequin professionnel. Un métier où il se lance par pur hasard quand il rencontre un photographe professionnel qui lui demande de poser pour lui. C’était là, le début d’une belle aventure qui emmène l’artiste aux multiples facettes dans un périple à travers les podiums des grandes capitales de mode du monde.

Natif de Paris et issu d’une famille marocaine, Adam appréhende le milieu artistique avec beaucoup de professionnalisme et une personnalité de plus en plus affirmée. Cela se traduit par un premier morceau qui vient comme une déclaration, un échange et une invitation à une rencontre musicale nouvelle et inédite.



via Abdo El Rhazi « Baraka », le 1er single de ADAM

Le danger des daechistes revenants vu par un ancien patron des services secrets britanniques

Entretien avec
Sir John Scarlett
Ancien patron des services secrets britanniques
Réalisé en marge de la Conférence annuelle sur la paix et la sécurité en Afrique (APSACO) organisée par OCP Policy Center les 10 et 11 juillet 2017 à Rabat.



via Abdo El Rhazi Le danger des daechistes revenants vu par un ancien patron des services secrets britanniques

Le Salon International du Sport et des Loisirs se tiendra en septembre

Casablanca va accueillir en septembre le plus grand Salon International du Sport et des Loisirs en Afrique.

Placé cette année sous le thème “Le sport au service de l’épanouissement de la jeunesse africaine”, cet événement de 4 jours sera marqué par des journées B2B et grand public.

150 exposants provenant de 12 pays et 100 experts nationaux et étrangers sont attendus à l’événement panafricain.



via Abdo El Rhazi Le Salon International du Sport et des Loisirs se tiendra en septembre

Amazigh Katib, Le Gnaoui insoumis

Fondé en 1992 par le chanteur engagé Amazigh Kateb à Grenoble, le groupe franco-algérien Gnaoua Diffusion, a su garder la même énergie et richesse sonore 25 ans après sa création.

La formation critique de son temps a enflammé la scène de la plage lors de la 20e édition du festival Gnaoua d’Essaouira. Le bruit des vagues s’est allié le temps d’un soirée explosive aux rythmes gnawa, raï et reggae du groupe, avec quelques touches de rock et de hip-hop sur des textes à la fois drôles et critiques chantés en arabe algérien, en français et en anglais, récités en boucle par petits et grands.

Vous vous êtes produit à Essaouira en 1999 puis en 2003. Vous revenez pour la 20e édition, votre concert était une nouvelle fois électrisant. Quel est votre sentiment ?

J’ai encore faim, j’ai encore envie de jouer parce que ce genre de concerts laissent sur sa faim, c’est de l’énergie tellement puissante,… quand il y a autant de gens qui chantent avec toi, et qui portent la musique avec autant d’énergie, ça donne envie de jouer plus longtemps, et peut être de faire une tournée au Maroc, pourquoi pas ? En tout cas, je suis toujours très à l’aise de jouer ici sur scène, parce que je sais qu’on comprend ce que je raconte, je me sens comme à la maison.
Même les jeunes connaissent par coeur vos chansons. Votre public est assez large !
Oui et ça me surprend même en Algérie d’ailleurs. Je pensais qu’il n’y avait que l’ancienne génération qui avait notre âge qui écoutaient notre musique, mais lors de mes derniers concerts, je me suis rendu compte que les ados de 14 ans connaissaient par cœur nos chansons, comme si ça venait de sortir, comme si c’était de leur époque ! En fait, je pense que leurs parents leur ont transmis la passion pour cette musique qui les a bercés. Vous savez, il y a un vrai public pour cette musique, pas seulement au Maroc mais à travers toute l’Afrique du nord, il y a un vrai intérêt artistique de la part d’artistes qui ne connaissaient pas ce genre de musique. Je crois qu’ils commencent à comprendre la graine universelle qu’il y a dans la couleur gnaouie.

Gnaoua pour vous c’est quoi ?

C’est une survivance d’une époque qui a voulu anéantir la culture, l’honneur et la dignité des esclaves, des gens qui ont été déportés, …pour moi, c’est un exemple réel dans l’histoire de verticalité et de contre fatalité. Nous les Arabes, on a beaucoup de fatalisme : « Allah Ghalleb, c’est le destin, Mektoub… » et la musique Gnaoua, elle répond à ça par la patience, l’énergie, les ancêtres, les vocations des anciens, par la verticalité. Ça veut dire : « même si tu m’as mis les chaînes, tu ne pourras pas me mettre les chaînes dans la tête, c’est impossible ! ». C’est ce que je retiens de la musique Gnaoua, c’est vrai, je ne suis pas quelqu’un qui fait une lecture très religieuse de la chose, je n’ai pas cette grille de lecture et je ne veux pas l’avoir, parce que je trouve qu’aujourd’hui, on a une lecture religieuse de quasiment tout. De nos jours, en France, il y a un glissement sémantique incroyable, si je dis : « je n’aime pas les mergezs », ça veut dire : « je n’aime pas les Arabes », si je dis : « je n’aime pas la musique Yiddish », ça veut dire : « je suis antisémite », ….quoi que tu dises, ça induit une idée derrière que tu n’as pas dites, on glisse toujours vers un sens qui n’est pas le sens premier des choses !

Et le reggae, c’est aussi dans le même état d’esprit ?

Vous savez, la Jamaïque, c’est une toute petite île au milieu des Caraïbes qui fait danser le monde entier avec un son. Donc, c’est la preuve que la musique est un super vecteur et que ce n’est pas juste du divertissement ! Pourquoi toutes les armées du monde ont un tambour ? Pourquoi tous les pays du monde ont un hymne national ? La musique fédère, elle est faite pour être collective, c’est un vrai lien social et c’est une vraie respiration pour les gens, donc, ce n’est pas anodin. On ne peut pas laisser le paysage audiovisuel s’appauvrir et se standardiser et devenir complètement stérile et enfermé et en même temps, être progressiste par exemple politiquement dans ses idées ! Il ne faut pas être archaïque en musique et être progressiste en politique, ce sont deux choses qui vont ensemble ; moi, j’ai du mal à séparer les deux. Quand je fais de la musique, c’est comme si j’écris un article pour les gens, je leur parle en permanence.

La musique Gnaouie, c’est un exemple réel dans l’histoire de contre fatalité

Votre musique est toujours aussi contestataire qu’il y a 25 ans. Vous avez toujours cette énergie du gnaoui libertaire ?

Oui, le fond même de cette musique est contestataire, je pense qu’on essaie d’escamoter cela et de ne montrer que le côté folklorique, religieux, soufi ou zaouia, … J’ai souvent demandé à des gnaouis de m’expliquer le sens des textes dans les morceaux qu’ils jouaient et ils me répondaient qu’ils l’ignoraient ! Je pensais que c’était probablement à cause de leur analphabétisme ou bien d’un manque de transmission. Quand je suis allé à Cuba et travaillé avec des musiciens afro-cubains qui jouaient de la musique autochtone (un peu l’équivalent de la musique gnaoua, avec la même structure, les voix, les choeurs, percussions, …), je leur ai aussi demandé le sens de certains mots africains qu’il y avait dans leur musique ; eux aussi, ils en ignoraient le sens ! Puis, quelqu’un m’a expliqué que ces chants-là étaient subversifs et qu’ils étaient faits pour contester le blanc en face. En fait, on lui chantait en face le refus de la féodalité ! Du coup, on ne leur a pas traduit la signification des mots pour qu’ils ne se fassent pas massacrer par leurs maîtres. Ils leur ont donc appris les chants avec une intensité et une rage de liberté,… d’ailleurs, le cri du gnaoui, correspond à cela : « 3iyat », c’est un cri de liberté, et c’est cette intensité là qu’ils ont gardé.

Est-ce que le cri du gnaoui résiste toujours en France avec les malheureux événements qui se sont produits récemment ?

C’est un peu difficile de résister à un rouleau compresseur de cette taille, avec juste de la musique mais je pense que ce n’est pas encore la fin du monde, ce n’est pas pour demain. Je pense qu’il ne faut pas baisser les bras, et même si le rouleau compresseur est de plus en plus gros, il faut que des voix discordantes s’élèvent de toute part. C’est un tout, et donc, oui, le gnaoui a son rôle à jouer là-dedans, dans la résistance bien sûr, parce qu’il est un des porte-voix, mais une seule main n’applaudit pas !

Des projets ?
On prépare un album avec Gnaoua qui verra le jour dans un an, j’ai un autre projet algéro-cubain que j’ai monté avec les latinos autour de la musique afro-cubaine, c’est une espèce de réécriture de morceaux cubains en arabe, ça va sortir vers la fin de l’année, vu qu’on a déjà enregistré la moitié de l’album. Puis, j’ai un projet solo avec quelques chansons que je suis en train de mettre en forme, sur le thème de le milieu carcéral, ce sera essentiellement des chansons de prison, des textes, de poèmes de prisonniers, et ce projet va être dans la foulée des deux premiers.



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Coopération : La CGEM reçoit une délégation ghanéenne

Le Maroc et le Ghana dynamisent leur coopération économique pour faire évoluer les échanges commerciaux en investissements industriels.

Une délégation ghanéenne conduite par la ministre des Affaires étrangères Shirley Ayorkor Botchway a été reçue ce samedi au siège de la CGEM lors d’une réunion de travail afin de renforcer la présence des entreprises marocaines au Ghana et d’initier des joint-ventures.

Une incoming-mission d’opérateurs économiques Ghanéens est prévue avant la fin de l’année pour présenter aux opérateurs marocains les potentialités d’investissement au Ghana.



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La longue nuit se prolonge

Jamal Berraoui

Jamal Berraoui

Si vous avez un peu de temps, suivez ce qui se dit sur Al Jazeera et Al Arabiya. Vous n’en saurez pas plus sur les vraies raisons du conflit dans le Golfe persique, puisque tous les pays concernés soutiennent des groupes armés, en Syrie, au Yémen, en Lybie, ou ailleurs. Mais vous apprendrez beaucoup sur la nature de ces sociétés.
Il n’y a aucune voix dissonante, cela on peut s’y attendre. Mais la violence du discours est inimaginable. Sur Al Jazeera, on parle de « L’organisation des deux Mohammed », comprenez les deux princes héritiers des Emirats et de l’Arabie Saoudite, pour placer ces deux pays de l’autre côté du « groupe de Tamim ». De grands académiciens, analystes, etc. expliquent à répétition que leur camp est le bien absolu.
Ce corsetage sur les médias est envisageable pour des régimes autoritaires, et même dictatoriaux, ce qui est le cas. Mais que dire de la société civile ? Des associations de droits de l’homme qui prennent fait et cause pour leur pays, dans un conflit de cette nature, c’est inimaginable et c’est pourtant le cas. Il y a donc un chauvinisme exacerbé. Quand vous entendez un journaliste dire
« Si nous voulions changer le régime Qatari, ce serait plus facile que de boire de l’eau. Ils ne sont que 200.000 », ou un académicien qatari affirmer : « Les Dabiani (Abu Dhabi) nous connaissent, nous les avons écrasés au 17e siècle », vous vous dites la guerre est proche, mais pas du tout.
Il n’y a pas une seule voix, qui calmement, resitue la région dans la géopolitique internationale : Trump veut une grande alliance contre l’Iran, mais son administration tient à son alliance avec le Qatar. On oublie que la base US dans ce pays est la plus importante dans la région. L’ancien dirigeant de la CIA a avoué que le Qatar a reçu les Talibans et les Hamas à la demande des Américains. Dans le jeu d’équilibriste du Qatar, il y a la bienveillance US, mais aussi italienne. Les USA ne veulent pas d’une stabilisation du Qatar, même si les Al Thani sont coutumiers des successions précipitées. Ils se sont empressés de signer un accord sur la lutte anti-terroriste avec Doha, pour désannoncer la crise.
Le Golfe est une région importante sur l’échiquier par ses réserves pétrolières, mais aussi par sa position. Nul ne veut la voir déstabilisée. En plein Printemps arabe, l’Europe a fermé les yeux sur l’intervention au Bahreïn pour mater les chiites. L’embargo sera levé, ce n’est qu’une question de temps et de formule à trouver pour satisfaire les égos.
Resteront les blessures et elles sont graves. Des familles ont été séparées, l’Egypte a renvoyé des étudiants et même des malades qataris. Des instances religieuses ont été impliquées des deux côtés avec des fatwas ridicules. Ces séquelles, dans des sociétés tribales, perdureront longtemps.
L’argument du soutien au terrorisme, en y incluant les Frères musulmans et le Hamas, lève une partie du voile. Ce qui est en jeu c’est la reconfiguration du Moyen-Orient avec une Egypte affaiblie par al-Sissi qui serait à la remorque de Ryad. Cet ensemble, pour contenir l’Iran, devra s’entendre avec Israël. La question palestinienne passe à la trappe. C’est un vieux projet américain qui est en marche. Les peuples dans ces contrées n’ont pas droit au chapitre. Mais les dirigeants, même jeunes et fougueux, ne sont pas tout à fait libres, car les grandes puissances veillent.



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Un casque bleu marocain tombe en Centrafrique

Un casque bleu marocain de la Minusca, la mission des Nations Unies en Centrafrique, est décédé hier dimanche lors d’une attaque contre un convoi militaire onusien à Bangassou. 3 autres soldats marocains ont été blessés lors de l’embuscade selon le communiqué de la Minusca.

Au mois de mai dernier, 2 soldats marocains de la paix ont perdu la vie durant une pareille attaque dans la même localité sud-est du pays.



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Libre cours

Il est clair que Abdelilah Benkirane peine à vivre et à se mouvoir en dehors de l’Institution du chef du gouvernement. Et c’est tout à fait humain. Tous les hauts responsables et les grands commis de l’Etat, les ministres et les chefs de gouvernement connaissent, après leur débarquement, le syndrome post traumatique sous forme de dépression ou de déprime qui s’ensuit. Les plus émotifs, comme l’actuel président de la Cour des comptes, Driss Jettou, qui a versé quelques larmes au moment de quitter la primature, le montrent.
J’ai vécu une phase similaire avec Mhammed Boucetta quand il quitta en 1985 les Affaires étrangères pour retrouver pleinement son poste et son rôle de secrétaire général de l’Istiqlal et renouer avec les militants et les visites des sections. Il n’avait plus goût à rien. Mais généralement on se rétabli plus ou moins vite. Selon le caractère de chacun. Abdelilah Benkirane n’échappe pas à cette règle. Sa piété supposée, je dis supposée parce que je ne suis pas Dieu pour juger, et sa religiosité affichée devraient normalement le mettre à l’abri des effets de manque que crée le sevrage des honneurs et des apparats du pouvoir. Ce qui reste à prouver. Autrement il ne serait pas l’homme en chair et en os qu’il est, mais l’ange qu’il aurait aimé incarner.

Un moment il s’est isolé. A commencé à bouder les réunions du secrétariat général de son parti dont officiellement il est encore le patron. Il est allé aussi au petit pèlerinage, la Omra, se refaire une santé religieuse et faire son plein de foi. Pour un islamiste, il n’y a pas mieux pour se requinquer. Puis, petit à petit, comme l’oiseau de l’adage, il a entamé son retour. Une apparition par-ci, une déclaration par-là, une insinuation au passage. Son message s’adresse, entre autres, aux conseillers du Roi. En creux il les implique dans ses malheurs.
Dans ses propos on déchiffre une note d’amertume. Contre les siens d’abord. Une autre manière de dire : Dieu préserve-moi de mes amis, quand à mes ennemis…
Entre les lignes on sent le goût de la déloyauté. Ne sait-il pas qu’en politique loyauté et trahison ne sont que le revers l’un de l’autre. Un jour, promet-t-il, il parlera. Traduction : Je
suis encore là, et bien mieux, il se peut que je reste. D’ailleurs personne ne lui a demandé de partir. Certains de ses amis n’en pensent pas moins probablement, mais de là à le pousser clairement vers la sortie, ils savent pertinemment que c’est la meilleure façon de se le farcir pour un troisième mandat. D’ailleurs c’est la voie qu’il semble vouloir emprunter quitte à modifier les statuts de son parti, pratique courante des organisations politiques bananières très courantes dans le paysage partisan marocain où le PJD, sur ce point, faisait exception. Mais la banalisation est un mal qui guette tout le monde. Et rien n’indique que Abdelilah Benkirane n’a plus d’avenir. Dans sa tête il se projette même en homme providentiel.



via Abdo El Rhazi Libre cours

IT : Les opérateurs marocains en visite à Lagos

Une délégation marocaine a récemment séjourné à Lagos dans le cadre d’une mission de préparation pour examiner le plan d’actions promotionnelles entre le Maroc et le Nigeria.

Composée par “Maroc Export” et la Fédération des Technologies de l’Information, des Télécommunications et de l’Offshoring, la délégation s’est rendue à Lagos afin de rencontrer des institutions publiques et privées nigérianes en vue d’examiner le plan d’action et les potentialités qu’offre ce pays.

Par ailleurs, le Nigeria sera avec le Cameroun invité d’honneur du salon AITEX en septembre à Casablanca.



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Tour BMCE BOA : Le contrat de construction signé

Le groupe BMCE Bank of Africa a signé ce jeudi un contrat de construction de la Tour de Rabat Bouregreg, avec le groupe chinois China Railway Construction Corporation International et le Groupe marocain TGCC.

Bâtie sur 250 mètres et composée de 55 étages, la tour sera la plus haute d’Afrique avec des composantes hôtelière et résidentielle ainsi que des bureaux.

La banque panafricaine ambitionne de faire de cette tour une icône marquante dans les paysages urbain, économique, culturel et touristique du Maroc.



via Abdo El Rhazi Tour BMCE BOA : Le contrat de construction signé

Friday, July 21, 2017

“Ahmad Slieman Center” ouvre ses portes à Casablanca !

Après Rabat et Tanger, l’expert libanais en cheveux vient d’inaugurer son nouveau centre à Casablanca.
Nouvellement introduite au Maroc, la nouvelle gamme révolutionnaire de soins capillaires « AS Hair Care » (shampoings rajeunissants, masques nutritionnels,…) y est proposée pour le traitement personnalisé et la repousse naturelle du cuir chevelu. « Les cheveux se régénèrent et retrouvent en 45 jours toute leur énergie, beauté et vitalité », nous explique Ahmed Slieman.
Utilisant les ingrédients de l’Orchidée amazonienne, avec la technologie de pointe américaine, AS HAIR CARE pénètre les cuticules des cheveux et régénère la racine et le cortex. Il permet ainsi à vos cheveux d’avoir un aspect naturel, soyeux, brillant et sain en réparant, en guérissant et en restructurant les cheveux.

Les ingrédients actifs dans la formule sont extraits de sources naturelles et ne contiennent pas de formaldéhyde ou de kératine ajoutée. AS HAIR CARE réactive et reconstruit la propre kératine naturelle des cheveux, traite le cuir chevelu et régénère la molécule capillaire dans le processus. En raison des ingrédients doux, aucun masque n’est nécessaire et les cheveux peuvent être lavés, teints et enroulés immédiatement après le traitement.

Des masques protecteurs à base de caviar sont également proposés contre les agressions du cheveu par l’eau de la mer et de la piscine. Idéals pour la saison estivale !

Adresse : 392 Bd Bourgogne N°20 (Acima Lahjajma)
Tél : 05 22 94 06 91



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L’ORÉAL Maroc s’engage dans sa 8e édition du « Citizen day »

Depuis sa création, le Citizen Day, journée solidaire de L’Oréal, est devenu le symbole d’une beauté généreuse et engagée. Véritable rendez-vous annuel, il permet à tous les collaborateurs de se mobiliser pour une cause unique d’intérêt général : agir pour le bien des communautés fragilisées. La manifestation qui s’est déroulée le vendredi 14 Juillet a mobilisé près de 140 collaborateurs de L’Oréal Maroc, avec pour claim : We Are All Citizens!

Pour sa 8e édition, L’Oréal Maroc a choisi de s’associer à l’AMH, Amical Marocaine des Handicapés, intervenant dans les domaines de la santé, de l’autonomie, de l’éducation et de la formation. Fondé en 1992 et reconnu d’utilité publique, le Groupe AMH développe le secteur de la rééducation physique et fonctionnelle au Maroc et facilite l’accès aux services de santé ; agit pour le maintien de l’autonomie et de la participation sociale des personnes en situation de dépendance et développe des programmes scolaires et de formations innovants et accessibles à tous. Agir, créer, y croire, c’est l’ambition du Groupe AMH.

C’est dans le Centre Noor, pionnier dans le secteur de la rééducation et réadaptation fonctionnelle, que s’est déroulée cette édition. Plusieurs ateliers (création personnage 3D, décoration de fruits, percussion, peinture, théâtre, beauté et bien être) ont été organisés avec des objectifs individuels, mais un objectif commun: apporter à ces personnes en situation de handicap, de la joie et de la bonne humeur le temps d’une journée.

Tous les ateliers ont fait l’objet d’une représentation en fin de journée sur une scène installée au hall du centre Noor. La journée fut clôturée par un gouter buffet, des produits en cadeaux, et beaucoup d’émotions.

« Le Citizen Day s’inscrit dans une dynamique internationale où plus de 20 000 collaborateurs se mobilisent chaque année dans près de 70 pays, pour donner aider les autres car l’ambition d’une entreprise doit être aussi de créer de la valeur sociale et sociétale et c’est une fierté pour tous les salariés de L’Oréal Maroc de s’inscrire dans cette dynamique » souligne Loufia Akki, Directrice des Ressources Humaines de L’Oréal Maroc.

Un très bel élan de solidarité s’est également prolongé sur les réseaux sociaux, via les hashtags #citizenday #weareloreal, et un compte instagram @lorealcitizenday qui a permis d’immortaliser ces moments riches en émotionet de suivre les Citizen Days des différentes filiales, mais aussi aux collaborateurs de partager, en temps réel, des milliers de photos.

« Nous sommes très fiers que nos collaborateurs se soient mobilisés lors du Citizen Day dans un esprit de partage et d’ouverture vers les communautés dans lesquelles nous évoluons » a déclaré Philippe Raffray, Directeur Général de L’Oréal Maroc.



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Les revenants de Daech : une sérieuse menace pour tous les pays

 

Grand entretien avec
ABDELHAK EL KHAYAM
Directeur du Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ)

Les terroristes marocains et ceux d’autres nationalités ayant combattu pour Daech, sont aujourd’hui contraints à la fuite de la zone syro-irakienne. Ils représentent une menace sérieuse. Explications.



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Agriculture : Le Ghana sollicite l’expertise marocaine

Le Ghana sollicite l’expertise et l’accompagnement du Maroc en matière de développement agricole.

C’est ce qu’a révélé la ministre ghanéenne des Affaires étrangères, Shirley Ayorkor Botchway, suite à sa rencontre ce jeudi à Rabat avec le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Aziz Akhannouch.

2e producteur mondial de cacao, le Ghana veut renforcer son agriculture afin de diversifier son économie.



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Médiation : Le Maroc et le Niger se rapprochent

Le Maroc et le Niger renforcent leur coopération dans le domaine de la médiation avec la signature ce mercredi à Rabat d’un accord de partenariat entre l’institution du Médiateur du Royaume et l’institution du Médiateur de la République du Niger.

Les 2 institutions vont collaborer en matière d’échange des plaintes formulées par des personnes victimes de décisions ou d’activités administratives à travers l’organisation d’activités de formation et d’encadrement et des visites d’étude.



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Al-Hoceima – Des heurts et de nouveaux blessés dans les rangs des manifestants et des forces de l’ordre

De nouvelles manifestations, non officiellement autorisées, ont eu lieu, hier vendredi 20 juillet 2017 à Al-Hoceima, malgré les messages préventifs et l’appel au calme lancés par les autorités et par le gouvernement. Comme on pouvait s’y attendre, des heurts ont eu lieu entre forces de l’ordre et manifestants. Il y a eu des blessés dans les deux camps. Parmi eux, un gendarme et un policier se trouvent dans un état grave et ont été évacués de l’hôpital Mohammed V d’Al Hoceima où ils recevaient les soins nécessaires, vers un hôpital de Rabat, ont indiqué aujourd’hui des autorités locales de la province d’Al Hoceima.
Les deux éléments ont été blessés jeudi, au niveau de la tête des suites de jets de pierres lancées par certains manifestants, selon la même source.
De nouvelles interpellations ont eu lieu.



via Abdo El Rhazi Al-Hoceima – Des heurts et de nouveaux blessés dans les rangs des manifestants et des forces de l’ordre

Thursday, July 20, 2017

Grand Entretien avec
Rudolph Atallah
Membre du Think Tank américain Atlantic Council
Ancien directeur au Pentagone de la lutte anti- terroriste en Afrique

Réalisé en marge de la Conférence annuelle sur la paix et la sécurité en Afrique (APSACO) organisée par OCP Policy Center les 10 et 11 juillet 2017 à Rabat.



via Abdo El Rhazi

Macron-Trump Le deal gagnant-gagnant

Ahmed Charaï

Emmanuel Macron a eu raison d’inviter Donald Trump le 14 juillet. Le Président français, qui a affiché les divergences sur le climat avec le locataire de la Maison Blanche, a inscrit cette invitation dans une profondeur historique qui peut accoucher d’un nouveau partenariat stratégique. Il y a un siècle, de jeunes américains ont offert leur sang, sacrifié leurs vies, pour inverser le cours de la première guerre mondiale et défaire l’Allemagne. Alors qu’à ce moment-là, la guerre devenait de plus en plus meurtrière, inhumaine et que l’équilibre des forces était rompu suite au retrait des Russes du conflit. C’est à l’honneur de la France que d’afficher cette reconnaissance, cette gratitude, mais « il n’est d’histoire que contemporaine », comme disait le philosophe italien Benedetto Croce. En invitant Trump dans le faste et l’imposante histoire de la France, Emmanuel Macron a fait un acte politiquement habile. Il recentre le débat autour d’une alliance, non pas factuelle, mais universaliste autour de valeurs. La France est engagée, aux côtés des USA parfois, seule en Afrique, contre les groupes terroristes et cela demande des efforts budgétaires énormes. Croire que l’on peut se passer des Etats-Unis dans ce combat, au nom des divergences sur le climat, est une indigence intellectuelle. Donald Trump est imprévisible, certes, mais il dirige un État qui est la première puissance mondiale, qui a une administration très forte, avec une continuité remarquable. Ce que Macron propose, c’est un contrat gagnant-gagnant, en assumant les divergences. Les deux pays se retrouvent sur les situations « chaudes » au niveau international. Macron a évolué sur la Syrie. Les deux veulent renouer avec Poutine, par réalisme politique. La France a besoin du soutien des USA, surtout après le Brexit. L’Allemagne est un géant économique, mais nain politique, puisque sans capacité de projection en dehors de ses frontières. Les USA ont tout intérêt à trouver un allié sûr, engagé sur les questions internationales. En Afrique, c’est la France qui porte tout le fardeau. Or, Donald Trump, homme d’affaires, sait que ce continent est la promesse de la croissance future de l’économie mondiale. Les USA sont timidement impliqués. La situation est complexe. La lutte contre le terrorisme, les flux migratoires font la Une. Mais en réalité, ce continent qui recèle d’extraordinaires potentialités, réalise des avancées en matière de démocratie et de bonne gouvernance. C’est sur ces deux pieds qu’il faut marcher. Derrière, il y a l’idée du co-développement. Macron et Trump ne peuvent pas nier cette évidence, qui n’est pas une contrainte, mais une opportunité pour leurs entreprises. Il se trouve que le Roi du Maroc porte ce plaidoyer depuis plus d’une décennie. En visitant Rabat au début de son quinquennat, Emmanuel Macron a explicitement exprimé son soutien à cette vision. On peut donc s’attendre à une nouvelle vision, réaliste, volontariste où l’alliance Washington-Paris-Rabat pèsera, au profit des populations et non pas avec l’unique réflexe sécuritaire.



via Abdo El Rhazi Macron-Trump Le deal gagnant-gagnant

Les Parlements africains en conclave à Rabat

Les travaux de la 70e session du comité exécutif de l’Union Parlementaire Africaine s’ouvrent à Rabat.

Les parlementaires africains se pencheront durant les 2 jours de travaux sur l’ordre du jour de la 40e conférence de l’Union et celui de la prochaine session du comité exécutif.

L’institution panafricaine compte 40 Parlements nationaux comme membres et plusieurs pays observateurs et a pour objectif de renforcer le dialogue et la coopération entre les Parlements Africains.



via Abdo El Rhazi Les Parlements africains en conclave à Rabat

Le Maroc ouvrira son ambassade en Zambie

Visite royale Zambie

Le Maroc aura son ambassade à Lusaka, la capitale de la Zambie, c’est ce qu’a annoncé la secrétaire d’Etat marocaine aux Affaires étrangères, Mounia Boucetta à la presse locale suite à sa rencontre ce mercredi avec le ministre zambien des Affaires étrangères.

Pour la diplomatie zambienne, cette ouverture d’une représentation diplomatique va renforcer l’intégration continentale du Maroc dans la région australe de l’Afrique.



via Abdo El Rhazi Le Maroc ouvrira son ambassade en Zambie

Wednesday, July 19, 2017

CEDEAO : Une ONG ivoirienne dit “Akwaba” (bienvenue) au Maroc

L’ONG ivoirienne dénommée “l’Entreprise de Paix” a entamé depuis le 8 juillet une campagne de sensibilisation sur le processus d’adhésion du Maroc à la CEDEAO.

Baptisée “CEDEAO : Akwaba Maroc !”, l’initiative vise à sensibiliser et à mobiliser les populations ivoiriennes et ouest-africaines autour des enjeux et perspectives de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO et également sur les enjeux de l’intégration africaine et les risques liés à l’immigration clandestine.

Après la Côte d’Ivoire, l’ONG sillonnera d’octobre à décembre prochains plusieurs pays de la sous-région dont le Nigéria, le Sénégal, le Burkina Faso, le Ghana, le Mali, le Bénin et le Togo.



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Le Football africain en conclave au Maroc

Le Symposium international sur le football africain s’est ouvert ce mardi à Skhirate avec la participation du président de la FIFA Gianni Infatino et du président de la CAF Ahmad Ahmad.

Le Roi Mohammed VI a adressé un message aux participants délivré par le ministre de la jeunesse et des sports Rachid Talbi Alami dans lequel le Souverain souligne que l’avenir de l’Afrique est tributaire de la mise à niveau de sa jeunesse, de la nécessité d’ouvrir à celle-ci des perspectives favorables à l’expression de ses potentialités et de la capacité à assurer son insertion.

Après les 2 jours de travaux du symposium, la CAF tiendra à Rabat la réunion de son Comité exécutif et une Assemblée générale extraordinaire.



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Tuesday, July 18, 2017

Une nouvelle agence RAM à Dakhla

Royal Air Maroc a inauguré, le 17 juillet 2017, sa nouvelle agence commerciale à Dakhla. La compagnie a finalisé la rénovation complète de l’agence (105m2) située au centre-ville sur Rue Imlil, Hay Al Matar, qui regroupe les grandes enseignes commerciales et administratives de la ville.
«La rénovation de l’agence commerciale de Dakhla s’inscrit dans le cadre de notre stratégie centrée autour du client. Elle vise à offrir un espace d’accueil et de partage à même de nous permettre de déployer un service personnalisé à destination de nos clients. Notre principal objectif est d’être encore plus proche de nos clients, et d’apporter des solutions efficaces à leurs besoins. Enfin, cette nouvelle agence de Dakhla fait aussi partie de notre programme de développement dans nos provinces du Sud, via une plus grande connectivité aérienne et des points de vente modernes au service de nos concitoyens», précise Abdelhamid Addou PDGl de Royal Air Maroc.
Dakhla représente l’une des routes aériennes phares de la compagnie au niveau du transport domestique. La compagnie offre 16 fréquences hebdomadaires reliant cette ville à trois aéroports du Royaume, en l’occurrence Casablanca (avec 8 fréquences), Agadir (4 fréquences) et Laayoune (4 fréquences). La route aérienne Casablanca-Dakhla sera renforcée par deux fréquences hebdomadaires supplémentaires à compter de septembre prochain.



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L’ONEE lance l’opération « Plages Propres 2017 »

Pour la 18e saison consécutive, l’ONEE poursuit son programme d’actions de sensibilisation à la préservation de l’environnement dans les 9 plages parrainées par la Branche Electricité. Ces actions s’inscrivent dans le cadre de l’opération « Littoral Durable » lancée par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement (FM6E) pour la mise à niveau environnementale continue du littoral national.
Partenaire des opérations « Plages Propres » depuis leur lancement en 1999, puis du « Littoral Durable », nouvelle vision de la Fondation depuis 2014, l’ONEE mène ses campagnes dans les sites balnéaires de Moussafir, Oum Lbouir et Lakhira à Dakhla, Aglou à Tiznit, El Oualidia, Ain Diab à Casablanca, Zenata, Mehdia et Moulay Bouselham.
Avec comme objectifs l’amélioration de la qualité des installations, l’hygiène et la propreté des plages, l’ONEE axe ses actions autour de :
– la sensibilisation des différents acteurs ;
– la mise en place d’infrastructures de base ;
– la sécurité et la couverture sanitaire ;
– l’hygiène et la propreté des plages ;
– l’animation des plages.
L’ONEE met en œuvre tout un programme d’actions très riche avec des moyens et canaux diversifiés (sports de plage, ateliers pédagogiques, événements culturels et artistiques), durant toute la saison estivale afin de permettre à plus de 500 000 estivants par jour de bénéficier d’un été agréable et ludique tout en contribuant à la préservation de leur environnement.



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Le Roi Mohammed VI  : « L’avenir de l’Afrique est tributaire de la mise à niveau de sa jeunesse »

Le Roi Mohammed VI a adressé un message aux participants au symposium international organisé, ce mardi 18 juillet 2017 à Skhirate, avec comme thème central : « Football africain, notre vision ».
Extraits :
– « Si Nous avons tenu à conférer Notre Haut Patronage à cette rencontre africaine majeure, ce n’est pas uniquement en raison de la place que nous réservons à l’Afrique dans nos cœurs, et pour les liens de fraternité, de solidarité et de coopération qui nous unissent à ses peuples. C’est aussi parce que Nous sommes fermement convaincu que l’avenir de l’Afrique est tributaire de la mise à niveau de sa jeunesse, de la nécessité d’ouvrir à celle-ci des perspectives favorables à l’expression de ses potentialités, et de la capacité à assurer son insertion ».

– « (…) Le développement de la pratique sportive, toutes branches confondues, et du football en particulier, est l’un des préalables essentiels pour renforcer les compétences des jeunes, assurer leur insertion dans leur environnement socio-économique et accroître leur immunité contre toute forme de déviance et d’extrémisme. Le but ultime est de les dissuader de risquer leur vie et de compromettre leur avenir en empruntant le chemin de l’immigration illégale.

Le football est un ensemble de principes et de valeurs, avant d’être un sport, où, d’ailleurs, il n’est pas question uniquement de titres à remporter. En effet, la finalité du football est d’aiguiser chez les pratiquants le sens du fair-play et du travail d’équipe et de leur inculquer l’esprit de compétition loyale. Il vise aussi à renforcer l’ouverture, l’entente et le rapprochement entre les peuples ».

– « Le football africain est appelé, aujourd’hui plus que jamais, à relever les défis de rénovation et de modernisation qui se posent à lui, et à se mettre au diapason des évolutions accélérées du sport mondial.
Cet objectif ne pourra être atteint que par l’ancrage de la bonne gouvernance au sein des organes de gestion, l’amélioration qualitative de la formation, le développement des infrastructures et la mise en place des conditions d’accès au monde du professionnalisme. Il importe aussi de renforcer les outils de commercialisation du produit footballistique africain et de trouver un équilibre entre le développement d’un football d’élite et le football de masse ».



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Le Greenbloom

Les bienfaits du healthy, la finesse de la gastronomie, la beauté d’un lieu !

Situé à Casablanca en plein coeur de Gauthier, un des quartiers prisés de la ville blanche, Le Greenbloom a officiellement ouvert ses portes pour un voyage culinaire emprunt d’expériences nouvelles et de découvertes inédites, le tout dans un cadre architectural recherché.

Une nouvelle adresse, un restaurant dédié aux fins gourmets à la recherche d’une fine cuisine semi-gastronomique saine alliant gourmandise, fraîcheur et une sélection pointue de produits au service de votre palet et de votre santé.

Un décor qui s’inspire de la nature et qui fait appel à plusieurs éléments, mélangeant dans une parfaite symbiose la noblesse du bois et la force du fer.

Etabli sur deux niveaux et proposant plusieurs espaces, l’ambiance cosy et chaleureuse qui y règne vous transportera dans un univers de bien-être pour des instants de partages culinaires si singuliers propres aux lieux.

Bien plus qu’un espace de restauration au concept healthy, le Greenbloom c’est une philosophie, un mode de vie à adopter au quotidien. Sa carte semi-gastronomique est signée Rachid Maftouh. Une cuisine tout aussi fine que gourmande où chaque bouchée est une ode aux trésors que nous offre la nature avec ses fruits, ses légumes et ses plantes que le Greenbloom vous fera redécouvrir au travers des plats sains et gourmands à base de produits bio fraîchement cueillis selon la saison avec une sélection de plats sans gluten.

Les petits-déjeuners à thèmes sont proposés selon les besoins et envies de chacun, puisque tout a été pensé pour que votre corps retrouve tonus, force, énergie et vitalité en mangeant sain et gourmand dès le petit matin.

Pour le déjeuner, une sélection variée de plats vous sera proposée selon votre choix, que vous soyez fins amateurs de viandes ou de poissons, cuisinés au four ou grillés…
Adresse : 24 rue Mustapha El Manfalouti



via Abdo El Rhazi Le Greenbloom