Wednesday, September 30, 2015

Salon MOROCCO AUTOMOTIVE

Morocco Automotive

‘Du 30 Septembre au 02 Octobre 2015 à  l’Office de Changes de Casablanca « CICEC »‘

Ce salon à caractère international s’adresse aux professionnels de l’industrie automobile au Maroc avec un objectif majeur, celui de contribuer au développement de l’investissement, de la représentation ainsi multiplier les opérateurs qui vont accompagner les unités de production automobile présentes au Maroc  «  Renault et Somaca » aussi les unités en cours d’installation « Peugeot et Ford ».

L’exposition a pour mission la création d’un espace d’échange et de rencontre entre les différentes cibles du secteur de l’automobile nationales et internationales.

MOROCCO AUTOMOTIVE a pour mission le développement, la représentation et l’investissement dans le secteur automobile à l’échelon national et continental ;

Au programme : Expositions, Rencontres B2B, conférences, workshop. Ces activités permettent à l’ensemble des participants exposants et visiteurs de développer leurs activités commerciales entre professionnels du secteur nationaux et étrangers et notamment nouer des relations avec un grand nombre d’exposants présents sur 4000m², dont plus que la moitié de la superficie est déjà occupée par des exposants marocains et étrangers de provenance de la Chine, la Turquie, l’Inde, la Thaïlande, la Roumanie, la Belgique…

Ce salon à caractère international s’adresse aux professionnels de l’industrie automobile au Maroc. De ce fait, nous serons honorés de vous compter parmi nous lors de cette exposition qui a pour objectif de contribuer au développement des taux d’échanges internationaux de l’industrie automobile au Maroc.



via Abdo El Rhazi Salon MOROCCO AUTOMOTIVE

Un marathon pour la scolarisation d’enfants en situation de handicap mental

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, ce marathonien pour la bonne cause âgé aujourd’hui de 55 ans, avait réussi une carrière de footballeur professionnel au FC Metz, avant de tourner vers la course de fond et le marathon.

Moustapha Fikri mérite tous les honneurs. Rendez-vous donc le 6 octobre à Tanger puis le 11 octobre à Casablanca pour l’applaudir chaleureusement.

Il faut savoir que chaque km qu’il parcourt est en vente à 10€, 10Chf ou 100DH, selon les pays traversés, et la somme collectée sera versée à l’association Anaïs dans son intégralité par l’intermédiaire de l’association Equipe du cœur. Ces recettes serviront, essentiellement, à la création et financement d’une nouvelle classe dédiée à la prise en charge psychopédagogique de 10 enfants en situation de handicap mental au sein de notre structure à Ghandi dont le budget annuel est de 300.000 DH, précise l’Association Anaïs.

Pour en savoir plus sur L’Equipe du cœur

 

Carte de visite

Anaïs, association nationale pour l’intégration des personnes en situation du handicap mental, est une ONG à but non lucratif, reconnue d’utilité publique.

Crée en février 1991, Anaïs œuvre à la prise en charge psychopédagogique de personnes porteuses d’handicap mental léger ou moyen, particulièrement celles porteuses de la trisomie 21 par leur intégration sociale, scolaire et professionnelle en milieu ordinaire ou adapté.

Pour plus dinfos : www.anais-maroc.ma



via Abdo El Rhazi Un marathon pour la scolarisation d’enfants en situation de handicap mental

L’African Cristal Festival- 3e édition

african

‘Du 30 septembre au 2 octobre à Marrakech’

« La contribution de l’industrie des medias et de la publicité dans le développement de l’Afrique »

La 3e édition de l’African Cristal Festival organisée sous le thème « La contribution de l’industrie des medias et de la publicité dans le développement de l’Afrique » regroupera les plus grands experts africains et internationaux de l’industrie de la communication et des médias, agences et annonceurs confondus.

300 professionnels (Responsables politiques, Dirigeants d’agences de publicité, d’agences média, patrons de médias et de régies publicitaires. Producteurs et prestataires techniques du secteur de la publicité, sociétés d’études ou d’audits, marques : directeurs marketing et de la communication marocains et internationaux) viendront débattre, apprendre et s’inspirer grâce aux conférences et aux compétitions



via Abdo El Rhazi L’African Cristal Festival- 3e édition

Maroc/Pays-Bas : Accord sur les allocations sociales

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Après de rudes négociations, le Maroc et les Pays-Bas se sont enfin entendus sur un accord concernant la question des allocations sociales.

L’accord prévoit, selon le ministère néerlandais des Affaires sociales, de nouvelles propositions de la part du gouvernement néerlandais et une période de transition plus longue pour la mise en œuvre des amendements convenus.

Les bénéficiaires actuels des prestations sociales ne sont pas concernés par les nouvelles règles, elles s’appliqueront aux nouveaux requérants à partir du 1er janvier prochain. De plus, à partir de 2021, les ressortissants marocains vivant aux Pays-Bas ne pourront plus bénéficier des prestations familiales pour les enfants vivant au Maroc.

 

Ces allocations concernent les veuves, les enfants et celles relatives à l’invalidité partielle (WGA) ou à l’arrêt de maladie en fonction du niveau de vie du pays de résidence.



via Abdo El Rhazi Maroc/Pays-Bas : Accord sur les allocations sociales

Le Maroc au Festival international de l’architecture de Prague

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‘Du 29 septembre au 4 octobre’

Une délégation conduite par le ministre de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire,  Driss Merroun prendra part à ce Festival, une occasion pour s’enquérir des nouvelles tendances architecturales en vogue dans le monde.

Accompagnée par Souriya Otmani, ambassadeur du Maroc en République Tchèque, la délégation participera à plusieurs activités notamment une conférence organisée par l’UNESCO sur l’architecture et rencontrera par la même occasion des responsables locaux et internationaux œuvrant dans le domaine de l’urbanisme.

Au menu également, un entretien entre D. Merroun et le ministre tchèque du développement régional, Karla Slechtova pour passer en revue les expériences marocaine et tchèque dans le domaine de l’urbanisme et l’aménagement du territoire.



via Abdo El Rhazi Le Maroc au Festival international de l’architecture de Prague

Morocco Solar Festival – 2e édition « L’or est dans le ciel »

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Patrick Bauer et Mehdi Alaoui Mdaghri

Evénement international dédié au Soleil et au développement durable des zones désertiques, le Morocco Solar Festival confirme son engagement et annonce sa 2e édition qui se déroulera du 16 au 18 octobre 2015 à Ouarzazate.

 

« Cet événement a toute la légitimité d’exister pour plusieurs raisons : pour célébrer le soleil, qui est un acteur important de la région, et pour tous les gens de Ouarzazate, c’est un rendez-vous festif, convivial, ludique et international, on l’espère dans le futur, pour les enfants, pour les petits et grands, pour la technologie… Je pense que les efforts fournis par l’équipe de l’organisation lors de la 1ère édition ont payé, et donc ça méritait de poursuivre l’aventure encore cette année, parce que rien ne se fait sans effort, il faut batailler et à force, on a de bons résultats. En plus, Mehdi et moi, on est des passionnés, c’est quelque chose qu’on a tenu à faire tous les deux, parce qu’on est à la fois des amis, des frères solaires et il y a un vrai bonheur de travailler ensemble », nous confie Patrick Bauer, co-fondateur, co-organisateur du festival et Organisateur du Marathon des Sables.

Grand public et gratuit, le Morocco Solar le Festival se veut une promenade artistique, festive, éducative et technologique en vue de promouvoir l’énergie solaire, présenter les nouveautés dans le domaine des énergies renouvelables tout en contribuant à l’essor et au développement durable de cette région. « Au début, c’était un rêve et puis ensuite, tout s’est mis en place petit à petit. La 1ère édition, c’était difficile, mais on a réussi à atteindre la 2e édition qui promet pleins de bonnes surprises notamment, le concert des musiciens de Paris (45 musiciens) avec Natasha Atlas. Ensuite, il y aura les ateliers éducatifs pour les enfants de la région, les ateliers artistiques, dédiés aux prototypes dans le cadre du village solaire à Ouarzazate. C’est une ville qui a besoin d’animation culturelle, ses habitants ont des potentiels incroyables,…c’est une nouvelle dynamique qui en train d’être impulsée à la ville (course des voitures solaires à Benguerir,…). Il y a une inventivité extraordinaire au Maroc et toutes ces inventions peuvent devenir des projets industrialisables, des applications pratiques. On n’a pas envie d’être un événement high-tech où on va présenter des maisons à 2 millions d’euros, le but, c’est de présenter l’utilité d’un four solaire qui va permettre de faire cuir le pain. Ce sont des applications low-tech pratiques et applicables qui donnent du sens au festival. Comment entre Marocains, on peut tirer de la richesse du solaire », nous explique Mehdi Alaoui Mdaghri, co-fondateur, co-organisateur du festival et Organisateur du Forum de la Mer.

4x4 électrique Acciona

Le Soleil, notre richesse…

Par la construction du Complexe Solaire Intégré Noor, Ouarzazate devient un acteur mondial majeur dans la production d’énergie solaire et alternative. En effet, d’ici la fin de l’année, la première tranche de la centrale solaire NOOR sera mise en service à Ouarzazate. Dans le sillage de ce projet industriel de dimension mondiale, le MOROCCO SOLAR FESTIVAL installera pour la 2e année consécutive son village solaire à Ouarzazate pour célébrer le grand astre. Au menu, un programme festif mêlant découverte d’engins solaires, conférences de niveau international, parcours ludo-éducatifs pour les enfants, fabrication de lampes solaires, ateliers de cuisine solaire, mais aussi des concerts exceptionnels et de nombreuses animations de rues dans la ville de Ouarzazate.

Un Festival grand public et gratuit qui fera rêver petits et grands le temps d’un week-end, pour démontrer une seule idée : l’or est dans le ciel !

Découvertes et émotions au programme

 

Le village du MOROCCO SOLAR FESTIVAL est un parc d’attraction dédié au solaire, où chacun pourra découvrir et expérimenter les énergies renouvelables de façon ludique et interactive.

Le rêve et l’émotion seront également au coeur de cette programmation. Des projections de films, spectacles de rues, ateliers musicaux et artistiques rythmeront le week-end. En point d’orgue, le samedi soir, un spectacle des musiciens de l’Opéra de Paris et autres Grands Orchestres sera un des temps forts du Festival.

Musiciens de l'Opéra de Paris- Oum & Amel DJELLOUL

Un festival ouvert à tous

Le MOROCCO SOLAR FESTIVAL s’adresse à tous les publics concernés par la découverte du potentiel du Soleil, source inépuisable d’inspiration et d’énergie. Tous les spectacles et activités proposés sont entièrement gratuits et ouverts à tous. 6 000 visiteurs sont attendus du 16 au 18 octobre.

 

Une première édition rayonnante

La première édition du MOROCCO SOLAR FESTIVAL s’est tenue en octobre 2014 à Ouarzazate. Fortement soutenue par MASEN et le Ministère de l’Environnement, cette première édition a eu lieu en présence de Hakima El Haite, ministre de l’Environnement et de Mustapha Bakkoury (Président du Directoire, MASEN) ainsi que de personnalités marocaines et internationales du monde du solaire et du développement durable : Said Mouline (Directeur Général, ADEREE), Raphaël Domjan (Eco-explorateur, PlanetSolar, SolarStratos), Albert Bosch (Pilote de la première voiture 100% électrique à participer au Dakar)…

Le premier MOROCCO SOLAR FESTIVAL a attiré près de 4 000 visiteurs qui se souviennent encore avec émotion du moment de grâce qu’ils ont vécu pendant le concert en plein air des 50 musiciens de l’orchestre de l’Opéra de Paris et autres grands orchestres, embrasé par un magnifique Hymne à l’Amour chanté en duo par Oum et la soprano algérienne Amel Brahim Djelloul.

 

Village du Soleil

Des partenaires de renom

 

Aux côtés de MASEN, partenaire stratégique principal de l’événement, de nombreux partenaires de premier plan soutiennent le MOROCCO SOLAR FESTIVAL : le Ministère délégué à l’Environnement, l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT), la Province et la ville de Ouarzazate, l’Agence Nationale pour le Développement des Energies Renouvelables et l’Efficacité Energétique (ADEREE), l’Office National de l’Eau et de l’Electricité (ONEE), l’Office National des Aéroports (ONDA), la Société d’Investissements Energétiques (SIE), ACCIONA, Acwa Power, Renault…

 

 

Suivez le Morocco Solar Festival sur le net :

http://ift.tt/1xmn3HF et http://ift.tt/1JCIbtY



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Les TIC se développent en Éthiopie 3 fois plus qu’au Maroc

CloudGlob Research a dévoilé récemment les résultats de l’enquête annuelle DSI Maroc ainsi que le premier rapport Clouds Maroc. Il ressort que le Maroc est encore à la traîne. «L’Égypte dépasse le Maroc en terme de mutation», commente Ouafae Kathir, directrice général Afrique du cabinet Glob Research. Ce cabinet international d’études et de recherches TIC a conclu, sur la base d’une enquête approfondie, que le marché du cloud au Maroc connaît une faible évolution. «Même si les entreprises sont conscientes de l’importance de ce service, elles restent encore peu nombreuses à y investir», précise Kathir. Et d’ajouter : «L’Éthiopie se développe 3 fois plus que le Maroc».

Scénario de rupture

Avant d’intégrer les ruptures technologiques majeures que sont la mobilité, le social collaboratif, le big data et le cloud, il va falloir s’attendre au Maroc à une transformation radicale, et opter pour un modèle Cloud sécurisé, qu’il soit hybride, public ou privé.

Les raisons de la réticence des Marocains par rapport au cloud sont multiples. L’un des freins est le souci de sécurité ressenti chez les entreprises marocaines. Celles-ci mettent en avant l’absence d’une loi qui protège leurs données. «Pourtant, le Maroc n’est pas le seul à ne pas être protégé par une loi qui protège les données à 100%», note la directrice du cabinet Glob Research. Des initiatives décisives sont attendues pour que l’élan du développement du cloud soit pris.

 



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Tuesday, September 29, 2015

LGV : L’ONCF se prépare à la pose des rails

LGV-ONCF

Les travaux des quatre gares LGV et la pose de 48 000 tonnes de rails pour le projet LGV démarreront dans quelques mois. C’est ce qu’affirme l’ONCF dans une vidéo faisant le point sur l’état d’avancement du projet LGV.

Le projet est globalement avancé à 75%, le 1er train circulera au cours du 1er semestre 2018, le plus long viaduc du chantier, El Hachef, long de 3.5 km, a été lancé cet été et le viaduc du Sebou est achevé.

Deux événements majeurs sont attendus : le démarrage de la pose des rails, puis, le lancement des travaux des quatre gares qui accueilleront le LGV : Kénitra, Rabat-Agdal, Casa-Voyageurs et Tanger.



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Photographie : Un marocain élu meilleur artiste dans Internationale Kunst Heute 2015

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Achraf Baznani artiste photographe marocain de renommé international, a été choisi cette année parmi 100 artistes, suivant les normes de l’Académie occidentale de l’encyclopédie annuelle «Internationale Kunst Heute 2015» (L’art international d’aujourd’hui», de l’historienne allemande Dr. Ingrid Gardill. Cette encyclopédie Allemande de très grande qualité représente les tendances de l’art contemporain international.

Le livre a dédié quatre pages pour exposer les œuvres photographiques de l’artiste surréaliste marocain, mais a été aussi élu meilleur artiste de cette édition de l’année 2015. Une critique en allemand du Dr Gardill accompagne les quatre pages de ce volume contenant les œuvres de l’artiste Achraf Baznani.

Achraf Baznani IKH 2

Achraf Baznani n’est pas à sa première consécration internationale, puisqu’il avait remporté également le Grand prix des arts manuels en Suisse, dans le cadre d’une compétition internationale initiée par la Fondation «b2zone».

La distinction d’Achraf Baznani en Allemagne intervient après le succès de ses œuvres en Suisse, aux Etats-Unis, en France et à Budapest en Hongrie. «Mes travaux sont l’œuvre de mon imagination  fertile, mais aussi des idées que cumule ma mémoire dans ma vie quotidienne», explique-t-il.

Pour ce qui est de la technique utilisée, Baznani explique qu’il s’agit d’un montage d’un ensemble de 35 photos prises, compactées en une seule, soit un travail qui peut durer jusqu’à neuf heures.

Achraf Baznani IKH 1

 

A propos d’Achraf Baznani

Autodidacte, Achraf Baznani est un jeune photographe marocain de talent.

Son 1er album «Through my lens» présentait ses meilleures réalisations publiées dans les célèbres magazines spécialisés dans l’art photographique.

Suite à un plébiscite mondiale de la profession, Achraf a sorti un deuxième album intitulé «Inside my dreams» qui

présente 100 travaux. Achraf travaille généralement sur le paysage et le portrait mais actuellement, il s’intéresse à la photographie conceptuelle et surréaliste hors du déjà vu et connu.

 

Site web : www.baznani.com

Facebook : http://ift.tt/1IsXa9a

Email: achraf@baznani.com



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Brand Your Moroccan Culture

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‘Du 17 septembre au 17 décembre 2015’

Organisé par les éditions Langages du Sud, en partenariat avec le Ministère de la Culture et le Ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique, « Brand Your Moroccan Culture » est un événement inédit dédié aux marques marocaines ayant pour objectif principal de poser les premiers jalons de la promotion d’un patrimoine immatériel aux retombées économiques importantes.

A travers les œuvres de jeunes artistes, le public pourra prendre connaissance du potentiel des marques marocaines et se les approprier.

Du 17 septembre au 17 décembre 2015, un concours réunira de jeunes artistes qui s’inspireront d’une marque de leur choix pour créer une œuvre contemporaine dans une des quatre disciplines sélectionnées : les arts plastiques, la photo, la musique et l’art urbain.

Les jeunes artistes sélectionnés pour le concours seront encadrés par des artistes marocains de renom de chaque discipline.

Un jury composé de ces artistes, hommes de lettres ou représentants des médias et de la communication, sera chargé de sélectionner les meilleures œuvres réalisées avant la remise des prix prévue en décembre 2015.

Une sélection des meilleures oeuvres fera l’objet d’une exposition in situ et dans les principales villes du Royaume.

En marge de la remise des prix, une conférence sur le thème de « l’empreinte culturelle des marques » débattra des enjeux et de l’importance économique du patrimoine immatériel des marques marocaines, en présence d’experts nationaux et internationaux.

Des liens web et réseaux sociaux sont mis à la disposition des jeunes artistes qui souhaitent promouvoir nos marques :

Site : http://ift.tt/1KICGOg

Facebook : BrandYourMorocco

Twiter : Brandurmorocco

La date limite du dépôt de candidature est le 8 octobre 2015.



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Deux COP pour sauver la Terre

Cop21La conférence des Nations unies sur les changements climatiques, plus connue sous l’appellation COP21, est prévue du 30 novembre au 11 décembre prochains à Paris. Le Maroc est associé à l’organisation de cet événement mondial. Le Royaume sera ainsi mieux préparé pour accueillir la COP 22 en 2016. Nombre d’experts qualifient les deux rendez-vous, de dernière chance pour la planète. Français et Marocains ont donc une lourde responsabilité.

Mais l’union ne fait-elle pas la force ?



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Le leadership a enfin son Observatoire

YounessBellatif

Youness Bellatif

C’est une première au Maroc. En soufflant sa 20e bougie, Convergence, cabinet spécialisé dans le coaching et l’accompagnement des dirigeants, a lancé L’Observatoire du leadership marocain. La volonté de son fondateur et dirigeant, Youness Bellatif, est de faire émerger les contours d’un leadership spécifique au Maroc, à sa culture, son histoire, son potentiel et ses spécificités identitaires.

Lieu de rencontre et d’échange par excellence, l’Observatoire se veut un laboratoire d’idées ouvert et novateur. Les idées qui sortiront de chacune des rencontres devant constituer des rendez-vous annuels réguliers, Bellatif ne veut pas les garder pour lui, mais compte les publier et les diffuser auprès d’un large public. Une démarche qui sera à même de combler une partie du grand déficit du pays en écrits découlant d’un véritable brainstorming.

Pour en savoir plus : http://ift.tt/1LZ2UtK



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Une marocaine au «Women for change»

AssAmalPour la première fois, une marocaine participe au concours «Women for change». Soutenue par Méditel en partenariat avec la fondation Orange, Nora Bellahcen Fitzgerald, fondatrice de l’association Amal pour les Arts Culinaires prend part à cet événement exceptionnel récompensant les femmes engagées pour la cause féminine.

Créé en 2013 par la Fondation Orange et le Women’s Forum for the Economy & Society, en partenariat avec le magazine Marie Claire, le concours «Women for Change» consacre chaque année des femmes exceptionnelles, fortement engagées et œuvrant à travers des actions concrètes dans les domaines de l’éducation, la santé, l’insertion professionnelle et les droits des femmes.

Pour l’édition 2015, le concours verra la participation de candidates venant du Maroc, de la Jordanie, de l’Egypte, de l’Espagne et de la Tunisie. Méditel, qui soutient la candidate marocaine
, invite les internautes marocains à voter massivement pour elle, jusqu’au 15 octobre, sur le lien http://ift.tt/1P3lruh.

Nora Bellahcen est licenciée en mathématiques et interprète de métier. Touchée par la cause des mères en détresse suite à une rencontre douloureuse avec une jeune mère mendiante, elle se lance dans un projet de cœur, devenu l’association Amal pour les Arts Culinaires.



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La cause officielle du blocage d’Ikea Maroc

IkeaOn apprend auprès des autorités de la Wilaya de Casablanca, que le projet du centre commercial de la société IKEA à Zenata (préfecture Mohammadia) ne dispose pas de certificat de conformité qui doit être délivré par la commune et les administrations concernées.

De ce fait, l’inauguration qui a été lancée par cette société pour le 29 septembre a été annulée.

L’annonce par les responsables de la société IKEA d’une nouvelle date d’inauguration n’engage en rien l’administration marocaine.

L’ouverture de ce centre commercial ne peut se faire qu’après l’obtention d’un certificat de conformité.

 



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Monday, September 28, 2015

Abdelkader Lagtaâ revient sur «La moitié du ciel» et annonce «Perte d’équilibre»

Abdelkader Lagtaâ lors du tournage de "La moitié du ciel".

Abdelkader Lagtaâ lors du tournage de « La moitié du ciel ».

Film poignant, «La moitié du ciel» raconte la souffrance des familles des victimes des années de plomb, à travers le regard de Jocelyne, l’épouse de l’écrivain Abdelatif Laâbi (détenu arbitrairement pendant 8 ans). Son réalisateur, Abdelkader Lagtaâ, a bien voulu répondre à diverses questions. Nous publions sur notre site cette première partie, très variée, de l’entretien. Une autre partie concernant uniquement le film est à lire dans la version imprimée de notre Magazine L’Observateur du Maroc et d’Afrique, à paraître le 2 octobre 2015.

Abdelkader_Lagtaâ2L’Observateur du Maroc et d’Afrique : Pourquoi ce titre La moitié du ciel, qui semble tellement poétique alors qu’il s’agit dans le film d’une histoire tellement douloureuse ?

Abdelkader Lagtaâ : C’est un titre qui a été proposé par Abdelatif. En Chine, dans le temps, on appelait la femme, la moitié du ciel. C’était aussi ainsi que les membres de la nouvelle gauche des années 70 appelaient leurs femmes.

La propre fille de Laâbi, Qods, campe dans La moitié du ciel le rôle d’Yveline. Lui était-il facile de contenir ses émotions pour jouer l’histoire de sa propre famille ?

Sur le plan symbolique, c’était important pour moi pour que Qods Laâbi joue dans le film. Il n’était pas difficile pour elle de le faire. Elle n’est pas uniquement la fille de Jocelyne et Abdelatif, c’est une actrice et une bonne actrice. C’est pour cela que je l’ai choisie.

«La moitié du ciel» était-il un film facile à faire ?

Au contraire, c’était un calvaire, étant donné le nombre considérable d’acteurs et de figurants, la variété des décors et la diversité et la multiplicité des lieux de tournage, etc. En faisant ce film, j’ai perdu une dizaine de kilos que je n’ai pas pu récupérer jusqu’à présent. Le scénario a nécessité deux ans de travail et deux autres années étaient nécessaires pour réunir le financement. Ce n’est pas tout, la préparation proprement dite a duré 7 semaines et le tournage 7 autres, sans compter la post production. Le coût global de La moitié du ciel se situe autour de 11 millions de DH, ce qui donne une idée de l’ampleur du travail.

Qu’en est-il maintenant du retour sur investissement ?

(Il rit) On ne peut même parler de retour sur investissement puisque le marché n’existe pas au Maroc. Les spectateurs préfèrent acheter des DVD piratés à 5 DH et les salles sont en voie de disparition. Nous vivons d’ailleurs une situation un peu paradoxale dans le pays. Plus on fait de films, moins on a de salles. Résultat : Faire un film au Maroc ne rapporte pas grand chose.

La télévision ne joue pas non plus son rôle actuellement au profit des long-métrages. Pour La moitié du ciel, j’ai sollicité 2M sans recevoir de réponse. Maintenant, on est à la recherche en France d’un distributeur pour les cinémas de l’Hexagone. Mais la concurrence est rude, avec en plus ce phénomène de mode qui guide les choix à l’international.

Aujourd’hui, concernant les films du Sud, c’est le cinéma iranien qui est actuellement à la mode, avec le cinéma argentin. En revanche, le Maroc n’est pas encore suffisamment perçu comme un pays producteur de films, mais plutôt comme une destination touristique. Il y a encore des préjugés de ce genre qui ont la peau dure, malheureusement. En tout cas, j’ai plein de scénarios dans mes tiroirs. Mon seul problème c’est le financement. Donc si vous avez quelqu’un, je suis preneur.

Face à toutes les difficultés de votre métier, êtes-vous aujourd’hui encore ce poète que vous  étiez en partant, dès après votre bac, vers la Pologne ?

Le cinéma a pris une telle dimension dans ma vie qu’il m’a détourné de la poésie littéraire. Seulement voilà, depuis quelques années, je suis de nouveau revenu à la littérature. Actuellement, j’ai à mon actif trois romans dont le premier, intitulé Perte d’équilibre, vient d’être publié par une maison d’édition française plutôt alternative. J’ai déjà terminé deux autres romans. Je suis même en train de me documenter pour rédiger le quatrième. J’écris ce que j’ai envie d’écrire et en plus cela ne me coûte rien, contrairement au cinéma où chaque phrase du scénario a un coût sonnant et trébuchant. Je suis disposé à écrire tout le temps, cela me fait tellement plaisir et me comble de bonheur. Cela m’amuse beaucoup aussi. C’est vraiment extraordinaire !

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Lagtaâ et la censure

«On sait où on travaille. Au Maroc, il n’y a certes pas de censure officielle, mais une autre forme de censure qui est apparue ces derniers temps et qui prend de l’ampleur, c’est celle de l’opinion publique. Laquelle est parfois plus rigide que la censure officielle. Reconnaissons-le, cette dernière se libéralise de plus en plus. Mais elle reste tout de même présente et je la conteste. Je suis contre la censure. C’est pour cela qu’il y a quelques mois, à l’occasion de la censure du dernier film de Nabil Ayouch, j’avais émis des propositions, publiées dans Al Bayane, appelant à abolir la censure et à la remplacer par ce qu’on appelle en France la classification des films. Cela passe à travers une commission réunissant des professionnels ainsi qu’un représentant des associations des droits de l’homme, un sociologue, un psychologue et psychanalyste, un juriste… qui peut proposer, en cas de scènes de violence excessive par exemple, la coupure des scènes en question pour que le film puisse être projeté pour tous publics, sinon, elle le classifie comme étant interdit pour une certaine catégories des spectateurs, tel celle des -12 ans, par exemple, ou -16 ans, laissant ainsi le choix au producteur et au réalisateur du film de se déterminer.»

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Son prochain film

Abdelkader Lagtaâ va reprendre son bateau d’infatigable pèlerin pour trouver le financement d’un nouveau long-métrage qui, révèle-t-il, s’inscrit dans la même veine que La moitié du ciel, mais avec une histoire plus actuelle. Lui qui estime que l’aspect politique de la vie au Maroc est un peu négligé par le cinéma veut donc investir ce champ où il y a, à ses yeux, beaucoup de matières à exploiter.

La partie concernant uniquement La moitié du ciel est à lire dans la version imprimée de notre Magazine L’Observateur du Maroc et d’Afrique, à paraître le 2 octobre 2015.

 



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Le Souss démarre son année agricole dans le vert

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Grâce aux excellentes conditions climatiques et au taux de remplissage des barrages (72,8%), la région du Souss se porte très bien et sa nouvelle campagne agricole se prépare dans la sérénité. Selon Hro Abro, directeur de l’Office régional de mise en valeur agricole (ORMVA) de la région, «tous les barrages permettront l’irrigation de nos périmètres durant deux ans et ce, grâce aux précipitations et aux crues que la région a connues l’année dernière».

L’année dernière, à la même période, le stress hydrique a failli causer de nombreux dégâts. Désormais, dans la zone d’intervention de l’Agence du bassin hydraulique du Souss Massa et Draâ (ABHSMD), les ressources en eau ne sont pas déficitaires. Le taux de remplissage des barrages de la région ayant atteint ce mois-ci les 72,8%. Ce qui représente un volume d’eau stockée de 1.062,133 millions de mètres cube, pour une capacité globale de 1458,545. Il dépasse largement celui de la même période de l’année précédente (417,518 Mm³) correspondant à un taux de remplissage de 36%.
De plus, la région à vocation agricole a fait de l’irrigation localisée son cheval de bataille. Et dans le cadre du Plan Maroc vert (PMV), l’objectif dans la région est d’équiper 100.000 hectares en système de goutte à goutte à l’horizon 2020. Ce qui devrait permettre d’économiser 300 millions de m3/an.



via Abdo El Rhazi Le Souss démarre son année agricole dans le vert

Un nouveau rapport sur les droits des femmes au Maroc

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Un nouveau rapport mondial sur les droits des femmes au Maroc vient de voir le jour.

L’organisation non gouvernementale Human Rights ainsi que l’organisation « MRA », basée à Rabat, ont établi récemment un rapport complet sur les droits des femmes violentées et les décisions du Maroc sur le sujet. Le rapport qui met en évidence le flou juridique et le manque de loi à ce propos évoque plusieurs cas dramatiques non pris en compte par la justice.

Concernant les femmes violentées, il pointe du doigt plusieurs lacunes de notre système judiciaire et met en exergue toutes formes d’atteintes possibles à la femme comme le cas du harcèlement. Se référant à la loi marocaine actuelle, le rapport fait donc état de plusieurs « carences » en matière de protection de la femme et rappelle qu’aucune mesure n’a été prise sur le sujet depuis le dernier rapport publié.

En évoquant le harcèlement sexuel, le nouveau document précise que : Il n’est, à ce jour, puni que lorsqu’il intervient au travail et qu’il vient de votre supérieur hiérarchique (Art 503-1 datant de 2003).

Cela dit, en Avril 2015, le Ministère de la Justice a suggéré que ce même article soit étendu à toute personne et à tout lieu (Art 503-1-1 pas encore officiel). Il prévoit également un article concernant toutes personnes de la famille de la victime d’harcèlement sexuel, tuteurs, gardien légal ou, en cas d’inceste ou d’abus sur mineur (Arti. 503-1-2 pas encore officiel).

Le rapport qui se veut exhaustif, invite le Ministère de la Justice à suivre les recommandations livrées par les avocates de Human Rights et de l’association MRA et à prendre les mesures adéquates en conséquence.



via Abdo El Rhazi Un nouveau rapport sur les droits des femmes au Maroc

Bousculade Mina : plusieurs pèlerins marocains portés disparus

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L’opération de recherche et d’identification des pèlerins marocains, portés disparus suite à la bousculade de jeudi à Mina, se déroule toujours sous la supervision de Mohamed Boussaid, président de la délégation officielle marocaine pour le hajj confirme l’Ambassade du Maroc à Ryad. Pour l’heure, aucune indication sur le nombre de morts du côté marocain n’a été communiquée même si plusieurs informations non confirmées font état de 80 victimes. L’Ambassade a précisé qu’au vu de « l’ampleur du drame » et « eu égard aux procédures légales », seuls les portés disparus prouvés par un certificat de décès délivré par les autorités saoudiennes compétentes seront pris en compte. Sachant que les corps des personnes décédées sont toujours à la morgue de la Mecque où les autorités sanitaires saoudiennes procèdent à l’identification des morts par empreinte digitale.

Depuis le début du drame de Mina, la monarchie saoudienne a préféré rejeter la responsabilité de cette tragédie sur les pèlerins. Mais des témoins démontent cette version. Des vidéos circulant sur internet évoquent la fermeture  du passage qui menait à leurs tentes : « Nous avons rebroussé chemin pendant environ trois kilomètres », affirme un témoin qui explique le drame par « un problème d’organisation de la circulation ». Ils nous ont dit ensuite que le passage était ouvert de nouveau. C’est à ce moment que les pèlerins ont effectué le chemin de retour vers le passage initialement fermé.« C’est là que les gens ont commencé à se bousculer… Nous avons vu des morts, des gens en train de se faire piétiner« , précise-t-il avant de s’effondrer en larmes.

La bousculade qui a eu lieu lors de l’accomplissement du rite de lapidation a fait 717 morts et 863 blessés selon le dernier bilan officiel.



via Abdo El Rhazi Bousculade Mina : plusieurs pèlerins marocains portés disparus

Wednesday, September 23, 2015

Casablanca consolide sa seconde place africaine

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‘Classée au 44e rang mondial, Casablanca occupe la 2e place africaine. Selon le dernier classement de l’Indice GFCI (Global Financial Center Index), présenté le 23 septembre en Chine, la capitale économique se retrouve troisième centre le plus prometteur à l’avenir  et sa compétitivité est de nouveau reconnue par l’indice phare des places financières internationales.’

 Casablanca consolide ainsi sa position en se classant à la 44e place mondiale et au second rang à l’échelle continentale. Elle gagne 12 points par rapport à l’édition précédente GFCI (mars 2015) avec un score cumulé de 657 points.

Rappelons que la capitale économique avait integré en mars 2014 le classement GFCI publié semestriellement par Z-Yen, think-thank de la City de Londres. La ville blanche était alors placée au 62e rang parmi 83 places financières leaders.



via Abdo El Rhazi Casablanca consolide sa seconde place africaine

New York : les écoles publiques fermées pour l’Aïd

Bus New York

Les écoles publiques de New York resteront fermées pour la première fois jeudi, à l’occasion de l’Aïd el-Kébir.

La mesure avait été annoncée en mars dernier par le maire démocrate Bill de Blasio qui avait déclaré que cette décision «  reflétait la force et la diversité de la ville ». Il avait également annoncé l’ajout de deux jours de congés pour les fêtes musulmanes de l’Aïd al-Adha, et, à partir de l’été 2016, pour la fête de l’Aïd el-Fitr ; sachant que les enfants musulmans représentent près de 10% des élèves des écoles publiques de New York.

Plus d’un million d’élèves et environ 1.800 écoles new-yorkaises seront donc en congé jeudi, juste après l’avoir déjà été mercredi pour la fête juive de Yom Kippour.

Les écoles new-yorkaises ferment déjà pour des fêtes juives et chrétiennes et, depuis l’annonce du maire, un autre jour de congé a été ajouté au calendrier scolaire pour le Nouvel an lunaire, observé en Chine et dans de nombreux pays asiatiques.

Rappelons qu’entre 7 et 10 millions de musulmans vivent aux Etats-Unis, dont un million environ à New York.



via Abdo El Rhazi New York : les écoles publiques fermées pour l’Aïd

Le roi Mohammed VI lance les travaux de construction du CHU de Tanger

Roi-CHU

Le roi Mohammed VI a procédé, ce mardi 22 septembre, au lancement des travaux de construction du Centre hospitalier universitaire (CHU), dans la Commune urbaine Gzenaya (préfecture de Tanger-Assilah). Une illustration nouvelle de la volonté du souverain d’inscrire la promotion du secteur de la santé parmi les grands chantiers du royaume.

D’un coût global est de 2,33 milliards de dirhams et financé par le Fonds qatari pour le développement, le futur Centre hospitalier universitaire de la ville du détroit sera réalisé sur une superficie de 23 hectares (89.072 m2 couverts), sur un terrain contigu à l’hôpital d’oncologie (en cours de réalisation) et bordé au nord-est par la future faculté de médecine et de pharmacie.

D’une capacité de 771 lits, il abritera un pôle « mère-enfant », un pôle médico-chirurgical, un bloc opératoire comportant 15 salles chirurgicales centrales, une salle de brûlés graves, une unité de télémédecine, des services de formation, un centre de simulation et d’autres dépendances administratives et techniques.

Hôpital de référence de 3e génération, ce projet vient répondre aux besoins de la population de la région en matière de soins et participera au développement des infrastructures hospitalières au niveau de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima. Il contribuera également au renforcement des services de santé de base et leur rapprochement des citoyens qui n’auront plus besoin de se déplacer vers d’autres villes pour des chirurgies compliquées ou certaines pathologies difficiles.

S’inscrivant en droite ligne des objectifs du Programme « Tanger-Métropole » qui accorde une place de choix au développement de l’offre de santé, la réalisation du CUH de Tanger permettra, à l’instar de la faculté de Médecine et de pharmacie, du Centre régional d’oncologie et de l’hôpital de psychiatrie, l’émergence d’un véritable pôle médical d’excellence au niveau de la région du Nord du pays.



via Abdo El Rhazi Le roi Mohammed VI lance les travaux de construction du CHU de Tanger

Renouvellement de la certification de Koutoubia

Photo Charcuterie KOUTOUBIA Tranche OK (1)

‘A l’occasion de l’audit de renouvellement tenu par QualityAustria en 2015et après un avis favorable de l’organisme, la certification de la holding Koutoubia est officiellement renouvelée, attestant ainsi de sa démarche Qualité répondant aux normesISO 9001, ISO 14001, ISO 22000, BS OHSAS 18001, HACCP.’

Leader marocain de la transformation des viandes halal, Koutoubia est le premier Holding à obtenir et renouveler les 5 certificats internationaux de son système de management intégré, qualité, hygiène, santé et sécurité au travail, sécurité sanitaire des aliments et protection de l’environnement, en plus de sa certification selon le Label Halal marocain et malaisien. Ainsi, La première certification ISO 9001 a été obtenue en 2003 et les certifications suivantes au cours des dix dernières années. Le groupe Koutoubia avait également obtenu le Label HALAL Marocain et Malaisien pour cinq de ses sociétés de production à l’issue d’un audit de certification réalisé en janvier 2013 par l’Institut Marocain de Normalisation (IMANOR) et conformément aux exigences de la norme NM 08.0.800 et en Janvier 2015 par JAKIM (Malaisie).

« Nous avons travaillé dur afin de répondre aux normes imposées par les différentes certifications, et le fait de les avoir obtenues encore une fois  prouve la volonté de Koutoubia et de ses équipes d’avoir toujours un temps d’avance sur la concurrence. Cette réussite vient couronner les efforts fournis par le groupe depuis 30 ans en matière d’innovation et de qualité » affirme, Tahar BIMEZZAGH, patron de Koutoubia Holding.

Ce succès illustre la capacité du Groupe à maintenir sa promesse historique d’offrir des produits d’excellence au Maroc et dans le monde tout en démontrant son engagement à valoriser la qualité de ses sites et à prôner un management aux normes internationales les plus exigeantes.

Par ailleurs, et dans le cadre de ses certifications, il est à noter que le renouvellement des certificats ISO 9001, ISO 14001, ISO 22000, BS OHSAS 18001, HACCP, concerne les quatre filiales du Holding à savoir : SAPAK, spécialisée dans la préparation des produits de charcuterie, la salaison et les conserves de viandes ; Délices Viandes, spécialisée dans l’abattage, la préparation, la découpe et la congélation des viandes de volailles ; Casa Viande, spécialisée dans la découpe, la préparation, la congélation des viandes rouges ; Koutoubia élevage et SELVADINDE, spécialisées dans l’élevage des volailles.

Toutefois, étant accordé par un organisme international de référence, le renouvellement des certificats du Groupe Koutoubia souligne la confiance des organismes de référence concernant les normes suivantes à savoir :

  • ISO 22000 version 2005 : elle définit les exigences relatives à un système de management de la sécurité des denrées alimentaires, confirme que l’organisme certifié satisfait aux exigences législatives et réglementaires en vigueur, et assure la garantie en permanence des denrées alimentaires saines et sûres.
  • ISO 14001 version 2004 : elle spécifie les exigences relatives à un système de management environnemental, prend en compte les exigences légales auxquelles l’organisme a souscrit et confirme la mise en œuvre et le développement permanent et efficace d’un système de gestion et de management en faveur de la protection de l’environnement.
  • BS OHSAS 18001 version 2007 : référentiel le plus élevé en matière de management de la santé et sécurité au travail par la prévention des risques professionnels, elle certifie tous les organismes qui identifient et gèrent systématiquement les risques en terme de santé et de sécurité, réduisent le nombre d’accidents, se conforment à la législation et améliorent leur performance générale.
  • HACCP : suivant l’adage « mieux vaut prévenir que guérir », elle sanctionne une démarche systématique et rationnelle de la maîtrise des dangers pour garantir la sécurité d’un produit. Elle constitue en outre une approche nouvelle de la maîtrise de la qualité sanitaire et met l’accent sur le contrôle et l’amélioration en cours de fabrication.
  • ISO 9001 version 2008 : elle constitue la référence internationale des exigences organisationnelles requises pour l’existence d’un système de management de la qualité. Cette norme s’appuie sur plusieurs principes de management dont l’orientation client, l’implication du personnel, l’approche processus et l’amélioration continue.

Ainsi, traduisant l’engagement et l’orientation qualité de Koutoubia, ce renouvellement des certifications confirme que l’aventure continue pour le groupe qui puise les racines de son développement dans la vision d’avenir de son fondateur. Car en effet, Tahar Bimezzagh, patron et vrai self made man  a  toujours était  là, tel un chef d’orchestre dont la tâche et de veiller à la bonne synchronisation des instruments pour, qu’au final le produit soit excellent et bon à consommer.



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Tuesday, September 22, 2015

ENSEMBLE, LE CONCERT POUR LA TOLERANCE- 10e édition

Concert tolérance 2015

‘Dimanche 4 Octobre 2015 19H PLAGE D’AGADIR’

 ‘Organisé sous le Haut Patronage de SM le roi Mohammed VI, cet événement fédérateur de la tolérance, de l’ouverture et du vivre ensemble, rebaptisé « Ensemble, le Concert pour la Tolérance », sera diffusé en direct en prime time sur W9 et rediffusé sur toutes les chaines du groupe M6 ainsi que sur TV2M et dans le monde sur TV5Monde.’

Le concert, première manifestation musicale multiculturelle co-organisée par le Maroc et la France, a attiré plus de 220 000 spectateurs lors de la dernière édition. Pour cette édition anniversaire, les organisateurs offriront au public un plateau artistique éclectique avec des artistes de renom tels que Maitre Gims, Marina Kaye, Vianney, Shy’m, Zaz, Black M, La Fouine, Youssoupha, Amine, La Troupe des 3 Mousquetaires, Saad Lamjarred, Chimène Badi, Asmaa Lamnawar et bien d’autres. La soirée sera animée pat Kev Adams et Audrey Lamy.

Depuis 2005, le Concert pour la Tolérance regroupe des artistes français, marocains et internationaux autour de valeurs universelles : tolérance, paix, respect et dialogue entre les cultures. Alors que le Concert pour la Tolérance s’apprête à fêter ses dix ans, le message qu’il défend est plus que jamais d’actualité. Evénement fédérateur, le Concert pour la Tolérance, rassemble chaque année un large public local et international dans un cadre festif, dans une perspective d’écoute, d’échange et de dialogue entre les cultures. Le public Gadiri sera le temps d’une soirée le porte-drapeau d’un Maroc moderne, ouvert à toutes les cultures. En 10 ans, le Concert pour la Tolérance a su s’implanter dans le paysage audiovisuel français et francophone comme un évènement prestigieux, porteur de valeurs fortes et universelles.

Cette année, le Groupe M6 revient en tant que grand partenaire audiovisuel du Concert pour la Tolérance. W9, la chaine orientée jeunesse du groupe, assurera la diffusion en prime time du spectacle mettant l’accent sur l’esprit d’ouverture et de diversité culturelle qui a toujours caractérisé la manifestation. Le concert sera ensuite rediffusé sur toutes les chaine du groupe M6. Il sera également diffusé dans son intégralité au Maroc sur TV2M et dans le monde entier grâce à TV5 Monde. Le concert pour la Tolérance réunit plus de 200 techniciens qui mettent en synergie leurs efforts pour faire fonctionner un dispositif digne des plus grands événements internationaux. La production franco-marocaine mutualise les compétences, les moyens et les technologies de pointe au service d’un show unique.

Le succès renouvelé du Concert pour la Tolérance est rendu possible notamment grâce à l’engagement de la ville et de ses autorités pour assurer la réussite de l’événement, ainsi que l’ensemble des partenaires : TV2M, Royal Air Maroc, l’Office National Marocain du Tourisme, le Comité Régional du Tourisme d’Agadir, ainsi que l’Association des Hôteliers d’Agadir.

Le Concert pour la Tolérance est un événement produit par Electron Libre Production et co-organisé par l’Association pour la Tolérance, basée à Agadir et regroupant les représentants des partenaires officiels marocains de la manifestation.

 



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Textile : Le Maroc convoite le marché canadien

Textile

Maroc Export, l’Amith et l’Esith organisent jusqu’au 27 septembre prochain, au Canada, une mission B to B pour des professionnels marocains du textile.

C’est la première fois que des hommes d’affaires marocains opérant dans le domaine du textile à usage technique rencontrent leurs homologues canadiens dans le but d’identifier de possibles pistes de partenariat.

Au programme de cette mission, plusieurs visites de site notamment à Toronto, Montréal, Sherbrooke et Cambridge.



via Abdo El Rhazi Textile : Le Maroc convoite le marché canadien

Des élections sans bain de sang c’est possible en Afrique – Par Venance Konan*

Venance Konan, DG, directeur de publication du quotidien ivoirien Fraternité Matin et écrivain.

Venance Konan, DG et directeur de publication du quotidien ivoirien Fraternité Matin. Il est aussi écrivain.

Le 28 mars dernier et les jours qui ont suivi, le monde entier a assisté à quelque chose d’incongru, d’aberrant, dans le pays le plus peuplé d’Afrique, le Nigeria. Ce jour-là, il s’est déroulé des élections présidentielles et législatives dans ce pays, et, tenez-vous bien, il n’y a eu que 7 morts pendant les opérations de vote.

Les jours qui ont suivi, pendant que tout le monde attendait les résultats, tous les observateurs parlaient de la tension qui était qualifiée de «palpable» ou «vive». Et l’on se disait qu’à la proclamation des résultats, c’est sûr, ceux qui avaient fait le déplacement pour compter des morts en auraient pour leur argent.

Eh bien, le Président sortant a perdu, ce qui est assez exceptionnel en Afrique, mais pire, ou mieux, il a reconnu sa défaite avant même qu’elle ne soit annoncée officiellement, a félicité son tombeur et a appelé ses partisans au calme. En fin de course, il n’y a eu aucun mort après la proclamation des résultats. C’est à peine si certains n’ont pas crié à l’escroquerie et exigé d’être remboursés.

Il faut savoir qu’à la précédente élection, on avait compté environ 800 morts, que la secte de malades mentaux appelée Boko Haram avait promis un bain de sang lors de cette élection, et dans ce domaine on pouvait compter sur elle pour tenir parole.

On s’est donc rabattu sur le Togo qui n’est pas loin du Nigeria et qui votait le 25 avril. Il y avait de quoi espérer. Lors de la première élection qui avait porté le Président actuel au pouvoir en 2005, on avait compté 500 morts et des soldats avaient ajouté du piment à la sauce en s’enfuyant avec des urnes devant des caméras de télévision.

En 2010, il n’y avait pas eu de morts, juste des manifestations dispersées à coups de gaz lacrymogène après l’annonce des résultats. Hélas ! Le Togo aussi a voté dans le calme et on n’a déploré aucun mort, même pas un coup de matraque. On a parlé de fraudes, mais on pourrait dire que crier à la fraude après une élection fait partie du folklore local sur notre continent.

En serait-il terminé des élections suivies de bain de sang qui caractérisent l’Afrique ? Souvenez-vous de la Côte d’Ivoire, en 2010-2011. On avait dénombré 3000 morts, après la contestation des résultats de l’élection présidentielle, et ce pays qui, du temps de son premier Président, avait fait de la paix sa seconde religion faillit se retrouver pris dans une guerre dévastatrice.

Après les élections au Nigeria et au Togo, nous étions en droit de penser que l’Afrique avait exorcisé ses vieux démons, mais malheureusement, nous sommes obligés de constater que les cas nigérian et togolais ne sont que des exceptions.

Nous avons tous suivi les élections au Burundi, avec son lot de morts avant, pendant et après le scrutin, et la cohésion sociale qui est tellement atteinte que tout le monde se demande si ce pays ne va pas à nouveau basculer dans la guerre civile.

A côté du Burundi il y a la République Démocratique du Congo où la prochaine élection a déjà causé des morts. Il y a la Côte d’Ivoire, où nous nous trouvons aujourd’hui, et où l’élection présidentielle qui se tiendra dans un mois et quelques jours a déjà causé deux morts, et où l’on entend toutes sortes de menaces proférées par certains candidats.

Et puis, il y a le Burkina Faso, où le coup d’Etat, qui est de façon évidente liée aux élections qui devaient se tenir dans moins de trois semaines, nous prive de l’agréable et enrichissante compagnie de nos amis du journal Sidwaya, dont le directeur général est le secrétaire général de notre Groupement. Je vous prie d’avoir une pensée pour eux.

Y aurait-il une fatalité africaine qui nous empêcherait d’appréhender la démocratie dans toutes ses dimensions et de faire des élections de simples formalités destinées à renouveler le personnel politique, comme cela se fait dans les pays civilisés ?

Au mois d’octobre, c’est-à-dire demain, il devrait y avoir trois élections présidentielles dans trois pays qui se touchent, à savoir, la Guinée, la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. Et jusqu’à la fin de 2016, c’est une quarantaine de pays africains qui organiseront des élections. Au Burkina Faso, le scrutin est fortement compromis par le coup d’Etat de la semaine dernière. Qu’en sera-t-il dans les autres pays ?

Je suis persuadé que comme moi, vous ne croyez pas un seul instant en une fatalité africaine, une incapacité de nos populations à organiser des élections sans que la cohésion de nos sociétés n’en souffre.

Les exemples des pays où des élections sont régulièrement organisées sans qu’un seul coup de feu ne soit tiré, sans qu’une seule goutte de sang ne coule sont là pour nous en convaincre. Alors, pourquoi donc dans d’autres pays, les élections tournent au drame au point où, lorsqu’elles approchent, ceux qui en ont les moyens choisissent de s’éloigner du pays ?

C’est pour répondre à ces questions que le Groupement des Editeurs de Presse Publique d’Afrique de l’Ouest (GEPPAO) auquel s’est joint le groupe de presse marocain l’Observateur du Maroc et d’Afrique, et avec l’appui très appréciable du Conseil économique et social de Côte d’Ivoire ont décidé d’organiser ce forum, le premier de notre groupement, qui entre dans notre vision de contribuer à notre manière à l’émergence démocratique de notre continent.



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Hausse de l’impôt sur le revenu

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Les recettes fiscales se sont caractérisées par une hausse de 6,3% de l’impôt sur le revenu (IR), la stagnation de la taxe d’habitation et une augmentation de 15,7% de la taxe professionnelle.

Les recettes de l’IR ont atteint fin Août 2015, 24,5 milliards de DH provenant en grande partie des retenues à la source sur les salaires. L’IR sur profits immobiliers atteint  2,3 milliards de DH et recule de 6,4% confirmant ainsi la crise qui touche le secteur de l’immobilier.



via Abdo El Rhazi Hausse de l’impôt sur le revenu

Le Grand Hôtel Savoy ouvre ses portes à Marrakech

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1,2 milliard de dirhams. C’est la somme investie par l’Égyptien Kamel Abou Ali dans le Grand Hotel Savoy qui vient d’être inauguré à Marrakech. 223 chambres, 145 suites, 2000 m2 de spas, le nouvel hôtel 5 étoiles a permis la   création de 720 emplois directs. Situé dans le quartier chic de l’Hivernage, le palace offre des prestations haut de gamme avec ses deux piscines extérieures et ses trois salles modulables pour l’organisation des conférences pouvant accueillir près de 800 personnes.

Inauguré le 18 septembre par Lahcen Hadad, ministre du Tourisme et Abdessalam Bikrat, Wali de Marrakech-Tensift El Haouz, l’établissement contribue à diversifier l’offre haut de gamme sur la ville ocre.



via Abdo El Rhazi Le Grand Hôtel Savoy ouvre ses portes à Marrakech

Texte intégral de l’Appel de Tanger pour une action solidaire et forte en faveur du climat

Roi_Hollande Sept_2015Le Roi Mohammed VI et le Président français, François Hollande, ont lancé, le 20 septembre 2015 à Tanger, un Appel à la communauté internationale pour que la lutte contre le dérèglement climatique soit intensifiée. En voici le texte intégral :

  1.         Le changement climatique constitue l’une des plus graves menaces pour l’humanité dans son ensemble. La France et le Maroc sont gravement préoccupés par ses impacts négatifs croissants sur l’environnement, sur le développement économique et social, ainsi que sur la paix et la sécurité internationale.
  2.         A la veille de la 21ème Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques qui se tiendra à Paris à la fin de l’année 2015, et dans la  perspective de la 22ème Conférence des Parties, que le Maroc se propose d’accueillir en 2016 à Marrakech, nous lançons un appel à la communauté internationale pour amplifier la lutte contre le dérèglement climatique.
  3.         L’urgence requiert de notre part une action solidaire et forte en faveur du climat. Il nous faut agir vite, bien et collectivement. Les décisions que nous prendrons au plan international doivent aller de pair avec des initiatives tangibles et rapides sur le terrain.
  4.         Alors que la communauté internationale s’apprête à adopter en septembre dans le cadre des Nations unies des objectifs de développement durable, il est impératif de saisir les occasions des conférences de Paris et de Marrakech pour accélérer la transition vers une « économie mondiale verte », conciliant les aspirations légitimes au développement avec les impératifs de durabilité des ressources et de réduction des risques environnementaux.
  5.         La bataille contre le dérèglement climatique est une bataille pour le développement. Elle peut et doit être intégrée dans les politiques nationales de développement durable, que ce soit sous l’angle de la sécurité alimentaire, de l’accès aux énergies renouvelables ou de la lutte contre la précarité.
  6.         Le clivage Nord-Sud n’est pas une fatalité. La lutte contre le dérèglement climatique peut être un combat commun si elle est appréhendée sous le sceau de la responsabilité commune mais différenciée, de la solidarité et de l’engagement de tous à agir.
  7.         La France et le Maroc sont engagés à n’épargner aucun effort pour œuvrer en faveur de l’adoption lors de la Conférence de Paris d’un accord universel, global, durable, équilibré et juridiquement contraignant, s’appuyant sur les objectifs et les principes de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et permettant de limiter le réchauffement climatique en deçà de deux degrés Celsius et de parvenir à une économie décarbonée. Au regard de cet objectif, un rehaussement régulier de nos efforts nationaux et de notre effort collectif est nécessaire. La Conférence de Marrakech constituera une étape importante dans ce sens. Cet effort de long terme passe par la publication par tous les pays de contributions nationales d’ici la Conférence de Paris et par l’élaboration de plans nationaux de développement sobres en carbone et d’adaptation à long terme.
  8.         Une grande attention doit être portée aux pays en développement, y compris les pays les moins avancés et les petits Etats insulaires en développement, qui sont les plus vulnérables face au dérèglement climatique. Il conviendrait d’accorder la même importance à l’adaptation aux impacts du changement climatique et à l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre. L’efficacité et le niveau d’ambition de l’action menée par les pays en développement contre le changement climatique sera d’autant plus forte que des moyens complémentaires, conséquents et stables seront mobilisés en leur faveur.
  9.         Nous appelons les pays développés à préciser le soutien financier qu’ils apportent déjà et apporteront dans les prochaines années afin d’atteindre l’objectif de mobiliser 100 milliards de dollars par an, à compter de 2020, de sources publiques et privées, en faveur d’actions de lutte contre le changement climatique dans les pays en développement.
  10.       Les institutions financières internationales, régionales et nationales devront être davantage encouragées à favoriser le financement des projets ayant un bénéfice pour le climat et à intégrer la prise en compte des risques climatiques dans leurs décisions.
  11.       Nous encourageons un renforcement des partenariats internationaux de recherche et développement et de transfert de technologies, ainsi que des programmes de renforcement de capacités, afin d’accélérer la diffusion dans les pays en développement des technologies propres.
  12.       Pour être crédibles, les engagements qui seront pris par les Parties au plan international devront s’appuyer sur des actions volontaristes à l’échelle nationale et locale. A cet égard, une mobilisation encore plus forte des autorités locales, des entreprises, des organisations non gouvernementales et des individus est un complément indispensable à l’action des États.
  13.       Une mobilisation durable et efficace contre le changement climatique implique un meilleur accès à l’éducation et à l’information en matière d’environnement. Plus grande est la connaissance des problématiques environnementales, meilleure est la compréhension des enjeux qui leur sont liés et plus entreprenante est l’action contre le dérèglement climatique.
  14.       Conjugué à l’accroissement démographique, le dérèglement climatique exerce une pression grandissante sur des écosystèmes déjà vulnérables et des agricultures déjà fragiles en Afrique. Un appui additionnel et rapide est indispensable pour accompagner les pays africains dans leurs efforts de développement durable. La France et le Maroc sont pleinement engagés dans ce sens et prêts à renforcer encore leur soutien, y compris dans le cadre d’une coopération triangulaire.
  15.       Convaincus que les Conférences de Paris et de Marrakech doivent être des étapes complémentaires au service de l’avancement de la lutte contre le changement climatique, nous sommes convenus de travailler, main dans la main, pour la réussite de ces deux rendez-vous, dans l’esprit de coopération, de solidarité et d’excellence qui a toujours marqué le Partenariat d’exception entre la République française et le Royaume du Maroc.


via Abdo El Rhazi Texte intégral de l’Appel de Tanger pour une action solidaire et forte en faveur du climat

Monday, September 21, 2015

Kaoutar Bouderraja envoie balader ses détracteurs

Illi magazine, septembre 2015

Illi magazine, septembre 2015

‘Vivement critiquée sur les réseaux sociaux pour avoir posée le dos nu dans un magazine féminin, l’animatrice et mannequin Kaoutar Bouderraja a répondu à ses détracteurs avec mépris et amertume.’

Ancienne animatrice à Nesma tv et Médi1tv, la sulfureuse Kaoutar Bouderraja, célèbre mannequin marocain s’est récemment faite remarquer dans l’émission « Arab Presenter » sur la chaîne égyptienne Al Hayat.

Les derniers clichés parus dans un mensuel marocain, où l’on voit le mannequin poser le dos nu pour une marque de voiture, ont été partagés sur Facebook et ont fait coulé beaucoup d’encre.

Exaspérée par ces attaques, Kaoutar Bouderraja a répondu à ses détracteurs sur son compte Facebook : « Vous qui croyez plus patriote que moi, plus marocain, plus musulman, ; vous qui êtes tellement  déconnectés du monde réel que vous pensez avoir un droit de vie ou de mort sur moi….je vous emmerde ! en jeans, en jupe, en petite tenue…Je vous emmerde toute nue. Je ris de vous et de la bêtise humaine, je ris de ce que vous êtes et de ce que vous ne deviendrez jamais !  Comme je suis heureuse de ne pas vous plaire ! De ne pas vous appartenir ! »



via Abdo El Rhazi Kaoutar Bouderraja envoie balader ses détracteurs

Aïd Kbir : Plus de 4 millions de têtes destinées à l’abattage

Moutons aid

Selon l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA), 4,5 millions de têtes d’ovins seront destinées à l’abattage au Maroc à l’occasion d’Aïd Al-Adha cette l’année. L’ONSSA a précisé que 32% du cheptel ovin au Maroc se trouvent à Chaouia, Rhamna et Abda, 27% au Moyen Atlas, 16% à Oujda, Figuig et Jrada, et 13% au Grand Atlas.

Concernant l’achat du mouton, l’Office a donné des conseils sanitaires de même que pour la préparation du lieu d’abattage, l’opération d’abattage, les conditions d’hygiène, l’examen de la carcasse et des abats ainsi que la conservation des viandes et des peaux et la préservation de l’environnement.

Rappelons qu’environ 150.000 tonnes de viandes sont fournies chaque année, par les têtes d’ovins.



via Abdo El Rhazi Aïd Kbir : Plus de 4 millions de têtes destinées à l’abattage

Aida, un film sur une juive marocaine présélectionné aux oscars 2016

Noufissa Benchahda dans le rôle d'Aida Cohen

Noufissa Benchahda dans le rôle d’Aida Cohen

‘Réalisé par Driss Mrini, le dernier long métrage du réalisateur marocain « Aida » a été présélectionné aux Oscars 2016 dans la section meilleur film étranger.’

Présidée par le réalisateur Ahmed Maânouni, la commission de sélection a choisi le film Aida du cinéaste Driss Mrini pour représenter le Maroc dans la catégorie Meilleur film étranger aux Oscars.

Sélectionné au Festival national du film de Tanger, le film raconte l’histoire d’Aida Cohen, une juive marocaine, professeur de musique à Paris, dont le corps est ravagé par une tumeur maligne. Condamnée à mourir, elle décide de rentrer au Maroc pour retrouver ses souvenirs amoureux d’antan dans l’espoir de réanimer en elle un soupçon de joie de vivre.

Le rôle d’Aida Cohen est brillement interprété par l’actrice talentueuse Noufissa Benchahda.



via Abdo El Rhazi Aida, un film sur une juive marocaine présélectionné aux oscars 2016

Frédéric Debord remercié

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Le Conseil d’administration d’inwi, réuni ce vendredi 18 septembre 2015 a remercié le Directeur Général Frédéric Debord. Et pour cause, les résultats jugés insuffisants par le management de l’opérateur téléphonique.

Depuis sa nomination en juin dernier, la nouvelle PDG du groupe, Nadia Fassi-fihri s’était fixé comme objectif principal d’insuffler un sang nouveau à la filiale Telecom de la SNI, tenant compte du contexte de crise que traverse le secteur et la baisse brutale des prix.



via Abdo El Rhazi Frédéric Debord remercié

Election et violence en Afrique : L’éditorial de Venance Konan

ElectionsAfrique1Le 2 septembre dernier, nous écrivions ceci dans ces mêmes colonnes, à propos de la décision des autorités burkinabè d’exclure les partisans de l’ancien président Blaise Compaoré des prochaines compétitions électorales :

«N’aurait-il pas été plus simple de laisser les Burkinabé sanctionner démocratiquement ceux qui avaient cautionné la volonté de Blaise Compaoré de se maintenir au pouvoir, si tant est qu’ils avaient à être sanctionnés ? Aurait-on peur de voir les partisans de l’ancien Président revenir au pouvoir par les urnes après en avoir été chassés par la rue ? Espérons que cette décision ne sera pas source de troubles futurs dans ce pays frère. Car nous en avons l’expérience ici en Côte d’Ivoire. C’est l’exclusion de certaines catégories de personnes qui amène les problèmes dans un pays.»

Hélas, les troubles que nous craignions sont intervenus sous la forme d’un coup d’Etat, à quelques trois semaines de l’organisation d’élections qui étaient censées mettre un terme à la transition et ramener le Burkina Faso sur les rails de la normalité démocratique.

Que s’est-il passé ?

Après la chute de Blaise Compaoré, les nouveaux hommes forts du pays ont décidé d’interdire à tous ceux qui avaient soutenu la volonté de l’ancien président de modifier la constitution pour se maintenir au pouvoir de participer aux prochaines élections. La cour de justice de la Cedeao avait condamné cette décision d’exclusion, mais les nouvelles autorités n’en ont pas tenu compte. Et le général Diendéré, un proche parmi les plus proches de Blaise Compaoré, s’est emparé du pouvoir, pour, dit-il, mettre fin à l’exclusion dont étaient victimes certains. Il est soutenu par ceux qui avaient été exclus des joutes électorales et naturellement, rejeté par les autres.

Exclusion. Le mal qui, hier, faillit emporter la Côte d’Ivoire et menace aujourd’hui le Burkina. Souvenons-nous. Une loi avait exclu des élections présidentielle et législatives certaines catégories de citoyens, en raison de leurs origines et de celles de leurs parents. Nous nous déchirâmes autour de cette loi pendant des années et notre pays fut au bord du chaos. Et comme certains de nos compatriotes ne tirent aucune leçon de l’histoire, ils reviennent encore avec des propos visant à exclure un candidat à la présidentielle. Et, alors que nous sommes à environ un mois de l’élection, nous déplorons déjà deux morts, deux bus incendiés, et plusieurs domiciles détruits.

A ceux qui ont oublié ce qui s’est passé chez nous hier et nous parlent encore d’exclusion, ainsi qu’à ceux qui seraient tentés de les écouter, nous demandons de regarder ce qui se passe en ce moment au Burkina.

Là-bas, depuis quelques jours on ne cesse de compter les morts et personne ne sait vers où se dirige ce pays frère. Ce que l’on peut par contre dire avec une certaine certitude, c’est que le scrutin programmé en octobre sera reporté à une date que personne ne peut pronostiquer.

Pourquoi donc en Afrique les élections sont-elles sources de tensions, de troubles, et de mise à mal de la cohésion sociale ?

Nous avons cité plus haut l’exclusion. Mais elle n’est pas le seul mal qui mine nos pays et rend nos élections dramatiques. C’est pour recenser tous ces maux et essayer de les éradiquer que le groupe Fraternité Matin, le Groupement des éditeurs de presse publique d’Afrique de l’Ouest (Geppao), le groupe de presse marocain L’Observateur du Maroc et d’Afrique et le Conseil économique et social de Côte d’Ivoire organisent au sein de cette institution, à partir de 9 heures, et demain mardi 22, un forum international sur le thème «Elections et cohésion sociale en Afrique.»

Les élections qui se terminent dans le sang ne sont pas une fatalité pour notre continent. D’éminents spécialistes des questions électorales, politologues, et universitaires venus de tout le continent, ainsi que des hommes et femmes politiques participeront à ces débats. Le public, qui est toujours la première victime des dérapages électoraux, est invité à venir y participer. L’entrée est libre.



via Abdo El Rhazi Election et violence en Afrique : L’éditorial de Venance Konan

Six Marocaines parmi les femmes les plus influentes du monde arabe.

6 femmes marocaines influentes

Dans son dernier classement des femmes arabes, entrepreneures et politiques confondues, le magazine prestigieux Forbes désigne 6 marocaines parmi les 100 femmes du monde arabe les plus influentes.

Rita Zniber, 30e position : PDG de Diana Holding, créé en 1956 et réalisant un chiffre d’affaires de 3 milliards de $. Le groupe exerce son activité dans l’agriculture, le commerce et la distribution, la vinification et l’embouteillage de l’eau et des boissons non alcoolisées. R. Zniber est aussi fondatrice de la fondation éponyme qui recueille les enfants abandonnés à la naissance.

Laïla Mamou, 42e rang : Présidente de Wafasalaf, le n° 1 national du crédit à la consommation et dans lequel elle a fait toute sa carrière. Elle a également fait une formation en coaching et est membre de plusieurs associations.

Salwa Idrissi Akhannouch, 46e : Propriétaire de la moitié du gigantesque Morocco Mall à Casablanca, elle est la grande patronne du groupe Aksal qui détient la franchise marocaine de Zara, Zara Home, Massimo Dutti… Elle est aussi l’épouse du patron d’Akwa Group (distribution de carburants et de gaz), Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture.

Hind Bouhia, 61e : Diplômée d’Harvard  et ancienne de la Banque mondiale, elle dirige aujourd’hui Global Nexus, opérateur dans les infrastructures d’énergie propre. Elle a également dirigé avec brio la Bourse de Casablanca et a occupé le poste de conseillère du 1er ministre Driss Jettou.

Miriem Bensalah Chaqroun, 63e : Patronne incontestée de la CGEM, membre du Conseil économique et social et de celui de l’Education et de la formation, elle est aussi DG des Eaux minérales d’Oulmès.

Saïda Karima Lamrani, 89e : Membre de la Fondation Mohammed V pour la solidarité et fille de l’ancien 1er ministre d’Hassan II Mohamed Karim Lamrani, elle dirige le distributeur automobile Smeia (Land Rover, BMW…), le Crédit du Maroc et le sidérurgiste Davum Socodam.



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France/Maroc : 50 imams formés au Maroc contre la radicalisation

Cérémonie de signature de l'accord de formation des imams français, par les ministres Taoufik et Fabius, sous la présidence du roi Mohammed VI et le président François Hollande.

Cérémonie de signature de l’accord de formation des imams français, par les ministres Taoufik et Fabius, sous la présidence du roi Mohammed VI et le président François Hollande.

A l’occasion de la visite du président François Hollande, un accord bilatéral a été signé par le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, et le ministre des Affaires islamiques, Ahmed Toufik, à l’Institut Mohammed VI à Tanger, pour la formation de 50 imams français au Maroc.

L’accord qui prévoit la formation de 50 imams par an vise à contribuer à l’émergence d’un islam d’ouverture et de tolérance en France et à éviter d’avoir des prédicateurs radicaux dans les mosquées françaises.

Les deux parties précisent que cette initiative vise à promouvoir un «Islam du juste milieu» conforme aux «valeurs d’ouverture et de tolérance» mais aussi «pleinement ancré dans les valeurs de la République et de la laïcité».

Pour la France qui abrite environ 5 millions de Français de confession musulmane, l’encadrement religieux est un défi majeur. En effet, « il y a un manque criant de compétences » dans le domaine et le nombre d’imams manquants est estimé à 200, déclare Mohamed Moussaoui, président de l’Union des mosquées de France (UMF).

Confrontée ces dernières années aux menaces terroristes, la France compte avec cet accord prémunir sa jeunesse de confession musulmane contre les tentations extrémistes. Le modèle marocain et son approche préventive mise en place pour lutter contre toute forme de déviance suscite un intérêt grandissant chez plusieurs pays africains et européens, qui demandent une formation de leurs imams au Maroc.

Pour l’heure, le Royaume forme déjà de nombreux cadres religieux pour les mosquées de Guinée, de Côte d’Ivoire et du Mali, à l’Institut Mohammed VI inauguré en Mars dernier, où la formation est déjà dispensée à plusieurs étudiants français.



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Les élections en Afrique, solution ou problème ?

Le cas encore récent du Burkina Faso montre que la question des élections n’est pas entièrement résolue.

Le cas encore récent du Burkina Faso montre que la question des élections n’est pas entièrement résolue.

Abidjan abrite, les 21 et 22 septembre 2015, un grand forum politique. Cet événement est organisé par le Conseil économique et social ivoirien, le groupe Fratenité Matin et l’hebdomadaire marocain L’Observateur du Maroc et d’Afrique ainsi que le Groupement des Editeurs de presse d’Afrique de l’Ouest. Pendant deux jours, des intervenants de renom vont analyser la véritable portée des élections en Afrique.

Il s’agit, pour les organisateurs et les participants, de faire un diagnostic des raisons qui font que les élections, en Afrique, sont causes de troubles conduisant à la dégradation  de la cohésion sociale. Le cas de la Côte d’Ivoire, qui a connu une crise postélectorale en 2011 et s’est engagée dans la réconciliation nationale pour ressouder le tissu social, sera mis en exergue. Le cas encore récent du Burkina Faso montre, quant à lui, que la question des élections et donc de gouvernance n’est pas entièrement résolue.

Les débats porteront également sur les questions de révisions opportunistes des Constitutions en situant le contexte socio-politique donnant lieu aux retouches constitutionnelles. Ils porteront également sur la mauvaise gouvernance du processus électoral et du jeu des acteurs extérieurs.

Le cas encore récent du Burkina Faso montre que la question des élections n’est pas entièrement résolue.

 



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Maroc/France : Le Roi Mohammed VI et François Hollande inaugurent l’atelier de maintenance TGV

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Les deux chefs d’Etat ont inauguré, le 19 septembre, l’atelier de maintenance des Trains à grande vitesse (TGV) à Tanger.

D’un budget global de 640 millions de dirhams, le nouveau Centre de maintenance assurera d’abord le remontage des éléments de TGV en provenance des usines ALSTOM de La Rochelle via le port de Tanger Med. Puis, il aura la charge des opérations de contrôle et de réparation des rames à grande vitesse pendant la phase d’exploitation.

L’atelier inauguré fait partie du projet de Ligne à grande vitesse (LGV) Tanger-Casablanca qui prévoit aussi la réalisation d’une nouvelle ligne Tanger-Kénitra sur 200 km et l’aménagement de nouvelles gares LGV à Kénitra, Rabat-Agdal et Casa-Voyageurs.



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APM Terminals Tangier s’habille en vert

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L’opérateur leader du port Tanger Med participe jusqu’au 21 septembre à l’initiative Go Green, menée conjointement par six des plus grands opérateurs portuaires mondiaux, dont APM Terminals.

APM Terminals Tangier, l’opérateur leader du port Tanger Med, joint ses forces aux autres terminaux du réseau APM Terminals, dans le cadre d’une initiative innovante menée par six des plus grands opérateurs portuaires mondiaux : DP World, Hutchison Port Holdings Limited (HPS), PSA International, le port international de Shanghai en Chine (EPOP), les autorités portuaires de Rotterdam (PRA) et APM Terminals.

L’objectif de cette initiative, la première de cette ampleur dans le monde de l’industrie du transbordement, est de provoquer un réveil des consciences en matière de protection de l’environnement et de développement durable. Cette première édition mettra l’accent sur trois thèmes principaux : le recyclage et la réutilisation des déchets, la lutte contre le changement climatique et les actions en faveur des  communautés riveraines des sites d’implantation.

Une série d’activités est organisée au sein de l’ensemble des opérateurs durant toute la semaine jusqu’au 21 septembre. C’est dans ce cadre qu’APM Terminals Tangier accueille, le mercredi 16 septembre, ses partenaires et des membres de la société civile, en vue de partager ses best practices en matière environnementale. La même opération est menée le même jour chez le voisin APM Terminals Algeciras.

 

Un opérateur engagé en faveur de l’environnement

Certifié ISO 14001 pour le management de l’environnement, et labellisé RSE par la CGEM, l’opérateur a implémenté depuis le démarrage de ses activités de nombreuses initiatives innovantes en vue de réduire son impact sur l’environnement.

En matière de recyclage, l’opérateur a mis en place des partenariats avec des entreprises spécialisées afin de revaloriser les déchets. Ces derniers sont soit utilisés à l’intérieur du terminal, à l’image des pneus en fin de vie qui se reconvertissent en pots pour les plantes, ou encore des huiles et du bois usagés qui sont utilisés pour produire de l’énergie. D’autres sont triés et séparés des autres déchets, afin d’être éliminés sans nuire à l’environnement.

Dans un autre registre, APM Terminals Tangier a réussi à réduire son taux d’émission de CO2 par EVP de 5,37 % entre 2010 et 2015, grâce à la mise en place de plusieurs projets dédiés (lumières blanches, Eco RTG, VTL, actions de sensibilisation…). L’opérateur s’efforce également de réserver des espaces vert autour de ses bâtiments, une initiative qui favorise la réduction des émission de CO2. Près de 1600m de verdure ont été plantés lors des deux dernières éditions du « Environment Day ». D’autres espaces ont également été entièrement végétalisés pour le confort des employés.

Conscient que le changement passe par l’adhésion de l’ensemble des parties prenantes, APM Terminals Tangier a récemment mis en place une procédure d’accueil des nouveaux visiteurs qui ne seront désormais autorisés à entrer dans le terminal qu’après avoir pris connaissance des mesures à suivre en matière d’environnement.

Pour aller encore plus loin, les employés qui se trouvent le plus confrontés à des risques de pollution, bénéficieront désormais de sessions de formation aux risques environnementaux et aux réponses à adopter en cas de situations dangereuses.



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Visite réussie au Maroc pour le Président Hollande

Le Roi Mohammed VI et François Hollande lancent l’Appel de Tanger, pour une action solidaire et forte en faveur du Climat.

Le Roi Mohammed VI et le Président français, François Hollande, lancent l’Appel de Tanger, pour une action solidaire et forte en faveur du Climat.

Le Président français a qualifié de «réussie à tous points» la visite officielle de deux jours qu’il vient d’effectuer dans le Royaume, à l’invitation du Roi Mohammed VI.



«Cette visite, la deuxième après celle effectuée il y a deux ans, a été à tous points réussie, aussi bien pour le Maroc que pour la France, d’autant qu’elle intervient après une période difficile», a souligne François Hollande lors d’une conférence de presse donnée le dimanche soir (20 septembre 2015).

Le Président français a formulé l’espoir de voir les deux pays franchir des étapes nouvelles dans le partenariat bilatéral et dans le renforcement de leur amitié. Il a également fait savoir que les entreprises françaises ont réaffirmé leurs intentions d’investissement au Maroc dans de nouveaux domaines, dont l’aéronautique, l’automobile, les infrastructures, l’environnement, les villes durables, les technologies, l’agriculture et l’agroalimentaire.

«Au-delà des accords qui ont pu être signés entre les entreprises des deux pays, des perspectives nombreuses ont été ouvertes», a-t-il noté.

Sur le dossier de la lutte contre le réchauffement climatique, le Président français a réitéré l’engagement de la France et du Maroc pour cette cause, saluant les projets d’envergure lancés par le Royaume dans le domaine des énergies renouvelables et de l’économie verte.
 «Cette visite a été l’occasion de passer en revue des sujets politiques, relatifs notamment à la situation en Afrique dans le dessein de mettre la relation franco-marocaine au service du continent africain», a-t-il poursuivi, ajoutant que les entreprises marocaines et françaises sont décidées d’aller ensemble pour développer les exportations et les investissements de part et d’autre à la faveur de financements à apporter par le secteur bancaire et l’Agence française de développement (AFD).

Les questions de sécurité et de terrorisme ont été également au menu de cette visite. A ce propos, François Hollande a réitéré la volonté des deux pays d’intensifier davantage leur coopération en la matière.

Revenant sur la déclaration conjointe franco-marocaine relative à la coopération en matière de formation d’imams, il a estimé que cette formation devrait permettre un enseignement de l’islam et démontrer que la France est «un pays où des principes sont posés et des limites sont fixées».

Et d’ajouter : «Le plus digne d’intérêt pour cette visite c’est la confiance mutuelle entre les deux pays».

Pour le Président français, la confiance c’est le fait que des entreprises françaises s’installent et qu’elles développent de plus en plus de coopération avec leurs homologues marocaines. C’est aussi qu’une communauté française importante de près de 80.000 personnes puisse vivre en toute sérénité et sécurité au Maroc. La confiance se traduit également par la possibilité pour des Marocains de vivre en France en toute tranquillité et dans le respect des règles et lois françaises.

«Les Marocains se doivent de s’enorgueillir du processus de développement dans lequel le Royaume s’est engagé, ce qui démontre qu’un pays comme le Maroc peut connaitre de la croissance, du développement et donner même l’exemple», a-t-il relevé en substance.

Pour rappel, le Président Hollande était arrivé, samedi 19 septembre 2015 en début d’après-midi à Tanger, pour une visite d’amitié et de travail officielle, de deux jours, au Maroc.

A cette occasion, le Maroc et la France ont signé un accord portant sur la formation d’imams français dans le Royaume.

Le Roi Mohammed VI et le Président français ont aussi procédé, samedi, à l’inauguration de l’atelier de maintenance des Trains à Grande Vitesse. Situé au quartier M’Ghogha à Tanger, ce projet devra favoriser le transfert de technologies et de savoir-faire entre les deux pays.

Le dimanche, les deux chefs d’Etat, ont procédé au lancement, à la Commune urbaine Gueznaya (Préfecture de Tanger-Assilah), des travaux de construction de l’Institut de formation aux métiers des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique (IFMEREE).

Le même jour, le Roi Mohammed VI et le Président Hollande ont également présidé, à la Commune urbaine Gueznaya, la cérémonie de lancement de l’Appel de Tanger, pour une action solidaire et forte en faveur du Climat.
Ils ont ensuite visité le complexe portuaire Tanger-Med.



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Friday, September 18, 2015

Anouar Brahem « Je voulais réécrire la nouvelle musique arabe »

jazz

Après son passage remarqué au Fès Jazz in riads en 2010, le prodige du l’oud tunisien Anouar Brahem s’est produit pour la 2e fois au Maroc et fait à nouveau sensation avec son concert enchanteur qu’il a livré lors de la 10e édition du Jazzablanca. « Le public marocain commençait à me manquer », a lancé l’artiste tunisien, ravi de rejouer dans un pays qu’il considère un peu comme « chez lui ». Avec un quartet surprenant, Anouar Brahem a ébloui le public en interprétant avec beaucoup de grâce les neuf morceaux de son album «The Astounding Eyes Of Rita». Véritable hommage au poète palestinien disparu M. Darwich, l’oeuvre qui s’appuie fortement sur la mélodie s’inspire de la tradition arabe. En mêlant subtilement des sonorités indiennes, elle explore des espaces nouveaux, combinant des compositions inédites, traditionnelles sur le plan sonore, mais modernes dans l’approche. Tantôt envoûtante, tantôt mélodique, la musique a emporté les plus sceptiques vers un voyage au pays des milles et une nuances. Connu pour ses concerts bien structurés, l’instrumentiste et compositeur le plus innovant de sa génération en a surpris plus d’un en laissant une grande marge à l’improvisation. « La chose qui rapproche le jazz et la musique arabe, c’est l’improvisation, nous confie t-il. Bien sûr, tous les morceaux sont composés, mais il y a des plages, des moments où le musicien peut laisser libre court à son inspiration. Et c’est toujours une part d’inconnu qui est nouvelle pour nous et pour le public ». Ayant une affinité naturelle pour l’univers sonore de Brahem, l’incroyable prestation du clarinettiste Klaus Gesing, un improvisateur au phrasé étonnement fluide s’est agréablement mêlée au timbre envoûtant de la basse électrique du suédois Björn Meyer ainsi qu’à celui de l’oud et lui procure une fondation subtile et souple. Le libanais Khaled Yassine a apporté lui, à la darbouka une pulsation vitale à cette musique de chambre transculturelle. Dans un environnement musical arabe dominé par la chanson de variété où l’oud occupe une place d’accompagnement, A. Brahem qui refuse de se laisser enfermer dans un genre, a su apporter au fil des ans, sa touche personnelle et composer une musique arabe contemporaine. L’artiste qui s’est attelé à restaurer le oud en tant qu’instrument soliste, a rompu par la même occasion avec la tradition dans son travail de composition, en intégrant des éléments de jazz ainsi que d’autres traditions musicales orientales et méditerranéennes. « J’ai toujours voulu redonner à l’oud, cet instrument qui était presque en train de disparaitre de l’orchestre, une nouvelle vie, ce n’est pas seulement un retour nostalgique, c’est aussi pour réécrire la nouvelle musique arabe », conclut-il ✱



via Abdo El Rhazi Anouar Brahem « Je voulais réécrire la nouvelle musique arabe »