Thursday, October 31, 2019

Spectacle : Le Théâtre Nomade et Handicap International prônent la tolérance avec sa nouvelle pièce

Le Théâtre Nomade, en partenariat avec Handicap International, présenteront le samedi 2 novembre 2019, une nouvelle pièce de théâtre, «Moi Aussi Je Veux Lire…», à Bab Mrissa à Salé.

La pièce de théâtre porte sur les thèmes de la mixité sociale et sur l’acceptation de l’autre et de ses différences et entend encourager le mieux vivre ensemble entre classes sociales et communautés, ceci, dans le cadre du projet « sur les bancs de l’inclusion : pour l’accès des enfants en situation de Handicap à l’école au Maroc » financé par la Fondation DROSOS.

Fidèle à la tradition du Théâtre Nomade, ce spectacle pluridisciplinaire, mélange à la fois des éléments de théâtre, de cirque et de marionnettes, ainsi que des esthétiques de théâtre de rue, pour en faire un spectacle très visuel qui s’adapte à un large public, dès le plus jeune âge.

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Bourita : « Le Conseil de sécurité réaffirme la pertinence de la position marocaine »

En adoptant mercredi la résolution 2494 sur le Sahara marocain, le Conseil de sécurité de l’ONU a réaffirmé la pertinence de la position marocaine et conforte la dynamique positive et le soutien de plus en plus fort aux fondamentaux de cette position, a affirmé, jeudi à Rabat, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger (MRE), Nasser Bourita.

Par cette résolution, le Conseil de sécurité, et à travers lui toute la communauté internationale, souligne trois messages importants, dont le premier concerne le processus des tables rondes comme seul cadre pour parvenir à une solution politique au différend régional sur le Sahara marocain, a précisé Bourita dans une déclaration à la presse en marge de la réunion de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense nationale, des Affaires islamiques et des MRE à la Chambre des représentants, consacrée à l’examen du projet de budget du ministère au titre de l’année 2020. « Je rappelle que le processus de Genève c’est d’abord un format impliquant toutes les parties prenantes, notamment l’Algérie, appelée à assumer un rôle à la hauteur des ses responsabilités dans ce différend. Le processus de Tables rondes c’est, ensuite, un mandat, celui de parvenir à une solution politique, réaliste, pratique et durable qui repose sur le compromis, comme précisé dans le paragraphe opérationnel 2 de la résolution », a-t-il affirmé.

« Le processus de Tables rondes c’est, enfin, un état d’esprit qui doit s’éloigner des rhétoriques stériles et écarter toutes les approches dépassées et toutes les options chimériques », a-t-il insisté.

Le deuxième message de la résolution, a poursuivi Bourita, porte sur le retour à une prorogation de 12 mois du mandat de la Minurso. « Il s’agit là d’un signal fort quant à l’attachement du Conseil de Sécurité à la sérénité du processus politique. C’est également une prise en compte du contexte régional particulier qui mérite plus de clarté et de visibilité pour que les différents acteurs soient en mesure de participer pleinement et en toute responsabilité à la recherche de la solution politique », a dit le ministre.

Le troisième message de la résolution est relatif à la préservation et à la consolidation des acquis du Maroc, a-t-il ajouté, relevant qu’en effet la résolution réaffirme notamment la prééminence de l’Initiative d’autonomie, confirme l’appel à un recensement des populations des camps de Tindouf et réitère les injonctions à l’adresse du « polisario » pour s’abstenir de tout acte de provocation susceptible de déstabiliser le processus onusien. De la sorte, a-t-il fait observer, le Conseil de sécurité réaffirme la pertinence de la position marocaine et conforte la dynamique positive et le soutien de plus en plus fort aux fondamentaux de cette position.

Dans ce cadre, Bourita a relevé qu’à l’occasion de l’adoption de cette résolution, qui intervient à la veille de la commémoration du 44-ème anniversaire de la Glorieuse Marche Verte, le Royaume du Maroc réitère son attachement au processus politique dans le cadre des paramètres définis par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, notamment : Pas de solution en dehors de l’autonomie dans le respect de la souveraineté du Maroc; Pas de processus sans une implication pleine et responsable de tous les acteurs; Pas de cadre en dehors de celui Nations Unies et Pas de discussions portant sur des questions périphériques ou instrumentalisées.

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Officiel : Ivanka Trump se rendra au Maroc dans les jours à venir

C’est officiel, selon une dépêche de l’Associated Press, Ivanka Trump se prépare à promouvoir son programme de développement économique des femmes lors d’un prochain voyage au Maroc.

La fille et la conseillère principale de Donald Trump se rendra au Maroc début novembre, a annoncé la Maison Blanche sans préciser les dates exactes de son voyage.

Dans une déclaration à l’AP, Ivanka Trump a déclaré que le royaume du Maroc est un allié précieux des États-Unis qui a « progressé » sous la houlette du Roi Mohammed VI, dans la promotion de l’égalité des sexes.

La même source indique qu’Ivanka Trump voyagera avec Sean Cairncross, PDG de Millennium Challenge Corp., une agence américaine indépendante qui octroie des subventions aux pays en développement pour promouvoir la croissance économique, réduire la pauvreté et renforcer les institutions.

Ils rencontreront des représentants du gouvernement et des dirigeants locaux à Rabat et à Casablanca, afin de discuter de la manière d’aider les femmes de la région à acquérir une certaine indépendance économique.

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Bombardier Maroc change de main et reste sur le sol marocain

La décision de Spirit d’acquérir l’usine de Bombardier au Maroc vient d’être actée. Selon l’entente conclue, le site continuera de fournir des composants structuraux d’avions et des pièces de rechange pour soutenir la production et les avions en service de Bombardier Aviation, précise le département de l’Industrie dans un communiqué.

L’usine Bombardier ne quittera pas  le Maroc, souligne le département de Moulay Hafid Elalamy, qui prévoit davantage de développement de cette usine grâce à de futurs projets.

Spirit a acquis non seulement le site de Casablanca de Bombardier, mais aussi ceux de Belfast et de Dallas.

Spirit AeroSystems est un géant américain de l’aéro-structure qui fabrique des éléments de structure d’avions : fuselages, ailes et supports de réacteurs. Le groupe emploie plus de 15.000 personnes à travers ses différents sites en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Spirit a enregistré en 2018 un chiffre d’affaire dépassant les 7 MM$ et compte Boeing comme principal client.

 

 

 

 

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BMCE Bank Of Africa reçoit deux nouveaux trophées

La saison des consécrations se poursuit pour BMCE Bank of Africa. Cette fois-ci, c’est le leader mondial du paiement électronique, VISA, qui a remis hier soir, mercredi 30 octobre 2019, au Groupe les trophées de «Banque d’excellence» et de «Banque digitale».

Par la même occasion, les deux parties ont signé un partenariat stratégique, avec l’objectif de stimuler l’activation et l’utilisation de cartes de paiement sans contact, en plus, de développer de nouvelles technologies et d’accompagner le groupe dans sa démarche globale de digitalisation.

«L’innovation et la digitalisation sont au cœur de la stratégie de BMCE Bank of Africa qui continue d’investir dans ces piliers afin d’offrir la meilleure expérience utilisateur à ses clients. Notre partenariat avec VISA s’inscrit dans le contexte de l’accélération de l’adoption des nouvelles technologies, et nous sommes fiers de la reconnaissance de Visa International du leadership de BMCE Bank of Africa dans ce domaine», commente Mounir Kabbaj, Directeur Général Adjoint chez BMCE Bank of Africa.

De son côté, Sami Romdhane, Directeur Général de VISA pour la région du Maghreb, a déclaré que l’adoption des nouvelles technologies vient accélérer le rythme du développement des paiements électroniques. Et d’ajouter : « À l’ère du numérique, disposer de moyens de paiement instantanés et sécurisés donne accès à un univers de nouvelles opportunités. Au niveau macroéconomique, l’accélération de la migration vers le numérique contribue également à diversifier l’économie et créer de nouveaux secteurs à forte valeur ajoutée ».

La cérémonie de signature a été également l’occasion pour BMCE Bank de récompenser, dans une ambiance festive, certains de ses clients qui se sont vu offrir de précieux cadeaux.

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Affaire de la note présumée de la CTM : CNDH mène son enquête

Le Conseil national des droits de l’Homme annonce dans un communiqué avoir pris connaissance d’informations relayées par la presse, les réseaux sociaux, et les organisations de la société civile, concernant les pratiques de certaines compagnies de transport soumettant la vente de titre de transport à la présentation de carte de séjour pour certains(es) personnes étrangerères.

Le CNDH affirme s’être saisi de ces informations et qu’il réalise les investigations nécessaires. Dans ce cadre, le conseil annonce qu’il prendra attache avec l’ensemble des acteurs concernés conformément à son mandat.

Dans son communiqué, le Conseil profite de l’occasion pour réitérer la nécessité de garantir le principe fondamental de non-discrimination en conformité avec la Constitution qui dispose dans son préambule l’engagement du Royaume « à bannir et combattre toute discrimination à l’encontre de quiconque, en raison du sexe, de la couleur, des croyances, de la culture, de l’origine sociale ou régionale, de la langue, de le handicap ou de quelque circonstance personnelle que ce soit ».

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«Paris Games Week» : inwi récompensé pour son engagement en Afrique

inwi annonce avoir reçu aujourd’hui, jeudi 31 octobre 2019 à Paris, « Africa Gaming Award ». Un Prix qui a été attribué à l’opérateur marocain lors de la «Paris Games Week», salon classé désormais dans le Top 3 mondial des salons dédiés à l’industrie des jeux vidéo. A titre indicatif, cet évènement a accueilli  plus 315 000 visiteurs en 2018.

Commentant la consécration d’inwi, Ivan Nayfeld, co-fondateur & CEO Webedia Africa, co-organisateur de la «Paris Games week» a mis en exergue l’engagement de inwi aux côtés des gamers et des développeurs marocains et africains.

De son côté, Nadia Fassi-Fehri a affirmé que cette consécration vient reconnaître et prouver tout l’engagement et la performance de inwi pour le développement du gaming, aussi bien au Maroc qu’en Afrique. ET la PDG d’inwi d’ajouter : «Les réalisations accomplies par inwi dans ce secteur favorisent incontestablement l’émergence d’un écosystème innovant et dynamique qui va permettre à notre pays de mieux se positionner au sein d’une industrie d’un genre nouveau mais dont l’essor mondial est considérable».

Pour rappel, l’année dernière inwi avait franchi un nouveau cap en inaugurant à Casablanca, en partenariat avec Moroccan Gaming Evolution (MGE), le plus grand centre dédié aux jeux vidéo en Afrique. Cet espace est conçu par et pour les gamers. Il est équipé d’installations modernes (80 machines ultra-performantes) mais aussi d’une infrastructure réseau de pointe et aussi d’espaces qui offrent un confort de jeu inégalé. L’objectif d’un tel centre est de favoriser l’émergence de talents d’envergure internationale dans le domaine du Gaming.

Simultanément, Inwi avait déjà lancé la 3ème saison de la « Inwi e-league », première ligue professionnelle entièrement dédiée à l’e-sport, ainsi qu’une plateforme incontournable qui permet aux meilleurs joueurs nationaux de se confronter et de se qualifier afin de représenter le Maroc aux championnats mondiaux. La inwi e-league est également reconnue mondialement comme la seule ligue de jeux vidéo au Maroc qui permet de se qualifier à l’ESWC. Cet événement international emblématique qui contribue au développement des sports électroniques et invente chaque année les nouvelles formes de son expression.

Pour rappel, l’ESWC et inwi avaient annoncé, en 2018, la naissance de l’ESWC AFRICA by inwi, une première pour l’eSport africain qui a vu la participation des meilleures équipes dans un tournoi aux standards internationaux !

 

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NASA : Médaille du service exceptionnel au Marocain Kamal Oudrhiri

L’Agence spatiale américaine (NASA) vient d’octroyer la prestigieuse Médaille du service exceptionnel au Marocain Kamal Oudrhiri, une nouvelle consécration qui vient récompenser les performances soutenues et les multiples contributions de ce scientifique aux projets et programmes de la NASA.

Oudrhiri qui compte une vingtaine d’années de service au sein de l’Agence leader, de l’exploration aérienne et spatiale, s’est vu également attribué cette année 5 prix d’excellence par équipes que la NASA accorde dans un signe de l’importance du travail collectif pour la réussite des misions spatiales.

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36 600 enseignants mutés au titre de l’année scolaire 2020-2021

Un total de 36 691 enseignants des établissements scolaires publics ont bénéficié du mouvement national de mutation au titre de l’année scolaire 2020-2021, contre 27 913 en 2019-2020, soit une hausse de près de 8 778 bénéficiaires, a annoncé le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Ce mouvement a profité à 22.810 enseignants du cycle primaire, contre 15.625 l’année dernière, à 8.004 enseignants du secondaire collégial, contre 6.793 l’année dernière et à 5.877 enseignants du secondaire qualifiant, contre 5.495 l’année dernière, a précisé le ministère dans un communiqué.

Le département a en outre indiqué que la procédure de recours sera ouverte durant sept jours à compter de la date de publication de ces résultats, précisant que les demandes sont à adresser par voie hiérarchique auprès des Académies régionales d’éducation et de formation, avant le 8 novembre 2019.

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Casablanca : Pas de nouveaux bus avant 2021

L’Etablissement de coopération intercommunale (ECI) « Al Baida » et la société Alsa Maroc ont conclu, jeudi 31 octobre 2019, le contrat de gestion déléguée de transport collectif urbain par autobus dans le territoire des 18 communes du Grand Casablanca.

Signé par la présidente d’Al Baida, Imane Sabir, le directeur général d’Alsa Maroc, Alberto Perez, et le directeur général de Casa Transports, Nabil Belabed, ce contrat prend effet le 1er novembre 2019 et porte sur une durée de 10 ans, pouvant être prolongée de 5 ans.

Ce nouveau contrat comprend une première phase, dite d’initialisation, qui s’étend du 1er novembre 2019 au 31 décembre 2020, durant laquelle Alsa Al Baida, dénomination donnée à la nouvelle filiale du groupe Alsa Transport, opérera, d’abord, avec quelque 250 bus « dans un état fortement détérioré » repris de M’dina Bus, dont le contrat a expiré au 31 octobre courant. Ensuite, la société mettra en circulation, de manière progressive, 400 bus d’occasion.

La phase suivante prendra effet à partir de 2021 et devra connaître le déploiement d’une flotte permanente de 700 bus nouveaux, financés conjointement par l’ECI et Alsa.

Le contrôle de ce nouveau contrat sera confié à la SDL Casablanca Transport SA, dans le cadre d’un mandat de l’ECI relatif au pilotage opérationnel dudit contrat.

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RAM : Une passagère accouche sur un vol Casablanca-New York

Une passagère a accouché d’une petite fille une heure après le décollage du vol AT200 de Royal Air Maroc (RAM), reliant Casablanca à New York le 30 octobre 2019, indique la compagnie aérienne dans un communiqué.

La passagère avait ressenti les premières contractions quelques minutes après le décollage à 16h15 (heure marocaine), souligne la RAM, ajoutant que la cheffe de cabine a effectué avec succès l’acte d’accouchement à 17h20, assistée par le personnel navigant commercial (hôtesses et stewards).

Conformément à la réglementation en vigueur, le commandant de bord a été contraint de faire demi-tour en urgence. A l’arrivée de l’avion à l’aéroport Mohammed V de Casablanca, le bébé et la maman, en parfait état de santé, ont été accueillis par les services d’urgence pour leur offrir l’assistance médicale.

La RAM précise, à cet effet, que les hôtesses et stewards de la compagnie nationale sont formés aux différentes techniques d’intervention médicale en cas d’urgence, y compris les opérations d’accouchement.

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L’ADII se dote d’un nouveau système de marquage fiscal intégré et sécurisé

L’Administration des douanes et impôts indirects (ADII) a signé récemment avec la société « SICPA SA » une convention lui permettant de se doter d’un nouveau système de marquage intégré et sécurisé pour le contrôle de certaines marchandises soumises aux taxes intérieures de consommation (TIC), a annoncé, jeudi 31 octobre 2019, l’ADII dans un communiqué.

Cette convention prévoit des investissements et des fonctionnalités innovantes qui s’articulent autour de la création d’une valeur ajoutée locale en procédant à la production de marques fiscales au niveau national, l’installation d’un centre d’excellence, de compétence et de recherche au Maroc qui favorisera le transfert de l’expertise au niveau local et une possibilité d’ouverture sur les marchés de l’Afrique, a fait savoir l’ADII.

Elle prévoit également l’introduction de nouvelles technologies de suivi et de traçabilité tel que l’usage des codes QR et codes HRC alphanumériques permettant aux opérateurs et aux consommateurs de vérifier l’authenticité des produits, ainsi qu’ une solution basée sur des exigences technologiques plus poussées avec une réduction importante des coûts des marques fiscales de l’ordre de 50% pour les tabacs manufacturés, de 35% pour les bières et de 20% pour les autres produits, a ajouté la même source.

Consciente de la nécessité d’adopter des méthodes de contrôle moins intrusives et plus performantes, et dans le but d’optimiser ses moyens d’action (humains et matériels) tout en améliorant ses résultats, l’ADII s’était engagée depuis plusieurs années dans un processus de réforme du contrôle de la production et de l’importation de certaines marchandises soumises aux TIC, notamment, les tabacs manufacturés, les boissons alcoolisées et non alcoolisées.

Ce souci de performance a été matérialisé en 2010 par l’adoption d’un système de marquage fiscal intégré et sécurisé fourni et mis en place par un opérateur retenu suite à un appel d’offres international, et qui a permis de réduire les effectifs alloués au contrôle, en matière de TIC, tout en améliorant le rendement fiscal de ces taxes, ainsi que la lutte contre la fraude et la contrebande.

La convention conclue avec le prestataire actuel arrivant à échéance le 31 décembre 2019, l’ADII a opté, dans une logique de transparence et afin d’encourager la compétition entre les concurrents, pour le lancement d’un appel à concurrence portant agrément d’un nouveau prestataire pour la fourniture, l’installation et la mise en service d’un système de marquage intégré et sécurisé pour le contrôle de certaines marchandises soumises aux TIC. La société « SICPA SA » a été retenue par l’ADII suite à cet appel à concurrence.

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Vidéo – Le Pentagone dévoile les premières images du raid contre Baghdadi

L’armée américaine a dévoilé mercredi 31 octobre 2019 les premières images et vidéos de son opération commando en Syrie qui a abouti à la mort du chef de l’Etat islamique (EI) Abou Bakr al-Baghdadi, cinq autres membres du groupe jihadiste, et deux « jeunes enfants ».

Lors d’une conférence de presse, le Pentagone a diffusé plusieurs photos et extraits vidéos où l’on voit notamment une dizaine de soldats approcher, dans la nuit de samedi à dimanche, de l’enceinte du complexe où était caché le chef jihadiste dans un village du nord-ouest de la Syrie.

Le Pentagone a apporté certaines clarifications au sujet du déroulement de l’opération.

Ainsi, lorsqu’Abou Bakr al-Baghdadi a fait exploser la bombe qu’il portait sur lui dans le tunnel dans lequel il était acculé, la détonation a tué, outre lui-même, deux jeunes enfants, et non trois comme les autorités américaines l’avaient initialement affirmé.

« En plus des deux enfants », « six membres de l’EI sont morts en tout » au cours du raid: « quatre femmes et deux hommes dont Baghadi », a déclaré le général Kenneth McKenzie, chef du commandement central américain. Les femmes agissaient « de manière menaçante » et portaient des gilets explosifs.

Il a assuré que onze autres enfants avaient été « protégés par les forces d’assaut » et deux hommes capturés. Du matériel électronique et des documents en quantité « substantielle » ont été saisis.

D’autres combattants non identifiés ont été tués dans les environs lorsqu’ils ont ouvert le feu contre les hélicoptères américains, a précisé le général sans en fournir le nombre. Une vidéo montrant des frappes aériennes contre ce groupe de combattants a été diffusée.

Quant au chien-soldat salué comme un « héros américain » par le président Donald Trump, qui a précédé les militaires dans le tunnel, il a été blessé par des fils électriques mis à nu par la détonation provoquée par le chef jihadiste, mais il est prêt à reprendre du service.

Une fois l’opération terminée, le complexe a été « détruit » pour éviter qu’il devienne « un lieu de pèlerinage », a ajouté le général McKenzie, en montrant des images dans lesquelles les lieux ressemblent selon lui à « un terrain vague avec de gros nids de poule ».

La dépouille d’Abou Bakr al-Baghdadi ont été « immergés en mer conformément aux lois de la guerre dans les 24 heures suivant sa mort », a-t-il ajouté.

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La CIN dans nouvelle mouture est fin prête

La CIN dans sa nouvelle forme est prête. La loi relative à cette carte sera soumise dans les prochains jours au conseil du gouvernement, ensuite au Parlement pour un examen approfondi, a relevé le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit.

Cette nouvelle carte dispensera les citoyens de tous les autres documents tels que les certificats de vie ou de nationalité, a-t-il expliqué en réponse à une autre question orale autour du thème « La carte d’identité nationale (CIN) électronique », posée par le groupe constitutionnel démocratique et social.

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Guillaume Jobin :  «maintenant c’est le Maroc qui gère la France et non le contraire»

«Le Roi, le Maroc de Mohammed VI» est le dernier ouvrage de Guillaume Jobin consacré au Royaume. Le président de l’École supérieure de journalisme de Paris a co-écrit ce livre avec la journaliste Valérie Morales-Attias.
Dans cet ouvrage de 260 pages publié chez «Descartes & Cie», à Paris, les deux auteurs reviennent sur les temps forts qui ont jalonné le règne de Mohammed VI. Ils ne cachent ni leur admiration pour le Roi ni leur amour inconditionnel pour le Maroc, leur pays de cœur et d’adoption. Les deux observateurs en seraient, c’est un comble, presque, chauvins ! Si les deux écrivains encensent la diplomatie du Roi et la politique étrangère du pays ; ils sont en revanche plus critique avec la politique interne du Maroc et ses soubresauts.
Guillaume Jobin dénonce notamment des partis de «notables» qui auraient, selon lui, non seulement «échoué à imposer et défendre l’action royale mais également à évincer le PJD». Pendant un entretien d’une heure dans sa maison à Rabat, le président de l’École supérieure de journalisme de Paris revient pour notre journaliste Noufissa Charaï, sur les principaux points développés dans son opus.
Guillaume Jobin, écrivain et président de l’école supérieur de journalisme de Paris.

Guillaume Jobin, écrivain et président de l’école supérieur de journalisme de Paris.

L’Observateur du Maroc et d’Afrique : Êtes-vous d’accord pour dire que ce livre est avant tout une déclaration d’amour au Maroc ?

Guillaume Jobin : Ce livre révèle notre passion à Valérie et moi, pour le Maroc. Nous habitons au Maroc parce que nous aimons profondément ce pays. Nous essayons d’être honnêtes, car nous savons que nous ne pouvons pas être vraiment objectifs alors que nous vivons ici. Pour paraphraser Nicolas Sarkozy : «le Maroc on l’aime ou on le quitte».

Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire ce livre ?
Les succès diplomatiques de Mohammed VI en Afrique nous impressionnent ! Dans le monde actuel, il y a deux personnages étonnants de manière positive : Mohammed VI et Vladimir Poutine. Je ne fais pas de parallèle entre les deux, mais ce sont deux hommes forts. Concernant le Roi, nous sommes impressionnés par plusieurs points : il a réussi à rallier la Russie à la cause du Sahara marocain, il négocie avec la Chine, il a inversé les rôles dans la relation avec la France. C’est-à-dire que maintenant, c’est le Maroc qui gère la France et non le contraire. Il dirige le Maroc avec brio au vu de la situation chaotique de la vie politique du pays.

Depuis votre arrivée au Maroc en 2008, votre regard sur le pays et le règne de Mohammed VI a-t-il évolué ?
Cela fait 11 ans que je suis au Maroc, dont 6 ans à temps plein. J’ai noté trois points : il y a une libéralisation réelle du Maroc. Aujourd’hui, au Maroc nous pouvons dire ce que nous voulons, il y a une réelle liberté. La seule ligne rouge depuis quelques temps, à mon avis, c’est le Hirak, le désordre public.

Deuxièmement, il y a une évolution économique manifeste et j’en veux pour preuve la prolifération des voitures au Maroc que la petite classe moyenne peut désormais acheter à crédit.

Le troisième point, ce sont « les activistes du clavier », c’est-à-dire la libéralisation de la parole notamment grâce aux réseaux sociaux et de la bourgeoisie marocaine qui critique sans modération le Royaume.

Vous rappelez la relation complexe qu’entretient le Maroc avec des pays communistes ou anciennement communistes. La question des provinces du sud est-elle l’unique raison qui l’explique ?

Pour l’Algérie, la question du Sahara est le seul moyen « d’embêter » le Maroc. Concernant le Venezuela ou l’Afrique du Sud, par exemple, nous sommes dans un réflexe marxiste que nous retrouvons chez la gauche et la presse françaises. Le Parti socialiste en France est en grande partie idéologiquement anti-Maroc, ils sont restés bloqués à l’époque de «Notre ami le Roi».

Paradoxalement, Cuba, véritable pays communiste, est prêt à se rallier à la position marocaine car il est sorti de cette logique tiers-mondiste. Factuellement, à part le Zimbabwe et l’Afrique du Sud, tous les autres pays de culture marxiste historique se sont alignés sur la position marocaine.

Vous revenez également sur la relation Maroc-Espagne et vous précisez que le Royaume «passe sous silence» certaines affaires – la question de Ceuta et Melilla ou encore le problème des travailleurs agricoles saisonniers en Espagne – afin de protéger sa relation avec son premier partenaire économique. Cette stratégie vous parait-elle être la bonne ?
Je ne suis pas certain que ce soit stratégique de faire une guerre politique à l’Espagne sur ces questions. Au Maroc, avec la présence du Roi, il y a une continuité de la politique du pays. Or en Espagne, les forces politiques alternent. Résultat, la position espagnole n’est pas stable, car les interlocuteurs changent tous les 3 ans en moyenne. Le Maroc est à 15 kms des côte européennes, il a intérêt à se faire discret pour tirer profit au maximum de l’Union européenne et de ses ressources.

Vous estimez que dès 2007, avec le départ du président Jacques Chirac, la relation franco-marocaine a changé. Sur quels éléments vous basez-vous pour dresser ce constat ? Dans quel sens la relation a-t-elle changé ?

Tout le monde parle de Jacques Chirac, mais François Mitterrand soutenait aussi le Maroc. Pour Nicolas Sarkozy, le Maroc se limite à Marrakech. François Hollande, lui, était hostile au Maroc comme nous l’avons vu avec la crise franco-marocaine de 2014. Pour Emmanuel Macron, j’estime que le Maroc n’est pas un sujet prioritaire. Je ne dirai pas qu’il y a une dégradation de la relation franco-marocaine, mais c’est un peu comme un couple qui fait désormais «chambre
à part».

Plusieurs raisons expliquent le délitement de la relation : le Maroc a compris que la France ne servait plus de relai à Bruxelles, il a développé des relations bilatérales avec de nombreux pays y compris des pays parfois hostiles comme l’Afrique du Sud. Pour finir, la France fait l’erreur actuellement de voir le Maroc selon des intérêts économiques et non plus culturels ou autres comme autrefois.

Vous évoquez la présence des écoles françaises au Maroc, mais également les instituts. Le soft power français au Maroc perd-il néanmoins du terrain ? A qui cela profite-t-il ?

Personne ne s’inquiète de la disparition du français au Maroc, sans parler la darija, il est devenu très compliqué de communiquer au Maroc. Le problème c’est que cette disparition ne profite à personne et certainement pas à l’anglais comme le disent certains. Essayez de parler anglais dans les rues pour voir… (Rires) L’arabisation a été un échec, je l’ai constatée dans mon école de journalisme au Maroc : les jeunes aujourd’hui ne maitrisent ni l’arabe classique ni le français ! Ceux qui parlent bien français, je les envoie faire un master en France afin qu’ils intègrent des rédactions, pour inverser la tendance « algérienne » !

Je me sens très bien au Maroc, j’essaye donc à ma hauteur de rendre ce que ce pays me donne.

Concernant la politique arabe du Maroc, vous rappelez les liens avec les pays du golfe et notamment la position du Maroc sur la crise au Qatar. Pouvons-nous parler de courage politique dans cette décision ?

La position sur le Qatar relève évidemment du courage politique tout comme la décision de quitter la coalition saoudienne en guerre contre le Yémen. Pourtant, le Maroc «boucle ses fins de mois» notamment grâce à l’argent des Saoudiens et des Émiratis. Le pays doit composer avec ces Etats arabes tout en gardant son indépendance. Le Maroc n’est peut-être pas un pays très riche, mais il est un des plus civilisés au sens de l’histoire et de la culture.

Le retour du Maroc au sein de l’Union Africaine (UA) est une victoire. Cette stratégie est-elle payante selon vous par rapport au dossier du Sahara ?

Elle est payante indirectement car le Maroc a décidé que cette question ne serait pas tranchée par l’OUA, mais plutôt à l’ONU, l’instance finale. Mais en réintégrant l’instance africaine, nous constatons aussi une expansion économique, culturelle et religieuse du Maroc en Afrique.

L’ambassadeur marocain en Côte d’Ivoire fait un travail remarquable : le pays qui était un pré carré de le France en Afrique est devenu celui du Maroc !

Vous rappelez l’échec du grand Maghreb, croyez-vous davantage en l’intégration du Maroc à la CEDEAO ? Le marché commun et une éventuelle monnaie unique sont-ils une chance pour le Maroc ?

Je pense que le marché commun du Maghreb reste indispensable. En revanche, je pense qu’une monnaie unique aurait plus de sens avec les pays de la CEDEAO. Personnellement, je crois en ce projet et ne vois pas le nationalisme populaire marocain comme un obstacle à la monnaie unique. Je pense que le gouvernement doit parler de cette monnaie comme d’un « dirham CFA ».

Le dirham est une monnaie très stable et les pays d’Afrique de l’ouest pourront en profiter. Parallèlement, il faut développer la langue française, seul moyen pour ces pays de communiquer.

Le Roi a voulu faire du Maroc un pôle universitaire en Afrique. Comment mieux intégrer ces étudiants et éviter qu’ils soient « ghettoïsés» comme en France ? Avez-vous l’impression que la société marocaine est prête à assumer son « africanité » ?

Avant, l’Afrique au Maroc signifiait dans l’esprit des gens «l’étage du dessous». Le discours officiel commence à se traduire dans la réalité, les Marocains revendiquent désormais leur «africanité». Le racisme comme en France, c’est avant tout un problème économique. Les élites marocaines, les étudiants et les commerçants ont aussi un rôle à jouer. Dans un monde idéal, les Marocains devraient se sentir autant africains qu’arabes, mais aussi européens, sans oublier leur composante amazighe.

La fondation MVI pour la formation des oulémas est-elle une forme de soft power du Maroc en Afrique ?
Ce que j’observe avec les Maliens ou les Sénégalais, par exemple, c’est qu’ils parlent de cette fondation comme une référence. En revanche, lorsque j’étais au Sénégal récemment, j’ai constaté qu’il y avait de nombreuses mosquées construites avec des minarets ronds et non carrés ce qui correspond à l’architecture du Moyen-Orient et non à celle du Maghreb. L’argent venant donc du Qatarou de l’Arabie saoudite est encore très présent sur le continent, or l’influence du Maroc en Afrique se fait sans argent et cela fonctionne très bien !

Un homme de l’Église catholique est obligé de respecter la ligne officielle du Vatican, il faut en faire de même avec les imams au Maroc ! Il faut un contrôle très strict pour assurer le développement de l’islam marocain malékite, et c’est le travail du ministère des Habous. En Turquie par exemple, pour avoir le droit de faire l’appel à la prière il faut passer un examen de chant. La dimension esthétique compte également dans l’imprégnation religieuse.

Vous avez refusé de prendre position sur l’affaire Hajar Raissouni qui a mobilisé une partie de la société marocaine, pour quelle raison ?
Malgré les pressions, je n’ai pas voulu signer la pétition pour l’avortement, car elle est destinée à être présentée au Parlement, or je ne suis pas citoyen marocain. Je n’aimerais pas qu’un Marocain sans passeport français se mêle de la politique intérieure en France. Concernant le cas particulier de madame Raissouni, je ne me suis pas exprimé car j’estime ne pas disposer (encore) de suffisamment d’informations.

 

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HCP : La population active devrait atteindre 64,7% en milieu urbain en 2019

La part de la population en âge d’activité, 15-59 ans, continue de s’accroître à un rythme important en milieu urbain pour atteindre 64,7% en 2019, selon le rapport national sur la Population et Développement au Maroc.

En milieu rural, la part de la population en âge d’activité devrait atteindre 59,6% durant la même année, fait savoir le rapport du Haut-Commissariat au plan (HCP).

Au Maroc, malgré la baisse relative de la population des moins de 15 ans, la population demeure jeune, relève la rapport, précisant que la part des enfants de moins de 15 ans est passée de 37% en 1994, à 28,2% en 2014 et devrait atteindre 26,2% en 2019.

Quant à la population âgée de 60 ans et plus, elle était de 7,1% en 1994 et 9,4% en 2014 et devait atteindre 10,8% en 2019. La même source souligne en outre que le taux d’activité ne dépasse guère 46% en 2017, et s’inscrit dans une baisse continue depuis les années 2000 où il était de 54%, relevant que l’enjeu pour l’avenir est de comprendre les déterminants de cette tendance baissière du taux d’activité.

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Emprunts : L’Etat protège les arrières de l’ONCF

Le gouvernement vient de publier un décret, signé par le ministre de l’Économie et des finances, selon lequel l’Etat se porte garant à des emprunts que l’ONCF compte souscrire.

Selon ce décret publié dans le dernier numéro du Bulletin officiel, il s’agit des crédits obligataires de 3 MMDH. La garantie de l’Etat, qui comprend le remboursement du montant initial et des intérêts, est un engagement à régler à la place des établissements et entreprises publiques qui n’arrivent pas à rembourser leurs crédits.

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OCP: Le dispositif « Al Moutmir itinérant » fait escale à Larache

Le Groupe OCP a fait escale mardi 30 ocotbre 2019 à Larache dans le cadre de la nouvelle tournée nationale de son dispositif « Al Moutmir itinérant » pour la campagne agricole 2019-2020.

Cette étape, qui se poursuit jusqu’au 31 octobre, s’inscrit dans le cadre de la nouvelle tournée lancée le 10 septembre dernier et qui, en plus de l’initiative Al Moutmir permanent, accompagnera la campagne agricole 2019-2020 à travers des actions ciblées dans près de 28 provinces permettant de proposer un accompagnement diversifié aux agriculteurs tout au long de l’itinéraire technique, indique le groupe dans un communiqué. L’édition 2019-2020 d’Al Moutmir Itinérant ciblera trois grandes familles de cultures : céréales et légumineuses, arboriculture et maraîchage, note le communiqué, ajoutant que de nouvelles cultures vont être accompagnées tels que le palmier, le pommier, le figuier et les arachides.

Le dispositif fera escale dans 28 provinces, soit 180 localités à fort potentiel à travers le Royaume, et ce afin de cibler pas moins de 10.000 agriculteurs. De nouvelles provinces et de nouvelles cultures sont prévues pour cette édition, ainsi que 10.000 analyses de sol à réaliser.

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Vidéo – Fabrice Le Saché : « Le Maroc est un partenaire très important mais il ne suffit pas de le dire »

Appel à mobilisation du vice-président et porte-parole du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), Fabrice Le Saché, en marge du Business Dialogue organisé, mercredi 30 octobre 2019 entre patronats français et marocain au siège de la CGEM. Pour le numéro 2 du MEDEF, les entreprises françaises marocaines ne peuvent pas réussir au Maroc sans les entreprises marocaines.

Recueillies par Hamza Makraoui et Khalid Chouri

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Billet d’humeur « La musique casse les barrières et les codes »

Billet d’humeur

« La musique casse les barrières et les codes »

 

Véritable ovni musical, Billet d’humeur venu présenter son 1eralbum « Hollywood » à Tanjazz 2019 a hypnotisé le public avec leur pop vocale électro. Un opus original à la croisée des genres entre pop-électro, hip-hop et chanson. Constitué de 3 chanteurs urbains et 1 DJ électro, le groupe issu du métro parisien a réussi à se faire remarquer par l’énergie de ses prestations scéniques et l’originalité de ses compositions dansantes créées au Beatbox et à la voix auxquelles s’ajoutent des effets électroniques.

 

 

 

C’est votre 1èrefois au Maroc ?

 

C’est la 1èrefois qu’on vient au Maroc, la 2efois en Afrique. C’est un honneur pour nous de nous produire dans un festival comme Tanjazz, qui célèbre ses 20 ans cette année, c’est assez spécial ! C’est aussi un honneur pour nous de représenter les musiciens du métro et leur structure ici et quelque part la musique française.

 

Vous êtes des amis d’enfance ?

 

Allan et moi, on est des frères jumeaux, Davy est notre ami d’enfance, on était au collège ensemble, on jouait au foot ensemble, et JB (DJ), on l’a rencontré il y a 8 ans dans un bar, il a trouvé que notre musique tournait en rond, et il a apporté cette touche un peu moderne qui nous caractérise assez.

 

Comment s’est constituée votre formation ?

 

JB :Très naturellement, c’est l’amitié qui a pris le pas avant la musique. Quand je les ai rencontré, ils étaient déjà potes entre eux, et humainement ça a marché, et après, on a commencé à parler de musique. La 1ère que je les ai rencontré, je n’ai pas écouté ce qu’ils disaient, je me suis occupé du son, je leur ai organisé le concert. Mais quand j’ai vraiment écouté ce qu’ils chantaient, j’étais impressionné par leur talent et j’étais convaincu qu’avec de la musicalité en plus, ça ne pouvait que cartonner !

 

A l’époque, vous faisiez déjà de la Pop vocale ?

 

Entre nous trois, on ne savait pas forcément ce que c’était, alors on faisait ça avec nos bouches dans les transports, c’est après que JB soit venu que ça s’est solidifié, qu’on a pu être un vrai groupe. Et comme on jouait un peu partout, dans les métros,… les Musiciens du métro nous ont repéré et nous ont proposé de passer par leur label, pour faire les choses dans les normes et c’est grâce à eux, qu’on s’est fait connaitre.

 

Quelle est votre source d’inspiration ?

 

La vie de tous les jours, on n’écrit pas pour nous mêmes, ça reflète vraiment l’humeur générale du groupe et ce que peut vivre notre entourage. C’est un peu une synthèse des idées qui viennent de tout un chacun.

 

Les thèmes qui vous tiennent à cœur ?

 

On parle de racisme, de la perte d’un être cher, de violence conjugale, de la prostitution, des relations entre amis, d’amour, d’égo …En fait, on parle de nos vies puis ça se reflète chez les autres comme ils le sentent et si ça marche, c’est juste parce qu’on parle d’espoir. Il y a toujours une petite touche d’espoir dans nos chansons, et ce sont les retours positifs du public après les concerts qui nous montrent qu’on est sur la bonne voie. On a appelé notre 1eralbum « Hollywood » justement dans cette idée d’espoir, de ne jamais lâcher ses rêves. Ce n’est pas l’Hollywood américain « déplorable » qui nous intéresse, mais plutôt cette idée d’Eldorado, cette image de colline, partir du bas pour aller vers le haut ! C’est un peu ça le billet d’humeur.

 

Vous vous attendiez un jour d’en arriver là ?

 

Non, on jouait du foot, on s’est juste promis qu’à 23 ans, on jouerait à l’Olympia. Et ce qui est hyper drôle c’est qu’à 24 ans, on a joué à l’Olympia, via les Musiciens du métro, au côté d’artistes fabuleux comme Matthieu Chedid ! On nous a beaucoup critiqué parce qu’on n’a pas de formation de musiciens, on ne savait pas bien placer notre voix mais on n’a rien lâché on a beaucoup appris et on a toujours cru en notre potentiel.

Jouer à l’Olympia c’était juste impressionnant, car il y a une proximité incroyable avec le public que tu ne retrouves pas dans les grandes salles. On a vraiment l’impression d’être sous le regard de tout le monde et c’est ce qui fait monter l’adrénaline. Et comme on est d’anciens sportifs, on veut toujours voir le terrain avant d’y mettre les pieds. A Tanger, on a joué à la Kasbah, il y a une proximité assez folle d’en bas, et du coup une intimité qui fait monter un peu la pression. On ressent le gens, il y a un échange immédiat très fort qui se produit.

 

Le fait d’avoir commencé dans le métro, ça vous a aidé ?

 

C’est la meilleure école, car dans les métros, c’est très difficile d’attirer l’attention des gens.  Sur scène, il y a aussi des moments où le public n’a plus d’attention et là, il y a la petite touche métro qui ressort, cette théâtralité dans notre show qui permet de réinstaller l’atmosphère.

 

Cette théâtralité vous la travaillez avant où ça s’improvise ?

 

On la travaille énormément, mais c’est aussi dans le quotidien, c’est dans le discours, le dialogue. On la travaille aussi en répétition dans le studio, mais on se laisse toujours une marge d’improvisation ; après, quelque chose que tu ne fais pas dans la vie, tu ne la feras pas sur scène, c’est une cohérence entre ce que tu es dans la vie. Quand tu montes sur scène, tu es la finalité de ce que t’es dans la vie. On doit être cohérent quant à l’image qu’on véhicule.

 

Quel style voulez-vous développer ?

 

Le Beatbox est une base qui nous sert pour composer et ensuite il y a une mutation vers l’électronique, après on ne renie pas le côté organique, nos voix, nos bases, nos racines, et on sait que dans notre prochain album, c’est l’évolution de ce qu’on est en fait. On se concentre beaucoup sur les thèmes, les humeurs, les textes, et c’est une chose qu’on s’est interdit dans le 1eralbum, on découvrait, on était un peu timides, mais aujourd’hui, on a plus de choses à dire, on apprend du milieu autrement et il nous tarde de sortir un nouvel album.

 

C’est votre manière à vous de vous exprimer ?

 

Oui, c’est une raison de vivre, on ne se voit pas autre part, on a essayé pourtant le foot, mais bon…on est entre nous, on est une famille en fait, ce qui est magique avec notre musique, c’est qu’on arrive à ressembler, on a un groupe constitué de 3 noirs et un blanc, on est d’origine martiniquaise, africaine, franco-irlandaise, et donc, Billet d’humeur n’a pas de couleurs, c’est notre grande force. Sauf que c’est la plus grande difficulté dans le paysage musical parce qu’on subit des fois le racisme. La musique c’est une façon de casser les codes, les barrières,et avec la musique, on est accepté partout. En plus, on a appris qu’il y a une responsabilité artistique derrière, on aime bien transmettre.

 

Bientôt un nouvel album ?

 

Oui, « Hollywood » c’était un peu les rêves qu’on avait. On nous a un peu démolis face à nos rêves, mais on est toujours là.  On a aussi pris conscience de certaines difficultés, du coup, on a beaucoup de revendications. Ce n’est pas une musique contestataire, c’est plus brut, moins édulcoré, on rentre plus vite dans l’essentiel. Dans le 2ealbum, on garde toujours ce brin d’espoir mais on s’assume plus en tant qu’artistes et en tant qu’hommes. Aujourd’hui, on se sent plus responsables, avant, on assumait moins, on était un peu timides, plus naïfs et on manquait de maturité, on allait dans tous les styles de musique, là, on reste cohérents. Désormais, on assume le fait de vouloir rentrer dans l’histoire musicale, alors qu’avant on trouvait cela prétentieux. On n’a plus peur de briller et d’être N°1. Bien sûr, il ne s’agit pas d’écraser les autres mais de se prouver à nous-mêmes qu’on peut être meilleurs et devenir une meilleure version de nous-mêmes.

 

Accroche

Notre prochain album sera plus brut, moins édulcoré !

 

 

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Wednesday, October 30, 2019

Sahara : Le Conseil de sécurité renouvelle pour une année le mandat de la MINURSO

Le Conseil de sécurité des Nations-Unies a décidé, mercredi 30 octobre 2019 à une écrasante majorité, de proroger pour une année le mandat de la MINURSO, tout en consacrant, une fois de plus, la prééminence de l’initiative marocaine d’autonomie pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain.

Le Conseil de sécurité “décide de proroger le mandat de la MINURSO jusqu’au 31 octobre 2020”, lit-on dans le texte de la résolution 2494 présentée par les Etats-Unis.

Dans ce texte, l’instance exécutive des Nations-Unies a consacré, encore une fois, la prééminence de l’initiative d’autonomie, présentée par le Royaume le 11 avril 2007, en se félicitant des efforts “sérieux et crédibles” du Maroc, incarnés par l’initiative d’autonomie.

De même, la résolution consacre, à nouveau, l’Algérie en tant que partie principale au processus politique sur le Sahara, tout en soulignant la nécessité de “parvenir à une solution politique réaliste, pragmatique et durable” à la question du Sahara “qui repose sur le compromis”.

Ainsi, le Conseil de sécurité encourage “la reprise des concertations entre le prochain Envoyé personnel” du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara et les parties prenantes à ce différend régional, à savoir le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le polisario.

Dans ce sens, l’instance exécutive de l’ONU souligne l’importance que les parties prenantes s’engagent à nouveau à faire avancer le processus politique sous les auspices du Secrétaire général de l’ONU, tout en affirmant qu’il est “indispensable que les parties fassent preuve de réalisme et d’un esprit de compromis pour aller de l’avant”.

Le conseil appelle également à tenir compte “des efforts faits depuis 2006 et des faits nouveaux survenus depuis, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable”.

La résolution appelle aussi à faire montre de volonté politique et à travailler dans une atmosphère propice au dialogue, assurant ainsi la mise en œuvre des résolutions du Conseil de sécurité depuis 2007, qui est l’année de la présentation par le Maroc de son initiative d’autonomie.

Le Conseil de sécurité reconnait, à cet égard, que “la concrétisation d’une solution politique à ce différend de longue date et le renforcement de la coopération entre les Etats membres de l’Union du Maghreb Arabe contribueraient à la stabilité et à la sécurité, induisant à son tour la création d’emplois, de croissance et d’opportunités pour l’ensemble des peuples de la région du Sahel”.

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Le matelas intelligent débarque au Maroc

Le matelas intelligent débarque au Maroc

Le matelas connecté est désormais disponible au Maroc. Un lit que vous pouvez contrôler depuis votre smartphone conçu pour que votre corps trouve un sommeil réparateur en permettant de conserver une position de votre colonne vertébrale la mieux “alignée” possible quelque soit votre morphologie.

Complètement adaptable, iBedFLEX apprend de vos mouvements et de vos possibles changements corporels. Comme vous pouvez contrôler le lit depuis votre smartphone ou tablette, vous pouvez l’emmener n’importe où et appliquer votre profil personnalisé dans n’importe quel iBedFLEX auquel vous avez accès.

Intelligent. Il surveille votre repos pour obtenir des informations détaillées et complètes sur vos préférences et vos besoins au moment du coucher afin d’améliorer et d’optimiser votre sommeil.

Transférable. Vous pouvez configurer votre lit dans tout autre lit iBedFLEX grâce à l’application et profiter de votre lit partout. Il vous permet également d’obtenir les données moyennes de toutes vos sessions: Indice de qualité du sommeil. Nombre d’heures de sommeil. Nombre de mouvements.

Contrairement à d’autres systèmes de literie, ce matelas mesure les formes de corps d’une ou deux personnes et leurs changements possibles au fil du temps, ajustant la fermeté à chacun d’eux en améliorant le confort et en assurant un sommeil réellement réparateur.

 

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S1-2019 : 54 500 salariés ont bénéficié d’une indemnité pour perte d’emploi

Quelque 54.500 salariés ont bénéficié de l’indemnité pour perte d’emploi depuis sa création jusqu’à la fin du premier semestre 2019, pour un montant de 700 millions de dhs, a indiqué, mardi 29 octobre 2019 à Rabat, le ministre de l’Emploi et de l’Insertion professionnelle, Mohamed Amekraz.

Environ 50% des bénéficiaires ont retrouvé leur emploi et ont été déclarés à nouveau auprès de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), a précisé Amekraz, en réponse à une question orale sur le bilan de cette indemnité, présentée par le groupe Justice et Développement à la Chambre des conseillers.

Par ailleurs, le ministre a souligné que la CNSS a réalisé en 2018 une étude d’évaluation de ce système portant sur la période 2015-2017, afin d’élaborer des recommandations et des propositions visant son optimisation.

Sur la base de cette étude, plusieurs scénarios ont été mis en place pour simplifier et élargir l’accès à l’indemnité pour perte d’emploi, a-t-il assuré.

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Gaz naturel : L’ONEE signe avec Sound Energy

Les patrons de l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) et de Sound Energy Morocco East Limited ont signé hier, mardi 29 octobre 2019 à Rabat, un protocole d’accord relatif à la vente du gaz naturel issu de la concession Tendrara.

Cet accord, précise l’ONEE dans un communiqué, porte sur les conditions principales du contrat de vente du gaz naturel par Sound Energy à l’ONEE pour alimenter ses centrales électriques.

Pour rappel, la concession d’exploitation Tendrara a été signé le 17 août 2018 entre la société Sound Energy et le gouvernement et publié au Bulletin Officiel le 3 septembre 2018.

 

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27,8 MMDH d’exonérations et de facilitations fiscales en 2018

Le gouvernement a attribué près de 27,8 milliards de dirhams (MMDH) sous forme d’exonérations et de facilitations fiscales en 2019 contre 28,6 en MMDH l’année dernière. Le rapport sur les dépenses fiscales, accompagnant le PLF, indique que les exonérations au niveau de l’IR ont enregistré une baisse de 20% cette année, s’établissant à 3,6 MMDH. Quant aux exonérations relatives à l’impôt sur les sociétés, elles ont augmenté de 7% s’établissant à 5 MMDH en 2019. Les exonérations sur la valeur ajoutée ont occupé la première place en termes de volume.

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En rupture de stock, un médicament met les cliniques privées dans l’impasse

Certaines cliniques privées se trouvent dans une impasse depuis plusieurs semaines. Le syntocinon, médicament très utilisé en chirurgie obstétricale, est en rupture de stock. Le syntocinon est administré à la femme enceinte pour stimuler l’accouchement et éviter les graves complications liées à la grossesse, l’accouchement et les fausses couches. Ces cliniques font avec les moyens de bord, quitte à refuser d’accueillir les femmes enceintes.

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Les fonctionnaires du ministère de l’Economie entrent en grève

Les fonctionnaires du ministère de l’Economie et des finances ont décidé d’observer une grève. Le Bureau national du Syndicat national des finances, relevant de de la CDT, a annoncé une grève nationale en guise de protestation contre l’absence d’un dialogue sérieux aboutissant à des réponses aux revendications du personnel.

Parmi ces principales revendications figure l’élaboration d’un statut particulier du personnel du ministère qui répond aux exigences des employés, notamment la problématique des primes accordées en dehors de la loi. Dans une lettre adressée au ministre, le syndicat a dénoncé l’adoption du statut particulier du personnel de l’Administration des Douanes et Impôts indirects (ADII), et l’exclusion du reste des fonctionnaires.

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Le Real Madrid veut renforcer sa présence au Maroc

Le Real Madrid, à travers sa Fondation, envisage de renforcer sa présence dans plusieurs pays, dont le Maroc, à travers la mise en place d’écoles socio-sportives.

Un accord de coopération dans ce sens a été renouvelé, mardi au Stade Santiago Bernabéu, entre la Fondation Real Madrid et la Fondation Endesa, le groupe leader dans la péninsule ibérique en matière d’énergies renouvelables, indique un communiqué du club madrilène.

Les deux parties, qui fêtent 10 ans de coopération, veulent aller de l’avant dans leur partenariat pour développer des projets socio-sportifs déjà mis en place au Brésil, au Pérou, au Portugal, en Espagne et au Maroc.

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SABO « Le public marocain est un des meilleurs au monde ! »

SABO « Le public marocain est un des meilleurs au monde ! »

Incontournable de la communauté mondiale de la dance music, le DJ et producteur William Sabatini, alias Sabo, réputé pour son « son tribal » et ses mélanges de poly-rythmes tropicaux a livré un show explosif avec Amine K lors de la 3e édition du MOGA Festival 2019. Inspiré par ses nombreux voyages dans le monde, le créateur de Sol Selectas Records, a embarqué le public dans un voyage mystique qui traverse plusieurs frontières musicales.

Après son duo avec le célèbre DJ marocain Amine K au festival de Merzouga « Sol Sahara » en avril dernier, le DJ Sabo revient au Maroc pour expérimenter cette fois-ci la dancefloor du MOGA Festival d’Essaouira. Toujours avec son complice marocain Amine K, ils livrent au public un show exceptionnel et les emmènent dans un voyage sonore qui traverse plusieurs frontières musicales avec des mélanges de poly-rythmes tropicaux, de basses fréquences chaudes, de percussions riches, de vocales tribales luxuriantes et de textures organiques lisses. Derrière les platines, son approche innovante de chaque set lui permet de se distinguer lors de festivals tels que Coachella, Lightening in a Bottle, Shambhala, Fusion, Symbiosis, Desert Hearts, Future Future et le bus à cœur de Burning Man. Patron du label «Sol Selectas Records», il est connu pour sa vision dynamique qui redéfinit avec succès une nouvelle veine de la musique dance. Le label classé à chaque sortie dans le Top 10 des meilleures ventes, capte un large éventail de sons, rassemble de nouveaux producteurs underground émergents du monde entier, ainsi que des producteurs bien connus du secteur, concentrant le son sur une musique de danse tribale et spirituelle profonde et la combinant avec les sons modernes de la musique électronique, guidant ses auditeurs vers le futur en diffusant des ondes positives.

C’est votre 1ère fois à Essaouira ?
Oui, mais j’ai visité le Maroc à 5 reprises. J’ai déjà fait un duo avec Amine K à « Sol Sahara » en avril dernier, un festival à Merzouga qui est génial.

Comment vous vous êtes rencontrés avec Amine K ?

On s’est rencontré à Tulum au Mexique, en 2012-13. J’étais DJ à l’époque et il est venu me voir pour me dire qu’il aimait ma musique. On est resté en contact puis je suis venu lui rendre visite à Marrakech. On a joué ensemble et j’ai intégré le rendu sur mon label, puis, je suis revenu quelque fois pour jouer en duo avec lui.

Qu’est ce que vous aimez dans son style ?

C’est un grand DJ, il est dans le milieu depuis très longtemps, il a une super énergie et puis, on joue des musiques qui se ressemblent un peu, du genre afro.

Ce sont des musiques qui vous attirent particulièrement ?

Oui, j’ai joué ce genre de musique depuis des années, c’est super de venir se produire ici au Maroc, et enregistrer avec de vrais musiciens professionnels, de vrais africains et de mixer tout cela ensemble.

Comment avez-vous vécu le show avec Amine K ?

C’était Top, il y avait une énergie incroyable, nous avons joué quelques uns de nos morceaux connus, d’autres plus anciens que les gens connaissaient déjà et qu’ils ont adoré réécouter, c’était Super !

Vous avez joué dans plusieurs festivals mondiaux. Qu’est ce que Moga Festival a de si spécial ?

Le public marocain est juste incroyable, je pense qu’il est un des meilleurs au monde, il a une énergie incroyable !

Comment définisseriez-vous votre style ?

C’est de la musique tribale profonde, j’adore les percussions et les rythmes tribaux. Je ne sais pas d’où vient cette attraction pour ce genre de style musical, mais ça m’a toujours paru évident. Je pense que mon père avait des Bongos quand j’étais enfant, et il en jouait souvent donc, l’amour pour ces instruments s’est fait naturellement, c’est là où ça m’a pris. J’ai toujours fait de la musique latine, sud-américaine, orientale,… n’importe quoi qui a rapport avec des percussions, ça me convient.

Votre père était musicien ?

C’est un aficionado de Jazz, il joue un peu au Bongo, ma mère par contre était musicienne, elle jouait du vibraphone dans un groupe de Jazz quand elle était petite.

Vous vous attendiez un jour à devenir un DJ ?

Du tout. Ça a commencé dans les années 80 avec le mouvement Breakdancing, c’est quelque chose qui m’a de suite attiré, j’ai vu des DJ jouer. Et puis, dans les années 90, j’ai commencé à aller aux Raves, aux grandes soirées, et c’est là que je me suis rendu compte que je voulais devenir DJ, j’ai donc quitté mon boulot et cela fait 24 ans que ça dure !

Comment on devient DJ ?

Maintenant, c’est très facile. Mais à l’époque, il fallait acheter des disques, c’était différent. En fait, on a juste besoin d’un bon goût en musique, d’être passionné de musique, c’est vraiment l’essence du métier. Et puis, il faut aimer danser bien sûr.

Quel genre de musique vous aimez écouter ?

J’écoute de tout. Du Reggae, de la musique jamaïcaine, de la musique latino, africaine, pas nécessairement électronique mais plutôt traditionnelle, j’adore Bob Marley, le Blues, …

Travaillez-vous dur pour arriver à produire quelque chose de Wow ?

Au studio, oui, complètement. J’y passe beaucoup de temps. Généralement, j’aime enregistrer de vrais musiciens, puis je choisis des morceaux de ce qu’ils ont fait, et je les réarrange dans mes chansons, pour qu’ils matche aux idées que j’ai en tête. Puis, je passe beaucoup de temps à bosser dessus, faire des tests pour voir si ça fonctionne ou pas, faire des changements, peaufiner le tout…

Le secret de la réussite ?

Travailler dur, être passionné et croire en ce que tu fais.

A part la musique, qu’aimez-vous faire dans la vie ?

J’adore cuisiner, je fais du Yoga, je me repose, je dors et je relaxe quand je ne suis pas en tournée pour bien récupérer.

Des DJs que vous admirez et avec lesquels vous voulez jouer ?

Il y en a tellement : Goldcap, Amine K, Ali Kuru de Turquie, Amentia, …

Quelle est la scène qui vous a le plus marqué ?

« Burning man » est un festival annuel aux USA. C’est un de mes endroits les plus préférés au monde, il y a des DJs talentueux, un cadre magnifique, dans le désert. C’est un festival où on contribue avec son art, personne ne se fait payer, il n’y a pas le gain de l’argent qui prime. Une fois là bas, tu joues de la musique du plus profond de ton cœur, tu ne fais que partager ta passion et ton art avec le public. Je crois que c’est probablement le plus pur des DJing, il n’y a pas de business derrière, c’est purement artistique, pour l’amour de la musique.

C’est important pour vous ce sens du partage ?

L’objectif c’est de rendre les gens heureux, les faire danser, mais aussi, en tant que DJ, éduquer les gens un peu, les introduire à des musiques qu’ils ne connaissent pas forcément, leur rappeler les origines de certaines musiques qu’ils ont probablement oublié. J’ai juste envie de partager ce que je crois être de la bonne musique.

Comment faire pour ne pas se répéter ?

Il faut chercher l’inspiration en permanence et c’est pour ça qu’on voyage beaucoup dans différents endroits du monde, rencontrer de nouvelles personnes, écouter de nouveaux genres de musique. Voyager pour moi c’est la meilleure des inspirations.

Vous vous voyez faire autre chose dans l’avenir ?

Je ne sais pas, peut être composer de la musique de films.

Des projets ?

On en a des tonnes, on continue notre tournée, moi et ma fiancée, autour du monde. Je me concentre toujours sur ce que je vais faire après, on va sortir une grande compilation « Summer sol », pour l’été prochain où je faire une tournée en Europe.

Vous avez eu le temps de visiter la ville ?
On a été à la médina, on a acheté des tapis, on a adoré la nourriture, on a essayé toutes sortes de tajines : le couscous, la viande de chameau, la pastilla, la soupe est ma préférée.

Accroche
Voyager c’est la meilleure des inspirations !

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Tuesday, October 29, 2019

Le Maroc pluriel et assumé

Par Ahmed Charaï

Des militants organisent une manifestation pour réclamer la libération de détenus
qu’ils jugent politiques, c’est courant et c’est la liberté de manifester. Mais ce qu’une manifestante a fait à Paris, brûler le drapeau marocain, alors qu’elle était là pour réclamer la libération des derniers condamnés du Hirak du Rif a déchainé les passions.

Des séparatistes vivant en Europe, depuis leur naissance, se sont saisis d’un mouvement de contestation, celui d’Al Hoceima, qui ne concernait que des revendications économiques. Le Roi y a répondu en limogeant 4 ministres, en les déclarant inéligibles à des fonctions de responsabilité publique dans l’avenir et en remettant en marche les projets de services publics.

La mouvance Amazighiste autoproclamée, soutenue par les barons de la drogue en Hollande et en Belgique en fait un combat sécessionniste, au mépris des intérêts des détenus.

Il n’est pas question ici d’étayer ces relations entre la mafia de la drogue et la pseudo-militante extrémiste qui a brûlé
le drapeau marocain, ce que des opposants condamnés à la peine de mort n’avaient pas fait en leur temps.

Le Maroc actuel ne vient pas de nulle part. C’est sur une terre Amazigh, qu’Arabes, Juifs, Andalous, Africains, Méditerranéens, se sont installés. Le mélange a produit le Marocain qui est la quintessence de ce mélange. C’est ce que la constitution de 2011 a inscrit dans le marbre, en reconnaissant que l’identité nationale marocaine était multiple, que tous les affluents de cette identité avaient les mêmes droits, y compris le Judaïsme marocain qui a trente siècles d’histoire.

Ce qui s’est passé à Paris est finalement anecdotique. Le fond historique du Maroc est trop profond pour trembler à la moindre action individuelle.

Le Maroc n’a pas subi le joug du califat, il est Etat indépendant depuis des siècles. Il a réussi à travers les crises, parce que justement il assumait, il assume sa diversité. Ce sont les tribus qui ont écrasé l’Espagne et le Portugal lors de la bataille des trois rois, toutes les tribus, sans exception.

Brûler le drapeau national est peut être un geste futile auquel il ne faut pas accorder trop d’importance. C’est mettre en lumière la résilience de cette nation, la sauvegarde de son unité, tout au long de son histoire tumultueuse qui mérite d’être entendue.

 

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Vidéo-Zoom sur le Sommet Afrique France et la place qui y sera réservée aux jeunes innovateurs

Pour l’ambassadrice de France au Maroc, Hélène Le Gal, le Maroc devra avoir une place prépondérante dans le Forum des solutions qui sera organisé lors du Sommet Afrique France prévu en juin 2020 à Bordeaux.
Déclarations recueillies en marge du point de presse organisé à Rabat ce mardi 29 octobre 2019, pour l’annonce du Sommet Afrique France.

Par Mohammed Zainabi et Khalid Chouri

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Bourita reçu en audience par la Présidente de Singapour

Le Ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l’Étranger, Nasser Bourita, qui effectue une visite de travail à Singapour, a été reçu en audience, mardi 29 octobre 2019, par Halimah Yacob, Présidente de la République de Singapour.

Lors de cette audience, Bourita a transmis les salutations du Roi Mohammed VI à la Présidente de Singapour, ainsi que Ses vœux de prospérité et bien-être au peuple singapourien.

S’agissant de la politique étrangère du Royaume, la Présidente de Singapour a fait part de son appréciation pour le rapprochement amorcé par le Maroc vis-à-vis de l’ASEAN, soulignant que son pays peut légitimement constituer un pont d’accès à cet espace dynamique et prometteur.

Elle a appelé, à cet égard, à trouver des synergies entre le Maroc et Singapour dans le cadre de la lutte contre le radicalisme religieux et du traitement des causes profondes de l’extrémisme. Dans le même cadre, Bourita a mis en relief le rôle joué par  le Roi, en tant que Commandeur des Croyants, pour la défense des valeurs de l’Islam modéré et du juste milieu, se félicitant de la création de l’Institut Mohammed VI de formation des Imams prédicateurs et des prédicatrices qui se charge de former des oulémas nationaux, ainsi que ceux originaires de nombreux pays africains, européens et asiatiques.

Sur le volet socio-économique, le ministre marocain a évoqué les grands chantiers de développement lancés par le Maroc qui sont salués par des instances internationales.

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Liban: Saad Hariri annonce la démission du gouvernement

Le Premier ministre libanais Saad Hariri a annoncé mardi 29 octobre 2019, qu’il allait présenter la démission de son gouvernement, au 13e jour d’une contestation populaire inédite réclamant la chute du régime.

« Je me rends au Palais de Baabda pour présenter la démission du gouvernement au président de la République », a déclaré Hariri lors d’une brève allocution télévisée, accueillie par les vivats de la foule qui l’écoutait en direct sur les lieux de rassemblement.

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Vidéo-Sommet Afrique-France : «Un Sommet de l’Afrique pour l’Afrique»

Déclarations de Stéphan Dubost, Secrétaire Général Adjoint du Sommet Afrique France 2020, en marge du point de presse organisé à Rabat ce mardi 29 octobre 2019, pour l’annonce du Sommet Afrique France prévu en juin 2020 à Bordeaux.

Recueillies par Mohammed Zainabi et Khalid Chouri

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Trump annonce que le successeur « numéro un » de Baghdadi a aussi été « éliminé »

Donald Trump a annoncé mardi 29 octobre 2019, que le successeur « numéro un » du chef du groupe Etat islamique tué lors d’un raid des forces américaines le week-end dernier avait lui aussi été « éliminé ».

« Viens d’avoir confirmation que le remplaçant numéro un d’Abou Bakr al-Baghdadi avait été éliminé par les troupes américaines. (Il) aurait très certainement pris la tête (du groupe) – Maintenant il est mort aussi! », a tweeté le président américain.

Le locataire de la Maison Blanche n’a pas donné l’identité de cet individu ni fourni de détails sur les circonstances de son décès.

Il n’était pas clair dans l’immédiat si Trump faisait référence à la mort dimanche du porte-parole de l’EI.

Les forces kurdes avaient annoncé le décès, lors d’un nouveau raid dans le nord de la Syrie, d’Abou Hassan al-Mouhajir, « bras droit d’Abou Bakr al-Baghdadi et porte-parole de l’organisation Daech » (un acronyme arabe de l’EI).

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La logistique a désormais sa Journée marocaine

Les acteurs privés et publics ainsi que des scientifiques et des experts concernés par la logistique se donnent rendez-vous demain, mercredi 30 octobre 2019 à Casablanca, pour la toute la première édition de la Journée Marocaine de cette activité vitale pour l’économie nationale et pour sa compétitivité. Pour ce baptême de feu, «Le Maroc sur le chemin de la performance logistique» sera la thématique centrale.

Organisée par l’Agence Marocaine de Développement de la logistique (AMDL), cet évènement sera l’occasion d’établir un bilan d’étape de la stratégie logistique nationale et le développement de collaborations publiques-privées.
Le ministère de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, la CGEM et l’AMDL ont joint leurs efforts pour la réussite de ce rendez-vous. Il y sera question de bilan d’étape de la Stratégie logistique nationale lancée en avril 2010, mais aussi de perspectives d’avenir en vue de consolider le rôle de la logistique comme levier de développement économique du pays et des territoires.

Carte de visite

L’Agence Marocaine de Développement de la Logistique a été créée pour la coordination de la mise en œuvre de la Stratégie Logistique Nationale, lancée en avril 2010. L’AMDL, qui compte un effectif de 72 collaborateurs, a entamé plusieurs chantiers selon une approche partenariale avec un ensemble d’acteurs publics et privés au niveau national et local notamment en matière d’amorçage des premiers projets d’installations logistiques et de mise à niveau et de professionnalisation du secteur logistique.

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