Saturday, April 29, 2017

Nasser Bourita : L’initiative d’autonomie, de nouveau confortée par la résolution du Conseil de Sécurité sur le Sahara marocain

Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale.

Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale.

L’initiative marocaine d’autonomie, présentée par le Royaume en 2007, a été de nouveau confortée par la résolution 2351 adoptée par le Conseil de Sécurité à l’unanimité de ses membres, s’est félicité, samedi, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita.
Dans cette résolution, le Conseil de Sécurité prend note encore une fois de la proposition marocaine en se félicitant des efforts “sérieux et crédibles” consentis par le Royaume pour aller de l’avant vers un règlement définitif du conflit artificiel autour de la marocanité du Sahara, a noté Bourita lors d’une rencontre avec la presse à Rabat, estimant qu’il s’agit là “d’un élément fondamental”.
“La résolution du Conseil de Sécurité est très claire à ce sujet, en ce sens qu’il existe une dynamique créée depuis 2007 et qui constitue aujourd’hui une référence et une base de travail pour les Nations-Unies sur cette question”, a fait observer le responsable marocain.
Et de souligner que grâce aux actions menées par SM le Roi Mohammed VI, le Maroc a contribué grandement à la création de l’atmosphère de sérénité dans laquelle se sont déroulés les débats au sein du Conseil de Sécurité.
Plusieurs paramètres contenus dans le rapport du Secrétaire Général de l’ONU et la résolution du Conseil de Sécurité rejoignent les éléments de la position marocaine, a fait remarquer Bourita, précisant que la résolution onusienne réaffirme, clairement, les paramètres du processus politique tels que définis depuis 2007.
Ainsi, pour le Conseil de Sécurité, ce processus doit être guidé par le “réalisme et l’esprit de compromis”, comme en témoigne son appel à ce que les efforts déployés depuis 2006 et les nouveaux développements intervenus depuis soient pris en considération, et ce en faisant preuve de réalisme et d’un esprit de compromis, a expliqué Bourita.
Le compromis suppose que chaque partie se départisse de ses positions initiales, a relevé le ministre, précisant que le Maroc en a donné la preuve à travers l’initiative d’autonomie, tandis que les autres parties doivent faire preuve de la même logique de réalisme et d’esprit de compromis en s’éloignant de tout ce qui est “irréalisable et irréaliste”.
La nouvelle résolution met l’accent sur la dimension régionale du conflit autour de la question du Sahara marocain, en demandant aux pays voisins de coopérer clairement avec l’ONU et de s’impliquer plus résolument pour mettre fin à l’impasse actuelle et progresser sur la voie d’une solution politique, a poursuivi le responsable marocain.

Le Conseil de Sécurité rejoint ainsi l’appel du Secrétaire Général de l’ONU en soulignant que “l’Algérie et la Mauritanie peuvent et doivent prêter un important concours à ce processus”, a noté Bourita, ajoutant qu’il s’agit là d’un “fait nouveau” dans la résolution onusienne.
La responsabilité des pays voisins, en particulier l’Algérie, est soulignée sans équivoque dans cette résolution, comme elle a été évoquée de manière très claire dans le rapport du Secrétaire Général de l’ONU, a-t-il relevé.
Il ne s’agit plus d’une “contribution optionnelle ou volontaire”, mais d’une “obligation de s’impliquer dans la recherche” d’une solution définitive à ce conflit artificiel, a dit le ministre.
Pour Bourita, la dimension régionale a été clairement évoquée par le Conseil de sécurité en considérant que la solution politique à ce différend, qui n’a que trop duré, et le renforcement de la coopération entre les pays membres de l’Union du Maghreb Arabe (UMA), contribueront à la stabilité et à la sécurité de la région.
En leur faisant obligation de contribuer à ce processus, le Conseil de sécurité a mis les pays voisins devant leurs responsabilités, a-t-il souligné, affirmant que le concours de l’Algérie doit se hisser au niveau du rôle qu’elle a joué dans la création de ce conflit.
En dépit des tentatives des autres parties de dévier l’attention du processus politique, en cherchant vainement à soulever, comme ce fut le cas lors des dernières années, un débat sur les droits de l’Homme, les ressources naturelles et le mandat de la Minurso, le Conseil de sécurité a prouvé encore une fois qu’il est conscient que le processus politique reste la clé de toute solution à ce conflit artificiel, a-t-il ajouté.
Il est important aujourd’hui qu’il y ait ce recentrage sur le processus politique et éviter de dresser des obstacles pour détourner l’attention et dissimuler un manque d’engagement des autres parties, a insisté le ministre, précisant que l’absence dans la résolution onusienne de toute référence à la “pleine fonctionnalité” de la Minurso, contrairement à l’année dernière, prouve que cette question n’est plus d’actualité pour le Conseil de sécurité grâce à l’interaction entre le Royaume et le Secrétariat Général de l’ONU.
La responsabilité de l’Algérie dans le recensement des populations des camps de Tindouf a été de nouveau pointée du doigt par le Conseil de sécurité, tout en insistant sur la nécessité de prendre des mesures concrètes pour la mise en oeuvre de cette opération, a noté le ministre, qui a relevé qu’il s’agit là d’une nouveauté par rapport aux années précédentes.
Bourita a, par ailleurs, salué la position de Washington, réaffirmée par la nouvelle administration américaine, au sujet de la proposition marocaine d’autonomie, qualifiée de “sérieuse, crédible et réaliste”, tout en soulignant qu’elle représente une “approche potentielle pour satisfaire les aspirations de la population du Sahara à gérer ses propres affaires dans la paix et la dignité”.
La même position a été réitérée très clairement par la France et le Sénégal, a ajouté le ministre, faisant remarquer que “trois pays issus de trois continents convergent vers cette proposition d’autonomie”.



via Abdo El Rhazi Nasser Bourita : L’initiative d’autonomie, de nouveau confortée par la résolution du Conseil de Sécurité sur le Sahara marocain

Conseil de sécurité de l’ONU- Prorogation d’un an du mandat de la Minurso

Le Conseil de sécurité de l’ONU, a adopté hier 28 avril 2017, à l’unanimité des membres la résolution 2351 prorogeant d’un an le mandat de la Minurso jusqu’au 30 avril 2018.

“Le Maroc se félicite de l’adoption de la résolution du Conseil de sécurité (et) exprime ses vifs remerciements à la plume américaine (penholder) pour avoir élaboré ce texte, négocié et réussi son adoption à l’unanimité”, a déclaré l’Ambassadeur, Représentant permanent du Maroc à l’ONU, Omar Hilale lors d’une conférence de presse.

 



via Abdo El Rhazi Conseil de sécurité de l’ONU- Prorogation d’un an du mandat de la Minurso
Michele J. Sison, Représentante permanente adjointe des Etats-Unis à l’ONU.

Michele J. Sison, Représentante permanente adjointe des Etats-Unis à l’ONU.

Les Etats-Unis ont réitéré, vendredi 29 avril 2017 au Conseil de sécurité des Nations Unies, qu’ils “continuent de considérer le plan d’autonomie marocain (au Sahara) comme étant sérieux, crédible et réaliste”, a déclaré l’ambassadeur Michele J. Sison, Représentante permanente adjointe des Etats-Unis à l’ONU.
“Nous continuons de considérer le plan d’autonomie comme étant sérieux, crédible et réaliste, et représente une approche potentielle pour satisfaire les aspirations de la population du Sahara à gérer ses propres affaires dans la paix et la dignité”, a souligné la diplomate américaine dans une allocution suite à l’adoption, à l’unanimité des membres du Conseil, de la résolution 2351 prorogeant d’un an le mandat de la Minurso jusqu’au 30 avril 2018.
Elle a saisi cette occasion pour exprimer le plein soutien des Etats-Unis au Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, en vue de la relance des négociations sur la base d’une nouvelle dynamique et d’un nouvel esprit.
Rappelons que la résolution 2351 a consacré, encore une fois, la prééminence de l’initiative marocaine d’autonomie au Sahara, en qualifiant de “sérieux” et de “crédibles” les efforts déployés par le Maroc pour aller de l’avant dans le processus visant un règlement de la question.



via Abdo El Rhazi

Friday, April 28, 2017

Printemps des Alizés d’Essaouira : Une virée musicale en Europe Centrale

Du 27 au 30 Avril 2017

Pour sa 17e édition, le Printemps des Alizés d’Essaouira nous invite à parcourir le monde en musique. Chacun des 12 concerts programmés est dédié à un pays, nous laissant le temps de nous imprégner de son folklore, et de l’univers musical de chaque région.

« Cette année, Essaouira invite le monde, ….si chaque pays a sa propre culture et ses racines particulières, une force les unit tous, un langage commun : celui des émotions », déclare Dina Bensaid, la directrice artistique du festival, rejointe dans ses propos par le président Fondateur de l’Association Essaouira Mogador, André Azoulay qui rappelle le côté universel de ce langage commun qu’est la musique, loin de toute forme de régression ou de repli identitaire « La musique à Essaouira est un message de résistance, ….ici, toutes les sonorités et les musiques du monde sont les bienvenues ».

Pour le concert d’ouverture, c’est l’Europe Centrale qui a été choisie comme première destination, avec les compositions de Johannes Brahms, Gustave Mahler et celles de Robert Schumann.

Un enchantement musical grâce aux prestations époustouflantes du grand violoniste Régis Pasquier, du pianiste Guillaume Vincent au piano, d’Adrien La Marca à l’alto et Christian-Pierre La Marca au violoncelle.

 



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La CGEM-Oriental nomme Noureddine Bachiri président régional

Les membres de la CGEM-Région Oriental ont élu, lors de l’assemblée générale ordinaire élective tenue le 27 avril 2017 à Oujda, Noureddine Bachiri (Inter Epices) et de Abdellatif Allali (Sohaper), respectivement Président Régional et Vice-Président Général Régional pour le mandat 2017-2020.

Le programme du binôme nommé met l’accent sur l’amélioration du climat des affaires dans la région ainsi que les actions d’information et de sensibilisation pour une proximité meilleure avec l’entreprise régionale.

La CGEM compte aujourd’hui 13 représentations régionales et 5 antennes provinciales. La CGEM Oriental dispose d’un siège au niveau de Oujda et d’une antenne provinciale à Nador.



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L’Académie du Royaume du Maroc rend hommage à Léopold Sédar Senghor

En partenariat avec le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), la Fondation nationale des musées du Maroc, l’Agence marocaine de la coopération internationale et l’Université internationale de Rabat, l’académie avait organisé le 27 avril 2017, une journée d’hommage à l’un de ses illustres membres : Léopold Sédar Senghor.

Organisée sous le thème « Sur les traces de Léopold Sédar Senghor », cette commémoration permettra de revoir le parcours, les combats et les idées, toujours d’actualité, de cet homme d’état et homme de lettres au destin singulier.

En tant que membre de l’Académie du Royaume du Maroc, Léopold Sédar Senghor avait délivré un discours lors de la toute première session de l’Académie, tenue en 1980 à Fès. Il y réaffirmait son attachement à la construction d’une civilisation de l’Universel privilégiant le métissage et le dialogue des cultures contre le repli identitaire.

Tout au long de son mandat en tant que membre de l’Académie, Senghor s’est distingué par une série d’essais et de conférences traitant de sujets universels comme « Les crises spirituelles et dialogue Nord-Sud », « Le développement culturel, potentialités économiques et souveraineté diplomatique » ou encore « Le régime présidentiel et la démocratie en Afrique ».

La pensée de Léopold Sédar Senghor sera appréhendée à partir de concepts clefs comme la négritude, la créolité ou la liberté. Les débats et les échanges porteront également sur les préoccupations et les réflexions politiques majeures de Senghor concernant la protection des droits de l’Homme, l’éducation et la culture.

Parallèlement à cette journée d’hommage, l’Académie du Royaume du Maroc accueille une exposition de la Fondation Léopold Sédar Senghor et qui revient, en textes et en images, sur le parcours exceptionnel de ce grand poète et homme d’état depuis sa naissance, le 9 octobre 1906, à Joal, au Sénégal.

Cette journée d’hommage exceptionnelle sera clôturée par un récital poétique et musical organisé autour de l’œuvre de Léopold Sédar Senghor, avec la participation de Abdoulaye Baboulaye Cissokho, auteur-compositeur et joueur de kora et Ouidad Tebbaa, titulaire de la chaire Senghor à l’Université Cadi Ayyad de Marrakech.



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Maroc-UA : Nasser Bourita rencontre Moussa Faki Mahamat

Le Maroc s’implique davantage dans les grands projets de l’Union Africaine afin de réaliser les objectifs de l’institution à l’horizon 2063. A cet effet, une rencontre s’est tenue hier jeudi à Addis-Abeba entre Nasser Bourita le ministre des Affaires Étrangères et de la coopération et Moussa Faki Mahamat, le tout récent Président de la Commission de l’Union Africaine et a porté sur l’agenda africain en termes de paix, de stabilité, de sécurité et de développement.

Lors de leur entretien, le chef de la diplomatie marocaine a réaffirmé au plus haut fonctionnaire de l’UA “l’importance donnée par le Roi Mohammed VI à l’implication du Maroc au sein de l’Union Africaine et au fait que le Royaume a des relations fortes pour contribuer de manière significative à l’action au sein de sa famille institutionnelle africaine”.

Pour rappel, l’Organisation des Nations Unies et la Commission de l’Union Africaine ont signé ce mercredi à New York un accord cadre sur la vision commune des 2 organisations et la coopération renforcée dans le développement inclusif et durable et également sur le calendrier 2063 de l’UA et le programme de développement durable 2030 de l’ONU.



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Thursday, April 27, 2017

L’achat en ligne en Dhs, chez FRS c’est possible

La campagne maritime FRS déclare le 26 Avril 2017 avoir mis en place une nouvelle plateforme de réservation web sur son site. Ce nouveau moyen servira à mieux assurer le service, faciliter et rendre le processus d’achat encore plus rapide pour le voyageur, puisqu’il pourra réserver en ligne et acheter son ticket avec des cartes de crédits marocaines. « Nous étudions constamment les possibilités d’améliorer et d’offrir plus de facilités dans le processus d’achat et de voyage », explique Marcial Picó, Marketing Manager de FRS.

De plus, la plateforme a été développée afin de permettre de visualiser sur la même fenêtre l’horaire de sortie et d’arrivée, la durée du trajet, le nom du navire qui opère sur la ligne choisie et le prix définitif du voyage, ainsi qu’un résumé de l’achat. Le site web, disponible en anglais, espagnol, français, est pensé pour pouvoir être consulté depuis n’importe quel appareil technologique tels que tablettes et smartphones.

 



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Vidéo – L’interview Ness Ness de AaRON

AaRON – NESS NESS

En route pour le concert, AaRON sont passés au NESS NESS. Barça ou PSG ? Français ou Anglais ? Work hard ou Netflix and Chill ?

Publié par Welovebuzz sur vendredi 14 avril 2017



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Cote d’ivoire : Rencontre autour des opportunités d’investissement dans le Tourisme

Le Club Afrique Développement et la Société Ivoirienne de Banque ont organisé du 20 au 22 avril une rencontre autour du thème « les Opportunités d’Investissement dans le secteur du Tourisme » en partenariat avec le Ministère du Tourisme de Côte d’Ivoire. Plusieurs personnalités ont été présentes lors de cette rencontre, notamment le Ministre du Tourisme, Siandou Fofana et le Directeur général de l’Office National Marocain du Tourisme, Abderrafie Zouiten.

Lors de cette conférence, le Ministre du Tourisme a exposé les nouvelles orientations en termes de stratégie touristique ivoirienne ainsi que les opportunités dans le secteur à l’attention des investisseurs nationaux et internationaux. La vision 2020 du ministre Fofana a pour but de faire de la Côte d’ivoire un hub touristique de premier plan au niveau ouest-africain et du tourisme le 3e pôle de l’économie ivoirienne. Dans ce cadre un plan d’investissements de plusieurs centaines de milliards de F CFA est prévu, correspondant à des projets ambitieux qui ont été présentés. Il s’agit, entre autres, de :

  • Parc d’attraction à Jacqueville
  • Dispositifs hôteliers dans les principales villes de province
  • Parc aquatique à Assinie
  • Parc animalier à Bingerville

Le DG de l’ONMT, M. Zouiten a pour sa part présenté l’expérience du Maroc ainsi que sa stratégie de différenciation par rapport à l’offre mondiale. Il a ainsi abordé les pré requis à une économie touristique performante et durable, notamment l’accessibilité des zones touristiques via la mise en place d’un réseau de transports rapides et compétitifs, l’adaptation des moyens de promotion aux medias modernes (notamment Internet). Il a aussi insisté sur la création d’un tourisme en phase avec les valeurs et l’environnement ivoiriens pour disposer d’un réel avantage compétitif. Convenant de la disposition du Royaume du Maroc à poursuivre les efforts engagés dans la coopération avec la Côte d’Ivoire, notamment s’agissant du développement du secteur touristique.

La stratégie ivoirienne touristique se veut fondée sur trois axes principaux, notamment la promotion de la destination, le développement de la capacité de l’offre et de l’industrie hôtelière et les leviers d’investissements.



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France – Présidentielle : le grand ménage

Mireille DUTEIL

Emmanuel Macron, le presque quadra qui veut secouer la France ankylosée, et Marine Le Pen, l’héritière d’une lignée d’extrême droite, ont porté l’estocade finale au système politique français. Le 23 avril, en quelques minutes, les résultats du premier tour de la présidentielle ont changé le visage politique de la France. En arrivant en tête, Macron et ses 24,01% des voix, Marine Le Pen et son score à 21,3%, ont effacé le bipartisme, presque cinquantenaire, devenu chancelant et désormais effondré.

Comment en est-on arrivé là pour que les Français se détournent des deux mastodontes politiques qui alternaient au pouvoir depuis 1981 et viennent d’exploser en vol ? Car ni le parti des Républicains, la droite gaulliste, ni le Parti socialiste « ressuscité » par François Mitterrand, en 1971, ne s’en remettront sans recomposition dans leurs rangs. À l’origine de ce grand chambardement, une grande lassitude des Français. Un rasle-bol phénoménal devant une classe politique vieillie, incapable de se renouveler, de trouver des idées neuves pour sortir le pays de la crise économique qui sévit depuis un quart de siècle. Résultat : en 2017, les électeurs n’ont eu de cesse de « sortir les sortants ». Ce fut Nicolas Sarkozy, remercié lors de la primaire de la droite ; puis François Hollande qui, réaliste, renonça à se présenter devant un échec assuré. Manuel Valls subit à son tour l’opprobre de celui qui avait gouverné et perdit la primaire de la gauche. Le « dégage », comme lors des « Printemps arabes », ne s’arrêta pas là. Dimanche dernier, Fillon, le candidat de la droite, empêtré dans ses « affaires » et Hamon, celui du PS, furent sortis à leur tour. Un séisme dont la France avait eu un avant-goût à la présidentielle de 2002 lorsque Jean-Marie Le Pen avait fini second contre Jacques Chirac. Le big bang politique de 2017 laisse apparaître une rupture béante au sein d’une France morcelée, presque un puzzle. C’est, globalement, la France des villes contre celle des campagnes. La France qui se porte bien, celle des plus éduqués, de Paris et des grandes agglomérations, des régions ouest, sud-ouest et Rhône-Alpes. Cette France a largement choisi Macron, l’Europe, le libéralisme économique et l’ouverture sur le monde. L’autre France, celle du nord et de l’est désindustrialisés, celle du sud et des régions rurales du centre, là où les petites villes meurent, mettent leur espoir dans le Front national, le parti qui n’a jamais été essayé. Pour cette France des laissés pour compte, l’establishment politique, l’Europe, la mondialisation et les étrangers sont à l’origine de leurs malheurs. Jeune quadra brillant, européen convaincu passé par la banque Rothschild, l’Elysée et le gouvernement Valls (il fut ministre de l’Économie), Macron est le concurrent idéal de Marine Le Pen, le symbole honni de ses électeurs. Il devrait pourtant l’emporter. Macron engrange les ralliements à droite et à gauche, lui qui veut être ni d’un côté ni de l’autre, mais veut prendre le meilleur des deux. La Grande mosquée et le Consistoire appellent à voter pour lui. Le Front national fait peur. Mais après avoir gagné sur un champ de ruines politiques dont il n’est certes pas responsable, Macron va devoir recoller les morceaux du pays pour lui dessiner un autre avenir. C’est à quitte ou double.



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Libre cours

Naïm Kamal

Naïm Kamal

Idriss El Azami, chef du groupe PJD à la Chambre des représentants, a fait, lors de la discussion du programme gouvernemental, un numéro de dépité, gémissant sur ce qu’aurait couté à son parti l’éviction de son secrétaire général, Abdelilah Benkirane, de la formation du nouveau cabinet. Visiblement, les islamistes gouvernementalistes n’ont pas encore réussi à faire leur deuil d’un chef de file qui n’a pas réussi en six mois, mais alors pour des raisons totalement subjectives, à former une coalition. À l’entendre, c’est à leur corps défendant qu’ils ont accepté l’immense sacrifice de leur Lanterne magique sur l’autel de l’intérêt du pays, de son développement, de sa quiétude et de sa stabilité. Encore un peu et on passerait des nuits debout à prier pour leur faire montre de notre infinie gratitude pour leur mansuétude et leur sollicitude. Mais quelques larmes plus tard, Idriss El Azami, qui a été dans les gouvernements successifs de Benkirane, ministre délégué à ne rien faire, se ravise. Le nouveau chef du gouvernement, son compagnon et son ex-patron au parti, n’a qu’à bien se tenir. Le groupe islamiste à la chambre basse entend se faire entendre haut et fort et leurs frères du gouvernement n’ont aucun intérêt à faire la sourde oreille. Je peux gloser ou glousser longtemps sur ce thème, mais on va dire, pour faire court, que c’est la conscience malheureuse et déchirée qu’ils y sont allés. Seulement ce n’est pas vrai. C’est heureux et consentant que le PJD a remis ça.

Pour sauver la face, en partie, il joue les jeunes filles effarouchées. Pour une autre partie, ce sont les déçus du gouvernement qui n’ont pas vu, comme ils l’espéraient, le turnover jouer en leur faveur, qui alimentent la contestation. Mais le véritable enjeu se situe à l’horizon du prochain congrès reporté pour l’après législative. La guérilla que mène Abdelilah Benkirane à Saâd-Eddine El Othmani, qui n’a fait que reconduire ce qu’a fait son prédécesseur, ne peut s’inscrire que dans cette perspective : le contrôle du parti. L’actuel secrétaire général du PJD qui a toujours milité et obtenu qu’une seule et même personne, lui en l’occurrence, assume à la fois la responsabilité du parti et celle du gouvernement, pour, affirmait-il, assurer la cohésion des forces et l’efficacité de leur mise en oeuvre, est en train de virer. Mais ne changent pas d’avis que les imbéciles et Abdelilah Benkirane est en train d’assurer tout-à-fait le contraire. L’ancien chef du gouvernement n’est pas à une contradiction près et après avoir longtemps vendu l’illusion d’un parti pas comme les autres, qui active sa démocratie interne, respecte ses statuts et ne les modifie pas au gré des vents, vient de mettre sur le marché l’idée que cette cohésion n’a plus lieu d’être dès lors qu’elle n’existe plus entre la direction du parti et le gouvernement. Mais qui a donc investi S. El Othmani au sein du PJD et qui s’apprête à lui accorder son investiture parlementaire ? Présentées ainsi, les choses semblent incohérentes et désordonnées. En réalité elles sont plus simples : Les sous-entendus de déclarations de A. Benkirane laissent supposer qu’il entend rempiler à la tête du parti pour ne pas disparaître des radars ou y mettre quelqu’un à sa mesure. S’entamera alors la phase de la banalisation, si ce n’est la décomposition, d’un parti qui se croyait original.



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Les leçons d’une élection

Ahmed Charaï

Emmanuel Macron sera probablement le prochain Président de la république française. On se dirige vers un vote républicain. Tout sauf le FN. Le fait que son mouvement soit de création très récente, que son programme soit inclassable et qu’il ait mis hors course les deux partis traditionnels, monopolise tous les commentaires, jusqu’à en oublier l’essentiel parfois. Que Marine Le Pen soit au deuxième tour, sans que cette situation ne soit traitée avec gravité, en dit long sur la normalisation avec les idées du Front national. Il y a quinze ans, des millions de français sont spontanément descendus dans les rues contre son père. Avec Marine, il n’y a eu que 200 casseurs à Paris, eux-mêmes peu suspects de démocratie. On doit reconnaître que la stratégie de la dédiabolisation a porté ses fruits. C’était le premier enseignement de ce premier tour. Le deuxième enseignement, quant à lui, concerne l’adhésion à l’Europe. Plus de la moitié des voix se sont portées sur des candidats qui remettent en cause Bruxelles, à des niveaux différents. La France coupée en 2 de 2005 ré-émerge de manière éclatante. Or, rien ne permet de dire que l’Union européenne abandonnera ses politiques d’austérité sous le prochain quinquennat. Enfin, il est clair, et la candidate Le Pen le met en exergue, la mondialisation affaiblit les couches moyennes et les plus fragiles d’où la nécessité d’améliorer les protections. C’est ce qui a permis l’élection de Donald Trump aux États-Unis et qui s’exprime à travers les scores de Marine Le Pen, de Jean-Luc Mélenchon, et de plusieurs autres petits candidats. Cette césure aussi ne peut être balayée d’un revers de main le lendemain de l’élection présidentielle. Si le score final reste la seule inconnue, il est d’une importance capitale. Une Marine Le Pen à 40% serait un véritable séisme politique, parce qu’il signifierait que le plafond de verre est en train de céder et qu’il pourrait ne pas tenir dans cinq ans, si les problématiques socio-économiques ne sont pas résolues, car les questions identitaires n’ont pas été au centre de cette campagne. Ce score est aussi important parce qu’il préfigure les législatives. Les Républicains croient encore qu’ils peuvent gagner la troisième manche et imposer une certaine cohabitation, le PS étant laminé et divisé, les Vallsistes comptent sauver les meubles et faire partie de la majorité parlementaire. Quant aux Hamonistes, ils veulent confirmer l’ancrage à gauche. Sans cette perspective, tout le monde parie sur l’incapacité du Mouvement En Marche à réunir une majorité absolue dès son premier essai. Ce qui constituerait une première sous la cinquième république, avec un président obligé à cohabiter dès son entrée en fonction. C’est pour cela que la personnalité désignée pour diriger le premier gouvernement, celui qui préparera les législatives, constituera un signal. On parle de profils comme Jean-Louis Borloo, c’est-à-dire consensuels et capables de préparer le terrain à une large coalition. C’est en tout cas l’expression politique d’une France fracturée, autour même des fondamentaux, qui est sous nos yeux. Le prochain quinquennat sera déterminant pour retisser les liens sociaux, et revaloriser l’image des politiques.



via Abdo El Rhazi Les leçons d’une élection

Sénégal : Anas Sefrioui investit dans la culture du riz

Après l’immobilier et le ciment, Anas Sefrioui, le patron d’Addoha et de Ciments d’Afrique investit dans l’agriculture en Afrique. En effet, c’est au Sénégal que l’homme d’affaires marocain se lance dans la culture du riz à travers sa filiale Afri Partners Sénégal.

Ainsi c’est dans le cadre du PRACAS, le Programme de relance et d’accélération de la cadence de l’agriculture au Sénégal, que 75 milliards de FCFA soit plus de 115 millions d’euros seront injectés dans ce projet agricole. Il s’agira pour Afri Partners Sénégal d’exploiter 2.500 ha de superficie rizicole avec plus de 1.500 emplois qui seront créés à terme.

Avec cet investissement marocain, le Sénégal qui est un grand consommateur de la céréale pourra atteindre cette année l’autosuffisance alimentaire en riz et compte ainsi produire 1.600.000 tonnes grâce aux gros investissements prévus dans le Plan Sénégal Émergent.



via Abdo El Rhazi Sénégal : Anas Sefrioui investit dans la culture du riz

Wednesday, April 26, 2017

La BAD répond aux attentes des Africains

Lors d’un discours passionné prononcé mercredi 19 avril 2017 au Center for Global Development à Washington, DC, le président de la Banque africaine de développement (Bad), Akinwumi Adesina a évoqué l’énorme potentiel de l’Afrique ainsi que le programme de développement ambitieux de la Banque qui, a-t-il déclaré, est en bonne voie de réalisation.

Le Président de la Bad a, au cours de sa rencontre avec le groupe de réflexion de Washington, dressé un bilan de ses 19 premiers mois à la tête de l’institution. Deux ans plus tôt, le 16 avril 2015, alors qu’il était ministre de l’Agriculture et du Développement rural du Nigeria, il participait à un débat dans la même salle avec d’autres candidats à la présidence de la BAD avant l’élection présidentielle en mai 2015.

« L’Afrique était au premier plan pour une excellente raison », a-t-il déclaré dans un discours préliminaire qui introduisait le panel sur le thème « Les difficultés et la logique d’une hausse des financements pour l’Afrique », organisé en marge des réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale. « La Banque africaine de développement a donné la direction à suivre, en matière de leadership, à toutes les banques multilatérales de développement (BMD) en faisant preuve de transparence dans l’élection de son président, dans le cadre d’un processus ouvert et concurrentiel », a-t-il ajouté, faisant référence à la publication des résultats en direct sur Twitter, de l’élection organisée par la BAD .

Deux ans plus tard, Akinwumi Adesina a déclaré, devant une salle comble, que la vision qu’il avait présentée lors de son discours inaugural – les « Cinq grandes priorités » (le Top 5) en matière de développement – est en cours de déploiement à l’échelle du continent.

« La vision que nous avons de l’Afrique, à la BAD, fait partie intégrante du Top 5 : éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie, nourrir l’Afrique, industrialiser l’Afrique, intégrer l’Afrique et améliorer la qualité de vie des Africains », a affirmé le président, avant d’énumérer une liste d’initiatives qu’entreprend la BAD actuellement.

« En lançant le « New Deal » pour l’énergie en Afrique, nous nous sommes engagés à investir 12 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années, avec l’ambition de mobiliser 45 à 50 milliards de dollars supplémentaires. L’objectif étant de raccorder 130 millions de personnes au réseau et 75 millions à des systèmes hors réseau, afin de permettre à environ 150 millions de ménages d’accéder à une source d’énergie de cuisson propre.

« Nous avons mis en place une toute nouvelle vice-présidence spécifiquement dédiée à l’électricité et à l’énergie : la BAD est la première et l’unique banque multilatérale de développement à prendre une telle mesure. L’an dernier, nous avons financé un projet d’un montant de 1,7 milliard de dollars dans le secteur de l’électricité couvrant 19 pays et, cette année, ce montant passera à 2 milliards de dollars, avec l’objectif de mobiliser 5 à 7 milliards de dollars. Nous avons lancé un Fonds pour l’inclusion énergétique à hauteur de 500 millions de dollars avec un capital de départ de 100 millions de dollars, afin de proposer des financements abordables aux entreprises qui investissent dans les énergies renouvelables.

« À l’instar de l’électricité qui alimente une économie, la nourriture fournit de l’énergie aux populations. Le coût annuel des importations alimentaires en Afrique se chiffre à 35 milliards de dollars et l’on prévoit  une augmentation de ce montant à 110 milliards de dollars d’ici 2025 ; ceci affaiblit les économies des pays africains, décime son secteur agricole et exporte les emplois du continent », a déclaré Adesina, en précisant que 35 milliards de dollars représentent approximativement le montant dont le continent a besoin pour combler son déficit énergétique.

« Dans un souci d’apporter un soutien rapide à la diversification des économies en Afrique et à la relance des zones rurales sur le continent, nous avons fait de l’agriculture notre plus haute priorité », a-t-il poursuivi. « La BAD s’est engagée à verser 24 milliards de dollars pour soutenir l’agriculture au cours des 10 prochaines années, en se focalisant principalement sur l’autosuffisance alimentaire et sur l’industrialisation agricole. Les sécheresses et les famines auxquelles certains pays ont récemment été confrontés (Soudan du Sud, Somalie, Nigeria, Kenya, Éthiopie et Ouganda) appellent à des interventions immédiates, car 20 millions de personnes sont touchées par l’insécurité alimentaire et souffrent de malnutrition aiguë. C’est dans ce cadre que la BAD a décidé de lancer de nouvelles initiatives et prévoit un appui de  1,1 milliard de dollars, suite à l’approbation de son Conseil d’administration, pour faire face à cette crise et prévenir toute nouvelle famine en cas de sécheresse. »

« Nous prenons des mesures pour rehausser le niveau de parité en Afrique. C’est la raison pour laquelle nous avons lancé le programme de Discrimination positive en matière de financement pour les femmes d’Afrique (AFAWA) en vue de mobiliser 3 milliards de dollars en faveur des femmes entrepreneures.

Nous nous sommes attaqués au plus grand problème social auquel l’Afrique fait face aujourd’hui : les taux élevés de chômage des jeunes. Actuellement, un tiers des 230 millions de jeunes Africains (environ 20 % de la population jeune dans le monde) est au chômage ou se sent découragés, un autre tiers occupe un emploi précaire, principalement dans le secteur informel, et seulement 1/6e occupe des emplois rémunérés. »

Pour résoudre ce problème, la BAD a lancé l’initiative ENABLE Youth (Empowering Novel Agri-Business-Led Employment Youth) ‑ un programme destiné aux jeunes et promouvant l’entrepreneuriat dans l’agro-industrie par l’acquisition de compétences ‑ qui s’adresse aux jeunes « agripreneurs » dans plusieurs pays, dont le Nigeria et le Soudan. La BAD s’est également associée à la Banque européenne d’investissement (BEI) afin de lancer l’initiative « Boost Africa » pour les jeunes entrepreneurs innovants, et elle investit dans la formation de la jeunesse dans les domaines des sciences, des technologies et des mathématiques en vue de les préparer aux emplois de demain.

« Notre vision pour l’Afrique est claire », a déclaré Akinwumi Adesina en énonçant certains des succès qu’a connu l’institution en 2016 :

  • 3,3 millions d’Africains ont bénéficié de nouveaux raccordements à l’électricité ;
  • 3,7 millions d’Africains ont bénéficié d’une amélioration de leur accès à l’eau et à l’assainissement ;
  • 5,7 millions d’Africains ont bénéficié d’améliorations dans le secteur agricole ;
  • 9,3 millions d’Africains ont bénéficié d’un accès à des services de santé améliorés ;
  • 7 millions d’Africains ont bénéficié d’une amélioration de leur accès aux services de transport.

« La Banque africaine de développement répond aux attentes des Africains, et elle a la capacité de faire mieux », a affirmé Adesina. « Aujourd’hui, elle a besoin de fonds considérables pour poursuivre ses efforts. Il est temps de prendre des mesures de financement rapides pour accélérer le développement de l’Afrique » a-t-il conclu.



via Abdo El Rhazi La BAD répond aux attentes des Africains

Casablanca accueille les « Africa Culture Days »

L’association Africanlab organise la première édition des Africa Culture Days, destinée à mettre en lumière et à valoriser les industries culturelles et créatives africaines. Cette tournée démarrera à Brazzaville (Congo) du 21 au 23 Septembre 2017, fera escale à Abidjan (Côte d’Ivoire) 26 au 28 Octobre 2017,  avant de finir à Casablanca (Maroc) du 23 au 25 Novembre 2017.

Placé sous le thème “culture, créativité et développement durable”, Africa Culture Days a pour ambition de devenir le hub culturel de l’Afrique.

Cet événement, créé par et pour les africains, ambitionne de fédérer les peuples africains autour de la culture, créer des synergies, faire partager les différentes cultures inhérentes à chaque peuple africain pour créer une véritable identité africaine

Cette tournée panafricaine verra la participation de plus d’une vingtaine d’artistes de renommée internationale, tous unis pour mettre en avant la diversité du patrimoine culturel africain à travers des spectacles, des défilés de mode, des workshops et des expositions hauts en couleurs.

En marge du festival, un forum placé sous le thème «La culture facteur clé du développement  des économies africaines» sera organisé pour favoriser les rencontres et échanges des différents acteurs et intervenants du secteur.

Les Africa Culture Days contribueront également à l’émergence de nouveaux talents au travers des quatre concours « Africa Talents »qui seront lancés lors de la conférence de presse de lancement prévu ce mercredi 26 avril 2017.

Les “AFRICA TALENTS” sont au nombre de quatre et visent à promouvoir l’entrepreneuriat culturel chez les jeunes africains. Les différents concours sont les suivants :

  • AFRICA DESIGN AWARDS dans la catégorie Design
  • FIMA dans la catégorie Mode
  • FEMME D’AVENIR dans la catégorie Entrepreneuriat féminin
  • AFRIK GENIUS dans la catégorie Technologie


via Abdo El Rhazi Casablanca accueille les « Africa Culture Days »

La Marocaine des Arts rend hommage à Farid Belkahia

La Marocaine des Arts organise, le samedi 13 mai prochain, une vente exceptionnelle d’œuvres d’art moderne et contemporain. Des pièces d’art historiques d’une valeur rare seront présentées à l’occasion de cette vente aux enchères qui débutera dès 17h30 au Studio des Arts Vivants de Casablanca. Cette vente aux enchères sera également l’occasion de rendre hommage à l’un des grands noms de l’art marocain : Farid BELKAHIA.

Lors de cette vente aux enchères, les passionnés d’art auront l’opportunité de découvrir et d’acquérir  des œuvres d’art moderne et contemporain de grands artistes de la peinture marocaine et des orientalistes de renom tels que Jilali GHARBAOUI, Farid BELKAHIA, Chaïbia TALAL, Mohamed MELEHI, Ahmed CHERKAOUI, Jean Gaston MANTEL ou encore le célèbre Jacques MAJORELLE.

Un hommage particulier sera également rendu à à une figure majeure de la peinture contemporaine au Maroc. Quatre pièces de l’illustre artiste Farid BELKAHIA seront présentées le samedi 13 mai. L’artiste compte parmi ses plus belles œuvres la peinture sur peau « JERUSALEM », créée en 1994, et qui fera aussi partie de cette vente aux enchères d’exception. A travers cette pièce, Farid BELKAHIA nous révèle un hymne à la mémoire et une quête de réconcilier l’homme à ses origines. Une seconde pièce magistrale, de très grande taille, surprendra les personnes présentes par sa mise en vente. Ces œuvres, forte de sens, représentent le clou de la vente et leurs futurs acquéreurs auront le privilège d’honorer la mémoire d’un artiste essentiel à la scène artistique marocaine.



via Abdo El Rhazi La Marocaine des Arts rend hommage à Farid Belkahia

Le nouvel album de Faudel produit par RedOne !

Le petit prince du raï vient d’annoncer ce mardi 25 avril à Casablanca son come-back sur la scène musicale. Ravi de sa collaboration avec le producteur de renommée internationale RedOne, le chanteur franco-algérien possédant depuis 2012 la nationalité marocaine, a annoncé la sortie de son nouvel album composé de 20 titres. Un album mixant à la fois le style de RedOne et celui de Faudel. « J’ai essayé de faudéliser RedOne et croyez-moi ça n’était pas une chose facile parce qu’il est très exigeant », a déclaré le chanteur.

Le premier single de ce nouvel album produit par RedOne sera dévoilé au public au lendemain du mois sacré de Ramadan.

Lauréat de deux Grammy Awards et trois Brit Awards, RedOne est un hit maker, producteur et arrangeur parmi les plus réputés de l’industrie musicale. Déjà légendaire dans la profession, le natif de Tétouan à l’agenda surbooké a travaillé avec Michael Jackson, révélé Lady Gaga en produisant les plus grands tubes de la star dontPoker Face, un single vendu à 10 millions d’exemplaires, ou encore offert à Khaled la chanson C’est la vie, qui s’est écoulée à 4,5 millions de copies, et dont la reprise permettra à Marc Anthony de remporter un Latin Grammy Award en 2013 avec Vivir Mi Vida. A son actif également : des collaborations remarquées avec Pitbull, Shakira, Usher, Jennifer Lopez, Enrique Iglesias, Mika et Christina Aguilera, entre autres.

Aujourd’hui, ce touche-à-tout de génie, également compositeur et musicien, s’apprête à collaborer avec une autre figure de la musique : Faudel, le célèbre chanteur de raï devenu, à seulement 25 ans, le porte-parole de toute une génération. A travers ses chansons les plus marquantes, dont le hit Tellement je t’aime, Faudel prône depuis près de vingt ans une fusion subtile entre deux mondes, celui de ses origines, proche de la tradition oranaise, et celui de l’Occident, berceau des rythmes électroniques. Le résultat de cet heureux mariage : un artiste plein de générosité, plébiscité par tous et dont la participation au concert 1, 2, 3 soleils, avec Khaled et Rachid Taha, a permis de faire entrer le raï par la grande porte de la musique internationale.



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OCP s’engage pour l’agriculture en Afrique

A travers la création d’une filiale dédiée à l’Afrique en début 2016, OCP entend contribuer à relever le défi d’une agriculture structurée, performante et durable sur le continent. En 2017, le groupe affiche des ambitions encore plus fortes, surtout avec l’ouverture de 15 nouvelles filiales dans 15 pays africains.  

Février 2016 constitue une étape incontournable dans le développement du groupe OCP. Une filiale dédiée a l’Afrique a été mise en place. Avec le concours de ses partenaires locaux et internationaux, OCP Africa veut offrir aux producteurs agricoles africains les moyens nécessaires pour réussir. OCP Africa travaille sur l’ensemble de la chaîne de valeur agricole en vue de lever les contraintes et de libérer la demande en engrais phosphatés sur le continent. Cette approche globale est doublée d’une approche par filière. Ainsi, le métier d’OCP Africa n’est pas de distribuer uniquement des engrais, mais de proposer des solutions complètes aux agriculteurs, notamment par le biais de la formation et du financement. Cet engagement à long terme s’appuie sur un écosystème de partenaires riches et multiples, locaux, panafricains et internationaux, qui partagent la vision d’OCP Africa en matière de développement agricole en Afrique.

En 2017, OCP Africa annonce l’ouverture de quinze filiales dans les pays suivants : Côte d’Ivoire, Sénégal, Cameroun, Kenya, Ghana, Nigeria, Zambie, Bénin, République Démocratique du Congo, Angola, Tanzanie, Zimbabwe, Mozambique, Ethiopie et Rwanda. Ces quinze filiales ambitionnent de s’engager auprès de chaque pays, tout en prenant en compte la diversité géographique et la maturité de leur marché. Elles auront pour activité principale la commercialisation d’engrais, d’intrants et de produits agricoles adaptés à la nature du sol. Elles offriront également les services visant le développement du secteur agricole dans les pays concernés. Les filiales joueront aussi le rôle d’intermédiaires commerciaux et représentants du Groupe dans ces pays. Le partage de son expertise industrielle et de son savoir-faire a en outre mené le Groupe à concevoir divers projets de plates-formes industrielles à la production entièrement destinée au continent africain. Au Maroc, l’Africa Fertilizer Complex (AFC), entrée en production début 2016, développe aujourd’hui une capacité d’un million de tonnes.

Vers un modèle d’agriculture durable

Pour permettre aux producteurs de répondre aux besoins des populations, la transformation agricole du monde, et de l’Afrique en particulier, doit s’appuyer sur une agriculture performante, précise et durable, seule à même de garantir le développement d’un potentiel agricole capable de nourrir une Afrique en pleine croissance. C’est cette conviction forte, partagée avec l’ensemble de ses partenaires, qui conduit OCP Africa à développer une recherche d’excellence afin d’atteindre l’indispensable augmentation des rendements dont le continent a besoin, dans le respect des principes d’une agriculture familiale très largement majoritaire en Afrique.



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Erfoud accueille la 8e édition de l’Afriquia Merzouga Rally

Du 7 au 12 mai 2017 

La 8ème édition de l’Afriquia Merzouga Rally, tenue cette année sous Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, bénéficiera pour la deuxième année consécutive du partenariat avec Afriquia.

Sur le plan sportif, l’Afriquia Merzouga Rally réaffirme ses ambitions : être une épreuve incontournable dans la préparation du Dakar, mais aussi un laboratoire de détection et de formation au rallye-raid, destiné à faire émerger la « nouvelle génération Dakar ». Chaque jour, Marc Coma, Directeur sportif, prodiguera des cours sur les thématiques essentielles : road-book/navigation, préparation physique et mentale pour affronter les difficultés du Dakar. Tous les finishers auront l’assurance de pouvoir s’inscrire sur le Dakar.

Compte tenu de la protection de l’environnement qu’a adopté le Maroc cette année, l’Afriquia Merzouga Rally démontrera son engagement fort en faveur du sport responsable. Ainsi, de nombreuses actions environnementales et sociales sont créées autour de 3 axes majeurs (la maîtrise de l’empreinte, la solidarité, la valorisation du pays hôte) et de 11 actions concrètes. Les économies d’énergie, les mesures et compensations des émissions carbones, la maîtrise des déchets, l’approvisionnement local, la sécurité et le fair-play, la sensibilisation à la responsabilité sont autant d’actions mises en œuvre.

Plus de 140 véhicules et 170 compétiteurs de 27 nationalités différentes sont attendus pour cette édition, dont 2 marocains. Plus de 66% des engagés sont des nouveaux venus sur l’épreuve. La couverture médiatique s’annonce inédite s’appuyant sur un plan de communication digitale à la hauteur de l’événement.

L’événement sportif se tiendra du 7 au 12 mai à Erfoud pour exploiter au maximum l’expérience Merzouga.



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Attijariwafa Bank soutient le tourisme ivoirien

Attijariwafa Bank va accompagner la Côte d’Ivoire dans le financement du Tourisme pour davantage dynamiser le secteur. En effet, c’est durant la rencontre du Club Afrique Développement organisée à Abidjan jeudi dernier que le ministre ivoirien du Tourisme a annoncé que la banque panafricaine va accompagner son département à développer de 2 fonds d’investissement.

Le premier sera un fonds d’investissement privé dédié au secteur touristique et hôtelier tandis que le second sera constitué de capitaux souverains de pays amis et alliés avec la participation en nature de l’État ivoirien.

Au total, Attijariwafa Bank va assister la Côte d’Ivoire à réunir jusqu’à 3.000 milliards FCFA soit environ 4,9 milliards de dollars à l’horizon 2021.

Pour mémoire, le Maroc partage son expertise avec la Côte d’Ivoire dans la valorisation de la Baie de Cocody, projet piloté par Marchica Med et qui est dupliqué également à Madagascar.



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Lalla Joumala reçue par le Président Trump, l’occasion de souligner la solidité du partenariat d’exception Maroc-Etats Unis

Par Fouad Arif MAP

L’audience accordée, lundi à la Maison Blanche, par le Président Donald J. Trump à Lalla Joumala, qui a présenté au Chef de l’exécutif US ses lettres de créance en tant qu’Ambassadeur de SM le Roi Mohammed VI aux Etats-Unis, a été l’occasion de mettre en avant l’excellence des liens d’amitié séculaire unissant les deux nations qui se sont toujours retrouvées du même côté de l’histoire, en joignant leurs forces pour la sauvegarde des idéaux de la liberté, de la tolérance et de la poursuite légitime de la prospérité.
Après avoir fait part au Président Trump de “la Haute considération et du respect de Sa Majesté le Roi Mohammed VI”, Lalla Joumala s’est félicitée du fait que le Maroc et les Etats-Unis sont liés par une alliance historique “inébranlable”, qui date du 20 décembre 1777, lorsque le Maroc est devenu la première nation à reconnaître formellement l’indépendance et la souveraineté des treize Etats américains engagés dans la lutte pour la liberté.
En effet, neuf ans plus tard, le 15 juillet 1786, l’émissaire américain Thomas Barclay a été reçu par son interlocuteur marocain Taher Ben Abdelhack Fennich, qui lui a remis le protocole définitif du Traité de paix et d’amitié entre les deux pays. Une traduction certifiée des articles dudit document a été par la suite signée par John Adams et Thomas Jefferson, en leur qualité de ministres plénipotentiaires, qui allaient par la suite devenir respectivement 2è et 3è présidents de la jeune République américaine.
Le 18 juillet 1787, le congrès des Etats-Unis appose son sceau ratifiant ledit traité. Le succès à long terme du partenariat maroco-américain est porteur d’enseignements encore valables de nos jours, au moment où Washington cherche à redéfinir sa projection au niveau international.
Lalla Joumala a souligné, dans ce contexte, que les deux nations, qui sont liées par le traité d’amitié le plus ancien -jamais rompu- dans les annales de la diplomatie américaine, ont joint leurs forces, à travers l’histoire, en faveur des valeurs communes, à savoir la liberté, la démocratie, la paix et la tolérance.
Ces idéaux, a fait observer Lalla Joumala, constituent, depuis plusieurs décennies, le socle du fort partenariat politique, sécuritaire et militaire qui unit Rabat et Washington, notant que cette année “marque le 240è anniversaire de nos échanges diplomatiques”.
Revenant sur les réalisations ayant jalonné le partenariat historique maroco-américain, Lalla Joumala a cité la désignation du Maroc en tant qu’allié majeur des Etats-Unis hors OTAN, la conclusion de l’Accord de libre-échange en 2004 et le lancement du Dialogue stratégique Etats-Unis-Maroc en 2012, notant qu’il s’agit là de “quelques exemples des réalisations les plus récentes illustrant notre relation riche et dynamique”.
Le partenariat grandissant, qui unit le Royaume et les Etats-Unis, a poursuivi Lalla Joumala, porte en lui la promesse d’un potentiel encore plus grand, adossé à un engagement profond tel qu’exprimé au plus haut niveau de l’Etat, au service de l’avenir d’une prospérité partagée et d’une vision commune au sujet des différents défis aux plans régional et international.
S’agissant du Moyen-Orient et de l’Afrique, le Royaume du Maroc, a affirmé Lalla Joumala, “ne ménagera aucun effort pour soutenir les actions des Etats-Unis en faveur de la paix, la stabilité et la prospérité dans ces parties du monde”.
La concordance de vues entre les deux nations s’est exprimée quelques jours à peine après la prise de fonction du Président Donald Trump, à travers la réorganisation de la structure du Conseil national de sécurité, une démarche qui constitue, dans son volet géopolitique africain, “un signal très positif pour les objectifs stratégiques à long terme de la stratégie de Sa Majesté le Roi Mohammed VI en Afrique”.
Cette nouvelle réorganisation est sans aucun doute de nature à s’inscrire en droite ligne des objectifs stratégiques à long terme du Maroc en Afrique, notamment avec le retour victorieux du Royaume au sein de l’Union africaine, sa famille institutionnelle, estime-t-on à Washington.
“En tant que nation, dont la politique étrangère séculaire s’est toujours fixée pour objectif cardinal la promotion de la paix et de la sécurité tout en prônant les vertus de la modération et en sauvegardant les libertés religieuses, le Royaume du Maroc continuera de soutenir tous les efforts visant à lutter contre le terrorisme, à barrer la route à l’extrémisme violent et à promouvoir la tolérance”, a poursuivi Lalla Joumala, lors de cette audience à la Maison Blanche.
Conformément à la Vision de Sa Majesté le Roi en faveur d’un partenariat maroco-américain qui ne cesse de se raffermir, Lalla Joumala a affirmé la volonté d’oeuvrer sans relâche avec l’administration, le Congrès et les autres institutions américaines afin de porter la relation séculaire maroco-américaine à des niveaux supérieurs, dans le cadre d’une dynamique positive à même d’insuffler un nouvel élan au partenariat stratégique, politique, économique, et sécuritaire unissant Rabat et Washington.
L’audience accordée par le Président Donald Trump à Lalla Joumala illustre, une fois encore, la densité et la fécondité du partenariat stratégique liant le Maroc aux Etats-Unis, sur fond d’une compréhension et d’un respect profonds des intérêts vitaux bien compris des deux Nations.
D’une perspective américaine, telle que maintes fois formulée par les centres de prise de décision US, la communauté des think tanks et les médias, “le Maroc, qui est un havre de stabilité régional, et les Etats-Unis ont en partage une vision et des intérêts communs adossés à une histoire millénaire et une même philosophie imprégnée des idéaux des droits de l’Homme, des libertés civiques et d’une participation politique inclusive”.



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Tuesday, April 25, 2017

Agriculture – Le ministre Boussaid présente les nouvelles priorités nationales

Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de L’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec Mohamed Boussaid, ministre de l’Économie et des finances.


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Omar El Yazghi fait le point sur le développement des agropoles au Maroc et de MedZ en Afrique

 
Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de L’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec Omar El Yazghi, Président de MedZ.


via Abdo El Rhazi Omar El Yazghi fait le point sur le développement des agropoles au Maroc et de MedZ en Afrique

KayaTea veut révolutionner le marché du thé

Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de L’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec Mongi Kooli, Directeur Général de l’entreprise marocaine KayaTea.


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Meteck M’Avie cherche des partenaires marocains

Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de L’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec la gabonaise Patricia Sylvie Beang, patronne des Saveurs de Meteck M’Avie.


via Abdo El Rhazi Meteck M’Avie cherche des partenaires marocains

SIAM – Jessica Medza Allogo présente les petits pots de l’Ogooue

Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de L’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec la gabonaise Jessica Medza Allogo qui fabrique des confitures artisanales.


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Le secteur laitier sous la loupe du patron de Centale Danone

Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de L’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec Didier Lamblin, PDG de Centale Danone.


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Jawad Hilali à la tête de la Fédération de la pêche maritime pour un second mandat

Suite à la tenue de l’assemblée générale ordinaire et élective de La Fédération de la Pêche Maritime (FMP) le 20 Avril 2017 à Casablanca, Jawad Hilali et Abderrahim El Habza ont été élus respectivement Président et Vice-Président Général de la Fédération pour un mandat de trois ans.

Il s’agit du deuxième mandat de Hilali à la tête de la FMP créée en 1999.

Hilali dirige l’entreprise Zima Fisheries, opérant dans la pêche hauturière. El Habza quant à lui, dirige Rayan Pelagique, société spécialisée dans la congélation, le traitement, la commercialisation et l’exportation des produits de la mer.



via Abdo El Rhazi Jawad Hilali à la tête de la Fédération de la pêche maritime pour un second mandat

Journée de la Terre : une ligne de crédit pour l’économie circulaire signée BMCE Bank Of Africa

A l’occasion de la Journée Internationale de la Terre, BMCE Bank Of Africa lance une ligne de financement à impact positif. Principal but annoncé : appuyer l’Objectif du Développement Durable des Nations Unies relatif à la Consommation et Production Responsable et aux mesures relatives à la Lutte Contre les Changements Climatiques.
Faisant suite à l’obtention d’un prêt de 20 millions d’euros en faveur de BMCE Bank of Africa de la part de FMO (Entrepreneurial Development Bank des Pays Bas) et BEI (Banque Européenne d’investissement) lors de la COP22 pour le financement de l’économie circulaire au Maroc, , la nouvelle offre « Valorisation des Matières Résiduelles » présente une solution globale pour accompagner les entreprises souhaitant s’inscrire dans une démarche de gestion plus cohérente et plus efficiente de leurs matières résiduelles.
BMCE Bank of Africa explique dans un communiqué que ce financement est accompagné d’une assistance technique gratuite offerte par FMO, et d’un taux bonifié de 25PB sur le taux appliqué accordé par BEI. « Dans un contexte économique de plus en plus exigeant, la valorisation des matières résiduelles permet aux entreprises bénéficiaires de réaliser des économies financières et de fédérer leurs collaborateurs autour de valeurs de développement durable », souligne le Groupe. E d’ajouter : « Cette démarche présente plusieurs enjeux essentiels pour l’entreprise : réduction des coûts de matières premières, de stockage et d’élimination des déchets, ouverture sur de nouveaux marchés, amélioration de l’image de l’entreprise et proactivité vis-à-vis des futures lois et réglementations ».
BMCE Bank of Africa déclare œuvrer de la sorte à contribuer à la mise en œuvre de la Stratégie nationale de gestion des déchets 2008-2022 et de la Stratégie nationale de développement durable – SNDD.



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Marrakech accueille l’Opération Smile Morocco

Du 28 avril au 06 mai 2017

La 5e mission chirurgicale de l’Association Operation Smile Morocco se tiendra à Marrakech du 28 avril au 06 mai 2017.

Les inscriptions auront lieu les 28 et 29 avril à l’hôpital Al Antaki. Après la réalisation des diagnostics, un comité spécial dressera une liste de patients éligibles aux opérations chirurgicales du 1er au 5 mai 2017. Le contrôle postopératoire est prévu le 6 mai.

Organisée sous la Présidence d’Honneur de la Princesse Lalla Meryem, et en partenariat avec la Fondation OCP et le Ministère de la Santé, Operation Smile Maroc offre un soin médical et un suivi gratuits aux enfants et aux jeunes adultes dans l’ensemble de ses centres situés à Casablanca et à El Jadida.

Elle dispense également au corps médical local des formations aux nouvelles techniques chirurgicales aux USA, au Canada, en Europe, au Brésil et aux philippines et leur fournit par la même occasion, l’équipement nécessaire pour la réalisation de leur mission.



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Attijariwafa Bank crée des plans d’accompagnement d’entreprises sur mesure


Afin d’accompagner le développement d’entreprises et leur permettre de faire évoluer leur activités, Attijariwafa bank soutient les PME grâce à des plans de communication et des dispositifs d’accompagnement volontariste

PLAN PME est un programme global dédié aux PME et axé sur la proximité et l’accompagnement personnalisé des entreprises leur permettant de bénéficier de :

  • produits et services financiers innovants à des conditions compétitives ;
  • développement de leurs affaires à travers des services non financiers axés sur le conseil, la formation, la mise en relation d’affaires… ;
  • digitalisation des interactions avec leurs écosystèmes à travers des services en ligne.

PLAN AUTOMOTIVE est une offre spécifiquement conçue pour les investisseurs locaux et étrangers dans l’industrie automobile. Il regroupe des solutions de financement des investissements onshore et offshore et des solutions spécifiques pour le financement du fonctionnement.

PLAN EL KHEIR quant à lui, est une offre sur-mesure dédiée exclusivement au secteur agricole et proposant essentiellement des solutions adaptées pour le financement des investissements intégrant des modalités sur-mesure pour chaque filière en proposant des durées et des différés qui s’adaptent aux spécificités agronomiques de ces filières (cycles de croissance, année d’entrée en production…).

De nouvelles offres destinées à d’autres secteurs d’activité et adressant de nouvelles thématiques qui intéressent les PME, seront prochainement mises en œuvre.

Avec PLAN PME, le groupe Attijariwafa bank réitère son engagement de financer le développement de l’économie marocaine et booster la compétitivité des PME, véritables moteurs de croissance de notre pays.



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Des djihadistes arrêtés à Barcelone en relation avec les attentats de Bruxelles

Les services de sécurité espagnols ont arrêté neuf individus dans l’opération contre le terrorisme djihadiste menée mardi 26 avril dans la zone métropolitaine de Barcelone. Quatre d’entre eux sont liés aux auteurs de l’attentat à la bombe de l’aéroport bruxellois de mars 2016.
Les neuf détenus sont tous des hommes âgés de 30 à 40 ans, l’un de nationalité espagnole et le reste de nationalité marocaine, qui devraient être mis à la disposition de l’Audiencia Nacional le jeudi suivant. Ils sont accusés de crimes d’appartenance à une organisation terroriste, de trafic de drogue, de vol qualifié, de possession d’armes et de blanchiment d’argent.
La plupart des détenus sont connus par la police pour des activités criminelles et es activités de crime organisé, principalement liées au trafic de drogue, selon des sources proches de l’affaire.
L’enquête, qui a débuté il y a huit mois, se distingue par sa «complexité», la diversité des crimes étudiés, le nombre de personnes impliquées et les centaines de milliers de données analysées par les analystes de la police. Des enquêtes ont été menées auprès des détenus en Belgique pour leur participation aux attaques de mars 2016.
Lors de l’opération appelée Apolo, les Mossos d’Esquadra (Police de catalogne) ont pratiqué douze opérations, en collaboration avec la Police fédérale belge et la Police nationale, au cours desquelles ils ont intercepté des armes à feu, des stupéfiants divers, des documents, des appareils électroniques, des ordinateurs et de l’argent liquide.
Simultanément, les Mossos d’Esquadra et la Police nationale collaborent avec la police marocaine dans plusieurs dossiers au Maroc dans les foyers des personnes arrêtées, en vertu d’une commission rogatoire internationale demandée par le chef de la cour centrale de l’Instruction Numéro 6 de la Cour nationale, Eloy Velasco.



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Le flamenco au service de l’enfance défavorisée !

Le vendredi 28 avril 2017 au studio des Arts Vivants à Casablanca

L’Association Al Ihssane de la maison Lalla Hasnaâ organise, ce vendredi 28 avril 2017, un concert de Flamenco avec la troupe de Manuel Delgado, au profit des bébés et des enfants privés de famille.

Les recettes de ce spectacle seront versées sur le compte de l’Association Al Ihssane au profit des pensionnaires de la Maison d’Enfants Lalla Hasnaâ.

Depuis 1989, l’association œuvre pour aider les enfants défavorisés à prendre un bon élan dans la vie, de faire d’eux des membres de la société à part entière et leur donner ce dont la vie les a privés en terme d’amour, d’affection et de respect.



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JIDAR, Toiles de rue

Du 21 au 30 avril à Rabat

Plus que quelques jours avant le lancement de la 3e édition de Jidar, toiles de rue prévu à Rabat du 21 au 30 avril 2017.

Cette année, le festival donne carte blanche à des street artistes dont le travail s’inspire du patrimoine populaire et les cultures anciennes, symboles mayas, dessins d’inspiration byzantine, estampes médiévales ou personnages folkloriques ukrainiens… Le circuit de JIDAR 2017 se veut un véritable hommage au multiculturalisme et aux cultures populaires, d’hier et d’aujourd’hui.

Par ailleurs, initiés et grand public pourront assister à des rencontres et master class, tandis qu’une demi-douzaine de professionnels marocains en quête de nouvelles formes d’expression urbaine, travailleront ensemble à créer une identité visuelle au Skatepark de la corniche de Rabat.

 



via Abdo El Rhazi JIDAR, Toiles de rue

Mounia Boutaleb représente le Maroc au World Art Dubaï

Les œuvres de Mounia Boutaleb étaient à l’affiche lors du Salon mondial d’Art de Dubaï (World Art Dubai). Invitée par la galerie française SAB’S Connexions Des Arts, l’artiste peintre marocaine a réussi à se démarquer grâce à des peintures inédites colorées et très vivantes.

Ce salon mondial de l’art qui s’est déroulé du 12 au 15 avril à Dubai a accueilli une collection diverse d’œuvres d’art modernes, contemporaines et raffinées. Lors de cette 3e édition qui a enregistré une fréquentation de dix milles visiteurs, plus de 150 galeries et artistes locaux, régionaux et internationaux ont présenté une grande variété d’œuvres d’art dans un espace d’exposition intérieur de 4 000 m2 au sein du World Trade Centre de Dubai. Objectif : connecter les artis
tes mondiaux et les galeries avec une communauté de collectionneurs d’art du monde entier, avec des prix allant de seulement 1000 à 100 000 DH.

Par des couleurs vives et pleines de joie, Mounia Boutaleb est connue pour ses compositions d’éclats de lumière réalisées selon un processus bien maîtrisé. Son art est le lieu où tout se crée à partir de l’intuition et des émotions qui lui permettent de trouver l’équilibre et l’harmonie intérieures. Sa peinture permet à tout un chacun de retrouver sa liberté et d’accéder à diverses thématiques, avec au centre de toute chose, l’individu et son rapport à l’Autre.
Pour elle “la diversité, c’est la vie”. C’est pourquoi ses œuvres sont l’expression de diverses tensions intérieures qui ont été canalisées et qui permettent d’éclore la sérénité. La peinture devient ainsi une communication instinctive, qui permet au spectateur de réfléchir, sur lui, sur l’être qu’il est et sur le monde qui l’entoure, afin de se découvrir parmi les reliefs, les formes et les couleurs.



via Abdo El Rhazi Mounia Boutaleb représente le Maroc au World Art Dubaï

Zazie Mute – Le ré-enchantement du travail de Catherine Tanguy

 

Catherine Tanguy, coach professionnelle et cofondatrice et dirigeante de Faros Institut, a dévoilé ce lundi 24 avril 2017 lors d’une rencontre littéraire au Four Seasons Hotel Casablanca, son nouveau roman d’entreprise : « Zazie Mute, Le ré-enchantement du travail », une œuvre étonnante et énergisante.

Le livre dont la préface est signée Fouad Benseddik, raconte d’histoire d’Alice dite Zazie, cheffe d’entreprise néozélandaise qui quitte pour un temps son exploitation agricole et accepte une mission pour la République française. Région après région, entreprise après entreprise, elle part en quête des ingrédients qui permettraient de chasser la morosité qui s’est emparée des entreprises.

Chaque étape de ce joyeux voyage nous dévoile une nouvelle clé de l’entreprise réinventée pour faire face aux défis de son temps. En effet, entre la poire et le fromage, le mezze et la tête de veau sauce gribiche, Zazie craque, peu à peu, le code du ré-enchantement du travail et nous livre ses observations sans fioriture, avec la simplicité et la convivialité d’une bonne troisième mi-temps de rugby.

Candide gourmande et un tantinet provocatrice, Zazie nous réveille à nous-mêmes dans ce roman initiatique et hautement libérateur d’énergie. Vous y découvrirez que chacun d’entre nous peut cultiver son jardin entrepreneurial, créer un équilibre dynamique de projets, ouvrir les vannes des talents, dessiner une autre vision du travail et en partager les saveurs et envisager l’avenir avec plus d’espérance.

Zazie mute se lit comme un roman de gare mais…ne vous laissera pas sur le quai !

En choisissant le roman d’entreprise, Catherine Tanguy fait le pari de l’accessibilité pour témoigner d’expériences réelles qu’en qualité de coach en entreprise, elle a rencontrées et accompagnées. Affirmons-le. Nous avons tous besoin d’un nouveau management. C’est humainement une nécessité, c’est économiquement indispensable. Les canons du management issus de la révolution industrielle et conçus pour améliorer l’efficience, ne sont ni à la hauteur des défis d’innovation d’aujourd’hui, ni même en phase avec ce que nous savons de la motivation. Partout ou presque, on s’acharne à imprimer les mêmes actions qui produisent les mêmes résultats dont on ne veut plus et qui entraînent leur lot de délocalisation, de souffrances au travail et de sous performance.

L’ouvrage nous libère des modes d’emploi tout fait et nous préserve de la tentation de limiter à quelques experts la compréhension et les moyens d’agir sur les changements nécessaires. Ce livre inspirera tous les dirigeants, les consultants, les managers, les professionnels du changement en entreprise, sans oublier professeurs et étudiants. S’il s’adresse d’abord à ceux qui auront, un jour ou l’autre, la responsabilité de faire travailler ensemble des hommes et des femmes, il intéressera d’une manière plus large tous ceux qui veulent participer à modeler un monde dans lequel chacun trouve sa place pour produire sa valeur ajoutée au service de l’ensemble.



via Abdo El Rhazi Zazie Mute – Le ré-enchantement du travail de Catherine Tanguy

Orange Maroc lance la SMART Recharge, un service de recharge sans contact

Orange satisfait les demandes de ses clients qui ont longtemps demandé des services simples, rapides et pratiques pour la vie de tous les jours.

Après le lancement du QR Code qui donne la possibilité de récupérer facilement le code à 16 chiffres de la carte de recharge, Orange a décidé d’aller encore plus loin et de mettre à disposition, pour la première fois sur le continent africain, une nouvelle façon de recharger sa ligne, en un seul geste et sans contact. Plus besoin de communiquer son numéro pour recharger et donc plus de risque de voir le montant de sa recharge affecté, par erreur, à une autre ligne. La Smart Recharge prend la forme d’une carte ou d’un autocollant pour répondre aux attentes de chaque client, qui peut avoir jusqu’à 5 cartes ou autocollants associés à un numéro Orange.

La Smart Recharge peut être achetée et utilisée dans les boutiques Orange et chez les revendeurs équipés. Elle permet d’effectuer tous les types de recharges disponibles au catalogue des offres Orange (classiques ou étoiles) et peut être associée à tous les numéros Orange y compris ceux utilisés pour la Dar box ou les modems 3G/4G.

Avec la Smart Recharge, une nouvelle expérience de recharge est née. Elle illustre parfaitement la volonté d’Orange à offrir le meilleur de la technologie et connecter ainsi tous les marocains à ce qui est essentiel pour eux.



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Vidéo – Le nouveau film publicitaire de la Renault Kadjar, 100% Marocain

En tant que sponsor exclusif de la sortie du film ‘’Fast & Furious 8‘’, le film publicitaire Kadjar a été révélé, le 14 avril 2017 à l’Imax, lors de l’avant-première de ‘’Fast & Furious 8’’. Plus de 30 000 personnes, dont la majorité est en adéquation avec notre cible, sont attendues pendant les 5 semaines de diffusion. Le film
publicitaire Kadjar sera aussi diffusé dans toutes les salles Mégarama du pays.



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Propriété Industrielle en Afrique : Une nouvelle plate-forme de services à Casablanca

Aujourd’hui l’ouverture du Maroc vers son continent africain n’est plus à démontrer : elle s’inscrit dans une vision stratégique, celle portée par SM le Roi Mohamed VI.
De grandes opportunités s’offrent en conséquence aux entreprises marocaines pour investir en Afrique. Mais la croissance des marchés – particulièrement celle des produits et des services de grande consommation, renforce la nécessité de protéger les droits de Propriété Intellectuelle qui englobent les marques, les dessins et modèles industriels, les noms de domaine ainsi que les brevets d’invention.
Pour accompagner ce mouvement pan africain, le Cabinet marocain H&H Consulting Law Firm et le cabinet international INLEX à travers sa structure africaine INLEX Africa ont donc décidé de s’associer.
Ils mettent ainsi leur expertise complémentaire en matière de Propriété Industrielle et intellectuelle au service des entreprises et investisseurs marocains désireux de s’engager dans le développement du continent auquel le Maroc est partie prenante.
Cette triple expertise croisée Europe-Maghreb-Afrique des 2 cabinets est un atout inédit pour accompagner le développement des entreprises marocaines sur le continent africain (voir fiches de présentation).
Le choix de Casablanca a été fait naturellement en raison de la localisation et de l’attractivité de la capitale économique du Royaume point de contact majeur avec l’Europe et porte d’entrée de l’Afrique de demain.
Cette alliance permettra d’accompagner les clients historiques des deux cabinets et les entreprises marocaines à la recherche de marchés porteurs et émergents, des services leur permettant de développer leurs activités en Afrique Sub-saharienne en toute sécurité.
« La maîtrise acquise d’INLEX AFRICA des exigences des Marchés Africains dans le domaine de la Propriété Intellectuelle et Industrielle, permettra de garantir la protection, la sauvegarde et la garantie des efforts commerciaux et économiques des entreprises marocaines quel que soit le domaine d’activité », explique Franck Soutoul, partenaire fondateur d’INLEX AFRICA.
« L’investissement, l’innovation, la créativité et la propriété industrielle apportent des promesses en termes de croissance, de développement économique et d’échanges commerciaux. La Propriété Industrielle est devenue un mécanisme indispensable pour convertir un savoir-faire en termes d’actif négociable avec l’appui d’une politique de partenariat gagnant-gagnant », ajoute Hicham Chorfi, fondateur du Cabinet H&H Consulting.
Avec l’association de ces deux cabinets, c’est donc en matière sécurisation des contrats et de valorisation du capital immatériel une offre complète qui voit aujourd’hui le jour au Maroc au bénéfice des entreprises qui s’orientent vers le marché africain.



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Maroc Telecom totalise plus de 54 millions de clients

Abdeslam Ahizoune, président du Directoire de Maroc Telecom.

Abdeslam Ahizoune, président du Directoire de Maroc Telecom.

Les résultats consolidés communiqués par Maroc Telecom, au titre du 1er trimestre de cette année, font état progression de 2,7% des parcs de l’opérateur historique. Lequel revendique désormais plus de 54 millions de clients.
L’autre fait marquant relevé est le fort engouement pour la Data Mobile. Selon Maroc Telecom, le chiffre d’affaires de ce segment croit de 58% au Maroc.
Du reste, le Résultat Net Part du Groupe augmente de 8,7%, à change constant et hors éléments exceptionnels.
Satisfait de ces résultats, Abdeslam Ahizoune les qualifie de « bons » et souligne qu’ils ont été obtenus dans un contexte marqué par un durcissement de l’environnement réglementaire et concurrentiel. « Le Groupe poursuit en parallèle l’optimisation de ses coûts, pour soutenir ses marges et renforcer sa profitabilité. Sa capacité d’investissement, ainsi préservée, lui permet de poursuivre sa stratégie de différentiation par la qualité de ses réseaux et de ses services sur ses marchés aussi bien au Maroc qu’en Afrique subsaharienne. », affirme le président du Directoire de Maroc Telecom.



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Vidéo – COSUMAR s’internationalise, les grandes annonces de son patron

Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de l’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec Mohamed Fikrat, PDG COSUMAR.

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L’appel d’un patron burkinabè aux industriels marocains


Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani de L’Observateur du Maroc et d’Afrique, au SIAM 2017, avec Yacouba Nombre, DG d’EMAF-Burkina Faso.

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Vidéo – Le relais digital du CAM expliqué par son DGA

Entretien réalisé par Mounia Kabiri Kettani au SIAM 2017 avec Abdelmounaïm Dinia, directeur général adjoint chargé du domaine support au Groupe Crédit Agricole du Maroc.

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“Rencontres Africa” débarque à Casablanca

Casablanca, la capitale économique accueille aujourd’hui mardi et demain mercredi, un événement international qui vise à développer les relations avec les entreprises françaises, marocaines et africaines.

Dénommée “Rencontres Africa”, la conférence verra la participation de plus de 350 entreprises avec quelque 250 entreprises marocaines, 50 entreprises françaises et 50 entreprises africaines. Organisée par Classe Export avec comme Master partenaire la Société Générale Maroc, les “Rencontres Africa” seront marquées par des rendez-vous B2B et des conférences sur les enjeux et défis du développement en Afrique dans l’agrobusiness, la ville durable, les énergies renouvelables, le numérique, la santé, le financement et la formation.



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Monday, April 24, 2017

Mustapha Zine : Grâce au golf, le Maroc gagne des ambassadeurs de qualité

Entretien réalisé en marge de la 16e Coupe de l’amitié Maroc-Portugal de golf organisée les 22 et 23 avril 2017 à Marrakech.


via Abdo El Rhazi Mustapha Zine : Grâce au golf, le Maroc gagne des ambassadeurs de qualité

Le nombre de personnes fichées pour actes terroristes en Belgique en pleine croissance …

Quelques 18.884 personnes sont fichées pour des infractions liées à un groupe terroriste en 2017 en Belgique, contre 1.875 en 2010, soit une augmentation de 907% en 7 ans, révèle la presse belge citant le ministre de l’Intérieur Jan Jambon. 

Rapportant une réponse du ministre à une question parlementaire, la même source précise que parmi ces personnes, il n’y a pas que ceux qui ont commis ou tenté de planifier un attentat, mais aussi des personnes sur l’ordinateur desquelles la police a trouvé, par exemple, des éléments relatifs à Daesh, ou une littérature de ce genre.

Selon la même source, quelque 2. 248 personnes figurent dans la BNG pour des comportements en relation avec une radicalisation violente. Il s’agit notamment de femmes ou de proches qui ont aidé à la planification d’un acte terroriste. On dénombre également 3.083 personnes fichées pour menace d’attentat. La Belgique est soumise au niveau d’alerte terroriste de 3 sur une échelle de 4, depuis les attentats de Paris et de Bruxelles, ce qui signifie que la menace est “possible et vraisemblable“. L’armée est déployée dans la rue et autour des sites stratégiques et les édifices publics et européens sont soumis à des contrôles renforcés.



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Abdelhadi El Harti, 2ème au marathon paralympique de Londres

Avec un chrono de 2h29min38sec dans la catégorie T45/46, L’athlète marocain Abdelhadi El Harti s’est classé dimanche deuxième au marathon paralympique de Londres. En première position on trouve le Brésilien Alex Pires Da Silva avec un chrono de 2h 28 min 20 sec, alors que la troisième place a été décrochée par l’athlète polonais Patryk Lekaszewski avec un chrono de 2h32 min20sec.

L’édition 2017 du marathon de Londres a été remportée par le Kényan Daniel Wanjiru, en réalisant la meilleure performance de sa carrière, en 2h 05 min 48 sec, devant l’Ethiopien Kenenisa Bekele et un autre Kényan Bedan Karoki. Chez les femmes, la Kényane Mary Keitani a réalisé le deuxième meilleur chrono de l’histoire, en 2h 17 min 01 sec. L’athlète de 35 ans remporte ainsi son troisième trophée dans l’épreuve londonienne. Elle a devancé de 55 secondes l’Ethiopienne Tirunesh Dibaba, double championne olympique du 10.000 m.



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Programme gouvernemental : Des ambitions et des chiffres

Le chef de gouvernement vient de passer son premier grand oral, après avoir présidé son premier conseil de gouvernement. Mercredi 19 avril, il était devant les membres des deux chambres du parlement, réunies en séance plénière, où il a donné lecture au programme gouvernemental.

C’est un programme qui s’inscrit, foncièrement, dans la continuité que celui qu’a présenté le nouveau chef de gouvernement, ce mercredi 19 avril, devant les membres des deux chambres du parlement. Pour son premier grand oral, Saâd Eddine El Othmani a, en effet, décliné les contours de ce que devra être l’action que l’Exécutif tend à mettre en œuvre au cours de ce mandat quinquennal.

Ledit programme s’articule autour de cinq grands axes. Le premier porte sur le soutien du choix démocratique, des principes de l’Etat de Droit et de la Loi et la consécration de la régionalisation avancée. Quant au deuxième, il annonce le renforcement des valeurs de la transparence, la réforme de l’administration et la consécration de la bonne gouvernance. Pour ce qui est du troisième axe, il porte sur le développement du modèle économique, la promotion de l’emploi ainsi que le développement durable. Le quatrième axe, lui, concerne le renforcement du développement humain et de la cohésion sociale et spatiale, alors que le cinquième axe porte sur le renforcement du rayonnement international du Maroc au service de ses causes justes dans le monde.

L’optimisme en chiffres Sur le plan économique, le programme gouvernemental, inscrit à l’horizon 2012, se veut optimiste. Selon El Othmani, le taux de croissance devra être inclus entre 4,5% et 5,5%. Et ce, alors que le déficit budgétaire devra être contenu à 3% par rapport au PIB brut. Le déficit du Trésor, lui, est fixé à -60% du PIB. Quant au taux d’inflation, le gouvernement, par la voix de son chef, ambitionne de le limiter à -2%. Pour ce qui est du chômage, l’Exécutif ambitionne de le réduire à 8,5%.

Il va sans dire que pour atteindre ces objectifs, il va falloir adopter une batterie de mesures qui versent dans le sens, notamment, du développement du tissu économique. S’il est clair que l’on ne pourrait avoir une idée claire sur ce qui devrait être entrepris qu’après l’adoption de la loi de finances, El Othmani annonce, d’ores et déjà, quelques pistes. Ainsi, il est dit dans la déclaration de politique générale que le gouvernement compte renforcer les chances de réussite du Plan de l’accélération industrielle. De même qu’elle indique qu’il va falloir réunir les conditions idoines, particulièrement dans le cadre de l’amélioration de l’environnement des affaires, en visant le Top 50 de l’indicateur de Doing Business. Aussi, annonce-telle la mise en œuvre d’une fiscalité incitative en faveur des nouvelles entreprises industrielles, ainsi que pour les entreprises exportatrices. Par ailleurs, l’Exécutif promet un soutien aux PME et autres TPE, par le biais de l’accompagnement de 20.000 entités, dont 500 leaders. Aussi est-il annoncé d’accompagner pas moins de 100.000 auto-entrepreneurs dans une démarche de basculement de l’informel vers le formel.

Pour ce qui est du secteur agricole, le programme gouvernemental tend au renforcement des acquis du Plan Maroc Vert, notamment sur le rayon du 2è levier relatif à l’agriculture solidaire. Il est indiqué, dans ce sens, que 297 projets sont concernés et une enveloppe de 6,5 milliards de dirhams est prévue. Couvrant une superficie de 400.000 hectares, cela devra bénéficier à quelques 130.000 petits agriculteurs.

Sur le plan des infrastructures, on retiendra la mise sur pied d’une voie rapide, longue de 555 kilomètres, reliant Tiznit à Laâyoune, ainsi que l’élargissement de la route nationale entre Dakhla et Laâyoune d’une longueur de 500 kilomètres. En outre, l’Exécutif prévoit le doublement de la voie ferrée, 175 kilomètres, entre Settat et Marrakech. Une attention particulière sera également accordée aux ports et aux aéroports. Sur ce dernier chapitre, le gouvernement se lance le pari de porter la capacité d’accueil des aéroports à 40 millions de passagers à l’horizon 2021.

A noter, en outre, qu’un effort particulier devra être consacré à la construction des barrages. La déclaration de politique indique, ainsi, qu’une quinzaine de barrages seront construits, soit trois par an. Aussi, une dizaine de petits barrages sont annoncés annuellement, soit une cinquantaine entre 2017 et 2021.

Sur le plan social, le programme gouvernemental est prolifique en chiffres. En effet, si le taux de scolarisation actuel est aux alentours de 88%, l’Exécutif voudrait le ramener à 97% au terme de son mandat. De même qu’il voudrait ramener le taux d’analphabétisme de 30 à 20% dans cinq ans. S’il n’est pas trop prolixe quant aux modalités d’atteindre ses objectifs, notamment en ce qui concerne les infrastructures scolaires et les ressources humaines nécessaires, le programme de l’équipe El Othmani annonce, néanmoins, quelques éléments d’accompagnement de l’approche qui sera adopté. Dont, l’obligation de scolarisation des enfants de 4 à 15 ans, la mise en œuvre des leviers nécessaires pour combler le déficit en termes des infrastructures scolaires, la promotion des programmes de lutte contre la déperdition scolaire… A retenir, par ailleurs, que sur le rayon de la couverture sanitaire, il entend la faire passer de 60 à 90% dans ce même horizon, alors que l’accès aux soins devrait être généralisé d’ici 2021. Quant à l’accès aux routes pour le monde rural, il passerait de 79% à 90%.



via Abdo El Rhazi Programme gouvernemental : Des ambitions et des chiffres