Wednesday, May 31, 2017

L’IFHC Reçoit un prix d’honneur au Forum Economique de Fès Meknès.

Le Fonds International pour la Conservation de Houbara (IFHC) a reçu un prix d’honneur au Forum Economique de Fès, Meknès qui a eu lieu pour la 1ère fois cette année entre le 10 et le 12 mai à Fès. Le Forum a été organisé par la Chambre de Commerce, de l’Industrie et des Services de Fès Meknès.

Le Fonds a été honoré pour toutes ses contributions à l’essor économique de la communauté marocaine locale grâce à ses efforts fournis en matière du développement durable pour la conservation de l’outarde Houbara. Le Représentant du Fonds à la cérémonie de remise des prix, Majid Al Mansouri, membre et rapporteur du conseil d’administration de l’IFHC et directeur général, a reçu le prix au Forum qui a rassemblé des décideurs nationaux et internationaux qui s’intéressent aux problèmes économiques et encouragent les investissements et le commerce.

L’IFHC a également été honoré pour sa tâche importante visant à développer les communautés entourant les deux centres d’élevage de Houbara sis à Missour et Enjil et pour son engagement à offrir un soutien infrastructurel, social et économique dans ces zones clés. Grâce à la garantie d’emploi aux résidents locaux dans les centres d’élevage de Houbara, l’IFHC s’est révélé être un partenaire socio-économique privilégié au Maroc, puisque 92% de la main-d’œuvre est marocaine. Le Fonds a également été reconnu pour l’utilisation de la technologie la plus récente qui a aidé les employés du Fonds dans leur développement professionnel.

Le Fonds a largement contribué à l’infrastructure environnante à côté des deux centres grâce à la construction de routes et de ponts par le gouvernement des Émirats Arabes Unis qui a toujours été un partisan de l’IFHC et de ses projets au Maroc. En outre, il a soutenu la construction de barrages dans plus d’un emplacement, d’un aéroport à Bouarfa et des programmes sanitaires dans trois hôpitaux. Il a aussi contribué au développement de la communauté en soutenant la construction de maisons et de mosquées et en fournissant de l’eau et de l’électricité dans les villages de Tendrara et Ain Echchair.

L’IFHC supervise un vaste réseau de projets mondiaux affiliés pour la conservation d’une aversede Houbara ainsi que des programmes d’élevage de Houbara en captivité. Il est considéré comme l’autorité principale responsable pour la compréhension et la protection de cet oiseau noble, qui est si important pour le patrimoine et la culture arabes.

 



via Abdo El Rhazi L’IFHC Reçoit un prix d’honneur au Forum Economique de Fès Meknès.

La nouvelle Hyundai Elantra enfin lancée au Maroc

• La 6ème génération du best-seller coréen reçoit la boite 7DCT à double embrayage
• Une claire montée en gamme pour tous les niveaux de finition

26 mai 2017 – Hyundai Maroc a annoncé le lancement de la toute nouvelle Elantra dans le Royaume.
La 6èmegénération du best-seller mondial de la marque a pour objectif de renforcer l’offre de la marque sur un segment extrêmement concurrentiel. Plus spacieuse, plus dynamique et mieux équipée, elle vient consolider l’offre de Hyundai au Maroc, avec des modèles sur quasiment tous les segments du marché automobile. Combinant un style dynamique et des matériaux de haute qualité à un prix compétitif, la nouvelle Elantra a pour ambition  de s’imposer comme référence de son segment. Elle offre un excellent niveau de confort, une maniabilité accrue et précise, des
caractéristiques de sécurité de dernière génération et des technologies de pointe.

« Depuis le lancement de la première génération, l’Elantra a eu un grand succès dans le monde en vendant plus de 10 millions d’exemplaires grâce à un look sportif, une grande qualité de finition avec une fabrication premium. La dernière édition de ce modèle met en valeur notre engagement à développer des voitures compactes élégantes équipées de fonctionnalités avancées. Nous sommes pleinement confiant que ce nouvel opus saura séduire une nouvelle clientèle et nous permettra de hisser la marque encore plus haut au Maroc », a déclaré M. Nasserddine OBADA, Directeur Général de Hyundai Maroc – Global Engines.
La nouvelle Elantra, inaugure une innovation majeure de Hyundai, à savoir un châssis composé majoritairement d’acier avancé à haute résistance et dénommé SUPERSTRUCTUREMC. Cette structure novatrice permet d’offrir un meilleur confort de roulement, tout en garantissant une rigidité à toute épreuve.
Esthétiquement, la toute nouvelle Elantra reprend des feux semblables à ceux de la nouvelle i30 et adopte une calandre hexagonale large, désormais signature des nouveaux modèles de la marque,ainsi que des entrées d’air en forme de boomerang qui intègrent les feux antibrouillard.Le nouveau véhicule bénéficie également d’un saut qualitatif en termes d’équipements et de finition. La climatisation est de série sur tous les modèles, au même titre que les équipements de sécurité tels que les airbags, au nombre de 6, frontaux, latéraux et rideaux, l’ABS, l’ESC,
et l’aide de démarrage en pente (HAC). Toutes les versions sont également équipées d’un régulateur de vitesse et d’un détecteur de sous-pression des pneus.
En terme de confort à bord, toutes les versions sont équipées de vitres électriques à l’avant comme à l’arrière, ainsi que d’un volant multifonctions permettant de commander le système audio et le régulateur de vitesse. Les rétroviseurs sont dégivrants réglables électriquement, et un détecteur de luminosité permet de bénéficier de l’allumage automatique des feux.
Selon les versions, un grand nombre de dispositifs de confort peuvent équiper la voiture et la hisser au niveau des meilleures de la catégorie. Ainsi, La nouvelle Elantra peut être équipée d’une climatisation automatique bi-zone, un système de coupure du moteur start/stop pour économiser le carburant à l’arrêt, ainsi qu’un accès mains libres et un démarrage sans clé. Par ailleurs, la nouvelle Elantra peut être équipée de détecteur de pluie, d’aides au stationnement avant et arrière, ainsi que d’une caméra de recul.
Avec la boite 7DCT, la Hyundai Elantra gagne en agrément de conduite, mais aussi en consommation et émissions de gaz à effet de serre. La boîte est composée de deux demi-boîtes, fonctionnant de pair et ayant chacune son propre embrayage. L’une s’occupe des rapports pairs, l’autre, des rapports impairs. Le principe réside en la présence d’un premier embrayage principal, qui engage les rapports, allié à un second embrayage qui pré-enclenche le rapport suivant.La nouvelle Elantra est disponible avec la motorisation diesel 1,6l CRDi développant 136 chevaux
et un couple maximal qui passe de 260 à 300 Nm. Elle peut être commandée avec une boîte de
vitesse manuelle à 6 rapports ou avec la fameuse boîte 7DCT, la boîte automatique à double embrayage et 7 rapports de Hyundai. La consommation est considérablement réduite : 5,7 l/100km en cycle urbain, 3.8 l/100km sur route, et 4.5l/100km en cycle mixte.Grace à ses prestations en termes d’équipements de sécurité et son nouveau design sportif,la nouvelle Elantra dispose de tous les atouts nécessaires pour séduire une cible plus large et diversifiée que la génération précédente. Le nouveau modèle est proposé dans toutes les succursales et concessions de Hyundai Maroc à des prix allant de 205 500  dirhams pour la version « Inventive » à 274 000 pour la version Impressive 7DCT, qui reçoit, outre toutes les options citées, la sellerie cuir

A PROPOS DE GLOBAL ENGINES
Filiale marocaine du groupe Bugshan fondée en janvier 2000, Global Engines est l’importateur
et distributeur exclusif de tous les modèles de la marque Hyundai au Maroc. Global Engines a
été créée avec pour principal objectif de s’imposer comme une référence automobile dans le
Royaume en termes de qualité de l’offre et des services. La société met à la disposition de sa
clientèle un Service Après-Vente de qualité, constitué de techniciens hautement qualifiés afin
d’assurer une qualité de service répondant aux normes et processus de Hyundai.



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La transformation d’entreprise sous la loupe de la CGEM et d’Optimum Conseil

La Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a initié, en partenariat avec Optimum Conseil, une enquête sur le thème « les patrons Marocains face à la transformation de leur entreprise ».

S’adressant aux dirigeants de grandes entreprises et de PME représentatives de l’économie marocaine (Top 500), cette étude a pour objectif de capter les tendances et les enjeux des entreprises nationales, et notamment ceux qui les conduisent à s’engager dans un processus de transformation. L’enquête qui sera réalisée entre mai et juillet 2017, permettra également de mesurer l’évolution des problématiques et des pratiques des dirigeants face à la transformation d’entreprise, tant sur les aspects stratégiques qu’opérationnels.

Le questionnaire de l’étude est organisé en deux grandes sections. D’une part, les défis stratégiques de la transformation et d’autre part, les conditions, facteurs de succès et difficultés rencontrées pour la mise en œuvre de cette transformation d’entreprise au Maroc.

Les résultats seront présentés à l’automne 2017. Ils permettront, dans la continuité de ceux de la première édition de l’enquête menée en 2014, de faire progresser la réflexion de fond sur les enjeux stratégiques de transformation exprimés par les dirigeants marocains, les leviers actionnés et les difficultés rencontrées.



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Skhirat sera doté d’un centre de formation professionnelle multidisciplinaire

Le Roi Mohammed VI a procédé, mardi 30 mai à Skhirat, à la pose de la première pierre d’un Centre de formation professionnelle multidisciplinaire, qui sera réalisé par la Fondation Mohammed V pour la Solidarité pour un investissement global de 8 millions de dirhams (MDH).

Edifié sur un terrain de 1.565 m2, ce Centre, qui dispensera une formation qualifiante, vient conforter les multiples actions menées par la Fondation au niveau de la région Rabat-Salé-Kénitra au profit des jeunes, et visant à encadrer cette frange de la société, à contribuer à son épanouissement, et à favoriser son accès à différents outils et moyens d’intégration sociale et d’insertion professionnelle.

Le futur Centre offrira aux jeunes déscolarisés, garçons et filles, issus des familles démunies, des formations qualifiantes en électricité de bâtiment, automatisme industriel, confection, menuiserie-aluminium, gestion des entreprises, comptabilité, gestion et maintenance de réseaux, secrétariat médical et aux techniques commerciales.

Fruit d’un partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la Solidarité et l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (équipement et gestion), ce projet sera réalisé dans un délai de 12 mois et devra participer à l’épanouissement des jeunes et au développement de leur sens de responsabilité et de leurs compétences professionnelles.



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Aswak Assalam inaugure son 13ème magasin à Essaouira

Aswak Assalam, filiale du Groupe Ynna Holding spécialisée dans la grande distribution, a investi 16 millions de DH pour réaliser son 2ème magasin dans la ville de Mogador. Ce nouveau supermarché s’étale sur une superficie de 5000m2 dont 1200m2 de surface de vente et 3.800 m2 pour sa plateforme régionale qui permettra de desservir la région de Haha. Le projet a permis la création de 50 emplois recrutés localement.

Ce nouveau magasin va exposer plus de 5000 références de produits frais, textile, électroménager, bazar et produits de grande consommation pour répondre aux besoins des souiris et en particulier des habitants de Ghazoua Essaouira El Jadida.

« Cette ouverture est très importante pour nous car elle participe au développement économique et social de la nouvelle ville d’Essaouira. D’autres projets d’envergure et porteurs de valeur ajoutée pour la population seront lancés dans les régions du sud qui aujourd’hui offrent un grand potentiel »- déclare le DG d’Aswak Assalam.

 



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1er bilan du Médiateur de l’Assurance

Le Médiateur de l’Assurance vient de publier le bilan de sa première année d’exercice. En 2016, l’instance de médiation entre les Assurés et les compagnies d’assurances a reçu 94 demandes de médiation. Ces réclamations concernent principalement le rejet de la garantie et l’évaluation des dommages. Dans 9 cas sur 20, l’intervention du médiateur a abouti à une solution en faveur des réclamants.

Depuis janvier 2016, tout assuré qui n’est pas pleinement satisfait de la décision de sa compagnie d’assurance peut solliciter l’arbitrage du Médiateur de l’Assurance.  Créée sous l’impulsion de l’Autorité de Contrôle des Assurances et de la Prévoyance Sociale (ACAPS) et des compagnies marocaines d’assurances, le Médiateur de l’Assurance est une structure dédiée au traitement à l’amiable des litiges nés d’un contrat d’assurance opposant un particulier à une compagnie d’assurances ou d’assistance.

Le nombre de cas reçus par Le Médiateur de l’Assurance au terme de cette première année d’activité s’élève à 94 demandes, dont la majorité au courant du deuxième semestre 2016. Parmi ces cas, le tiers seulement remplissait les conditions requises pour être éligibles à la médiation. Cela a donné lieu à l’ouverture de 32 dossiers.

Ce décalage entre demande et éligibilité des dossiers s’explique par la nouveauté du système. Mais cela a été corrigé en 2017 grâce à la mise en place de procédures appropriées (questionnaire préalable, plaquette explicative…) qui permettent aujourd’hui d’accepter pratiquement 90% des demandes.

Résultat : rien qu’au cours du premier trimestre 2017, les demandes reçues ont déjà permis l’ouverture d’une vingtaine de dossiers.

Quelles sont les principales doléances des assurés marocains ?

La majorité des réclamations des assurés marocains concernent le rejet de la garantie, suivi des différents liés à l’évaluation des dommages. Les cas concernant la gestion des contrats d’assurance relèvent notamment des problèmes de résiliation ou de prélèvement des primes. A noter également certains cas résultant des disfonctionnements des conventions d’indemnisation directes (CID – CICA).

Autre fait marquant de ce bilan : dans la totalité des dossiers étudiés, le médiateur n’a pas eu à émettre d’avis, la résolution du litige ayant amiablement été acceptée par les participants. En effet, dans bien des cas, il s’agissait d’un problème de communication ou d’information. Le litige se trouvait résolu notamment par la fourniture de pièces justificatives de part et d’autre. L’intervention du médiateur a ainsi abouti à une solution en faveur des réclamants dans 9 cas sur 20, ce qui représente un taux de 45%.

Pour rappel, sont éligibles à l’examen du Médiateur les litiges concernant les particuliers exclusivement et survenus dans le cadre d’un contrat d’assurances ou d’assistance souscrit auprès d’une compagnie d’assurance. Les litiges peuvent concerner les prestations d’assurance, la gestion du contrat et généralement toute contestation survenant dans l’application du contrat d’assurance ou d’assistance. Le Médiateur ne peut être saisi que pour les litiges dont le montant est estimé à 5000 dirhams au moins.

 



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Coopération sud-sud : MASEN décroche le “Baobab Development Award”

La stratégie du Maroc dans les énergies renouvelables a été primée lors des assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement qui se sont déroulées en Inde.

En effet, la coopération sud-sud de l’agence solaire MASEN a été récompensée pour les différents accords de partenariat signés avec les pays africains à travers le “Baobab Development Award” décerné par la BAD.

La centrale Noor avait également remporté en Inde le prix 2017 de l’impact énergétique sur le développement en Afrique.



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Le Maroc va partager son expertise avec la CGLU-Afrique

La 16e session du comité exécutif des cités et gouvernements locaux unis d’Afrique qui s’est ouverte lundi à Rabat s’est penchée sur la concrétisation des objectifs de l’accord de partenariat avec l’Union Européenne.

Ainsi, les travaux ont porté sur la mise en place de plateformes de financement au profit des collectivités territoriales du continent. Le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur, Noureddine Boutayeb, a affirmé que le Royaume va mettre à la disposition des pays africains son expérience dans les domaines de la décentralisation des villes et des cités émergentes.



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Tuesday, May 30, 2017

Smart City Africa Casablanca 2017 en chiffres

Placée sous le Haut Patronage du Roi Mohammed VI, la deuxième édition du Smart City Africa Casablanca a été organisée par Casablanca Events & Animation en partenariat avec la Wilaya de la Région de Casablanca-Settat, la Région de Casablanca Settat et la Commune de Casablanca.

L’événement s’est déclinée en deux manifestations : Smart City Connect Casablanca du 17 au 19 mai sur la Place des Nations Unies destinée au grand public et Smart City Expo Casablanca réservée aux professionnels qui a eu lieu les 17 et 18 mai au Hyatt Regency.

Cette seconde édition du Smart City Africa Casablanca a été une véritable réussite. Le Smart City Expo Casablanca co-organisé avec Fira de Barcelone a réuni des spécialistes de premier plan ainsi que des membres importants de gouvernements, villes, universités, société civile, sociétés et organisations de renommée nationale et internationale. En parallèle, la participation massive au Smart City Connect Casablanca a permis de faire découvrir au plus grand public le concept de Smart City grâce aux événements gratuits sur l’emblématique Place des Nations Unies.

Ce succès populaire positionne désormais le Maroc comme une référence incontournable dans le domaine des Smart Cities en Afrique et dans le monde. Aux côtés de métropoles mondiales, Casablanca a en effet bénéficié d’une excellente représentation à travers la présence d’experts des sphères publiques et privées.

En faisant la promotion d’une ville intelligente et durable, sur le thème “Des Villes Par Tous”, Casablanca confirme en outre son engagement en faveur d’un modèle de Smart City qui implique tous les Casablancais et s’appuie sur l’écosystème des start-up locales pour valoriser leur esprit innovant et créatif. Smart City Africa Casablanca a ainsi été le reflet de l’esprit collectif et l’énergie positive prônés par la démarche d’attractivité WECASABLANCA.

La 2ème édition du Smart City Africa Casablanca en chiffres

  • Près de 85 intervenants venus du monde entier, 4 continents ont été représentés :

Europe : Barcelone – Paris – Berlin – Amsterdam – Bordeaux – Londres – Bruxelles – Copenhague – Stockholm

Afrique : Libreville – Accra – Nairobi – Cocody

Amérique : New York – Santiago du Chili – Québec – Medellin – Bogota

Asie : Delhi – Jakarta

  • Plus de 160 représentants de délégations nationales et internationales
  • 112 journalistes nationaux et internationaux
  • Au total, plus de 15000 participants au congrès, salon et au Smart City Connect Casablanca : un chiffre qui a triplé en une année !


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FENELEC et FEMADEL fusionnent

C’est fait, la Fédération Nationale de l’Electricité, de l’Electronique et des Energies Renouvelables (FENELEC) et la Fédération Marocaine de l’Electricité (FEMADEL) ne font plus qu’une. Un protocole vient d’être signé par les présidents respectifs de FENELEC et FEMADEL, Azelarab El Harti et Reda Sekkat.

La CGEM souligne dans un communiqué qu’elle a joué son rôle de médiateur et de facilitateur pour que le secteur soit représenté par une seule instance légitime et reconnue. Un processus qui a démarré en juillet 2014, mené par la Présidence de la CGEM et assisté par Abdelaziz Taariji, opérateur du secteur et ex-Président de FENELEC, en tant que médiateur.

 



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Ramadan : opération de dépistage de diabète au profit de 5000 personnes à Marrakech

Le diabète qui touche plus de deux millions de marocains est une maladie silencieuse. Pour sensibiliser le grand public aux risques entraînées par les complications de cette maladie, la société civile de Marrakech lance une campagne de dépistage du diabète à glycémie à jeûn au profit de 5000 démunis et personnes âgées. Les détails.

Solidarité médicale. L’Association Développement et Solidarité Sans Frontières (ADSSF) démarre, en partenariat avec Africa Diabetes, une campagne à Marrakech de dépistage  du diabète à glycémie à jeûn au profit des démunis, des personnes âgées et à risque.

Baptisée “Raht Al Bal”, cette opération citoyenne permet d’effectuer, auprès d’un réseau de laboratoires d’analyses médicales, un dépistage à jeûn gratuit, rapide, anonyme et indolore. Le choix de la population cible n’est pas fortuit. Il s’agit de la frange de personnes à risques notamment à cause de l’âge (le diabète de type 2 se développe surtout après 40 ans), la sédentarité, les antécédents familiaux, l’obésité ou le stress.

“Cette maladie dont l’évolution peut apparaître comme insidieuse est facile à détecter notamment à travers un dépistage. Par ce geste solidaire et face à des chiffres en augmentation soutenue – environ 2 millions de marocains âgés de plus de 20 ans sont diabétiques, dont 50% ignorent être atteints de cette maladie-, l’opération Raht Al Bal souhaite sensibiliser le grand public aux risques importants entraînés par les complications de cette maladie”, explique, Mme Fatiha El Houdzi, présidente de l’association ADSSF.

Pour bénéficier de ce dépistage gratuit et anonyme, il suffit de remplir un formulaire en ligne sur http://ift.tt/2rR1gLXn, ou d’envoyer un SMS, ou un message WhatsApp avec le nom, prénom et âge  au numéro 0668815566 ou  par email à l’adresse: contact@africa-diabetes.com.

L’équipe de l’Association ADSSF  prendra contact par la suite avec les intéressés pour fournir les informations sur les modalités de dépistage et indiquer l’adresse des laboratoires d’analyses médicales partenaires.

A rappeler que l’Association Américaine de diabétologie recommande que la glycémie des personnes qui présentent des facteurs de risques soit contrôlée tous les trois ans après 45 ans.



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COSUMAR TOP Performer RSE 2017 pour VIGEO EIRIS

Le Groupe COSUMAR a été désigné TOP Performer RSE 2017 par l’institut VIGEO EIRIS avec un score obtenu parmi les plus élevés des entreprises cotées à la Bourse de Casablanca.

Cette annonce vient évaluer et reconnaître les efforts en matière de responsabilité sociale entrepris pas COSUMAR depuis plusieurs années et en particulier la prise en compte des facteurs environnementaux dans la chaîne d’approvisionnement, la maîtrise des impacts sur l’eau et la maîtrise des consommations d’énergie et réduction des émissions polluantes.



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SAP Skills for Africa, 63 étudiants certifiés SAP

Après une formation intensive d’une durée de 9 semaines qui s’est tenue entre l’Université Polytechnique Mohammed VI à Ben Guérir et le Centre de Compétences de Rhamna, et qui est soutenue par la Fondation OCP au Maroc, le point d’orgue de la promotion 2017 de l’étape francophone de l’initiative « SAP Skills for Africa » a été la cérémonie de remise des diplômes à l’UM6P. La promotion de cette année a, non seulement été caractérisée par une participation majoritairement feminine (60%) mais aussi par des participants en provenance de Côte d’Ivoire et d’Algérie.



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Vigeo-Eiris délivre l’attestation ISO 26 000 avec le niveau de performance le plus élevé à Maroc Telecom

Evalué selon le référentiel de la norme internationale de Responsabilité Sociétale ISO 26 000, Maroc Telecom reçoit l’Attestation de maturité RSE « Vigeo-Eiris 26 000 », en niveau « Avancé », le plus élevé de l’échelle de notation de l’agence internationale Vigeo-Eiris, leader du rating social.
Au terme de la mission réalisée au premier trimestre 2017, Maroc Telecom a obtenu l’Attestation Vigeo- Eiris 26 000 avec un positionnement de niveau «Avancé », soit le plus élevé sur l’échelle à quatre niveau de classification des performances des entreprises sous revue de l’agence. Cette distinction confirme les résultats probants régulièrement relevés par les diagnostics externes portant sur les démarches environnementales et sur les politiques RH et qualité de l’entreprise.
Après avoir formalisé depuis plusieurs années sa stratégie de responsabilité sociale et démultiplié ses actions sociétales, faisant ainsi de la contribution au développement durable un élément central de sa politique de croissance et de sa culture d’entreprise, Maroc Telecom a souhaité franchir une nouvelle phase en mesurant le degré de maturité de sa politique de responsabilité sociétale par un tiers-expert indépendant reconnu à l’échelle internationale, Vigeo-Eiris, leader européen de la notation extra- financière. Le diagnostic s’est appuyé sur le référentiel de l’agence Vigeo-Eiris applicable aux entreprises du secteur des télécommunications cotées en bourse et sur les lignes directrices de la RSE définies par la norme ISO 26 000.
Vigeo-Eiris propose et réalise une évaluation globale qui s’appuie sur les 7 questions centrales de la responsabilité sociétale telle que définie par la norme ISO 26 000 : la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent.
Cette distinction vient s’ajouter à de nombreuses autres récompenses pour avoir mis en place une politique résolue en matière de développement durable et en reconnaissance de son engagement social, sociétal et environnemental (le Statut définitif d'”Entreprise sans tabac” de la Fondation Lalla Salma, le trophée Top Performer RSE de Vigeo-Eiris quatre fois consécutives, le Grand Prix Panafricain du meilleur promoteur du secteur des télécoms en Afrique, etc.).



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Wafa Assurance Groupe consacré par le Label CGEM

Dans la continuité de la démarche RSE de Wafa Assurance, le groupe vient d’être primé par le Label CGEM. Cette distinction de haut niveau reconnait l’engagement des entreprises en matière de RSE et son intégration dans leur stratégie managériale et leurs opérations quotidiennes. Pour rappel, le Label CGEM est un outil mis à la disposition des entreprises qui souhaitent mesurer leur engagement RSE, progresser et faire connaitre le progrès à leurs salariés, leurs partenaires et la communauté.

 



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AWB , meilleure Banque Régionale en Afrique du Nord

A l’occasion des assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement (BAD), le groupe Attijariwafa bank a remporté le trophée de la « Meilleure Banque Africaine en Afrique du Nord » par le prestigieux magazine African Banker du groupe Ic Publications, lors des “African Banker Awards 2017“. Lors de cette 11e édition, les Trophées ont sélectionné 19 lauréats parmi plus de 200 candidats provenant de l’ensemble du continent et a réuni plus de 400 banquiers, dirigeants d’entreprise, personnalités influentes et décideurs. Ce Trophée récompense la banque qui, a démontré une haute performance à divers niveaux.



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L’ASMEX et EMLYON BUSINESS SCHOOL s’associent

En vue de répondre à leur ambition de rapprocher leurs compétences et publics respectifs et de valoriser réciproquement leurs activités, l’ASMEX et Emlyon Business School ont signé une convention de partenariat. Les deux parties ont convenu ainsi de mettre en place un parcours certifiant Exportateur Digital au profit des membres de l’ASMEX, organiser des ateliers sur l’accès aux marchés et identifier des sujets d’intérêt afin les confier aux étudiants emlyon Casablanca dans le cadre des projets missions et mémoires de fin d’études ou de stages,

 



via Abdo El Rhazi L’ASMEX et EMLYON BUSINESS SCHOOL s’associent

La FAO tire la sonnette d’alarme

Une maladie hautement contagieuse se propage chez les tilapias sauvages et ceux d’élevage, l’un des poissons les plus consommés au monde. Selon une alerte spéciale publiée aujourd’hui par le Système mondial d’information et d’alerte rapide de la FAO, l’épidémie devra être appréhendée avec soin et les pays important des tilapias devront prendre des mesures appropriées pour la gestion des risques tels que la multiplication des tests de diagnostics, le renforcement des certificats de santé, l’instauration de mesures de quarantaine et le développement de plans d’urgence. Le virus de lac du tilapia (TiLV) a maintenant été confirmé dans cinq pays sur trois continents: la Colombie, l’Equateur, l’Egypte, Israël et la Thaïlande.  Si l’agent pathogène ne pose pas de risques pour la santé publique, il peut néanmoins décimer les populations infectées. En 2015, la production mondiale de tilapias issus de l’aquaculture et des captures s’élevait à 6,4 millions de tonnes et valait environ 9,8 milliards de dollars américains, tandis que le commerce mondial de tilapias représentait environ 1,8 milliard de dollars. Selon le SMIAR, ce poisson est un pilier de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde. Une étude épidémiologique rétrospective devrait aider à déterminer les facteurs liés aux faibles taux de survie et aux taux de mortalité globale dont l’importance relative du TiLV. En outre, une société privée travaille actuellement sur le développement d’un vaccin vivant atténué pour le TiLV. On ne sait pas encore si la maladie est transmise par le tilapia congelé mais “il est fort probable que le TiLV soit transmis à plus grande échelle que ce que nous pensons actuellement et que la menace pesant sur l’élevage de tilapias à travers le monde soit plus importante”, a indiqué le SMIAR dans son alerte.

 



via Abdo El Rhazi La FAO tire la sonnette d’alarme

Course automobile – Michael Benyahia 3eme au circuit du Castellet

Ces 27 et 28 Mai le jeune pilote Marocain Benyahia était à nouveau sur les pistes, cette fois au circuit du Castellet pour la manche Française du Championnat V de V afin de continuer à se préparer pour le Championnat NEC de Formule Renault 2.0

Ayant eu des difficultés à trouver un tour sans être gêné au milieu des 25 voitures en piste, le double vainqueur de Portimao ne parvenait pas à se qualifier mieux que 7ème mais réussissait à remonter en course et décrocher un nouveau podium avec une belle 3ème position ce Dimanche.

« Le week end a été plus difficile qu’a Portimao mais je suis content d’être revenu en troisième position. Je continue d’apprendre a piloter la voiture et j’ai hate d’être à Monza dans un mois pour la première manche du Championnat Northem European Cup.
J’ai été très honoré de la présence de Monsieur le consul du Maroc à Marseille qui a fait spécialement le déplacement pour venir me voir et je suis fier d’avoir pu à nouveau faire briller le drapeau du Maroc et les couleurs de la MDJS sur un podium »
                     


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Al Hoceima : La vérité sur ce qui passe

Ahmed Charaï a publié un long article dans le quotidien espagnol La Razon de ce mardi 30 mai 2017 sur le mouvement d’Al Hoceima, où il revient sur l’histoire de la région et explique certains aspects oubliés.

Si l’on se limite aux images, au flux d’informations sur les protestations d’Al Hoceima, sans les mettre dans le contexte historique, socio-économique et régional, on risque de s’égarer et de tirer des conclusions hâtives, peu pertinentes.
Le contexte historique d’abord. La région du Rif a connu des épisodes qui la singularisent par rapport au reste du Maroc. D’abord Abdelkrim El Khattabi et sa résistance au colonialisme espagnol, par le biais de la guérilla. La république du Rif est un concept occidental, puisqu’il se faisait appeler lui-même Emir et que son but ultime était de faire du Rif une base pour la libéralisation de l’ensemble de l’Afrique du Nord. La victoire de la bataille d’Anoual avait eu un retentissement international.
Ensuite, il y a eu l’affaire Abbès Messaadi. Ce dirigeant de l’armée de libération nationale marocaine a été assassiné après l’indépendance alors qu’il se rendait à une réunion avec la direction du parti nationaliste marocain Istiqlal. S’ensuit quelques mois plus tard, une rébellion rifaine, durement matée, par le Prince héritier de l’époque, Feu Hassan II.
Cependant, quelques semaines après son intronisation en 1999, le Roi Mohammed VI  visitera Ajdir, chef lieu de l’épopée d’EL Khattabi et prononcera un discours, avec des engagements sur la question amazighe et une reconnaissance de l’apport rifain à l’histoire du Maroc. C’est le vrai début de la réconciliation de l’État  avec le Rif, qui sera poursuivi par une attention particulière pour cette région.
Ironie de l’histoire, c’est à El Hoceima que  Mohammed VI effectue ses visites les plus longues et les plus nombreuses et passe ses vacances d’été en famille. On raconte que chaque soir, il partage un repas avec des familles de la région, loin des caméras .
Sur le plan économique, entre 1958 et 1999, on ne peut pas dire que les gouvernements successifs ont accordé un intérêt particulier à cette région. Pourtant la route de l’unité, construite grâce à une énorme mobilisation de bénévoles, a constitué le dernier projet d’infrastructures du Maroc indépendant.
Néanmoins, ensuite, il y a eu une marginalisation, pour des raisons politico-historiques. C’est un fait.
La nature ayant horreur du vide, des activités dites informelles, mais en fait délictueuses, se sont développées dans la région: Le trafic de drogues et la contrebande. A ces deux activités, s’est ajoutée l’émigration clandestine, après la fermeture des frontières européennes.
Depuis l’intronisation de Mohammed VI, le Rif, l’ensemble de l’Oriental est l’une des régions qui reçoit le plus d’investissements en infrastructures. D’abord, les routes, les aéroports, pour décloisonner la région. L’électrification du monde rural et l’habitat social, ont été performants.
Seulement, le séisme d’Imzouren et ses impacts catastrophiques ont obligé les pouvoirs publics à faire de la reconstruction une priorité, ce qui a retardé les autres chantiers. Pour rappel c’est durant ce séisme qu’une certaine défiance vis-à-vis de l’Administration est apparue clairement. Ce sont d’ailleurs les associations qui ont fini par distribuer les aides d’urgence, ce qui n’est pas à l’honneur de l‘efficience des services locaux de l’Etat.
Aujourd’hui, le Maroc lutte beaucoup plus efficacement contre le trafic de drogue et l’émigration clandestine. Les responsables espagnols et plus généralement européens, le reconnaissent régulièrement. Quant à la contrebande, elle régresse suite à la baisse des droits de douane. C’est de l’argent et des ‘’emplois’’ en moins.
Le grand échec des gouvernements, c’est le manque de vision pour un développement économique du Rif.
Il y a donc une population qui a perdu des revenus dérivés d’activités illicites, sans pour autant avoir accès à des emplois marchands.
C’est dans ce contexte global qu’il faut inscrire le mouvement de protestation d’Al Hoceima, qui n’est pas étendu au reste du Rif. C’est avec un événement malheureux, celui d’un poissonnier broyé alors qu’il tentait de récupérer de la marchandise saisie, qu’a débuté le mouvement. Mouvement d’indignation au départ, il s’est transformé en action revendicative.
Malgré les tentatives du gouvernement, ses promesses de répondre aux revendications jugées légitimes, le mouvement s’est poursuivi, sans aucune réaction répressive. Alors qu’il est établi que le congrès Amazigh, les barons de la drogue, les Islamistes extrémistes et les anciens marxistes, soufflaient sur les braises, chacun pour un objectif particulier. Les barons de la drogue ne cachent pas le leur, c’est obliger l’Etat à desserrer son contrôle sur les côtes méditerranéennes.
Ce qui a changé la donne, c’est l’intervention de Nasser Zefzafi, le leader autoproclamé, dans une mosquée. Le Maroc malékite refuse toute controverse, toute discorde au sein d’une mosquée. La commanderie des croyants s’appuie sur cette unité du rite. C’est donc, a un symbole de la Nation qu’il s’est attaqué, alors que c’est l’une des armes du Maroc pour combattre effectivement le terrorisme. Les heurts entre manifestants, beaucoup moins nombreux que d’habitude, et la police, ont prouvé l’existence d’un noyau aux visées dépassant les revendications sociales. Mais il ne faut en aucun cas utiliser ce fait pour occulter la réalité des problèmes sociaux. C’est tout l’enjeu des semaines à venir.



via Abdo El Rhazi Al Hoceima : La vérité sur ce qui passe

IDE : Le Maroc, 2e destination africaine en 2016

Le Maroc est le 2e pays africain qui a reçu en 2016 des investissements étrangers pour de nouveau projets selon un rapport du groupe Financial Times. Ainsi, le royaume a attiré quelque 80 nouveaux projets derrière l’Afrique du sud qui a reçu 105 nouveaux projets l’année dernière en termes d’Investissements Directs étrangers.



via Abdo El Rhazi IDE : Le Maroc, 2e destination africaine en 2016

CEDEAO : Le Burkina Faso soutient le Maroc

Le Burkina Faso apporte son soutien au Maroc pour sa demande d’intégration à la CEDEAO, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest.

En effet, le ministre burkinabé des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè à l’extérieur, Alpha Barry, a exprimé hier lundi à Rabat, sa position de bienvenue au Royaume lors d’une rencontre avec son homologue marocain Nasser Bourita.

C’est ce 4 juin à Monrovia au Liberia que le Sommet des Chefs d’État tranchera sur l’adhésion du Maroc à la CEDEAO.



via Abdo El Rhazi CEDEAO : Le Burkina Faso soutient le Maroc

Al-Hoceima : 40 interpellations et 25 poursuites en état d’arrestation

Le procureur général du Roi près la Cour d’appel d’Al-Hoceima précise dans un communiqué publié hier soir (lundi 30 mai 2017) que 40 personnes, qui auraient commis des actes contraires à la loi et punis par le Code pénal, ont été interpellées et placées en garde-à-vue, suite aux incidents qu’a connus, vendredi, Al-Hoceima. Ces personnes seront interrogées sur les présumés actes qui leur sont reprochés et qui sont punis par le Code pénal, ajoute le procureur général. Ce dernier souligne aussi que les concernés ont été déférés, lundi, devant le Parquet près le tribunal de première instance d’Al-Hoceima qui a ordonné la poursuite de 25 personnes en état d’arrestation.
Elles sont poursuivies pour les délits d’outrage aux éléments de la force publique lors de l’exercice de leurs fonctions, violence à leur encontre ayant causé des blessures avec préméditation, désobéissance armée par la voie de plusieurs personnes, destruction de véhicules et d’autres équipements d’intérêt général, manifestation sans autorisation préalable sur la voie publique et attroupement armé sur la voie publique.
La même source ajoute que sept personnes sont poursuivies en état de liberté, chacune en ce qui la concerne, pour des délits d’outrage à l’encontre des éléments de la force publique lors de l’exercice de leurs fonctions, désobéissance et manifestation sans autorisation préalable sur la voie publique.
Cependant, il a été décidé de classer sans suite les cas de sept personnes, note le communiqué, ajoutant qu’un mineur a été déféré devant le juge des mineurs, conformément à la loi.



via Abdo El Rhazi Al-Hoceima : 40 interpellations et 25 poursuites en état d’arrestation

Monday, May 29, 2017

Le textile est le secteur le plus touché par l’informel au Maroc


Entretien avec Karim Tazi
Président de l’Association marocaine des industries du textile et de l’habillement (AMITH)

via Abdo El Rhazi Le textile est le secteur le plus touché par l’informel au Maroc

Comment l’aéronautique veut développer son écosystème

Entretien avec Karim Cheikh
Président du Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales- GIMAS


via Abdo El Rhazi Comment l’aéronautique veut développer son écosystème

L’industrie, une priorité nationale au Maroc

Entretien avec
Hakim Abdelmoumen
Président de l’Association marocaine pour l’industrie et le commerce de l’automobile (AMICA)



via Abdo El Rhazi L’industrie, une priorité nationale au Maroc

Offshoring – Et de deux pour BMCE Bank

1ère banque à être représentée dans l’Atlantic Free Zone, BMCE Bank développe son activité offshore dans la région en inaugurant sa 2e entité offshore après celle de Tanger.
Avec cette nouvelle entité, opérationnelle depuis le 22 mai, BMCE Bank cible les entreprises installées dans la zone ou bénéficiant d’un statut offshore ainsi que les entreprises, les multinationales et la clientèle privée étrangères, en mettant à leur disposition une offre innovante, riche en produits et en services personnalisés ; notamment le financement en devise des investissements et des besoins de fonctionnement, l’affacturage et le leasing en devise ainsi qu’une large offre monétique…
A travers cette extension de réseau, BMCE Bank souligne sa forte volonté de favoriser le développement du financement à l’international et met en avant sa stratégie d’expansion à travers l’installation dans les principales zones franches du Royaume pour répondre au mieux aux besoins de l’écosystème environnant.
Pour rappel, BMCE Bank Offshore a été créée en 1965 pour répondre aux besoins de la clientèle étrangère, personnes morales ou physiques, notamment les entreprises internationales qui sollicitent l’accompagnement dans la création et le développement de leurs activités tournées essentiellement vers l’export.
Les avantages fiscaux et la réglementation appropriée à la nature des échanges en devise sur les zones franches mettent en relief l’attractivité des Banques Offshore aux yeux des investisseurs étrangers, d’où la stratégie de BMCE Bank d’étendre son réseau aux plus importantes zones franches à travers le Maroc et de déployer son expertise au service de ses clients dans la proximité.



via Abdo El Rhazi Offshoring – Et de deux pour BMCE Bank

Habitat : Le Maroc et le Ghana se rapprochent

Le Maroc et le Ghana veulent renforcer leur partenariat dans le secteur de l’urbanisme. En effet, le ministre de l’Aménagement du Territoire National, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, Nabil Benabdallah a reçu cette semaine une délégation ghanéenne présidée par le Président du Parlement du Ghana pour échanger sur le partage d’expérience dans ces domaines.

Ainsi, la délégation ghanéenne a sollicité auprès du ministère marocain un échange d’expertises notamment dan la lutte contre l’habitat insalubre.



via Abdo El Rhazi Habitat : Le Maroc et le Ghana se rapprochent

Casablanca – Une quinzaine d’individus bloquent le tramway, Casa Tram condamne

CASA TRAM condamne avec la plus grande fermeté l’action de blocage menée, ce lundi vers 7 heures, par une quinzaine d’individus qui ont entravé la bonne marche du tramway au niveau de la station Hay Mohammadi, en signe de protestation contre les nouveaux horaires de service mis en place pour le mois sacré de Ramadan.

Dans un communiqué parvenu à la MAP, CASA TRAM précise que cette action a constitué une entrave inadmissible au bon fonctionnement du tramway et menacée la sécurité physique de nombreuses personnes, soulignant que ces individus, qui ont investi la voie réservée au tramway, ont empêché toute circulation dans les deux sens, entrainant pendant deux heures la perturbation du trafic sur toute la ligne et privant des dizaines de milliers de voyageurs de leur droit élémentaire à un transport public de qualité.

Les forces de l’ordre, qui ont immédiatement été dépêchées sur place, ont permis d’évacuer les voies et la reprise du trafic à partir de 9h, ajoute la même source.

Par ailleurs, CASA TRAM rappelle que les horaires du mois sacré de Ramadan sont appliqués chaque année depuis 2013, au même titre que dans tous les réseaux de TCSP des autres villes du Maroc, précisant que les premiers départs de tous les terminus se font ainsi à 6h30, au lieu de 5h30 en temps normal, ajoute le communiqué.

Une coupure d’une heure est prévue à l’heure de la rupture du jeûne, selon la même source.

CASA TRAM rappelle également que les horaires du mois sacré de Ramadan sont chaque année transmis au grand public dans la plus grande transparence et avec un dispositif de communication qui prévient les voyageurs, plusieurs jours à l’avance.

Ces horaires sont affichés en station, sur les machines de vente, dans les cinq agences du réseau et chez tous les revendeurs agréés, rappelle Casa Tram qui indique qu’une communication de masse est aussi réalisée en parallèle à travers la diffusion d’un communiqué de presse et une publication sur le site internet et la page Facebook du tramway.



via Abdo El Rhazi Casablanca – Une quinzaine d’individus bloquent le tramway, Casa Tram condamne

Politique iranienne, pomme de discorde avec l’Europe

L’administration Trump cherche à isoler Téhéran alors que les pays européens croient en la modération de la position iranienne après la réélection de Rouhani. Par Jay Solomon

La réélection du président iranien HassanRouhani risque de faire entrer l’administration Trump en conflit avec l’Europe en raison de sa politique futureenvers Téhéran. -Les responsables européens ont salué la nouvelle de la victoire de Rouhani qui annonce une voie plus modérée pour l’Iran au cours des quatre prochaines années. Mais le président Donald Trump, s’adressant aux dirigeants musulmans en Arabie saoudite, a tenté de mobiliser la communauté internationale pour une nouvelle campagne visant à repousser l’influence de l’Iran du Moyen-Orient.
En effet, Trump a signalé un durcissement significatif de la position américaine envers l’Iran, suggérant que seule l’élimination de son leadership théocratique pourrait stabiliser la région.
« Jusqu’à ce que le régime iranien soit disposé à être un partenaire pour la paix, tous les pays consciencieux doivent œuvrer ensemble pour isoler l’Iran… et prier pour le jour où les Iraniens auront le gouvernement juste qu’ils méritent », a déclaré Trump.Rouhani, clerc islamique pragmatique et modéré, vient de rempiler pour un deuxième
mandat suite à une plate-forme électorale visant à promouvoir un Iran plus ouvert à l’Occident et disposé à adopter des changements politiques et économiques.
Plusieurs gouvernements européens espèrent que le président iranien exploitera ses quatre prochaines années pour modérer les politiques de Téhéran outre-mer, en particulier pour ce qui est de son soutien aux milices chiites qui se battent en Syrie, en Irak et au Yémen. Cependant, parmi l’équipe du président américain, il n’y en a pas beaucoup qui croient que Rouhani pourra apporter un changement sérieux dans un système politique dominé par la ligne dure du leader suprême Ayatollah Ali Khamenei et son unité militaire d’élite, le Corps des gardiens de la révolution islamique (IRGC).Ils soutiennent que l’agressivité régionale de l’Iran s’est intensifiée au cours des quatre dernières années, en dépit de la politique plus, pragmatique de Rouhani et de l’accord nucléaire historique , appelé le Plan d’action global commun, ou JCPOA, forgé entre les puissances  mondiales et l’Iran en 2015. Ils pointent du doigt Khamenei et l’IRGC à l’origine de ces agressions.
Les responsables de l’administration de Trump s’inquiètent en privé de la réélection de Rouhani qui pourrait aider à protéger les factions de la ligne dure de l’Iran contre la pression financière et militaire accrue que les États-Unis cherchent à exercer.
En revanche, les dirigeants européens ont applaudi sa victoire ce week-end et ont défini une politique contre l’Iran diamétralement opposée à celle de Trump.
« L’UE est prête à continuer d’œuvrer pour la mise en œuvre complète du JCPOA, d’un engagement bilatéral, de la paix régionale et pour répondre aux attentes de toutes les populations en Iran », a tweeté, samedi dernier, Federica Mogherini, la haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères.
L’administration Trump procède actuellement à un examen inter-organisme de sa politique générale envers l’Iran pour décider du maintien ou non du soutien américain pour l’accord nucléaire.
L’équipe de Trump a indiqué que l’examen explore également les moyens de soutenir et de promouvoir la démocratie en Iran et de contrecarrer plus efficacement la capacité de Téhéran à armer ses belligérants dans la région du Moyen-Orient.
L’administration a prolongé, mercredi dernier, le deal nucléaire en accordant des dérogations aux entreprises et aux pays qui effectuent des transactions pétrolières avec l’Iran. Mais la Maison Blanche a également imposé de nouvelles sanctions financières à l’encontre des entreprises iraniennes et chinoises impliquées dans le développement du programme iranien des missiles balistiques.
« Cet [octroi de dérogations] ne devrait pas être considéré comme un blanc-seing pour l’Iran
a déclaré un haut responsable de l’administration, soulignant qu’une décision finale sur le deal nucléaire n’a pas été encore prise.
La ligne dure de Trump sur l’Iran a divisé les alliés traditionnels des USA ainsi que ses adversaires. Les États arabes et Israël ont pris note du durcissement de la position du leader américain envers l’Iran.
L’annonce faite, samedi dernier, par les ÉtatsUnis concernant la vente d’armes pour plus de 100 milliards de dollars à l’Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis est largement considérée comme un effort visant à contester l’arsenal militaire un effort visant à contester l’arsenal militaire croissant de l’Iran et son soutien aux belligérants actifs dans les principaux pays arabes.
Trump a déjà accru le soutien militaire aux opérations militaires saoudiennes et émiraties au
Yémen, qui dressent leurs forces militaires contre la milice Houthi soutenue par l’Iran. Son administration a également attaqué deux fois les forces du président syrien Bashar al-Assad, l’allié proche de l’Iran. Un acte qui a été évité par l’administration Obama.
« Si l’Iran veut être un pays normal et veut que les autres le traitent comme tel, il doit agir
en phase avec le droit international, les valeurs et la morale du système international », a déclaré samedi le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, en réponse à la victoire de Rouhani  « Mais ce n’est pas l’Iran qu’il nous est donné à voir. »
L’UE, la Chine et la Russie, principaux acteurs des négociations nucléaires, ont signifié à l’administration Trump qu’ils ne soutiendraient aucun effort américain pour renégocier ou abroger l’accord nucléaire. Le durcissement de la position de Trump envers l’Iran ravive également le débat politique national qui a éclaté suite à l’accord nucléaire en 2015.
Au cours des dernières semaines, des démocrates et d’anciens responsables de l’administration Obama se sont mobilisés contre les efforts de
l’administration Trump pour faire marche arrière concernant cet accord. Ils sont particulièrement préoccupés par les nouvelles mesures de sanctions qui sont en cours de rédaction au Congrès. Cette nouvelle loi « pourrait provoquer une réaction déplorable en Iran et chez nos alliés », a mis en garde Adam Szubin, ancien responsable du département du Trésor Malgré ce durcissement de position, les membres du cabinet de Trump n’excluent pas la possibilité de s’engager dans des discussions de haut niveau avec l’Iran sur le deal nucléaire et sur d’autres questions stratégiques. Le secrétaire d’État Rex Tillerson a suggéré dans le passé qu’il pourrait essayer de durcir les termes de l’accord historique.
« Je n’ai jamais fermé le téléphone à qui voudrait me parler ou avoir une conversation productive », a rétorqué Tillerson à Riyad samedi.
« À ce stade, je n’ai pas l’intention d’appeler mon
homologue iranien, même si, selon toute probabilité, nous discuterons au bon moment »

 



via Abdo El Rhazi Politique iranienne, pomme de discorde avec l’Europe

BONGA « Je suis fier de partager la Semba avec le public marocain »

A 74 ans, la légende angolaise de la Semba connue pour sa voix rauque et éraillée, compte à son actif plus d’une trentaine d’album. Le parrain du blues de l’Afrique lusophone qui a fait sensation sur la scène du Bouregreg avec ses rythmes endiablés, nous parle de son dernier opus « Recados de Fora », un mélange de Semba, de Kizumba, de rebita angolais et de mornas cap-verdiennes.

Vous vous êtes déjà produit au Maroc mais c’est votre 1er concert  à Mawazine. Quel est votre sentiment ?

Je suis ravi de participer à un grand événement comme Mawazine, je vais donner le meilleur de moi-même et veiller à ce que mon spectacle soit une grande fête. Je suis fier de représenter mon pays, l’Angola et de partager avec le public marocain notre rythme de la Semba.

Que représente justement pour vous cette Semba angolaise ?

C’est la vie, la fête, la vie sans guerre, sans contradictions, à l’image des familles qui se retrouvent autour d’un feu, pour danser autour. La Semba se joue avec des instruments typiques traditionnels que nos aïeux nous ont délégués. Ça reflète le bon côté de l’Afrique, de l’Angola ; c’est ce que je représente, au-delà de mon engagement politique.

Vous avez toujours prôné la non-violence, la paix.

La Semba reflète surtout le sens de la famille. Dans le temps, nos portes étaient grandes ouvertes et nos voisins étaient les bienvenus ; aujourd’hui, tout cela s’est perdu ! Je chante pour dire que « nous étions ce que nous ne sommes plus aujourd’hui ». Et c’est dommage parce que c’était une vie pleine de joie, d’amour et de tranquillité, car même si les colons étrangers nous embêtaient, ils n’ont pas réussi à effacer notre culture, notre musique, notre rythme. A l’époque, j’avais même créé des groupes folkloriques parce que c’était la meilleure manière de préserver notre tradition.

Votre instrument fétiche le Dikanza (longue tige de bambou), c’est un peu votre manière de résister ?

C’est le symbole même de la Semba. Tous ces instruments typiques traditionnels sont des instruments de résistance, parce que c’est ce qui nous permet de rester fidèles à une identité, à un peuple qui existe toujours, qui résiste et qui ne renonce pas à son identité.

Vos chansons ont longtemps été interdites pendant la période de colonisation portugaise.

Oui, cette joie de vivre transmise par ma musique dérangeait les colons, à l’époque, personne n’osait jouer du Dizanka ! J’ai longtemps résisté et beaucoup de gens m’ont suivi, puis la Semba s’est exportée ailleurs avec les esclaves qui l’ont emmené au Brésil et à Cuba. Notre devoir en tant qu’angolais est de la préserver davantage.

Votre dernier album « Recados de Fora » c’est un peu un hommage à Cesaria Evora, où vous reprenez la célèbre chanson capverdienne Sodade que vous aviez chanté 25 ans avant elle.

Oui, Cesaria est toujours dans mon cœur. C’est une grande dame libre, émancipée, sa voix en velours est incroyable, on était de bons copains, on riait beaucoup, nos retrouvailles ont toujours été fantastiques… Mon nouveau disque qui vient d’apparaître, s’appelle « des messages d’ailleurs », et ce sont ces messages que je lance de n’importe où dans le monde à l’égard des miens ; les miens qui souffrent malgré le pétrole et les diamants dont regorge le pays ! C’est ridicule d’avoir tant de richesses alors que la plus grande partie de la population n’en bénéficie pas ! Mes chansons dénoncent justement ces injustices, les colons sont partis mais la corruption sévit terriblement. Ce n’est pas normal qu’une minorité s’enrichisse alors que la pauvreté galope !!!

C’est pour cette raison que vous avez refusé de vous installer en Angola ?

Oui, je me suis installé tantôt à Lisbonne, tantôt à Paris, et en 40 ans de carrière, je me suis plus produit en Europe qu’en Afrique et en Angola, on m’a même nommé chevalier de l’ordre des arts et des lettres à Paris. Mes spectacles sont joyeux, j’ai un public qui me soutient et qui comprend mon militantisme. En fait, je fais de mon spectacle une danse informative.

Dans vos chansons, il y a beaucoup de joie mais aussi beaucoup de « sodade ».

Oui, la nostalgie du pays, de la famille, des miens, des voisins…Tout ce monde qui m’accompagne, partout dans le monde et aujourd’hui, ça s’élargit davantage, même au Maroc !



via Abdo El Rhazi BONGA « Je suis fier de partager la Semba avec le public marocain »

Al Hoceima – 23 personnes arrêtées dont Zefzafi

Aux dernières nouvelles, Zefzafi a été arrêté, ce qui porte à 23 le nombre d’arrestations suite aux derniers incidents survenus à Al Hoceima. Pour rappel, le procureur général du Roi près la Cour d’appel d’Al Hoceima a annoncé l’arrestation samedi de deux individus par la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ), portant à 22 le nombre des arrestations suite aux derniers incidents survenus à Al Hoceima. Les deux prévenus ont été placés en garde à vue, a précisé le procureur général du Roi près la Cour d’appel d’Al Hoceima, Mohamed Aqwir.

Précisions officielles concernant les 22 arrestations effectuées jusqu’au samedi 

Suite aux événements qui se sont produits dans la ville d’Al Hoceima et pour éclairer l’opinion publique, le ministère public avait reçu un rapport de la BNPJ selon lequel certains individus auraient commis des actes contraires à la loi et punis par le code pénal, a souligné Aqwir dans une déclaration à la presse.

Ces actes concernent l’atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat, l’incitation à commettre des délits et des crimes, l’humiliation des fonctionnaires publics lors de l’accomplissement de leurs missions et l’hostilité envers les symboles du Royaume dans des rassemblements publics, outre d’autres actes.

Ledit rapport indique que certaines personnes seraient impliquées dans les incidents qui ont eu lieu à Imzouren et Bni Bouayach le 26 mars dernier, au cours desquels une résidence et des véhicules des forces publiques ont été incendiés, des biens d’autrui et d’utilité publique endommagés et des fonctionnaires publics humiliés et agressés, outre d’autres actes.

La BNPJ a été ainsi chargée de mener l’enquête qui a abouti les 26 et 27 mai à l’arrestation de 20 personnes qui seront déférées devant le ministère public dès clôture de l’enquête.

Pour rassurer les familles des prévenus et le public au sujet des rumeurs circulant sur un éventuel transfert de certaines personnes arrêtées vers une destination inconnue, le procureur général du Roi près la Cour d’appel a tenu à préciser que certaines “personnes arrêtées ont été transférées au siège de la BNPJ à Casablanca, où elles ont été placées en garde à vue, étant donné que c’est elle qui est chargée de l’enquête”.

Les personnes restantes interpellées suite aux actes de vandalisme survenus à Al Hoceima, Beni Bouayach et Imzouren, ces deux derniers jours, ont été placées en garde à vue au siège de la police judiciaire de ces villes, a noté Aqwir.

Le ministère public continuera de superviser le déroulement de l’enquête tout en veillant au respect de l’ensemble des procédures et garanties prévues par la loi, a-t-il conclu.



via Abdo El Rhazi Al Hoceima – 23 personnes arrêtées dont Zefzafi

Cameroun : Platinum Power sélectionne des entreprises pour Makay

La société Platinum Power spécialisée dans les grands projets énergétiques en Afrique a lancé un appel à pré-qualification d’entreprises pour la construction du barrage de Makay au Cameroun.

En effet, l’opérateur marocain est en charge de la construction de ce barrage hydroélectrique d’une capacité de 350 MW et de la revente de la production à la société camerounaise lors de la mise en exploitation en 2023.

Platinum Power est également active au Sénégal et en Côte d’Ivoire.



via Abdo El Rhazi Cameroun : Platinum Power sélectionne des entreprises pour Makay

Energies : La centrale “Noor” primée par la BAD

La centrale solaire Noor a remporté le prix “2017 Africa Development Impact” lors des assemblées annuelles de la Banque Africaine de Développement qui se son déroulées la semaine dernière à Ahmedabad en Inde.

En effet, la centrale de Ouarzazate a été primée dans la catégorie “éclairage et énergie en Afrique” pour son impact dans le développement des énergies renouvelables dans le continent.

La BAD  prime ainsi la politique marocaine dans les énergies vertes à travers la plus grande centrale solaire d’Afrique et du monde. 



via Abdo El Rhazi Energies : La centrale “Noor” primée par la BAD

Droits humains : Le Maroc représente l’Afrique à l’Alliance mondiale

Le Maroc a été choisi pour représenter l’Afrique au sein du Sous-comité d’accréditation de l’Alliance globale des institutions nationales des droits de l’Homme.

En effet, le CNDH, le Conseil national des droits de l’Homme a été désigné par le Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’Homme pour siéger au niveau de l’alliance mondiale pour un mandat de 3 ans.

Le CNDH a été plébiscité par ses pairs en raison de son expérience et de son engagement pour la défense des Droits de l’Homme en Afrique.



via Abdo El Rhazi Droits humains : Le Maroc représente l’Afrique à l’Alliance mondiale

Friday, May 26, 2017

Les preuves du succès d’ABC 2017 et des nouveautés pour 2018



via Abdo El Rhazi Les preuves du succès d’ABC 2017 et des nouveautés pour 2018

Al Hoceima : Non à la « siba » !

Jets de pierres entre camps rivaux à Al-Hoceima.

Jets de pierres entre camps rivaux à Al-Hoceima.

Ce qu’il se passe actuellement à Al Hoceima nous interpelle tous. Le « laisser-faire » au nom du respect du droit à la libre expression a montré ses limites, maintenant que la population rifaine est divisée et que des camps opposés en viennent au jet de pierres. L’Etat doit prendre ses responsabilités avant qu’il n’y ait mort d’homme, parce que l’immobilisme peut mener à une tuerie entre pro et anti-Zfzafi. Ces derniers sont aussi nombreux dans le Rif que les autres, mais les Facebookiens et les Facebookiennes feignent de ne pas les voir, en vérité parce que le bon sens n’attire pas beaucoup de « Like » sur ce réseau dit social.
Pour mettre fin à l’anarchie, les forces de l’ordre doivent intervenir avec fermeté mais sans abus, comme cela se fait dans les plus grandes démocraties du monde. Il s’agit maintenant de sauver des vies et de préserver l’autorité même de l’Etat. Entendre Zefzafi clamer aujourd’hui du haut d’une mosquée « Ass’alo Allah Achchahada » (J’implore Dieu de mourir en martyr) montre clairement le fond de sa pensée. Derrière le prétendu révolutionnaire se cache un vrai extrémiste qui, comme tous les extrémistes, joue la carte de la provocation jusqu’au bout. Comme eux, son discours est haineux, clivant et insultant pour toutes les institutions du pays ainsi que pour tous ceux qui ne sont pas d’accord avec lui. C’est ce genre de discours, qui prend de l’ampleur en l’absence de riposte appropriée, qui a fait Daech. C’est un crime contre le Maroc et les Marocains que de laisser certains « Daechistes » nationaux tenter de reproduire ce modèle sans réagir.



via Abdo El Rhazi Al Hoceima : Non à la « siba » !

Al Hoceima, Daesh montre le bout du nez

Petit à petit, le meneur du mouvement du Rif dévoile ses cartes. On s’aperçoit alors que derrière lui, des forces à tendance islamiste tirent les ficèles d’une protestation qui montre un visage social, cachant bien ses vrais desseins. Il se confectionne une image de défenseur de la veuve et de l’orphelin alors qu’il peut violer toutes les lois qui permettent à ces derniers de continuer à vivre.

On peut le constater, le discours de Nacer Zefzafi est un discours takfiriste qui met d’un côté les bons croyants, lui et ses suiveurs évidemment, et de l’autre, tous ceux qui ne sont pas d’accord avec lui. Côté religion, il devra repasser parce que des hommes de religion lui ont conseillé de ne pas reprendre dans ses discours des versets du Coran et que ce qu’il essaie de faire ne se justifie nullement par la religion.

Par ailleurs, son apparition même à un moment donné du mouvement rappelle étrangement la tactique des frères musulmans en œuvre en Egypte et en Tunisie. Au départ, ils n’avaient aucune présence et lorsque la levure a pris, ils sont apparus comme les vrais maîtres du jeu. L’histoire a retenu les conséquences de leur stratagème.

Dans un de ses directs, Zefzafi a exigé que le prix des sardines ne dépasse pas 7 DH/Kg, sinon, il a menacé de bloquer le port et accentuer son mouvement contre les autorités. Il espère, par ce subterfuge, toucher les manifestants au ventre en période de ramadan. Là, il prend vraiment les habitants pour des imbéciles et ridiculise leurs revendications légitimes qui sont culturelles, scientifiques, industrielles, éducatives…. Il a tout réduit à une question de ventre.

Ainsi, il donne plutôt l’image de quelqu’un qui veut créer un émirat islamiste dans la région. Il refuse toutes les interventions du gouvernement qui est venu sur place, alors que c’est une des demandes des populations. Le processus de décision semble ainsi limité à sa personne, c’est lui qui décide quand, comment et quoi dire dans ses directs de facebook. Il ne reconnaît pas l’autorité, en refusant de se présenter devant le procureur qui l’a convoqué suite à des accusations graves contre des ministres et des élus.

Comme s’il y avait l’Etat d’un côté et lui de l’autre. Il veut être David qui a terrassé Goliath. Son ego démesuré complique les choses aussi bien aux populations qui commencent à prendre des distances avec ses « sermons », qu’au gouvernement qui a reconnu la légitimité des revendications et s’est rendu sur place pour lancer des projets et en relancer d’autres. Et justement, le jour où les ministres étaient venus répondre aux attentes des citoyens, Zefzafi s’est mis à insulter tout le monde et à ridiculiser les projets en cours.

Et puis, il y a la plus grande insulte à la patrie. Le drapeau marocain a été soigneusement éloigné, pour laisser la place au fanion du Rif. Sans préjuger de sa culture politique, on peut lui répondre qu’il n’y a aucun mal à avoir un drapeau. Le processus de régionalisation en cours le rend même nécessaire. Seulement, il y a le drapeau du pays, et il n’appartient à personne en particulier. Il appartient à tout le monde. C’est l’un des plus grands reproches qu’on a fait aux manifestants sur les réseaux sociaux.

Reste à la fin à analyser l’image de Nacer Zefzafi entouré d’un nombre impressionnant de gardes du corps. Là, il ne sert à rien d’analyser. La relecture de la biographie de Pablo Escobar pourrait suffire.



via Abdo El Rhazi Al Hoceima, Daesh montre le bout du nez

Berlitz organise sa convention internationale des franchisés

Pionnière dans le domaine de la formation linguistique et le conseil interculturel et présente dans 90 pays à travers le monde, dont au Maroc, la société Berlitz a organisé sa convention internationale des franchisés pour la première fois à Marrakech du 9 au 12 mai au Radisson Blu Hôtel.

Lors de cette convention annuelle, elle a accueilli ses franchisés venant des 4 quatre coins du globe pour débattre de sujets d’actualité, échanger les best practices et partager en toute convivialité cursus, expériences et réussites…

Ce meeting cosmopolite a été riche tant au niveau de la diversité culturelle des participants qu’au niveau des nouvelles stratégies qu’adoptera Berlitz pour accompagner l’évolution de la formation linguistique.

Grâce à son expérience acquise en un siècle et demi d’activité, le géant de la formation linguistique intervient aujourd’hui autant auprès des particuliers en proposant des cours de langues pour adulte et enfant (cours individuel, collectif), qu’au sein des entreprises. Il intervient également en management interculturel.

Sa grande renommée, il la doit à ses méthodes de formation innovantes, diversifiées et basées sur une communication linguistique accessible aux professionnels comme aux particuliers.

Berlitz est présente au Maroc à travers LICORNE, groupe leader au niveau national dans le conseil, les études et la formation. Deux centres Berlitz sont opérationnels au Maroc, un à Casablanca créé en 2007 et un autre à Rabat créé en 2010. Un troisième centre verra le jour prochainement à Tanger.

 

 

 



via Abdo El Rhazi Berlitz organise sa convention internationale des franchisés

Dina Bensaid « Le langage de l’émotion rassemble quelque soit notre origine ».

La jeune virtuose de piano et directrice artistique du festival des Alizés d’Essaouira revient sur les raisons de la formation du duo Yadain, fondé avec Eloïse Bella Kohn dans le but de transmettre une image de dialogue et de respect entre les cultures juives et musulmanes.

Vous avez créé il y a 2 ans le Duo Yadain qui veut dire les deux mains en arabe et en hébreu. D’où est née cette idée ?

Quand je suis partie en France à l’âge de 15 ans, j’étais profondément choquée par le traitement médiatique du conflit israélo-palestinien qui insistait plus sur les tensions entre juifs et arabes qu’autre chose ! C’était complètement à l’opposé de ce que j’avais vécu dans mon enfance au Maroc car je n’avais jamais ressenti une tension entre ces deux religions. Du coup, on avait envie avec Eloïse, que j’ai rencontrée au Conservatoire de Paris, de nous exprimer à notre manière et de montrer que ce n’est pas la seule image qu’il faut véhiculer. Quand on voit deux personnes de deux religions, soit disant conflictuelles, jouer en parfaite symbiose,  c’est encore plus parlant que des discours.

Vous pensez que la musique peut rapprocher les peuples et réussir là où le politique a échoué ?

Je pense que la démonstration a été faire plusieurs fois, cette édition par exemple nous fait découvrir musicalement plusieurs pays (l’Allemagne, l’Espagne, la Russie…) et on se rend compte que le langage est le même, la seule langue est : Do Re Me Fa Sol La Si…c’est le même langage utilisé partout, après, chacun apporte avec sa culture et ses influences une touche, une expression supplémentaire à quelque chose qui est commun à tous qui est la musique. Je pense que le langage de l’émotion rassemble, ça parle à tout le monde, quelque soit notre origine. On a pu voir au Maroc plusieurs concerts avec cette symbolique forte, notamment le concert en octobre dernier : Les Religions à L’Unisson avec l’OPM qui a rassemblé sur scène 3 chanteurs de confessions musulmane, juive et chrétienne.

C’est quelque chose que vous avez ressenti récemment en Serbie ?

Oui, j’avais choisi un programme avec des croisements de culture : « La Rhapsodie espagnole » du compositeur hongrois Liszt, inspirée d’une mélodie populaire tirée de danse « Jota » ramenée par un arabe installé en Espagne. On voit comment la mondialisation résiste depuis très longtemps à travers la musique classique.

Lorsque vous concevez un programme, c’est toujours votre côté engagé qui prend le dessus ?

Oui, quand on est artiste, il faut être engagé, d’une manière ou d’une autre. Ce sont les tripes qui parlent, on ne peut pas tricher, quand on est devant un piano, c’est l’âme qui parle, on est nu, et si on veut raconter quelque chose, il faut être engagé.

Vous avez choisi un répertoire autour de l’enfance. Pourquoi ?

On avait envie de voyager dans le pays de l’enfance. La musique classique est très liée à l’histoire personnelle de celui qui l’interprète. C’est le cas pour Yadain, le thème de l’enfance rappelle quelque part la notre. On avait envie de retourner dans ce pays là, de remonter à notre enfance, au temps où on n’avait pas de problème avec les religions, un enfant qu’il soit juif, noir ou jaune, c’est un être humain, et c’est cette naïveté, cette essence même qu’on avait envie de retrouver.

C’est difficile de choisir un programme pour chaque édition sans se répéter et tomber dans la redondance ?

C’est vrai que ce n’est pas évident, il faut suivre le public qui évolue, il faut continuer à le nourrir, les gens commencent à devenir, sans le savoir, un peu connaisseurs, je sens que l’écoute évolue énormément, il faut proposer des choses de plus en plus profondes tout en ne bousculant pas ceux qui découvrent pour la 1ère fois. Chaque année, je sais ce que je vais faire pour ce festival mais là, j’avoue qu’il faut que je fasse plus de recherches car je me dis que le public va me dépasser dans les connaissances.

En plus des artistes talentueux que vous invitez, vous choisissez des partitions et des morceaux parfois recherchés. C’est voulu ?

On essaie de trouver un équilibre entre les grands classiques et des choses moins connues. Cela dit, les musiciens peuvent aussi proposer, c’est un dialogue et un échange avant tout.

Qu’aimez-vous chez les compositeurs allemands ?

L’Allemagne, c’est le cœur de l’Europe, tous les grands penseurs et philosophes sont passés par là, en plus, j’adore leur langue, …c’est un pays qui me fascine, au niveau musical, car si vous écoutez du Beethoven par exemple, c’est extrêmement métré, géométrique voire scientifique, et en même temps, il a une expression et une force intérieure qui se dégage que je trouve fascinante. Il y a une puissance dans cette musique qui personnellement me bouleverse, soit par une rigueur, soit par un romantisme qui vous transporte, à l’image des compositions de Brahms. En fait, entre rigueur extrême et expression qui déborde de cette rigueur, il y a cette espèce de friction qui me parle.

L’année dernière, vous avez été sélectionnée au concours très prestigieux de la Reine Elisabeth, comment avez-vous vécu cette expérience ?

C’est une expérience incroyable, ce qui m’a le plus marqué, c’est comment la ville vit autour de ce festival. C’est très inspirant. Ça a toujours été un rêve de participer à ce concours, j’ai grandi avec, c’était important pour moi d’y participer, j’étais très contente de pouvoir jouer dans cette salle que j’avais vu tant de fois en DVD. De plus, j’étais la seule arabe, africaine et marocaine à y jouer depuis des années.

Vous avez pris des cours de direction d’orchestre. Pourquoi ?

C’est extrêmement enrichissant pour le jeu du piano. Le piano, c’est un seul instrument, un peu plat, or, les compositeurs écrivent beaucoup pour orchestre, et l’orchestre, c’est beaucoup de couleurs différentes dont j’avais besoin pour m’enrichir, dans mon jeu pianistique. Pour moi, une pièce pour piano doit être orchestrée et donc pensée pour orchestre et j’ai envie de baigner là dedans. Après, il y a l’OPM qui est là, et l’idée d’un chef d’orchestre femme marocaine, ça trotte toujours un peu dans la tête ! En plus, j’aime beaucoup donner cette impulsion musicale, donner ce souffle, inspirer…

Chaque chef d’orchestre a sa propre touche, quelle sera la votre ?

Celle d’aller toujours plus loin car même si on a 10 ou 50 ans d’orchestre, on doit toujours être dans la recherche du mieux, on ne sera jamais dans une vérité parce qu’on sera toujours loin de ce qu’a voulu le compositeur à la base ! Il faut toujours être dans la recherche de cette vérité même si on ne l’a pas, en tout cas, se rapprocher au maximum de ce que voulait le compositeur. Il faut constamment être dans une quête perpétuelle, se remettre en question et voir comment faire différemment.

Le secret de la réussite ?

Le travail, la passion et un peu de sacrifice. C’est un métier très exigeant mais le résultat en vaut largement la chandelle. Je trouve que c’est génial de s’exprimer avec l’art et être au quotidien en contact avec ces grands penseurs, avec tout cet héritage de l’humanité qu’on partage avec les autres.

Vos projets ?

« Le concert à la carte » est un des projets interactifs que je suis en train de développer au Maroc. C’est un concept novateur qui permet au public de choisir lui-même ce qu’il veut écouter !

Accroche

L’idée d’un chef d’orchestre femme marocaine trotte toujours dans ma tête !

 



via Abdo El Rhazi Dina Bensaid « Le langage de l’émotion rassemble quelque soit notre origine ».

Infrastructures : 2 chefs d’Etat africains décrochent le Super Prix Grand Bâtisseur

Le Président du Rwanda Paul Kagamé et son homologue sénégalais Macky Sall ont été primés par The Africa Road Builders en marge des assemblées annuelles de la BAD en Inde.

En effet, les récipiendaires du Super Prix Grand Bâtisseur ont été représentés respectivement par le ministre rwandais des Finances et de la planification du développement et par le Gouverneur suppléant du Sénégal à la BAD.

Ce prix récompense la vision des 2 chefs d’État dans la réalisation de grands projets d’infrastructures.



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Solaire : Nova Power s’active en Côte d’Ivoire

En Côte d’Ivoire, la société marocaine Nova Power va lancer une centrale solaire photovoltaïque dans le nord du pays.

D’une capacité de 25 MW, cette centrale a nécessité un financement de près de 40 millions dollars et sera opérationnelle à la fin 2018. La filiale ivoirienne de Nova Power sera en charge de l’exploitation, du transport de l’électricité et du raccordement au réseau national.



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Maroc-Côte d’Ivoire : Bourita reçu par le Président Ouattara

Le Ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale Nasser Bourita a été reçu hier jeudi à Abidjan par le Président ivoirien Alassane Ouattara. En effet, le chef de la diplomatie marocaine était porteur d’un message du Roi Mohammed VI.

A noter que cette rencontre s’est tenue à quelques jours du Sommet des chefs d’État de la CEDEAO prévu le 4 juin durant lequel sera discuté le projet d’intégration du Maroc dans l’espace économique ouest-africain.



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Thursday, May 25, 2017

Le chaînon manquant

Ahmed Charaï

La manière de gérer les protestations d’El Hoceima, qui laisse énormément à désirer, a mis en lumière de manière éclatante, la faillite des intermédiaires. Les atermoiements de l’exécutif ainsi que la frilosité des partis, voire leurs contradictions, sont la preuve de leur incapacité à encadrer les populations. Car, rappelons-le, malgré la légitimité d’une partie des revendications de la population rifaine, cette région n’est pas l’oubliée des investissements publics et ces mêmes revendications pourraient être dupliquées par la majorité des régions du Maroc, qui ont besoin de plus de services publics, d’opportunités d’emploi et de filets sociaux. Au-delà de l’affaire d’El Hoceima, les partis politiques se donnent en spectacle, de la manière la plus ridicule possible. Qu’un chef de parti refuse d’exécuter un jugement, concernant le syndicat- maison, qu’il en vienne aux mains avec les forces de l’ordre, qu’il mette en cause nommément des institutions dans ses difficultés partisanes est révélateur du niveau de celui qui a dirigé cette formation politique pendant cinq ans. Le parti de Driss Lachgar, quant à lui, a besoin de retrouver son lustre, par une rénovation de son corps, de son organisation, ce que l’actuel premier secrétaire ne peut réussir qu’en s’appuyant sur tous les cadres historiques du parti. Les conflits au sein du PJD, hyper personnalisés, alors qu’ils sont d’essence politique, laissent planer le doute sur la capacité de ce parti à rester uni, en dehors de l’allégeance à un « Zaïm ». Le fait que les élus locaux ou parlementaires ne jouent aucun rôle dans la plupart des provinces marocaines, alors qu’ils sont censés être la voix de la population et le fait qu’ils soient rejetés par les manifestants est le reflet du manque de représentativité réelle. Celle-ci n’est pas simplement fonction du vote, elle a besoin d’un véritable enracinement partisan, d’une relation continue, d’un encadrement des populations. C’est l’esprit même du rôle que la constitution assigne aux partis politiques. Or, il n’y a pas une seule crise où les élus et les partis ont joué un rôle d’intermédiation, aboutissant à une solution raisonnable. Le danger est que chaque fois, manifestants et sécuritaires se retrouvent face à face et il faut un grand self-control pour éviter les dérapages. On ne le répétera jamais assez, la construction démocratique a besoin de partis forts, réellement implantés, aux discours identifiables, d’élus ancrés dans leur fief, non pas par l’usage de l’argent, mais par leur lien avec les populations. Nous avons besoin de partis capables d’assumer leur rôle et non pas de formations politiques qui s’abritent derrière le populisme ou le silence, à chaque crise. C’est parce qu’ils ont failli que d’autres formes d’organisation prospèrent. Il est de la responsabilité de leurs militants de changer leurs modes de fonctionnement.



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African Banker Awards : 3 institutions marocaines primées

En marge des assemblées de la Banque Africaine de Développement en Inde, 3 institutions financières marocaines se sont distinguées lors des African Banker Awards 2017.

En effet, Attijariwafa Bank a été primée meilleure banque de l’Afrique du Nord et le Groupe Crédit Agricole du Maroc a lui remporté le prix de la “Banque socialement responsable de l’année”. Le prix de la meilleure institution de “l’inclusion financière” a été décerné à la CCG, la Caisse Centrale de Garantie.

Les African Banker Awards, décernés par le magazine African Banker, récompensent les meilleures banques africaines dans dix catégories. Des trophées sont décernés au meilleur banquier africain de l’année, la meilleure banque de détail, d’investissement, d’inclusion financière, d’innovation.



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Le Roi distingué par les parlementaires africains

Le Roi Mohammed VI a reçu hier mercredi au Palais Royal de Fès, une délégation des présidents de la 25e Assemblée régionale Afrique de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie.

A cette occasion, la délégation des parlementaires africains a remis au Souverain la Grand-Croix de l’ordre de La Pléiade, en reconnaissance de son rôle déterminant dans la promotion des valeurs de dialogue et de tolérance. 

Cette décoration est la plus haute distinction décernée par l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie.



via Abdo El Rhazi Le Roi distingué par les parlementaires africains