Saturday, June 30, 2018

Inauguration du parc éolien Khalladi devant produire 370 gigawatts

Le nouveau parc éolien Khalladi à Tanger, d’un investissement de 1,7 milliard de dirhams (MMDH) et d’une capacité installée de 120 mégawatts (MW), a été inauguré hier (vendredi 29 juin 2018).

Réalisé par le groupe saoudien ACWA Power et situé à Jbel Sendouq, à 30 km de Tanger, le parc Khalladi produira environ 370 gigawatts et approvisionnera, principalement, les gros clients industriels. Sa production d’électricité équivaut à la consommation annuelle moyenne d’une ville de 400.000 habitants.

Composé de 40 turbines éoliennes, de 3 MW chacune installée sur une tour de 80 mètres et équipée de 3 pales de 45 mètres, le parc contribuera à la réduction de plus de 144.000 tonnes d’émissions de CO2 par an. Le projet participe à la réalisation des objectifs du Maroc à l’horizon 2020, relatifs notamment au développement de 2.000 MW de capacité en énergie éolienne et une part de 42% des énergies renouvelables dans son mix énergétique. La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence, notamment, du ministre de l’Énergie, des Mines et du Développement durable, Aziz Rabbah et du ministre de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et l’Eau, Abdelkader Amara, ainsi que du président du groupe AKWA Power et du président du Directoire de l’Agence marocaine pour l’énergie durable, Mustapha Bakkoury.

Le projet est financé par une contribution de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, en collaboration avec le Fonds pour les technologies propres et la BMCE Bank of Africa. Il est le premier projet en énergie renouvelable financé par la Banque européenne au Maroc.

ACWA Power est un développeur, investisseur et exploitant d’un parc de centrales électriques et d’unités de dessalement d’eau présent dans 10 pays à travers le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord ainsi que l’Afrique du Sud et l’Asie du Sud-Est.

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Vidéo-Russie2018: La folie foot


Vidéo – Le foot n’est pas que fric, il est aussi fiesta et folie.

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Vidéo: Zoom sur la conférence inaugurale du cycle « Collège de France au Maroc »

L’Académie du Royaume du Maroc met en place le cycle de conférences « Collège de France au Maroc », en collaboration avec l’Institut français du Maroc. La première conférence a été donnée, mercredi 27 juin au siège de l’Académie à Rabat, par le professeure Anne Cheng, membre du Collège de France à Paris. Thématique centrale de lancement: « Entre orientalisme et modernité : la Chine, miroir ou autre de l’Europe ? ».

Entretien avec la conférencière et avec le Secrétaire perpétuel de l’Académie du Royaume du Maroc, Abdeljalil Lahjomri.

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L’ONMT a enfin son directeur général

Le nouveau directeur général de l’Office national marocain du tourisme (ONMT), Adil El Fakir a été installé dans ses fonctions hier, vendredi 29 juin 2018 à Rabat, lors d’une cérémonie présidée par le ministre du Tourisme, du transport aérien, de l’artisanat et de l’économie sociale, Mohamed Sajid, en présence de la secrétaire d’Etat chargée du tourisme, Lamia Boutaleb.

A travers les déclarations qu’il a données à la presse à cette occasion, Sajid s’est montré optimiste quant à la nouvelle dynamique qui sera instaurer par le nouveau DG de l’ONMT.

De son côté, El Fakir s’est dit heureux de rejoindre un secteur vital et un groupe de travail dynamique regroupant de hautes compétences nationales, qui ont fait preuve lors de ces dernières années d’efficacité et d’innovation

Adil El Fakir, qui travaillait dans une multinationale à Tanger, avait occupé le poste de directeur de la régie publicitaire de la Société Nationale de Radiodiffusion et de Télévision (SNRT).

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ONU : le Maroc réélu à New York pour un nouveau mandat en tant que membre du Comité des Droits de l’Enfant

A l’occasion de la 17ème Réunion des Etats Parties à la Convention des Nations-Unies relative aux Droits de l’EnfantLa, la candidate du Maroc, Hynd Ayoubi Idrissi, a été réélue hier (vendredi 29 juin 2018) pour un nouveau mandat en tant que membre du Comité des Droits de l’Enfant (CRC).
En lice avec 13 autres candidats pour les 9 sièges vacants au sein dudit Comité, Hynd Ayoubi Idrissi a été élue au 1er tour du vote avec 160 voix sur les 193 votants, soit le score le plus élevé.

Ce succès éclatant de la candidature marocaine témoigne de la crédibilité dont jouit le Royaume auprès des Etats membres de l’ONU et constitue une reconnaissance des efforts déployés par le Maroc sous l’impulsion du Roi Mohammed VI en matière de promotion et de protection des droits de l’Homme.

Une forte campagne diplomatique de promotion a permis un aboutissement brillant de cette candidature consacrant ainsi la stratégie du Royaume visant la consolidation de la présence marocaine au sein des organisations internationales et des organes des Nations-Unies.

Docteur en droit de l’Homme, professeur universitaire et consultante internationale dans le domaine des droits de l’Enfant, l’experte marocaine a réussi, durant son premier mandant, à gagner l’estime de ses homologues et des Etats parties grâce à son travail assidu et son engagement avéré dans l’accomplissement de sa mission.

Le comité des Droits de l’Enfant est un organe international indépendant chargé de surveiller la mise en œuvre de la Convention relative aux Droits de l’Enfant par les Etats parties. Il est composé de 18 experts indépendants de haute moralité et possédant une expérience reconnue dans le domaine des Droits de l’Enfant. Ses membres sont élus pour un mandat de quatre ans renouvelables.

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Friday, June 29, 2018

John Sullivan: « Les États-Unis sont engagés à approfondir leurs relations avec le Maroc »

En visite de travail du 25 au 29 juin 2018, le secrétaire d’État adjoint des États-Unis, John Sullivan, s’est exprimé au terme de sa visite dans un point de presse tenu ce vendredi 28 juin 2018 à Rabat, en compagnie du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Nasser Bourita.

« Le Maroc, qui est l’un de nos plus anciens alliés dans le monde comme en témoigne notre traité de paix et d’amitié signé en 1786, est un partenaire clé pour les Etats-Unis dans le cadre des efforts de lutte contre le terrorisme », a dit Sullivan lors d’un point de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita.

Le Maroc, allié majeur des Etats Unis hors Otan, contribue à faire face aux différentes questions et problèmes auxquels est confrontée la région du Moyen-Orient et d’Afrique du nord (MENA) et joue un rôle actif dans le déploiement des efforts internationaux en matière de lutte contre la menace terroriste, notamment au sein du Forum mondial de lutte contre le terrorisme (GCTF), a relevé le responsable US, saluant au passage le leadership du Royaume dans le domaine sécuritaire.

Sullivan a, en outre, indiqué que ses discussions avec Bourita ont porté sur la coopération militaire, en particulier le récent exercice combiné « African Lion ».

Les Etats Unis sont engagés à approfondir leurs relations « solides » avec le Maroc au service de la prospérité des deux pays, ainsi que de la sécurité et la paix dans la région, a-t-il poursuivi.

« Les Etats Unis s’engagent dans des consultations étroites avec le Maroc sur des sujets d’intérêt commun, y compris la sécurité régionale, la diversification énergétique, le développement durable et la promotion des opportunités d’échange en matière d’éducation et de culture », a affirmé le responsable américain. De son côté, Bourita a fait savoir que ces entretiens ont été l’occasion de revenir sur le développement des relations solides qui unissent le Maroc et les Etats-Unis, rappelant qu’au cours de cette année, un nouvel élan a été donné à la coopération militaire à travers l’exercice « African Lion » que les forces américaines ont mené au Maroc, en collaboration avec les Forces armées royales (FAR).

Au niveau sécuritaire, il a indiqué que Rabat et Washington proposaient des initiatives et des projets au service de la sécurité et la stabilité à l’échelle régionale, ajoutant que plusieurs rencontres ont eu lieu cette année, notamment au sujet de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.

Bourita a, par ailleurs, mis l’accent sur la poursuite du dialogue stratégique entre les deux pays à travers la tenue de plusieurs réunions à Rabat et à Washington tout au long de l’année.

Il a également fait remarquer que ses entretiens avec Sullivan ont permis d’échanger les points de vue sur certaines questions qui concernent le Moyen-Orient, la Syrie et l’Afrique du nord, en particulier.

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Les écoles publiques vont devenir des pépinières de « super codeurs »

La convention a été signée, le 29 juin 2018 à Rabat, par Youssef Belqasmi, secrétaire Général du département de l’Education Nationale au ministère de l’Education Nationale, de la Formation Professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et Yves Gauthier Directeur Général d’Orange Maroc.

Orange ouvre désormais une voie inespérée aux écoliers des établissements publics pour qu’ils deviennent de «super codeurs». L’opérateur vient de signer une convention de partenariat avec le département de l’Éducation Nationale qui porte engagement des deux parties à organiser des ateliers pour l’apprentissage du coding dans les écoles publiques. «Ce projet apprendra aux enfants des écoles publiques primaires à coder et inventer leurs propres jeux, tout en leur permettant de s’engager dans des projets porteurs de sens, en les invitant à s’exprimer sur des enjeux sociétaux à travers le coding», peut-on lire dans un communiqué conjoint des signataires.
Détails
A travers cette convention, il est prévu, tout d’abord, de former des enseignants et des coordonnateurs régionaux, sélectionnés par le Ministère, aux méthodes pédagogiques optimales pour animer les ateliers dans les écoles.
Ces ateliers permettront aux élèves de se familiariser avec les outils de développement, et de réaliser leur premier projet ludique. C’est aussi l’occasion de les encourager à développer des projets en toute autonomie par la suite.
De même, Orange Maroc s’engage à organiser, conjointement avec le Ministère, les compétitions « Hackaton » au niveau national et régional durant lesquelles les enfants sélectionnés devront répondre à un enjeu des objectifs de développement durable.

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Maroc-Espagne: Laftit rencontre le nouveau ministre espagnol de l’Intérieur

Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, et son homologue espagnol, Fernando Grande-Marlaska, ont tenu hier (jeudi 28 juin 2018) à à Rabat, une réunion de travail lors de laquelle ils ont rappelé la nécessité de continuer à consolider la coopération maroco-espagnole en matière de lutte contre le terrorisme.

Lors de cette réunion, Laftit et Grande-Marlaska ont loué, particulièrement, l’étroite coordination entre les services de sécurité, fondée sur un échange soutenu et confiant de renseignements et l’organisation d’opérations coordonnées conjointement et simultanément, ayant permis le démantèlement de nombreuses cellules terroristes, notamment, celles liées au recrutement et à l’acheminement de combattants terroristes vers les foyers de tension, indique un communiqué conjoint rendu public au terme de cette réunion.

A cette occasion, les deux ministres ont mis l’accent sur la nécessité de poursuivre la consolidation de cette coopération et à fédérer leurs efforts, aux niveaux bilatéral et régional, pour contribuer activement à faire face à la recrudescence de la menace terroriste aussi bien dans le bassin méditerranéen que dans la région sahélo-saharienne.

Lors de cette réunion, les deux ministres ont exprimé leur satisfaction quant à l’excellence et à la solidité des relations maroco-espagnoles, grâce aux liens fraternels unissant le Roi Mohammed VI et le Roi Felipe VI. Laftit et Grande-Marlaska se sont félicité, à cet égard, de l’exemplarité de la coopération entre les services des ministères de l’Intérieur des deux pays, comme en témoignent les résultats probants de la coopération opérationnelle et technique entre les services de sécurité, notamment dans les domaines de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.

S’agissant de la question migratoire, ils ont relevé la qualité du partenariat excellent et singulier, caractérisant la coopération maroco-espagnole en la matière et qui s’est convertie, à juste titre, en un référentiel dans la gestion des flux migratoires, intégrant les dimensions sécuritaire, humanitaire et de développement, et ce en parfaite symbiose avec le respect des droits de l’Homme et de la dignité des êtres humains.

Cette coopération, qui s’est traduite par une dynamique de coordination et d’échange d’informations entre les deux parties, a permis d’atteindre des résultats fort significatifs, notamment en matière de lutte contre les réseaux de trafic des migrants et de la traite des personnes, souligne le communiqué.

Au terme de cette réunion, les deux ministres, tout en rendant hommage au travail des différents services de sécurité des deux pays, ont convenu de continuer à œuvrer au renforcement de la coopération et de la coordination entre leurs Départements respectifs, et ce pour assurer et préserver la sûreté et la sécurité de leur pays, de leur région et de leur voisinage.

 

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Football, la communion et après ?

Ahmed Charai

Des dizaines de milliers de Marocains ont fait le déplacement en Russie. Ils ont été admirables à tout point de vue. Ils se sont montrés ouverts aux autres, et surtout ont affiché une immense fierté nationale.
Malgré les résultats, les Marocains, dans leur extrême majorité, sont fiers de leurs joueurs, de leur vaillance, de cet esprit conquérant qui a caractérisé leur parcours. Ils se sont bien battus, le peuple en est satisfait.
Cette communion, cette expression d’une fierté nationale, d’un désir très fort de joie, de célébration collective, d’une volonté collective, au-delà des classes sociales, de se retrouver autour d’un fanion, même s’il ne s’agit que de football, est la marque des grandes nations.
Le peuple marocain a prouvé son attachement à notre devenir collectif. Il a aussi montré son respect, pour ceux qui font leur possible, se donnent à fond, même si les résultats ne suivent pas. Les Marocains ne demandent pas que les coiffeurs rasent gratis, ils veulent juste que chacun fasse son boulot, au mieux possible, que l’école et l’hôpital soient aux standards internationaux. Cette faveur doit interpeller le gouvernement. Pourquoi est-ce qu’il ne suscite
aucune empathie auprès de ceux-là même qui l’ont élu ?. Pourquoi est-ce qu’un joueur, Lamrabet en l’occurrence, est élevé au rang de héros national alors que tous les ministres sont stipendiés ? C’est une vraie question. Que les Marocains aiment leur pays, qu’ils soient prêts à tous les sacrifices pour sa défense, éventuellement pour sa gloire,
cela ne fait aucun doute. Mais c’est une force, une énergie, que l’on utilise rarement, pour ne pas dire jamais. Les Marocains qui ont des difficultés immenses à accéder aux soins, qui voient que l’école n’assure plus l’éducation de leurs enfants, qui n’arrivent plus à subsister, mais qui vibrent avec l’équipe nationale, se posent la question de l’appartenance dix minutes après la fin du match.
Le gouvernement, l’opposition, l’ensemble de la classe politique doivent se poser une question unique : comment faire de cette fibre patriotique un moteur de la construction du projet marocain ? La réponse est inscrite dans la question. Il faut des services publics au niveau, une vision sociale inclusive et des objectifs clairs. Le Marocain adore le Maroc, c’est aux politiques de lui prouver que son pays fait du mieux possible pour lui, pour ses enfants.
Au moindre résultat tangible, l’adhésion sera au rendez-vous. Mais, question résultat, jusqu’à maintenant, il n’y en a pas !

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La FRMF s’indigne auprès de la FIFA après la série d’injustices contre les Lions de l’Atlas

Le président de la Fédération Royale marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa a adressé hier (jeudi 29 juin 2018), une lettre au président de la Fédération internationale de football association (FIFA) dans laquelle il exprime son indignation devant l’injustice subie par la sélection nationale, suite à des « erreurs arbitrales graves ayant entraîné sa sortie prématurée dès le premier tour de la Coupe du monde de football 2018 en Russie ».

« Nous estimons sans ambages que les erreurs arbitrales survenues notamment lors des deux matches cruciaux face au Portugal et face à l’Espagne, ont gravement pénalisé notre sélection nationale en la privant de jouer ses chances de qualification à égalité avec les équipes concurrentes de son groupe », écrit Lekjaa dans cette lettre mise en ligne sur le site officiel de la FRMF. Lekjaa souligne, en outre, que « la gravité desdites erreurs arbitrales est d’autant plus manifeste que lors de ces deux matches, le recours à la vidéo assistance aux arbitres (VAR) n’a servi qu’à préserver les intérêts de nos concurrents. En témoigne le non recours à cette technologie, sensée amoindrir le biais de subjectivité arbitrale, dans le cas de pénaltys non sifflés en faveur du Maroc face au Portugal (4ème, 30ème et 80ème minutes).

En revanche, relève la lettre, cette technologie a été utilisée pour valider indûment le 2ème but de l’Espagne entaché par plusieurs erreurs: une sortie de but non signalée par les arbitres aboutit à un corner qui a été exécuté du mauvais côté, et qui a donné lieu à ce deuxième but espagnol ».

Dans ce contexte, le président de la FRMF a tenu à exprimer sa « profonde inquiétude par rapport à la persistance de telles injustices et leur impact négatif sur l’image de la FIFA et sur l’avenir du football en tant que pratique censée participer à faire partager les valeurs nobles d’équité et d’égalité des chances », appelant le président de la FIFA à prendre les mesures qui s’imposent et procéder aux ajustements nécessaires à l’effet de « réparer ces injustices et garantir les conditions d’une compétition assurant une égalité des chances à toutes les équipes qui doit primer sur toute autre considération ».

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Entretien avec Mohamed Abdennabaoui, président du Ministère public : «L’ère des coups de fil est révolue»

Dans un entretien de plus d’une heure et demie accordé à Medradio, Al Ahdath Al Maghribia et L’Observateur du Maroc et d’Afrique ainsi qu’à leurs sites web respectifs, le président du Ministère public, Mohamed Abdennaboui, répond à des questions de brûlante actualité concernant la justice, son indépendance, les critiques qu’elle suscite, les contraintes, etc.
Entretien à lire dans L’Observateur du Maroc et d’Afrique en kiosques à travers tout le Maroc jusqu’au 5 juin 2018.

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Plus 600 tonnes de marchandises de contrebande saisies à Casablanca

Nouvelle grosse prise des services douaniers, en collaboration avec les services de Police et de la Gendarmerie Royale. Dans des entrepôts clandestins de Casablanca et ses environs, ils ont saisi plus de 600 tonnes de marchandises de contrebande principalement constituées de produits et denrées alimentaires notamment des céréales, des légumineuses, des fruits secs et des épices. La valeur estimée des produis saisis est estimé à plus de 6 millions de dirhams.

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Russie2018: Le VAR et les cartons jaunes éliminent le Sénégal

La sélection sénégalaise peut s’en vouloir d’avoir raté de nombreuses occasions, malgré sa suprématie physique et parfois technique, face aux adversaires largement prenables qu’elle a rencontrés au premier tour de Russie2018. Mais les Lions de la Teranga peuvent aussi en vouloir à la Fifa qui a contribué à leur élimination avec son système d’assistance vidéo à l’arbitrage, qui est à géométrie VARiable, et ce critère du fair-play inventé à la dernière minute pour départager les équipes totalisant le même nombre de points. C’est ce nouveau « système », très critiqué, qui a tué les Sénégalais puisqu’ils ont écopé plus de cartons jaunes que leurs adversaires. Cette double peine dont a écopé le Sénégal s’ajoutent aux massacres qu’a subis les Lions de l’Atlas. Le plaisir du foot est menacé et tout le monde le constate…sauf la Fifa.

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Thursday, June 28, 2018

Le nouveau modèle de développement des provinces du sud en discussion à Dakhla

« Le développement intégré des provinces du sud » est le thème du colloque qui se tiendra ce jeudi à Dakhla à l’initiative de la Chambre des conseillers.

La tenue de cette rencontre thématique émane de la conviction que le nouveau modèle de développement des provinces du sud, lancé par le Roi Mohammed VI en novembre 2015 à Laâyoune, à l’occasion du 40è anniversaire de la glorieuse Marche Verte, constitue un mécanisme idéal pour accélérer la régionalisation avancée dans les provinces du sud, précise-t-on.

Organisé en partenariat et en coordination avec les trois régions du Sud du Royaume, ce colloque, qui intervient en application des recommandations du forum parlementaire des régions et en interaction avec le contenu et le discours royal adressé aux participants à la 2ème édition de ce forum, le 16 novembre 2017, vise à faire le point de l’état d’avancement des projets inscrits dans la stratégie de mise en oeuvre de ce nouveau modèle de développement, deux ans après son lancement, ainsi que l’évaluation des avancées réalisées vers l’atteinte des objectifs tracés pour ce modèle de développement prometteur.

Deux axes seront traités lors de ce colloque, le premier ayant trait aux objectifs et au bilan du modèle de développement des provinces du sud, alors que le second axe est relatif à la régionalisation avancée en tant que levier dudit modèle de développement.

S’agissant du premier axe, l’accent sera focalisé sur les perspectives prometteuses qu’ouvre ce modèle de développement pour l’ensemble de la région aussi bien dans les domaines économiques que sociaux, à en juger par les projets d’envergure qu’il comprend dans les domaines, entre autres, des infrastructures, de la santé, de la formation, de l’industrie, de l’agriculture et de la pêche.

D’un coût global estimé à 77 milliards de dirhams, la mise en œuvre de ce modèle de développement contribuera à doubler le produit intérieur brut local et à créer 120.000 emplois.

De même, la rencontre sera l’occasion de mettre en exergue les projets prévus dans le cadre de la valorisation des secteurs des phosphates, de l’agriculture, de la pêche maritime et du tourisme écologique, outre les projets à caractère social et environnemental et qui visent à réaliser un saut qualitatif en matière de qualification des ressources humaines, de préservation des ressources maritimes et hydriques, de valorisation des énergies renouvelables et de préservation des écosystèmes pour la réalisation du développement durable.

Le deuxième axe traitera de la régionalisation avancée en tant que levier et cadre institutionnel du modèle de développement des provinces du sud, dont l’efficience s’appuie sur une autonomie de décision et une réalisation des projets au niveau local dans la mesure où le transfert des compétences aux élus régionaux et locaux contribuera à rapprocher les centres de décision des citoyens.

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Horst Köhler à Smara et Dakhla après Laâyoune

L’Envoyé personnel du Secrétaire Général des Nations Unies pour le Sahara marocain, Horst Köhler, est arrivé aujourd’hui à Laâyoune après avoir entamé sa visite de travail au Maroc, hier, à Rabat. Dans les provinces du sud du Maroc, Köhler a rencontré des responsables locaux marocains à Laâyoune et a également effectué une visite au quartier général de la Minurso. Il est prévu que l’Envoyé spécial se rende ensuite à Dakhla et à Smara. Cette visite entre dans le cadre de la nouvelle visite qu’effectue Horst Köhler dans la région.

Bureau de Laâyoune de medradio – Meriem El Filali 

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La Vision marocaine pour l’Afrique réexpliquée à Nouakchott

La délégation marocaine à la réunion du Comité des quinze ministres des Finances de l’Union africaine, dans le cadre des travaux de la 36ème Session du Comité des Représentants Permanents de l’UA, tenue hier (mercredi 27 juin 2018) à Nouakchott, a souligné l’importance de l’émergence d’une nouvelle vision de l’action commune africaine qui place le citoyen africain au centre de l’agenda de l’institution panafricaine.

La réunion du Comité des quinze ministres des Finances de l’UA, préparatoire du 31ème sommet de l’UA (1er et 2 juillet), a été consacrée à l’examen du projet du budget de l’Union pour l’année 2019 avant de le soumettre à la réunion du Conseil exécutif, prévue jeudi et vendredi.

La délégation marocaine, conduite par le Représentant Permanent du Maroc auprès de l’UA et la CEA, Mohammed Arrouchi, a insisté sur la nécessité de placer le développement et la prospérité du citoyen africain parmi les priorités dans l’élaboration du budget de l’Union et ce à travers une action commune africaine efficace et efficiente.

Arrouchi a rappelé, dans ce sens, le discours du Roi Mohammed VI devant le 28e Sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba dans lequel le Souverain a réaffirmé Son « engagement en faveur du développement et de la prospérité du citoyen africain ».

Le Représentant Permanent du Maroc auprès de l’UA et la CEA a indiqué que la délégation marocaine s’est inscrite en droite ligne avec la vision royale en proposant le lancement d’une réflexion sur la création d’un « fonds de l’Union africaine dédié aux projets du citoyen africain », l’objectif étant de rapprocher l’institution panafricaine du citoyen, renforcer la confiance et répondre aux attentes du citoyen africain.

Arrouchi a, d’autre part, noté que le sommet de Nouakchott constitue une étape majeure dans le développement de l’action commune africaine, mettant l’accent sur l’importance que revêt la crédibilité et l’efficacité de cette action commune qui doit être axée, à son tour, sur la bonne gouvernance, la clarté, la transparence et le dialogue fructueux.

La délégation marocaine, a-t-il relevé, a contribué de manière fructueuse dans les discussions en mettant l’accent sur l’importance d’affecter les ressources financières du budget de l’Union au service du développement et de l’amélioration des conditions de vie du citoyen africain.

Le Maroc, rappelle-t-on, est parmi les cinq premiers contributeurs dans le budget de l’Union africaine avec près de 10 pc du budget.

Les réunions préparatoires au sommet de Nouakchott avaient débuté lundi par la session ordinaire du Comité des représentants permanents de l’Union africaine (COREP) en prélude à la 33ème session ordinaire du conseil exécutif, prévue jeudi et vendredi, qui se tient à la veille du 31ème sommet de l’UA (1er et 2 juillet).

Devant la 36ème Session du Comité des Représentants Permanents de l’Union africaine (COREP), le Maroc avait plaidé pour le renforcement de la bonne gouvernance au sein de l’UA en tant que voie incontournable pour assurer l’efficacité et l’efficience de l’action africaine commune au service du développement et de la prospérité du citoyen africain.

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La DGSN explique pourquoi un policier a tiré sur individu Témara

Un brigadier de police appartenant à la brigade mobile de la police de secours du district provincial de sûreté de Témara a été contraint, jeudi matin, de faire usage de son arme de service pour neutraliser un individu qui menaçait la vie des passagers d’un bus de transport urbain et celle des agents de police, à l’aide de l’arme blanche.

Le policier a tiré cinq balles dont deux de sommation lors d’une intervention pour l’arrestation de cet individu aux antécédents judiciaires qui menaçait à l’aide d’une arme blanche, la vie des passagers d’un bus de transport public et celle des éléments de la police, après avoir détruit le pare-brise avant de deux bus, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).

Face à la résistance violente du mis en cause et son obstination à agresser les occupants du bus, l’agent de police a été contraint d’utiliser son arme de service et de tirer cinq balles dont trois ont touché le prévenu au genou et au niveau du thorax, précise la même source.

Le suspect blessé, placé sous surveillance médicale à l’hôpital pour recevoir les soins nécessaires, sera déféré devant la justice dès stabilisation de son état de santé. Il sera soumis à l’enquête qui se déroule sous la supervision du parquet compétent en vue d’élucider les circonstances de cette affaire, conclut la même source.

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Wednesday, June 27, 2018

Vidéo en direct- OCP Policy Center met le bilan du Printemps arabe en débat

Publiée par L'Observateur du Maroc et d'Afrique sur Mercredi 27 juin 2018

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Cité Mohammed VI Tanger Tech: Othman Benjelloun fait le pount

Othman Benjelloun, président de BMCE Bank of Africa.

Othman Benjelloun, président de BMCE Bank of Africa.

Quinze mois après son lancement officiel, le projet de Cité Mohammed VI Tanger Tech affiche un bilan des réalisations probant et la mobilisation de l’ensemble des parties prenantes dans ce Projet souverain a été totale et constante, a affirmé, hier (mardi 26 juin 2018), le président de la Société d’Aménagement de la Cité Mohammed VI Tanger Tech, Othman Benjelloun.

Dans une déclaration sur l’état d’avancement de ce projet, Benjelloun a souligné que ce bilan a été possible grâce au Comité Central de Pilotage du Projet, une instance ayant pour rôle d’assurer le suivi régulier de l’exécution des chantiers, et a également une responsabilité d’arbitrage et de décision stratégique en matière d’orientation des investissements, précisant que le Comité regroupe les ministres de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances et de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique, le Wali de la Région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, le président du Conseil de la Région et le président de Bmce Bank of Africa.

Dans ce contexte, il a salué les avancées réalisées par ce Comité, notamment la mobilisation par les autorités compétentes d’un total de 2.150 ha dans la région d’Aïn Dalia, et du parachèvement effectif des procédures d’expropriation relatives aux terrains de la première tranche du Projet, elle a été suivie de la réalisation travaux d’infrastructures dites « Hors-Site » de la première tranche, incluant réseaux routiers, d’eau potable, d’assainissement et d’électricité.

Ce chantier est presque finalisé aujourd’hui, rendant possible une prochaine installation des investisseurs avec lesquels plusieurs conventions ont été conclues, tels que Lear, Yazaki, Dicastal ou encore Byd Auto Industry (« Build Your 3 Dreams »), a-t-il dit, précisant que ce dernier est, à titre d’exemple, un groupe chinois leader en construction de véhicules électriques qui projette un investissement de l’ordre de USD 360 millions au Maroc, avec un objectif de démarrage en production dans 2 ans, sur une superficie d’au moins 50 ha.

Parallèlement à l’ensemble de ces avancées, des chantiers d’une importance capitale ont été lancés avec succès, en partenariat avec des leaders mondiaux. Il s’agit de partenariats avec le cabinet BCG mandaté par le Ministère de l’Industrie et du Commerce en 2017 pour la réalisation des études de marché, d’une part, et la prospection de partenaires potentiels de renom, d’autre part et le bureau d’études CID qui s’est confié les études techniques ainsi que le cabinet de design américain AECOM chargé de la mission de réalisation du Master Plan de la nouvelle Cité, a-t-il poursuivi.

« Il est certain que la finalisation du Master Plan donnera une forte accélération à la dynamique de déploiement du Projet en ouvrant la voie à des partenariats bien ciblés, conformes aux ambitions tracées par le Maroc pour ce Projet, respectueux des spécificités nationales et mutuellement bénéfiques aux parties », s’est-il réjoui, relevant que de nombreuses manifestations d’intérêt ont été exprimées par des partenaires potentiels de stature internationale, le plus récent étant la « China State Construction Engineering Corporation » (CSCEC).

« Nous nous sommes beaucoup inspirés au lancement du Projet de Cité Mohammed VI Tanger Tech de l’expérience chinoise dans le domaine des parcs industriels », a-t-il fait savoir, rappelant que le projet de Cité Mohammed VI Tanger Tech prévoit la création d’une ville industrielle futuriste, « intégrée, durable et intelligente ».

« Aujourd’hui, grâce au modèle de partenariat Public-Privé, national et international, que nous prônons, nous nous acheminons vers un concept unique de Cité industrielle qui valorisera le Maroc et s’érigera, à terme, en modèle pour l’ensemble du Continent Africain », a-t-il dit.

Cette vision africaine, qui s’aligne parfaitement sur les directives Royales, se déclinera au niveau de toutes les composantes du Projet, notamment au niveau du développement industriel, des marchés à l’export, de l’emploi et de la formation, en bâtissant l’Université « Panafrica » qui accueillera des étudiants méritants de toute l’Afrique et qui permettra d’établir, à partir du Maroc, les ponts du savoir avec les plus prestigieuses universités d’Amérique, d’Europe et d’Asie, a-t-il fait noter.

En lançant ce projet, porté par la dynamique insufflée par la visite d’Etat de Sa Majesté le Roi Mohammed VI en République Populaire de Chine en mai 2016, le Royaume du Maroc a engagé ses forces vives, à la fois dans le secteur public et privé, dans un programme d’impulsion économique inédit, aux multiples dimensions et d’une portée extraordinaire sur les 10 à 15 prochaines années, a-t-il ajouté.

Le projet de Cite Mohammed VI Tanger Tech a été lancé le 20 mars 2017 à Tanger sous la présidence de SM le Roi devant un parterre de ministres, de conseillers du Souverain, de l’Ambassadeur de Chine au Maroc et de représentants des autorités publiques et privées.

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Une école maternelle marocaine célèbre l’Afrique

« La Prairie célèbre l’Afrique » est un événement annuel initié par l’école maternelle La Prairie.  Cet établissement envoie un signal fort dans le pays. Elle rappelle que le continent africain, comme espace culturel dans lequel évolue le Maroc et sur lequel il mise pour son développement, doit être bien intégré dans la pensée des Marocain dès le plus jeune âge. Les organisateurs de l’évènement l’ont bien compris et se fixent comme objectif principal la sensibiliser des élèves de la TPS à la 6èmesur les valeurs d’unités et de solidarité. Dans cet esprit, tout au long de l’année scolaire, les élèves de la Maternelle jusqu’au Primaire bénéficient d’un savoir diversifié via l’élaboration de travaux pédagogiques et artistiques en classe, autour d’un pays africain de leur choix. Leurs réalisations sont présentées à la fin de l’année scolaire, à travers le Salon des Projets, au public pour lui ouvrir les yeux sur les richesses humaines et matérielles du continent africain.

« En plus des séances de réflexion approfondies sur sa richesse culturelle, démographique et politique, ce projet vise à préparer les élèves pour mieux appréhender la réalité de ce continent, marqué par des progrès mais qui où des défis majeurs restent encore à relever », expliquent les initiateurs de cette action inédite.

« Notre école se doit d’outiller ses élèves pour mieux cerner l’actualité nationale imprégnée d’un environnement régional où le Maroc est un acteur majeur de développement économique», ajoute le directeur général de l’école La Prairie Hicham Lahlou.

Carte de visite

L’école La Prairie est une école maternelle et primaire au cœur du CIL (à Casablanca) fondée en 1982 par Rafia Amrani Lahlou. L’enseignement y est trilingue, avec des élèves acteurs de leurs apprentissages. C’est la première école à avoir pris le pari, dès 2007, du numérique en équipant toutes ses classes de Tableaux Interactifs. L’école mise sur l’innovation pédagogique constante pour l’épanouissement et l’ouverture sur le Monde des citoyens de demain.

L’école mène chaque année des projets d’envergure unique en leur genre. En 2016, un salon des Auteurs a rassemblé pour la première fois à Casablanca, 10 auteurs/illustrateurs français et marocains sur des activités en classe et a vu la participation aux performances nocturnes de plus de 1500 personnes sur la semaine.

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Engrais: Les dernières innovations présentées à Rabat

Le Maroc abrite du 28-26 juin 2018, les travaux de la 31ème conférence technique de l’Association arabe des engrais (AFA), un événement organisé avec le soutien du Groupe OCP, leader mondial des phosphates et dérivés.
Cette conférence, qui se tient sur trois jours et qui connaît quelques 300 participants, constitue le rendez-vous incontournable des professionnels du secteur des engrais, représentants d’associations professionnels au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Les débats et rencontres d’experts de haut niveau au programme traitent des derniers innovations industriels, technologiques, commerciales ainsi que les best practices de par le monde. La 31ème conférence technique de l’AFA connait également la participation de pays tels que la Chine, le Danemark, la Belgique, la France, l’Allemagne, l’Inde, le Canada, les États-Unis, l’Italie, les Pays-Bas, la Suisse et le Royaume-Uni.
Le programme de la conférence s’articule autour de deux axes principaux. Le premier est consacré à la mise en exergue des expériences d’une quinzaine de grands opérateurs de l’industrie des engrais, avec un focus sur le volet technologique, parmi eux, Groupe OCP, CASALE, Stamicarbon, Linde, KPI, Jacobs Engineering, Thyssenkrupp, notamment. Ces interventions adressent des thématiques ayant une relation étroite avec les dernières avancées technologiques des industries des engrais azotés et phosphatés, les engrais NPK ou dites composites, efficacité énergétique, les intrants innovants et les moyens d’optimisation environnementale.
Le deuxième axe focalise sur les producteurs arabes avec la présentation de résultats d’études scientifiques récentes qui mettent en lumière l’excellent niveau de l’industrie arabe des engrais. A ce titre, OCP présente sa stratégie de réduction des coûts de production et de réduction d’impact environnemental. L’expérience égyptienne traite pour sa part l’adéquation des aspects techniques et économiques dans la production de l’acide phosphorique.
Mohammed Abdullah Zein, secrétaire général de l’AFA, précise que la conférence est une occasion pour aborder les nouveautés de l’industrie des engrais dans le monde arabe et les différentes voies d’amélioration, vu l’importance des engrais et leur contribution dans l’augmentation du rendement des cultures et leur impact positif sur la sécurité alimentaire. Et d’ajouter qu’un intérêt particulier est accordé aux différents aspects de développement durable, tout en maintenant la compétitivité des acteurs industriels.
En marge de la conférence se tiendra une exposition réservée à l’art industriel, à laquelle de nombreuses entreprises internationales et arabes prennent part. La conférence se clôture par une visite à Jorf Lasfar, la plus grande plateforme intégrée de production d’engrais phosphatés au monde.

Carte de visite de l’AFA

L’Arab Fertilizer Association (AFA) est une organisation internationale non gouvernementale arabe créée en 1975. L’AFA opère sous l’égide du Conseil de l’unité économique arabe et exerce le statut d’observateur auprès du Conseil économique et social de la Ligue arabe. L’AFA réuni des institutions et des entreprises arabes travaillant dans les domaines de la production et du commerce des engrais, en plus d’autres domaines connexes. La structure comprend en outre 177 membres d’entreprises arabes et étrangères de vingt-neuf pays AFA. Cette organisation vise, en général, à coordonner et à développer les relations techniques entre les parties membres, ainsi qu’à résoudre les problématiques liées à l’industrie des engrais. L’AFA représente un cadre à travers lequel les entreprises arabes travaillent et apprennent échangent autour des derniers développements technologiques dans l’industrie des engrais. L’organisation offre en outre aux représentants des entreprises arabes affiliées la possibilité de renforcer leurs relations avec les institutions internationales, les organisations et les entreprises travaillant dans le domaine de l’industrie, du commerce et de l’utilisation des engrais.

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La Région Fès-Meknès veut séduire les investisseurs

Les travaux de la deuxième édition du Forum économique Fès-Meknès (27-30 juin) se sont ouverts, ce mercredi 27 juin 2018 à Fès, sous le thème ‘’modèles de développement innovants dans des mondes en mutation’’.

Cette manifestation, initiée par la Chambre de commerce, d’industrie et de services Fès-Meknès (CCIS-FM) et la Fondation du Forum, aspire à ouvrir des horizons de partenariat, de coopération, d’échanges d’expériences et d’opportunités d’affaires entre les acteurs économiques, les institutions locales, régionales, nationales et leurs homologues étrangers, en vue d’encourager les investissements productifs.

S’exprimant lors de l’ouverture de cette rencontre, le président de la CCIS-FM, Badr Tahiri, a mis en valeur les potentialités diversifiées et complémentaires dont regorge la région relevant que le Forum est ‘’désormais un momentum pour stimuler l’économie de notre région et un élan pour la projeter à l’international’’.

Mettant en valeur la place géographique de la Région Fès-Meknès et sa charge historique dans le Royaume, Tahiri a fait savoir que l’entreprise portée par une nouvelle génération d’entrepreneurs est appelée à être le moteur du modèle de développement à construire. Il a dans ce sens émis l’espoir de voir cette édition du forum contribuer à faire élaborer des propositions pour l’amélioration du climat des affaires et de l’attractivité territoriale et la mise en place des jalons d’un futur meilleur pour l’éclosion d’initiatives de jeunes générations pour anticiper les mutations induites par les nouveaux mondes du numérique et du digital.

De son côté, le président du Conseil de la région, Mohand Laenser, a estimé que la tenue de cette 2ème édition du Forum représente un ‘’défi’’, notant que la région Fès-Meknès est ‘’très attractive du fait de ses nombreuses potentialités économiques, agricoles et culturelles’’.

La Région, en tant que cœur du Maroc, représente la richesse et la diversité du Maroc, a-t-il poursuivi, tout en appelant à l’implication des opérateurs et investisseurs marocains et étrangers pour relever les défis de développement et consolider la compétitivité de la région.

Laenser a exhorté également les participants à ce forum à faire connaitre Fès-Meknès en tant que région dynamique, riche par ses traditions et par son histoire.

Le président du conseil de la ville de Fès, Idriss Azami El Idrissi, a souligné, quant à lui, que cette manifestation tend à contribuer au développement socio-économique de la région Fès-Meknès, précisant que la Région vit actuellement une dynamique économique, particulièrement dans les domaines de l’artisanat et du tourisme.

Toutes les provinces, les préfectures et les communes relevant de la région disposent de plans stratégiques de développement pour favoriser une vision claire pour les investisseurs, a-t-il indiqué, mettant dans ce cadre les nombreux atouts de la région à même de dynamiser et encourager les investissements, dont les ressources humaines qualifiées, les universités et les instituts de formation.

Idriss Azami a de même fait savoir que le Forum économique Fès-Meknès est une tribune pour les opérateurs en vue de mettre en valeur les atouts compétitifs et les opportunités économiques qu’offre la région.

Selon les organisateurs, le forum 2018 se tient après un appel royal à l’innovation collective pour multiplier les idées, les propositions et les projets à même de contribuer à l’élaboration d’un nouveau modèle de développement qui puisse répondre aux attentes citoyennes et aux aspirations des jeunes générations, notamment en matière d’emploi et de dignité.

Au programme, divers axes liés à ‘’la dynamisation du tourisme : approches prospectives et innovantes’’, ‘’stratégies et clés d’une dynamique de croissance de l’industrie agroalimentaire’’, ‘’développement durable et/ou digital : enjeux du 21-è siècle’’, ‘’migrations et interculturalité : mobilisation de nouveaux leviers d’investissement’’ et ‘’l’entreprise au cœur de l’intégration régionale’’.

En parallèle, cette édition abrite les 6-èmes rencontres des villes amies et jumelées avec Fès, dont la thématique retenue est ‘’le rôle des villes dans le développement’’. Elle est également marquée par la tenue de la rencontre ‘’We Afri Can’’, qui porte sur l’établissement d’un pont d’affaires entre l’Afrique et l’Asie.

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Mawazine: The Chainsmokers enchantés d’avoir découvert le public marocain

Pour la cinquième soirée de Mawazine à l’OLM Souissi, le public était encore une fois au rendez-vous  et est venu, nombreux, ovationner le duo de DJ le plus prometteur du moment The Chainsmokers.

« Le groupe multi-primé, avec notamment quatre Billboard Music Awards au compteur, a récemment atteint le chiffre record de plus de 5 milliards de vues cumulées sur YouTube », avait relevé un communiqué des organisateurs. Ces artistes ont enchanté le public qui le leur a bien rendu.  The Chainsmokers ont exprimé leur joie d’avoir joué, pour la première fois, sur une scène marocaine. Ils ont vite fait d’exprimer cette joie sur leur compte Instagram.

Par ailleurs, les festivaliers ont pu passer d’un duo de choc à l’une des plus belle voix du monde arabe, acclamant à l’espace Nahda le grand Wael Jassar, venu du Liban.

Sur cette scène orientale par excellence, le chanteur palestinien Ameer Dandan, qui est issu d’une famille d’artistes, a à son tour enchanté le public comme il avait su remarquablement le faire lors de son passage à la célèbre émission de jeunes talents « Arab Idol ».

Les musiques marocaines étaient également à l’honneur sur la scène marocaine de Salé avec la présence de Khadija Atlas, incarnation de la chanson amazighe, et de Mehdi Weld Hajib et Hajib, deux symboles de l’art de la Aïta au sein de la nouvelle génération.

Du côté du Bouregreg, « c’est Rilès, un rappeur français de 21 ans découvert grâce à Internet, qui a fait sensation. Dans un discours fort et émouvant, le chanteur a témoigné de son engagement solidaire et altruiste en annonçant au public qu’il remettait le cachet de sa prestation à une association marocaine », relève le communiqué.

Un élan de générosité qui a été largement salué et qui rappelle ce que de nombreux artistes ont déjà réalisé à Mawazine, à l’image de La Fouine en 2017, qui avait remis une partie de son cachet à la maison des enfants Lalla Hasnaa.

Au même moment, le Théâtre National Mohammed V a résonné aux sons du London Community Gospel Choir, un groupe connu pour son style « up-tempo gospel », swing-beat et R’n’B traditionnel, qui a livré un show époustouflant et plein d’émotion.

De cordes et de vibrations, il a encore été question au Chellah, où Sahana Banerjee, prodige du sitar, et Prabhu Edouard, un concertiste international spécialiste du tabla, ont accompagné la voix de Chiranjib Chakraborty, un grand maître du chant classique indien, au plus grand plaisir des mélomanes qui ont répondu présents.

Pour ce cinquième jour, Mawazine a aussi continué d’investir les rues de Rabat avec les spectacles de superbes troupes marocaines, Timing Boys, qui a réuni une dizaine de percussionnistes sur des rythmes effrénés de samba, hip hop, salsa, house et chaâbi, et Groupe Soleil, composé d’acrobates et d’échassiers formés à l’Ecole Nationale de Cirque Shems’y, conclut la même source.

La 17ème édition du festival Mawazine Rythmes du monde se poursuit à Rabat et Salé jusqu’au 30 courant, avec une programmation alléchante qui mêle les plus grandes stars du répertoire marocain, arabe, africain et mondial.

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Horst Köhler au Maroc dans le cadre de sa 2ème tournée régionale

L’Envoyé Personnel du Secrétaire Général des Nations Unies pour le Sahara marocain, Horst Köhler, effectue une visite au Maroc dans le cadre de sa 2ème tournée régionale, qui l’a menée en Algérie et en Mauritanie.

Lors de sa visite à Rabat, l’Envoyé Personnel aura des entretiens avec le chef du Gouvernement, Saad Eddine El Othmani et le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita.

La visite de Köhler au Maroc se poursuivra dans les Provinces du sud du Royaume, pour permettre à l’Envoyé personnel de constater de visu les efforts réalisés en matière de développement socio-économique dans la région.

Cette tournée régionale intervient après l’adoption de la résolution 2414 du 27 avril 2018, par laquelle le Conseil de Sécurité des Nations Unies a réaffirmé la prééminence de l’Initiative marocaine d’autonomie, préconisé que le réalisme et l’esprit de compromis sont essentiels pour progresser vers une solution politique, réaliste, pragmatique et durable au différend régional sur le Sahara marocain, en demandant expressément aux pays voisins, et donc à l’Algérie, « d’apporter une contribution importante au processus et de s’engager plus fortement pour progresser vers la solution politique ».

En effet, la résolution 2414 du Conseil de sécurité sur le Sahara marocain est venue apporter des éclaircissements portant sur trois points essentiels. Le premier se rapporte au statut historique et juridique à l’Est du dispositif de défense et aux agissements du Polisario. Concernant ce point, le Conseil de sécurité a confirmé le statut de la zone à l’Est du dispositif de défense à savoir une zone tampon relevant des Accords de cessez-le-feu, où ne saurait y avoir d’activités civiles ou militaires.

Le deuxième point définit la finalité du processus politique à savoir « parvenir à une solution politique réaliste, réalisable et durable basée sur le compromis », des termes qui s’identifient à la solution politique préconisée par le Maroc, dans le cadre de l’Initiative marocaine d’autonomie.

Le troisième point identifie clairement les acteurs en demandant expressément aux pays voisins, et donc à l’Algérie, « d’apporter une contribution importante au processus et de s’engager plus fortement pour progresser vers la solution politique ».

La résolution du CS confirme, ainsi, le statut de l’Algérie en tant qu’acteur et partie prenante, qui doit s’impliquer de manière forte dans la recherche de la solution politique.

Côté humanitaire, la résolution du Conseil de sécurité réitère sa demande à l’Algérie d’honorer ses obligations internationales à l’égard des populations des camps de Tindouf, en lui demandant à nouveau que l’enregistrement des réfugiés dans les camps de réfugiés de Tindouf soit envisagé et en soulignant qu’il convient de déployer des efforts à cet égard.

Sur le plan de la stabilité régionale, le Conseil de sécurité situe le différend sur le Sahara marocain dans son contexte régional, en reconnaissant qu’une solution politique à ce différend permettra le renforcement de la coopération entre les pays du Maghreb et contribuera à la stabilité et à la sécurité de la région sahélienne.

A rappeler qu’à l’occasion de la réunion de Lisbonne en mars 2018 avec l’envoyé Personnel, la délégation marocaine a réaffirmé les fondamentaux de la position marocaine tels que rappelé dans le discours royal prononcé à l’occasion de la commémoration du 42ème anniversaire de la Marche Verte, le 6 novembre 2017 :

– Aucun règlement de l’affaire du Sahara n’est possible en dehors de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, et en dehors de l’Initiative d’autonomie, dont la communauté internationale a reconnu le sérieux et la crédibilité.

– Les expériences passées devraient permettre de méditer sur une évidence: le problème n’est pas tant de trouver une solution à cette affaire, mais plutôt d’arriver à définir le processus à suivre pour y parvenir. Il appartient, donc, aux parties à l’origine de ce conflit monté de toutes pièces, d’assumer pleinement leur responsabilité dans la recherche d’un règlement définitif;

– Le plein respect des principes et fondamentaux retenus par le Conseil de Sécurité pour le traitement de ce conflit régional artificiel; l’organe onusien étant, de fait, la seule instance internationale chargée de superviser le processus de règlement;

– Le refus catégorique de tout dépassement, de toute tentative de porter atteinte aux droits légitimes du Maroc et à ses intérêts supérieurs, de toute proposition obsolète visant à écarter le plan de règlement des paramètres référentiels retenus, de l’insertion abusive d’autres sujets, lesquels sont traités par des institutions compétentes.

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La DGSN déconstruit une nouvelle « Fake News »

La préfecture de police d’Agadir assure que la vidéo publiée sur Facebook montrant quatre individus en train d’agresser physiquement un jeune à l’arme blanche, n’illustre nullement les activités d’un réseau criminel, indique la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué.

En vue d’éclairer l’opinion publique, les services de la sûreté nationale tiennent à souligner que ladite vidéo témoigne d’une agression physique commise le 17 juin courant dans la localité de Dcheira El Jihadia, relevant du district d’Inezgane, par quatre individus suite à un différend personnel avec la victime, et ne s’agit nullement d’une affaire de vol ou d’atteinte aux biens d’autrui, note le communiqué.

La préfecture de police d’Agadir souligne que les services de sûreté ont arrêté trois suspects pour leur implication présumée dans cette agression, deux repris de justice et un mineur de 17 ans, ajoute la même source, notant qu’ils ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent.

Les mis en cause seront déférés devant la justice le 19 janvier courant pour coups et blessures à l’aide de l’arme blanche ayant entrainé une incapacité physique de plus de 21 jours.

En apportant ces précisions, la préfecture de police d’Agadir réfute de manière catégorique les commentaires qui laissent entendre que la vidéo en question témoigne de l’activité d’un réseau criminel s’activant dans domaine du vol avec violence, selon le communiqué.

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Vidéo-Emmanuel Faber, PDG de Danone: Un nouveau modèle pour sortir du boycott par le haut

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Evénements d’Al Hoceima: Des peines allant de 20 ans de prison ferme à un an de prison avec sursis à l’encontre des accusés

Des peines allant de 20 ans de prison ferme à un an de prison avec sursis ont été prononcées, mardi par la Chambre criminelle de la Cour d’Appel de Casablanca à l’encontre des accusés dans les événements d’Al Hoceima.
Ainsi, un accusé a écopé d’un an de prison avec sursis, alors que 12 mis en cause ont été condamnés à 2 ans de prison ferme et sept autres à 3 ans de prison ferme.
Sept personnes impliquées dans ces événements ont écopé de 5 ans de prison ferme, tandis que six autres ont été condamnées chacune à 10 ans de réclusion.
La juridiction a également prononcé une peine de 15 ans de prison ferme a l’encontre de 3 accusés et a condamné 4 autres à une peine de 20 ans de prison ferme chacune.
Les mis en cause sont poursuivis, chacun en ce qui le concerne, de plusieurs chefs d’inculpation, notamment, ”atteinte à la sécurité intérieure de l’État”, ”tentatives de sabotage, de meurtre et de pillage”, ”réception de fonds, de donations et d’autres moyens matériels destinés à mener et à financer une activité de propagande à même d’attenter à l’unité et la souveraineté du Royaume”.
Ils sont, également, accusés ”d’ébranler la loyauté des citoyens envers l’État marocain et les institutions nationales”, ”la participation à l’organisation d’une manifestation non autorisée” et ”la tenue de rassemblements publics sans autorisation”.

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Le Maroc et l’Espagne renforcent leur coopération policière

Un séminaire de haut niveau sur la coopération policière entre le Maroc et l’Espagne a été organisé lundi et mardi (25 et 26 juin 2018) à Madrid avec la participation de hauts responsables sécuritaires, de diplomates et d’experts des deux pays.

“La coopération en matière de lutte contre l’immigration clandestine et le crime organisé”, “évaluation du projet de la lutte contre la fraude documentaire”, “perspectives futures de la coopération sécuritaire hispano-marocaine” et “lignes générales de la coopération hispano-marocaine”, sont les principaux thèmes abordés lors de ce séminaire.

S’exprimant lors de cette rencontre, l’ambassadeur du Royaume d’Espagne à Rabat, Ricardo Diez-Hochleitner, a souligné que “ce séminaire est le meilleur exemple de l’excellente coopération liant l’Espagne et le Maroc” et qui est le résultat du travail d’hommes et de femmes qui œuvrent au quotidien afin que cette relation soit un modèle à suivre.

Cette coopération “exemplaire”, a poursuivi Diez-Hochleitner, est le produit des efforts des deux pays voisins et amis qui se respectent, qui ont une confiance mutuelle et travaillent chaque jour pour consolider leurs relations, convaincus du fait que l’unique manière de faire face aux défis du monde actuel est de travailler la main dans la main.

Le diplomate espagnol a plaidé pour la poursuite du renforcement de la coopération bilatérale sous le signe de la complémentarité.

Il a fait observer que les résultats positifs obtenus en matière de coopération sécuritaire et de gestion des flux migratoires sont non seulement une preuve de ce que l’Espagne et le Maroc sont capables de faire ensemble, mais illustrent aussi l’approche adoptée par les deux pays dans leurs relations bilatérales de manière générale : un partenariat stratégique touchant l’ensemble des domaines vitaux pour les deux pays.

Diez-Hochleitner a mis en exergue la grande expérience cumulée par le Maroc en matière de gestion de la question migratoire sous le leadership du Roi Mohammed VI, “leader de l’Union Africaine (UA) sur la question de la Migration”, rappelant dans ce contexte la tenue, en décembre prochain à Marrakech, de la 11ème édition du Forum mondial de la Migration et du Développement.

José Luis Pardo, ambassadeur espagnol en mission spéciale pour la migration, a relevé que le Maroc est un “partenaire essentiel et stratégique” pour l’Espagne et pour l’Union européenne non seulement dans les questions sécuritaires, mais dans l’ensemble des domaines.

La vitalité du Maroc, sa stabilité, sa croissance économique et son dynamisme dans l’ensemble des secteurs d’activité font du Royaume un partenaire essentiel de l’Espagne et de l’UE, a-t-il insisté.

Il a relevé que la coopération entre les deux pays dans le domaine migratoire a un aspect global basé sur les principes de respect, de confiance et de la franchise, notant que les enjeux futurs en la matière font de la question de la migration un défi structurel pour les deux pays.

Pardo a souligné que le Maroc et l’Espagne partagent la même approche sur la question de la migration, en considérant qu’il s’agit d’un “phénomène positif” qu’il faut gérer de manière coordonnée.

La directrice générale en charge des relations internationales et des étrangers au ministère espagnol de l’Intérieur, Elena Garzon Otamendi, a pour sa part indiqué que les deux pays ont des intérêts partagés et des défis communs, dont le terrorisme, le crime organisé, ainsi que le trafic de drogue et d’êtres humains.

Ces défis communs doivent être relevés à travers des actions globales, a-t-elle ajouté.

Otamendi a relevé que la coopération maroco-espagnole dans les différentes questions liées au domaine sécuritaire, qui se fait sur de “bonnes bases” à travers une série de mécanismes, a donné des résultats positifs qui incitent à aller de l’avant sur cette voie, plaidant pour le renforcement de cette coopération dans l’intérêt des deux pays.

Ce séminaire a connu la participation de l’ambassade du Maroc en Espagne.

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Tuesday, June 26, 2018

Le Roi Mohammed VI: « Al-Qods est l’affaire de deux peuples et de deux Etats »

Le Roi Mohammed VI a adressé un message aux participants à la 5ème Conférence internationale sur Al-Qods organisée à l’initiative du Comité onusien pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien sous le thème « la question d’Al Qods après 50 ans d’occupation et 25 ans après les accords d’Oslo », et qui a ouvert ses travaux ce mardi 26 juin 2018 à Rabat.

Dans le message royal dont lecture a été donnée par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,  Nasser Bourita, le Souverain a tenu à renouveler son attachement à la Cause palestinienne, « marqué par un soutien constant, un appui sans réserve et une solidarité indéfectible ». Soutien qui est, souligne le Roi Mohammed VI, « l’expression d’un engagement que le Maroc maintiendra de manière irréversible, jusqu’à ce que le peuple palestinien recouvre la plénitude de ses droits inaliénables; droits dont la légitimité est attestée par la force du droit international, les faits sur le terrain et l’Histoire ».

Revenant à la 5ème Conférence internationale sur Al-Qods, le Souverain a affirmé que  session diffère très sensiblement des précédentes dans la mesure où elle se tient dans le sillage de graves développements. Il s’agit en l’occurrence de la décision des Etats-Unis d’Amérique de reconnaître Al-Qods comme capitale d’Israël, du transfert de leur ambassade vers la Ville Sainte et de son inauguration officielle le 14 mai 2018. « Le Maroc a d’emblée considéré cette démarche comme inacceptable et contraire au droit international ainsi qu’aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’ONU », a déclaré le Roi Mohammed VI. Et d’ajouter: « Anticipant l’annonce de cette décision, en qualité de Président du Comité Al-Qods, Nous avons pris l’initiative d’envoyer deux lettres, respectivement à Son Excellence le Président américain, Monsieur Donald Trump et à Son Excellence le Secrétaire général des Nations Unies, Monsieur Antonio Guterres. Nous avons notamment souligné que toute atteinte au statut juridique, politique et historique d’Al-Qods aurait des conséquences graves sur la paix dans la région, en ce sens qu’elle saperait les efforts internationaux pour créer un climat propice à la reprise des négociations de paix et permettre in fine de parvenir à un règlement juste et global du conflit israélo-palestinien ».

Le Souverain a également rappelé qu’il a assuré le Président Mahmoud Abbas, de son refus de la démarche américaine. « Et Nous lui avons réitéré la pleine et entière solidarité du Maroc ainsi que son engagement fort à tout mettre en œuvre pour mobiliser la communauté internationale dans le but de faire prévaloir les droits légitimes du peuple palestinien qui aspire à instaurer son Etat indépendant, avec Al-Qods orientale, comme capitale », at-t-il poursuivi.

Le Roi Mohammed VI a r »affirmé que la décision américaine constitue une transgression de la légalité internationale et une atteinte aux termes de ce référentiel. « De ce fait, a-t-il insisté, elle met à mal l’autorité et la respectabilité de la communauté internationale et menace la sécurité et la stabilité dans la région et au-delà ».

Le Conflit israélo-palestinien sous la loupe du du Roi Mohammed VI

Dans message, le Souverain a présenté son analyse de la situation :

« Parti de faux postulats, le conflit israélo-palestinien s’est constamment nourri d’idées erronées et de concepts mystificateurs et il s’est enfermé en définitive dans des visions étriquées, qui l’ont rendu, in fine, difficile et complexe. Néanmoins, il reste encore une chance d’aborder cette question, non plus comme une fatalité ou un fait accompli dont il faut s’accommoder, mais comme un contentieux auquel il est possible de mettre fin.

En fait, ce conflit est susceptible d’être résolu, à la condition qu’on en finisse avec les illusions et la nostalgie du passé pour s’orienter positivement vers l’avenir avec réalisme. Pour ce faire, il est nécessaire d’envisager une approche rationnelle de l’Histoire qui en épousera la dynamique vertueuse; une dynamique qui rompt avec une posture rétrograde générant une négativité destructrice; une dynamique qui entraîne vers l’avant, en quête de lendemains meilleurs.

Ce conflit, qui n’a que trop duré, suscite une grande consternation et beaucoup de regrets, en raison des innombrables victimes innocentes qu’il fait et des générations successives qu’il prive d’opportunités de développement, de liberté et de sécurité; mais aussi du fait qu’il alimente sans cesse davantage de clivages et de divisions au sein de la communauté internationale.

Pire encore: plus on se montre inapte ou peu disposé à régler le conflit, plus complexe, plus ardue est la tâche; et plus dramatiques sont les conséquences pour la région et pour le reste du monde.

La chronicité de ce conflit et son enlisement, depuis 2014, dans l’immobilisme politique, ne doivent pas devenir un prétexte au désinvestissement et à la démotivation, ou un alibi pour afficher des attitudes négatives et adopter des décisions iniques, propres à accentuer le sentiment d’injustice et de frustration chez les Palestiniens, à les jeter en pâture à l’extrémisme et au désespoir. »

Recommandations royales

« Au vu de la situation, désormais, il appartient impérativement à la communauté internationale de faire preuve de célérité dans la mutualisation des efforts visant à remettre ce dossier sur la table des négociations dans l’espoir de parvenir à une solution concertée, équitable et sûre. Cette action doit être menée dans le cadre d’un processus rigoureusement défini, se fondant sur une vision réaliste et un échéancier clair, s’appuyant sur les référentiels existants, et garantissant que les deux parties y adhèrent de façon sérieuse, volontariste et responsable.

Par ailleurs, les grandes puissances internationales, au premier rang desquelles les Etats-Unis d’Amérique, et les puissances régionales influentes, se doivent, chacune selon sa position, de jouer le rôle qui leur incombe en la matière, dans un esprit de responsabilité et d’équité.

Le Souverain a rappelé les positions du Maroc. « Le Royaume du Maroc a exprimé sur-le-champ sa condamnation et son refus de ce comportement israélien, dangereux et contraire au droit international, ainsi que sa profonde tristesse face à ces événements dramatiques qui accroissent encore davantage la souffrance des enfants du peuple palestinien frère.

Ayant à cœur d’alléger ces souffrances et de manifester Notre solidarité effective envers nos frères palestiniens, Nous avons personnellement supervisé le lancement d’une initiative humanitaire à leur intention, pendant le mois sacré de Ramadan. Initialement destinée à la Bande de Gaza, elle a été étendue à Al-Qods Al-Charif et à Ramallah.

Nous avons également veillé au déploiement, dans la Bande de Gaza, d’un hôpital de campagne relevant des Forces Armées Royales marocaines et offrant de multiples spécialités, notamment en pédiatrie, en orthopédie, en gastro-entérologie, en ophtalmologie et en oto-rhino-laryngologie. »

Appel royal à l’action

« Nombreux sont les colloques et les conférences dédiés à Al-Qods. Ces initiatives louables sont bien évidemment les bienvenues dans la mesure où elles se fondent sur de bonnes prémisses, procèdent d’intentions sincères, et qu’elles servent la Cause palestinienne, grâce au potentiel qu’elles sont susceptibles d’apporter en termes de solidarité, de sensibilisation, de soutien effectif et de recommandations réalistes et constructives.

Cependant, Nous gardons en vue l’impératif de déployer plus d’efforts diplomatiques pour faire adopter des décisions internationales contraignantes en faveur d’Al-Qods; des décisions propres à protéger la ville sainte et à préserver son cachet spirituel et culturel et son statut juridique. Nous ne perdons pas non plus de vue la nécessité d’agir sur le terrain, en matière de développement et dans les domaines social et humanitaire, afin d’aider le peuple palestinien à lutter contre les politiques d’expulsion, d’éloignement et de déplacement exercées à son encontre.

Telle est l’approche que Nous suivons en tant que Président du Comité Al Qods, en veillant notamment à nouer des contacts réguliers et intenses avec les dirigeants des pays influents, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies et le président palestinien Mahmoud Abbas. Nous orientons aussi l’Agence Bayt Mal Al-Qods Al-Charif pour mener, sous Notre supervision, une action continue sur le terrain. Ainsi, dans la Ville Sainte, ont été réalisés de nombreux projets économiques et sociaux couvrant des domaines aussi importants que le logement, l’éducation, la santé, les affaires sociales, la protection de la femme, de l’enfance, de la jeunesse et des catégories en situation difficile ».

Et le Roi Mohammed VI de conclure:  « Al-Qods doit faire l’objet d’un règlement politique réaliste et équitable, s’appuyant sur les référentiels internationaux existants et débouchant, par le biais de négociations directes entre les deux parties au conflit, sur la définition d’un statut final. A cet égard, c’est la responsabilité de la communauté internationale tout entière d’agir impérativement pour parvenir au règlement escompté. Pour cela, elle devra redonner vie au processus de paix, en assurer la supervision et accompagner les deux parties impliquées ». Et d’ajouter:  « La question d’Al-Qods n’est pas l’affaire d’une religion, d’un peuple ou d’un pays, à l’exclusion des autres. C’est l’affaire de deux peuples et de deux Etats. Son règlement nécessite une volonté politique réelle et un effort collectif concerté; il requiert un parrainage international, qui s’appuie sur les atouts de l’expérience, de l’autorité, du pouvoir d’influence et qui répond au critère de neutralité ».

Pour le Roi Mohammed VI, il importe de mobiliser toutes les bonnes volontés dans un cadre fédérateur qui les unifiera et les insérera dans un mécanisme collectif équilibré. « Ce dispositif a ainsi pour vocation d’aider les deux parties au conflit à observer les règles du droit international et à respecter la légalité internationale, les accords et les arrangements bilatéraux. Il doit également les inciter à se garder de toute solution anticipée sur les questions de statut final, avec, au premier chef, celles d’Al-Qods, des réfugiés et des frontières, les engageant à les régler dans le cadre des négociations sur le statut final ».

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via Abdo El Rhazi Le Roi Mohammed VI: « Al-Qods est l’affaire de deux peuples et de deux Etats »