Thursday, February 28, 2019

Vidéo-RDC : Ce qu’a dit l’Envoyé spécial américain au nouveau Président

John Peter Pham, en sa qualité d’Envoyé spécial des Etats-Unis dans la région des Grands-Lacs, a été reçu, vendredi 22 février 2019, à la Cité de l’Union africaine par le nouveau Président de la RDC, Antoine Tshisekedi Tshilombo.

A l’issue de cette rencontre, Peter Pham a affirmé être venu féliciter le Président congolais pour son élection, mais aussi pour lui faire part du « fort engagement et appui américain pour le changement voulu par le peuple congolais ». L’Envoyé spécial américain a loué l’engagement du président fraîchement élu pour la lutte contre la corruption et la reconstruction du pays. « Nous cherchons la paix et la stabilité. Aussi, nous cherchons les opportunités communes afin d’améliorer les rapports économiques, commerciaux et de prospérité, en faveur des peules congolais et américains. », a conclu Peter Pham.

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Le Souverain a présidé une séance de travail dédiée à la mise à niveau de la formation professionnelle

Le Roi Mohammed VI a présidé ce jeudi 28 février 2019, séance de travail consacrée au programme de mise à niveau de l’offre de Formation professionnelle et de rénovation des filières et des méthodes pédagogiques au Palais Royal de Rabat.

Cette séance de travail fait suite aux deux réunions précédentes consacrées au secteur de la formation professionnelle rappelle un communiqué du Cabinet Royal. Le Souverain a appelé lors de cette séance de travail, à adopter une démarche réaliste qui servira de manière rigoureuse les priorités en fonction des besoins de l’économie nationale et du marché du travail, des attentes sociales et des aspirations des Marocains.

Le communiqué indique par ailleurs que ce programme de mise à niveau, en cours de finalisation fera l’objet d’une présentation lors d’une prochaine et dernière réunion de la commission.

Cette séance de travail s’est déroulée en présence de Saad Dine El Otmani, Chef du gouvernement, Omar Azzimane, Conseiller du Roi, président du Conseil supérieur de l’Education, de la Formation et de la Recherche scientifique, Fouad Ali El Himma, Conseiller du Souverain, Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Saaïd Amzazi, ministre de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie numérique, Abdelkader Amara, ministre de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, Anas Doukkali, ministre de la Santé, Mohamed Sajid, ministre du Tourisme, du Transport aérien, de l’Artisanat et de l’Economie socialeMohamed Yatim, ministre du Travail et de l’Insertion professionnelle, et Loubna Tricha, directrice générale de l’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) ».

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Etude – 60 % des américains ne sont pas de bons citoyens

Une majorité de citoyens américains, soit six sur dix parmi eux, échoueraient au test de citoyenneté, révèle une étude réalisée par le Woodrow Wilson National Fellowship Foundation, qui a sondé un échantillon de 41.000 Américains.

Les personnes sondées ont été interrogées sur leurs connaissances relatives à l’histoire des Etats Unis et sur le système gouvernemental fédéral, rapporte jeudi le Chicago Tribune, précisant que dans l’Etat de l’Illinois par exemple, où est basé cette publication, le taux d’échec dans ce test s’élève à hauteur de 50%.

Pour le journal, l’échec d’une majorité d’Américains à réussir ce test reflète la complexité du système gouvernemental et le manque d’efficience de l’éducation civique.

Les experts estiment que tandis que ceux qui réussissent le test pourraient être mieux informés sur les rouages du gouvernement américain, il n’en reste pas moins que les informations qu’ils avaient glanées pour passer le test de citoyenneté sont de nature rudimentaires, disponibles sur le moteur de recherche Google.

Le défi, font-ils observer, consiste à appliquer ses informations au monde réel, expliquant que si les personnes nouvellement naturalisées tout comme ceux qui vivent aux Etats Unis depuis des décennies ne suivent pas régulièrement la vie politique avec ses vicissitudes changeantes, leur culture politique restera basique.

« Il est bien évidemment important de savoir comment un projet de loi devient une loi à part entière, mais ce que les gens ne comprennent pas c’est la complexité derrière ce processus, comme par exemple la nécessité d’avoir 60 voix au sénat, qui en compte sent, pour adopter les lois, ou encore la relation qui existe entre les groupes d’intérêt et le vote au congrès », souligne Edwin Lipowski, expert en études sociales, cité par le Chicago Tribune.

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Vidéo – Le WAC bat le MCO et poursuit sur sa lancée

Intraitable et inarrêtable, le Wydad de Casablanca est allé encore une fois s’imposer sur la pelouse du Mouloudia d’Oujda par 3 buts à 2, jeudi pour le compte de la 20ème journée de Botola Maroc Télécom D1 de football.

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Walid El Karti n’a attendu que quelques secondes pour déverrouiller la défense des Oujdis, pourtant vainqueurs de leurs trois dernières confrontations, avant que Zouheir El Moutaraji n’inscrive le deuxième but à la 24è minute du jeu. Les Rouge et Blanc vont tripler la mise par le biais du jeune arrière gauche Badr Gaddarine (74è). Entre-temps, les locaux vont réduire le score par Comara Cheikh Ibrahim (69è, CSC) et Abdelhadi Halhoul (86è).

Grâce à cette victoire, le WAC, qui compte désormais 45 points au compteur, creuse l’écart un peu plus avec son poursuivant le plus immédiat, le RCA à 17 longueurs d’avance et s’échappe avec 18 unités devant son adversaire du jour, ex-aequo avec l’AS FAR, la RSB, le HUSA et l’IRT.

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Benchaaboun confirme la tenue des Assemblées annuelles de la BID à Marrakech

Comme nous l’annoncions précédemment, les Assemblées annuelles de la Banque islamique de développement (BID) se tiendront du 3 au 6 avril 2019 à Marrakech, comme l’a confirmé jeudi 28 février 2019 à Rabat, le ministre de l’Économie et des Finances, Mohamed Benchaaboun.

S’exprimant lors d’une conférence de presse tenue en marge du 2è Forum de la BID sur le Partenariat public-privé (PPP), Benchaaboun a souligné que ces Assemblées, organisées sous le Haut patronage du Roi Mohammed VI, vont réunir quelque 2000 hauts responsables et participants du monde de la finance venant des 57 pays membres de la BID.

Ce grand événement offrira l’occasion de présenter les principaux projets réalisés au Maroc notamment en matière des énergies renouvelables et des infrastructures, a-t-il noté.

 

Lire aussi : Marrakech abritera la 44e réunion annuelle de la Banque Islamique de Développement

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Ed Sheeran n’est plus un cœur à prendre

La star de la pop britannique Ed Sheeran a épousé son amie d’enfance Cherry Seabron en toute discrétion peu avant Noël dans sa propriété du Suffolk (ouest de l’Angleterre), affirme jeudi le tabloïd The Sun, citant un proche.

« Ed s’est marié quelques jours avant Noël. C’était très calme, juste quelques vieux copains d’école, quelques membres de la famille et le prêtre », a déclaré ce proche de l’auteur-compositeur-interprète de 28 ans au Sun.

« Il n’y avait qu’une quarantaine de personnes, pas de Taylor Swift ni de responsables de maison de disque, de membres de la famille royale ou de pop star. Il ne voulait pas de tralala, il voulait quelque chose de vraiment pour eux, un petit mariage d’hiver », a ajouté ce proche.

Selon lui, le couple prévoit toutefois d’organiser une grande fête d’ici la fin de l’été, pour célébrer l’événement avec davantage de monde.

Ed Sheeran avait annoncé en janvier 2018 qu’il allait épouser son amie d’enfance Cherry Seabron.

« Je me suis fiancé juste avant la nouvelle année. Nous sommes très heureux et amoureux, et nos chats aussi sont choyés », avait annoncé le chanteur à ses 18 millions d’abonnés sur Instagram, publiant une photo où il embrassait sa fiancée.

Quelques mois plus tôt, la star planétaire avait affirmé: « C’est génial de rencontrer des gens célèbres mais c’est pas ça la vie, ce n’est pas la réalité, un jour ça va se terminer », au journal The Sunday Times, ajoutant: « Et je sais que Cherry est la seule personne qui sera toujours là ».

Ed et Cherry se connaissent depuis l’âge de 11 ans. Ils avaient démarré leur histoire qu’en 2015. Fin 2017, la superstar annonçait sur son compte instagram qu’ils avaient franchi le cap des fiançailles.

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PPP – BID : « Le Maroc est un leader mondial des Partenariats Public-Privé »

Le Maroc est un « leader mondial des Partenariats Public-Privé (PPP) et un modèle en la matière », a affirmé, jeudi 28 février 2019, à Rabat, le président de la Banque islamique de développement (BID), Bandar Hajjar, lors du 2ème Forum du PPP, organisé sous le thème « Des efforts communs pour des objectifs communs ».

« Le Maroc est un leader mondial des PPP, en particulier dans les secteurs des énergies renouvelables et des villes vertes », a souligné le président de la BID à l’ouverture de ce Forum placé sous le Haut patronage du Roi Mohammed VI, ajoutant que le Royaume, avec son bilan positif dans ce domaine, devrait être considéré par tous comme un « modèle et une référence afin de reproduire son expérience » dans les autres pays membres de la BID.

Le président de la BID a, en outre, indiqué que ce Forum constitue une occasion propice pour promouvoir le dialogue entre décideurs, entreprises et le secteur public sur les avantages et les solutions offerts par les PPP, assurant à cet égard que des PPP bien conçus conduisent généralement à des rendements socio-économiques plus élevés que le modèle traditionnel des marchés publics.

Pour sa part, le ministre de l’Économie et des finances, Mohamed Benchaâboun, a indiqué que le choix du Maroc pour accueillir cet important Forum est une consécration de l’expérience marocaine dans le domaine des PPP, à un moment où le Royaume mène une réflexion profonde sur un nouveau modèle de développement et sur les possibilités de renforcer la contribution du secteur privé aux projets d’infrastructures.

Le Maroc, selon le rapport 2016 de la CNUCED sur le développement économique en Afrique, est le deuxième pays du continent en ce qui concerne les PPP dans le domaine des infrastructures avec un financement global de 27,5 milliards de dollars, a rappelé Benchaâboun, notant que le partenariat entre les secteurs public et privé marocains ne date pas d’aujourd’hui mais remonte aux années 1900.

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FICAM : Michel Ocelot, César du meilleur film d’animation sera de la partie !

Michel Ocelot, père du célèbre Kirikou, est l’invité de la 18ème édition du FICAM® (Festival international du Cinéma d’Animation de Meknès) qui se tiendra du 22 au 27 mars 2019.

Festival organisé par la Fondation Aïcha en partenariat avec l’Institut français de Meknès. Michel Ocelot, fidèle ami du FICAM®, revient à Meknès pour présenter, en séance scolaire et grand public, Dilili à Paris 2019 qui a obtenu le César du meilleur long-métrage d’animation lors de la 44ème Cérémonie des Césars.

Avec émotion et fierté, l’équipe du FICAM® ont accueilli cette excellente nouvelle vendredi dernier d’autant que Pachamama et Astérix – le secret de la potion magique, les deux longs-métrages en lice pour cette prestigieuse récompense, seront également projetés à Meknès lors de cette 18ème édition.

Pour rappel, Michel Ocelot est un autodidacte qui consacre toute sa carrière au cinéma d’animation. Le grand public le découvre en 1998 grâce à Kirikou et la Sorcière, son premier long-métrage, succès public et critique. D’autres œuvres suivront : Princes et Princesses, Kirikou et les Bêtes Sauvages, Azur et Asmar, Les Contes de la Nuit, Kirikou et les Hommes et les Femmes.

Michel Ocelot fait partie des prestigieux professionnels mondiaux qui ont cru au FICAM® dès ses débuts. En effet, cette sommité mondiale était l’invité du FICAM en 2002 alors qu’il préparait à l’époque son chef d’œuvre Azur et Asmar, s’inspirant ainsi de la médina de Meknès et de ses belles portes.

Le FICAM® rend hommage à Michel en 2017. Edition pendant laquelle il nous fait le privilège de partager avec le public marocain l’état d’avancement (Work In Progress) et de montrer, en exclusivité mondiale, les premières images de Dilili à Paris. Meknès est donc ravie de recevoir Michel Ocelot auréolé de son César pour lui témoigner sa reconnaissance pour son parcours exceptionnel.

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Algérie : Des journalistes arrêtés pour la couverture médiatique des marches contre le 5e mandat

Plusieurs journalistes algériens prenant part à un rassemblement dans le centre d’Alger pour dénoncer le blackout sur la couverture médiatique des marches contre le 5e mandat, observé par les médias publics, ont été arrêtés jeudi par la police.

Les manifestants se sont donnés rendez-vous à la « Place de la Liberté de la presse » pour dénoncer la «censure» et les restrictions de la couverture des manifestations qui se sont déroulées un peu partout en Algérie contre la candidature du président sortant Abdelaziz Bouteflika pour un 5è mandat. Une dizaine de journalistes ont été alors interpellés et enfermés dans des fourgons de police sous les regards de leurs confrères qui scandaient des slogans contre la répression et la censure de la profession : « Non à la censure! », « 4e pouvoir, pas une presse aux ordres », « Libérez nos collègues ».

Plusieurs journalistes des médias publics algériens ont protesté contre le blackout imposé à la couverture médiatique des marches contre le 5e mandat. C’est le cas notamment des journalistes des radios publiques et ceux de la télévision algérienne publique (ENTV).

Dans des lettres adressées à leurs Directions générales, ces journalistes et techniciens, qui ont organisé des rassemblements au niveau de leurs sièges à Alger, ont exprimé leur refus d’être « l’outil utilisé pour dissimuler ou tronquer les informations ».

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Le Souverain s’entretient au téléphone avec le président du Nigeria fraichement réélu

Le Roi Mohammed VI, a eu ce jeudi 28 février 2019, un entretien téléphonique avec le président de la République Fédérale du Nigeria, Muhammadu Buhari, suite à sa réélection à la magistrature suprême de son pays.

A cette occasion, le Souverain a réitéré ses félicitations à Buhari après sa réélection à un nouveau mandat à la tête de ce pays frère.

L’entretien a été l’occasion de rappeler la volonté de renforcement du partenariat bilatéral autour des projets stratégiques conduits sous l’impulsion des deux chefs d’Etat.

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Budget de l’Etat : Les recettes en hausse grâce aux impôts, les dépenses flambent

Selon un bulletin de la Trésorerie Générale du Royaume (TGR), les recettes ordinaires pour janvier 2019 sont en hausse par rapport janvier 2018.

Dans le détail le bulletin fait ressortir que les recettes ordinaires se sont établies à 19,1 MMDH à fin janvier 2019 contre 16,7 MMDH en 2018, soit une hausse de 14,1 %.

La même source explique ce trend haussier par l’augmentation des impôts directs (+6,5%), des impôts indirects (+21,5%), des droits d’enregistrements et de timbre (+7,3%) et des recettes non fiscales (+79,2%), conjuguée à la baisse des droits de douane (-2,7%).

De l’autre coté du tableau, les dépenses ont également augmenté et ont progressé de 18,9 % pour s’établir à 31,2 MMDH à fin janvier 2019. Cette augmentation s’explique selon la TGR, par la hausse des dépenses de fonctionnement, qui ont évolué en une année de 16,6 % et des dépenses d’investissement évoluant de 25,8 %.

Enfin, le bulletin de la TGR indique que la situation des charges et ressources du Trésor a dégagé, en janvier 2019, un déficit budgétaire de 74 millions de dirhams (MDH).

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Vidéo – Zoom sur les nouveautés Nokia présentées au WMC2019

Entretien avec Marouane Cherif, Directeur général Afrique du Nord de HMD Global (Nokia), sur les nouveautés Nokia présentées à Barcelone et également sur le défi de la sécurité des smartphones…
Réalisé par Mohammed Zainabi

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Une visite, un frémissement

Ahmed Charaï

Par Ahmed Charaï

La visite du Prince Harry et de sa femme Megane au Maroc a eu un retentissement particulier. Le couple a établi toute sa gentillesse, son humanisme, sa curiosité des gens, des cultures. Le couple royal a charmé les Marocains.
Le couple a été reçu d’abord par le Prince héritier Moulay El Hassan, ensuite par le Roi Mohammed VI en présence de toute la famille royale, dans une ambiance très détendue, conviviale, qui prouve les liens entre deux dynasties chargées d’histoire. Les Marocains ont pu à cette occasion, grâce aux images diffusées, découvrir que leur Prince héritier est à la fois plein d’aisance, d’assurance, polyglotte, qu’il mûrit plus rapidement que son âge.
Mais croire que cette visite se limite à ces aspects protocolaires serait une erreur. Si on lui a donné un tel retentissement, c’est parce qu’elle intervient à un moment important. La monarchie britannique, bien que non exécutive, est au service de la diplomatie du pays, grâce au charisme de la couronne, c’est une constante pour tous les membres de la famille.
Or justement l’Afrique est à nouveau à l’ordre du jour à Londres depuis le Brexit. Theresa May a visité 3 pays africains alors même qu’elle est en difficulté sur le plan européen. Les Britanniques savent qu’ils sont obligés de rechercher de nouveaux partenariats et l’Afrique est explicitement visée. Dans cette démarche, la Grande-Bretagne a des atouts. D’abord le Commonwealth, puisque 19 pays africains font partie de cet ensemble.
Les partenariats existants sont déjà très importants avec les économies les plus importantes du continent noir. Ensuite, l’outil du financement du développement, le CDC Group, a une large avance sur ses concurrents, par sa fine connaissance des réalités du continent.
La Grande-Bretagne est aussi très présente sur le terrain de la sécurité. Londres apporte son aide à la lutte contre le terrorisme, par des contributions financières, un soutien en matière de renseignements et de formation.
Cette présence est appelée à se renforcer. Le Brexit ne fermera sans doute pas le marché européen aux Britanniques, parce que ce n’est dans l’intérêt d’aucune des parties. Mais Londres est obligée de rechercher des redéploiements vers l’Asie et l’Afrique, ce que le gouvernement conservateur s’applique à faire. L’Afrique est considérée comme la région du monde qui a le plus fort potentiel de croissance. Les Chinois, les Japonais, les puissances européennes, s’y intéressent fortement. La grande Bretagne, qui a l’avantage de l’histoire commune, ne peut rester en dehors de cette course.
C’est dans ce contexte qu’il faut placer la visite du couple Harry-Megane
au Maroc, au-delà des relations entre les deux cours. Par ses choix et sa politique de co-développement, le Maroc s’est installé comme un acteur important. Les relations entre les deux pays sont bonnes, mais sans plus. Nous sommes face à un frémissement en faveur d’un vrai renforcement du partenariat.

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HCP : Plus de 1,16 million d’actifs sont au chômage

L’effectif de la population active en chômage est passé de 1.216.000 personnes à 1.168.000 en 2018, selon le Haut-Commissariat au plan (HCP).

Avec cette baisse de 48.000 personnes (25.000 en milieu urbain et 23.000 en milieu rural), le taux de chômage a, ainsi, reculé de 10,2% à 9,8% au niveau national, à 14,2% en milieu urbain et à 3,5% en milieu rural, indique le HCP dans une note relative aux principales caractéristiques de la population active en chômage en 2018.

La population en chômage est en majorité composée de citadins (84,7%), d’hommes (64,9%) et des jeunes âgés de 15 à 29 ans (65,7%), relève la même source, ajoutant que le taux de chômage atteint 26% parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans et 43,2% chez les citadins de cette même tranche d’âge.

Le chômage affecte les femmes plus que les hommes, avec des prévalences respectives de 14% et 8,4%, souligne le HCP, précisant que ce constat est plus notable en milieu urbain où le taux de chômage s’élève à 24,3% parmi les femmes contre 11,4% chez les hommes.

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Wednesday, February 27, 2019

Vidéo-WMC2019 : Ce que va changer la 5G chez les opérateurs télécoms

Entretien au WMC2019 avec Mounir Ladki, président co-fondateur et DG exécutif technologies de MycomOSI. Cette entreprise fournit divers logiciels de gestion de la qualité de service et de l’automatisation des réseaux de télécommunications mobile, fixe et même satellitaires. Il est l’un des mieux placés pour présenter les défis que va imposer la 5G aux opérateurs télécoms.
Entretien réalisé par Mohammed Zainabi

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Vidéo – Reportage au cœur de la 3ème édition de la conférence internationale du sucre

Organisée du mardi au mercredi 27 février 2019, la 3ème édition de la conférence internationale du sucre s’est déroulée à Casablanca à l’Hotel Hyat Regency et avait pour thème «  »La région MENA, une puissance en émergence ».

En marge de cette conférence nous avons rencontré Mohammed Fikrat, PDG de la Cosumar et président de l’Association professionnelle sucrière qui a lis en avant les derniers chiffres réalisés par la filière sucrière ainsi que les bons résultats de la Cosumar.

Ahmed Ouayach, Président de la COMADER n’a pas manqué d’afficher sa satisfaction quant aux réalisations de cette filière qu’il qualifie de « filière pilote ».

Enfin, Abdelhak Kabbabi, directeur des ventes chez OCP, nous a parlé du partenariat entre la Cosumar et l’OCP. Partenariat qui impacte directement les agriculteurs mais également les terres et la culture de la betterave à sucre.

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Tuesday, February 26, 2019

WMC2019-2e jour en images : Robots et réalité virtuelle en vedettes (vidéo)

Au deuxième jour du World Mobile Congres, des professionnels viennent en grand nombre faire connaissance avec des humanoïdes. Avec des appareils de réalité virtuelle, ils sont les stars de cet immense Salon professionnel.Visite en images. Des explications, des interviews et des analyses suivront.

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Le Prince Moulay Rachid reçoit un émissaire mauritanien

Sur ordre du Roi Mohammed VI, le Prince Moulay Rachid a reçu ce mardi en sa résidence à Rabat, Sidi Mohamed Ould Maham. Emissaire du président mauritanien, ce dernier a remis au Prince un message du chef de l’Etat mauritanien adressé au Souverain.

Cette audience s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de Mauritanie à Rabat, Mohamed Lemine Ould Aboye.

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Saham Assurance voit son résultat net baissé de 8,5 %

La compagnie Saham Assurance a réalisé un résultat net de 402,9 millions de dirhams (MDH) en 2018 en baisse de 8,5% par rapport à l’exercice précédent, a annoncé l’assureur mardi.

Ce retrait reflète l’impact du contrôle fiscal et la baisse du résultat technique qui ressort à 576,7 MDH, en recul de 3,7%, en raison d’un environnement sectoriel marqué par une amplification de la sinistralité automobile, précise-t-on dans un communiqué publié sur le site de la Bourse de Casablanca.

La dynamique favorable sur l’ensemble des branches a conduit la compagnie à dégager en 2018 un chiffre d’affaires global de 5,22 milliards de dirhams (MMDH), en hausse de 7,8% par rapport à 2017.

Les fonds propres, quant à eux, s’élèvent à 4,16 MMDH en hausse de 5,7% à fin décembre 2018, fait savoir la même source.

L’activité Non-Vie poursuit sa croissance avec un chiffre d’affaires en hausse de 9,3%, s’établissant à 4,17 MMDH, souligne le communiqué, notant que la branche Vie qui a progressé de 2,1%, a permis de consolider l’activité bancassurance avec un chiffre d’affaires de 1,045 MMDH, après deux années de forte croissance.

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La BID organise un forum autour du partenariat Public-Privé

La Banque Islamique de Développement (BID) organise, jeudi 27 février 2019, à Rabat, le deuxième Forum sur les Partenariats Public-Privé (PPP) sous le thème « efforts conjugués pour des objectifs communs », indique le ministère de l’Economie dans un communiqué.

Ce Forum, organisé en collaboration avec le ministère de l’Economie et des finances, réunira un parterre d’experts de renommée internationale, de responsables gouvernementaux et d’investisseurs privés pour débattre des moyens d’améliorer l’environnement juridique et institutionnel des PPP, notamment sur le continent africain.

Les travaux de cette rencontre s’articuleront autour de plusieurs tables rondes portant sur diverses thématiques ayant trait au potentiel des PPP à façonner les villes futures, à la création d’un environnement propice aux PPP dans les infrastructures sociales (santé et éducation) et aux mécanismes innovants pour les PPP.

« Le forum sur les PPP est aujourd’hui plus important que jamais et nous avons hâte de promouvoir le dialogue sur les PPP afin de susciter des changements significatifs dans la réalisation des objectifs de développement durable », a indiqué le président de la BID, Bandar Hajjar, cité par le communiqué.

Et d’ajouter « avec le déficit de financement actuel des pays en développement, estimé à 2,5 milliards de dollars, les gouvernements ne peuvent à eux seuls résoudre les défis de développement mondial. Étant donné que le secteur privé est le plus grand moteur potentiel du développement à court et à long termes, l’objectif de la BID est de créer un avenir dans lequel les gouvernements établissent et appliquent des règles et réglementations permettant à tous les agents économiques du marché de jouer un rôle dans le développement ».

Le Maroc est l’un des principaux pays membres bénéficiaires de la BID pour les projets PPP. Un projet récent s’est vu attribuer un financement de 150 millions de dollars pour l’extension et la réhabilitation du projet du Port de Jorf Lasfar relevant de l’OCP.

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Analyse – L’Immobilier bat de l’aile

Baisse des transactions, stocks invendus, chantiers à l’arrêt… Le secteur de l’immobilier est en ralentissement persistant. La loi de finances 2019 n’apporte rien de nouveau ou presque.
Les quelques mesures instaurées pourraient, selon les professionnels, enfoncer encore plus le clou.

Par Mounia Kabiri Kettani

 

Le secteur immobilier est en crise et tous les indicateurs sont au rouge », lance d’emblée le vice-président de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI ) et président du groupe KLK. En chiffres, les ventes de ciment, principal indicateur du secteur, ont baissé de 3,7% en 2018 après un recul de 2,5% en 2017, d’après la Direction des études et prévisions financières relevant du ministère de l’Economie et des Finances.

Autres indicateurs alarmants : Entre le troisième trimestre 2017 et la même période de 2018, le secteur, qui contribue à 6,3% dans la VA globale, a enregistré une perte de 4.000 postes d’emplois et les investissements directs étrangers ont reculé de 8,4%. La situation est critique d’autant plus que selon Youssef Ibn Mansour, promoteur et fin connaisseur du secteur, tous les segments sont touchés et la situation d’après lui varie selon les régions. Certaines villes comme Fès, Meknès, Oujda, Hoceima… souffrent plus que les grandes villes à l’instar de Casablanca, Rabat et Marrakech.

« C’est une récession due en grande partie à la faiblesse de la demande imputée à la baisse du pouvoir d’achat des ménages marocains », explique-t-il. Et sur la question des prix appliqués il ajoute « les prix ont été bien corrigés et ne peuvent baisser plus.

C’est la demande qui fait défaut ». Les chiffres de Bank Al-Maghrib confirment cette tendance. En effet, depuis 2017, les ventes de biens immobiliers sont en berne. Entre avril et juin 2018, les ventes ont diminué de 4,4 % à l’échelle nationale. Selon les experts aujourd’hui, l’immobilier reste difficilement accessible. D’après William Simoncelli, DG du Carré immobilier, les chiffres indiquent qu’il y a une demande estimée à 1,5 million de logements, avec une augmentation structurelle d’à peu près 200.000 unités par an. Mais sur cette demande, près de 75% porte sur des budgets inférieurs à 140.000 Dhs.

 

Des banques plus frileuses

 

Face à un pouvoir d’achat de plus en plus limité, les banques deviennent de plus en plus frileuses quant à l’octroi des crédits immobiliers. Et comme un malheur ne vient jamais seul, la banque centrale indique que les taux appliqués aux crédits immobiliers se sont bonifiés de 8 points soit un taux de 5,42% contre 5,25% une année auparavant. « Les gens n’arrivent pas à emprunter et ne peuvent même pas se constituer un capital. La solvabilité de la demande est un réel problème », analyse William Simoncelli.

En effet, d’après les chiffres de la DEPF l’encours des crédits à l’immobilier s’est accru de 2,4% à fin novembre 2018, après +4,2% un an auparavant. Cette progression recouvre un accroissement des crédits accordés à l’habitat de 3,6% et un repli de ceux alloués à la promotion immobilière de 4% après +5,8% il y a une année. Cet attentisme affiché des promoteurs se fait au détriment de leur surendettement.

« Pour éviter de tomber dans de nouveaux dossiers de créances en souffrance, les banques exigent des promoteurs immobiliers un apport conséquent du montant total d’investissement.

Les banques marocaines, qui prêtaient jusqu’à 70% du montant d’investissement dans le projet, ne dépassent pas aujourd’hui les 30%. Problème de trésorerie, les promoteurs obligent leurs clients à verser plusieurs acomptes. Ceci constitue un frein quant à l’acte achat d’une part et entraîne l’arrêt des chantiers et les retards de livraison d’autre part », souligne un expert dans le secteur.

Un banquier de la place est catégorique: « L’encours des crédits aux promoteurs immobiliers montre des impayés et des retards importants. Un risque qui pèse sur le secteur bancaire malgré toutes les précautions prises et exigées par la banque centrale consistant à provisionner les encours douteux et ceux présentant un risque d’insolvabilité ».

Et pour appuyer ses propos, il se réfère à la dernière note publiée par l’agence de notation américaine Standard & Poor’s concernant les perspectives des banques dans la région MENA. Cette note relève, d’après lui, que le secteur bancaire marocain reste confronté à une forte exposition aux risques du marché immobilier commercial avec des développeurs surendettés qui font face à une diminution des transactions immobilières.

 

 

Quid des nouveautés 2019 ?

 Pour donner un nouveau souffle au secteur, les promoteurs immobiliers s’attendaient à des mesures d’encouragement dans la loi de finances de cette année.

Mais il n’en a rien été. Selon eux, le texte prévoit certains changements qui, au contraire, pourraient porter préjudice aux citoyens et ralentir la dynamique du marché immobilier qui subit déjà une conjoncture morose.

Concrètement, d’après Jad Aboulachbal, notaire à Casablanca, la nouvelle loi de finances prévoit en matière d’impôt sur le revenu, l’instauration de la cotisation minimale au titre du profit lors des cessions d’immeuble ou partie d’immeuble dont le prix de cession excède 4 millions de dirhams pour un montant de 3% sur la fraction du prix de cession supérieure audit montant. La profession estime que l’introduction de cette mesure impactera systématiquement les ventes.

Aussi, il y a un changement du régime d’imposition des revenus fonciers « Les revenus fonciers annuels bruts sont soumis à l’IR selon les taux libératoires proportionnels suivants: 10 % pour les revenus fonciers bruts imposables inférieurs à 120.000 dhs et 15 % pour les revenus fonciers bruts imposables égaux ou supérieurs à 120.000 dhs », détaille Jad Aboulachbal.

 

Le seuil minimum du prix de cession, fixé à 500.000 dirhams, est aussi qualifié d’abusif par les opérateurs. Certains proposent d’ailleurs de relever le seuil minimum à 3 millions de dirhams au lieu de 500.000 dirhams. Autre mesure décriée par les professionnels, la suppression de l’abattement de 40% sur le montant du revenu foncier brut des biens mis en location.

« On s’attendait à des mesures comme la suppression de la Taxe sur le Profit Immobilier (TPI) ou encore la baisse des taxes qui touchent en plein fouet la promotion immobilière.

Nous avons même formulé un mémorandum qui résume nos revendications et l’avons transmis au ministère de tutelle. Riende tout cela n’a été pris en compte », regrette Rachid Khayatey. Les promoteurs misent sur les assises de la fiscalité. « L’absence de mesures dans cette loi de finances s’explique par les assises de la fiscalité. L’Etat estime que ça ne sert à rien de mettre en place des mesures qui vont être mises en cause lors des assises. Ceci dit, tous les sujets vont être débattus lors de ce RDV notamment ce qui concerne les mesures de relance du secteur du BTP en général et du logement en particulier », avance Youssef Ibn Mansour.

 

Pour relancer le secteur

 

La conjoncture est difficile de l’avis de tous les professionnels sollicités par l’Observateur du Maroc et d’Afrique. « Il est très urgent de relancer le secteur pour éviter la destruction d’emplois. Il faut repenser le modèle économique de manière globale. Les marges se situent entre 10 et 15% uniquement.

Nous ne sommes plus dans des niveaux de marges confortables surtout que nous sommes dans un cycle baissier », souligne Mohamed Ben Ouda, DG de Palmeraie Développement.

Mais comment dépasser le cap ? « Il faut trouver des moyens pour donner un souffle au pouvoir d’achat de ménages et augmenter leur capacité d’endettement », préconise Youssef Ibn Mansour.

Et il renchérit : « il faut aussi mettre en place des mesures urbanistiques afin d’adapter les instruments d’urbanisme aux besoins des ménages, adopter une réforme structurelle pour la problématiques des réserves foncières, alléger les difficultés administratives liés à l’obtention des autorisations et lancer le règlement général de la construction ».

De son côté, Mohamed Kabbaj, président du Club des fiscalistes, suggère la suppression des droits d’enregistrements de

5% imposés aux promoteurs et instaurés en 2017. Selon lui, le foncier acquis par les promoteurs en activité doit être considéré en tant que stock. Les opérateurs recommandent aussi l’instauration de nouveaux mécanismes d’appui au financement capables de soutenir les futurs acquéreurs tout en misant plus sur les logements intermédiaires vendus entre 400.000 et 600.000 DH.

Du côté du ministère, de nouveaux produits et de nouvelles mesures d’accompagnement seront annoncées cette année. Les travaux vont bon train pour proposer un produit abordable et accessible.

Pour le logement social, le dispositif arrive à échéance en 2020. Le système doit donc être repensé. Les négociations entre les promoteurs et l’Etat commenceront certainement incessamment pour aboutir à une nouvelle formule pour l’après 2020.

Pour le moment, « Une proposition de la FNPI est sur la table du ministère de tutelle dont l’objectif est de relancer le secteur à travers le moyen standing. Un schéma où nous tenons compte aussi bien du social, de l’économique et du moyen standing.  Un plan d’action et une feuille de route concrète sont proposés dans ce sens. Pour le moment nous n’avons pas encore de visibilité », nous confie Rachid Khayatey.

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Le nouveau visage de la médina de Fès

Afin de découvrir les différentes réalisations achevées et chantiers en cours, ainsi que les innombrables attractions touristiques de la capitale spirituelle, le Conseil Régional du Tourisme de Fès, avec la présence du Ministre du Tourisme, du Transport Aérien, de l’Artisanat et de l’Economie sociale, Mohamed SAJID et en partenariat avec la Wilaya de la Région Fès-Meknès, organise un voyage de presse national du 01 au 03 mars 2019. Et ce, pour permettre à l’ensemble des participants d’explorer cette destination unique à la découverte de Fès et sa Médina, son art de vivre raffiné, ses spécifications naturelles, ses traditions culturelles singulières et les activités sportives et de bien-être accessibles près et autour de la cité.

 

Conformément à la vision du roi Mohammed VI, d’un développement durable et responsable du tourisme de qualité à haute valeur ajoutée humaine et culturelle, un vaste et ambitieux chantier de réhabilitation et de rénovation de l’ancienne médina de Fès a été lancé et finalisé pour améliorer à la fois la qualité de vie des habitants, préserver le caractère urbanistique et architectural et valoriser le patrimoine matériel et immatériel de la capitale spirituelle du Royaume.

Subjuguée par la profusion des monuments dont ses 9000 maisons historiques, ses 11 medersas, ses 43 écoles coraniques, ses 83 mausolées et ses 176 mosquées, son université Al Quaraouiyine, outre ses 1200 ateliers d’artisanat d’art et ses grandes tanneries traditionnelles.

Le programme de restauration de 27 monuments historiques dont des ponts et des médersas édifiées par la dynastie des Mérinides entre les 13e et 14e siècles, est achevé, inauguré par le roi et remis en exploitation.

Ce programme est venu enrichir un processus de réhabilitation lancé depuis les années 90 et marqué par plusieurs initiatives de sauvegarde dont la réhabilitation de 4 fondouqs : Chemmaine-Sbitriyine, Barka et Stanouniyine, dans le cadre du projet « Artisanat Fès Médina  » qui est une composante du  » Compact Millenium Challenge Corporation « , la version I, signée le 31 aout 2007 entre le gouvernement marocain et les Etats Unis d’Amérique. Ces foundouqs sont aujourd’hui mis en activité et ouvert aux activités de l’artisanat en voie de disparition et à la promotion des services culturels et touristiques.

La réhabilitation de la place Lalla Yeddouna, inscrite dans le même projet « Artisanant Fès Médina  » est dans sa phase finale. Ce complexe artisanal sera également dédié aux métiers de l’artisanat et aux activités culturelles et touristiques en vue de rendre la Médina plus attrayante pour la population mais aussi et surtout plus séduisante pour les visiteurs nationaux et étrangers.

Le nouveau programme d’aménagement des parkings, de réhabilitation des espaces publics et d’installation d’un dispositif d’information dans la Médina de Fès porte de son côté sur l’aménagement de huit parkings avec une capacité de plus de 3600 places, la réalisation d’un pavage des rues, ruelles, places et placettes, la mise en place de l’adressage des rues, ruelles, places et placettes dans la Médina de Fès et l’installation des bornes d’information sur 150 points au service des habitants, des visiteurs et des touristes, en liaison notamment avec l’emplacement des monuments historiques et des circuits touristiques. Le budget global alloué à ce programme est de 400 millions de DH.

Les projets inscrits dans le cadre du programme complémentaire de mise en valeur de la Médina de Fès, concernent 113 sites. Il est structuré autour de six axes majeurs portant sur la réhabilitation de 11 monuments historiques et lieux emblématiques, de 10 lieux de culte, de 39 sites d’artisanat et de commerce, de 37 lieux de bien-être (hammams, fontaines et lieux sanitaires), de 15 sites (bâti et paysage urbain) outre la réhabilitation du site historique de Dar Al Makina. Le Programme complémentaire de mise en valeur de la Médina de Fès mobilisant une enveloppe budgétaire de 583 MDH est en cours d’exécution.

 

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Diapo – Les Algériens disent « Non » à un 5è « mandat de trop »

En Algérie, tout porte à croire que le vent du changement a soufflé. Les citoyens algériens se sont élevés comme un seul homme pour protester contre un cinquième « mandat de trop » du Président sortant, Abdelaziz Bouteflika.

Les imposantes marches de vendredi et dimanche derniers ont montré la voie à tous les Algériens et surtout brisé le mur de la peur. Le peuple algérien a finalement compris que manifester pacifiquement demeure un droit qui lui est garanti par la Constitution et que rien ne peut se constituer comme un obstacle face à ses revendications.

Des appels étaient anonymes, certes, pour les premières marches, mais le comportement des Algériens et l’image qu’ils ont véhiculée ce jour-là ont fini par changer la donne, estiment de nombreux observateurs qui font remarquer que maintenant, c’est tout le monde qui nage dans le même sens.

En effet, après les citoyens lambda, le tour était venu aux politiciens, regroupés sous l’égide du mouvement Mouwatana, suivis des avocats d’Alger, de protester contre ce qu’ils qualifient de « mandat de trop ».

Les représentants des médias publics ont, eux aussi, exprimé leur ras le bol face à la politique de « pitonnage » dans le traitement de l’information concernant la candidature du chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, au détriment des autres et la manière opaque avec laquelle ont été couvertes les marches de vendredi dernier.

Les avocats se sont joints à ce mouvement de protestation et ont organisé, lundi au Tribunal Abane-Ramdane d’Alger, un sit-in pour protester contre ce qu’ils qualifient d’ »arrestations arbitraires » de manifestants pacifiques qui protestaient contre la candidature du Président sortant Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat.

Les contestataires ont scandé plusieurs slogans appelant à la liberté de manifester et exprimant le refus du 5ème mandat, comme ils se disent également prêts à défendre toutes les personnes qui sont encore en état d’arrestation.

Ce mouvement de protestation ne semble pas s’arrêter-là. Des étudiants de différentes universités en Algérie ont appelé à des sit-in au sein des campus ainsi que des marches pour faire entendre leurs voix et exprimer leur refus au maintien du système en place. Des journalistes de différents médias ont également prévu d’observer, jeudi prochain, un sit-in à la Place de la liberté de la presse, à Alger-centre, pour revendiquer « un traitement neutre » de l’information sans qu’il y ait du favoritisme d’une partie au détriment de l’autre.

« Il faudra sauver ce qui reste encore de ce métier noble », peut-on lire sur un des appels lancés pour ce sit-in sur les réseaux sociaux. Dans la même journée, un autre sit-in est prévu, dans la wilaya de Tizi Ouzou, initiés par des avocats, après celui tenu ce lundi au Tribunal Abane-Ramdane d’Alger.

« Le grand jour » devrait être le vendredi 1er mars, avec des appels « à de très grandes marches, dans les 48 wilayas du pays ».

Le point commun entre tous ces appels, c’est que les initiateurs insistent sur le cachet « pacifique » à donner à ces mouvements de manifestations pour qu’il n’y ait aucun dérapage. « Les revendications doivent se faire selon ce que stipule la Constitution. Il faut laisser aucune brèche pour le pouvoir en place de nous faire taire », toujours selon les appels lancés.

Les appels, lancés de façon anonyme sur les réseaux sociaux, ont été énormément partagé par les internautes algériens qui promettent d’envahir le terrain dans toutes les régions du pays.

Qu’elles se tiennent ou pas, ce qui est sûr, c’est que la vague d’indignation et de contestation populaire, notamment depuis la confirmation de la candidature de Bouteflika, n’arrange pas les affaires des tenants du pouvoir.

En réaction à ces gigantesques manifestations et aux autres appels incessants pour se dresser contre les promoteurs de la « continuité », le Premier ministre Ahmed Ouyahia a rétorqué que la question du cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, contre lequel un « nombre important » d’Algériens ont manifesté ces derniers jours sera tranchée par les urnes.

Une déclaration qui prouve que le pouvoir n’est pas encore prêt à lâcher du lest et peut même encore durcir sa position, face à la grogne de la rue qui, elle, est bien décidée d’aller jusqu’au bout pour finir avec le cinquième mandat et tout le système rentier qui a gangrené le pays depuis des décennies.

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Zatec frappe fort à nouveau et lance le téléphone le moins cher au Maroc

99 DH. C’est le prix du nouveau téléphone lancé par la marque 100% marocaine Zatec. Le moins cher au Maroc. Avec son écran de 1,77 pouces, le Zatec x1 mini dual SIM est doté d’une caméra et d’un mp3 player.  Il sera commercialisé à travers le propre réseau de la marque «Surcou Informatique » et sera disponible aux différents points de vente de nos partenaires de la grande et moyenne distribution et les magasins spécialisés, à l’instar de Marjane, Aswak Assalam, BIM…

Depuis sa création en 2003, la marque est parvenue à grignoter près de 10% du marché de la téléphonie mobile et écouler près de 50.000 unités par mois

En 2019, Zatec compte exporter ses produits vers l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique Centrale et prévoit la mise en place d’une usine au Maroc pour la production locale de Smartphones 100% marocains en collaboration avec un partenaire chinois.

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La RAM réagit à la perte des bagages des photographes personnels du Prince Harry et de son épouse

Suite à la publication dans différents organes de presse d’informations concernant le retard du vol du Prince Harry et son épouse, ainsi que la perte de bagages de trois passagers de la délégation les ayant précédée sur un autre vol, Royal Air Maroc a tenu à réagir à travers un communiqué pour éclairer cette affaire.

Dans un communiqué relayé lundi 24 février 2019, la RAM explique qu’en raison d’un épais brouillard au-dessus de Londres, les autorités des aéroports de Londres, Heathrow et Gatwick, ont demandé à plusieurs compagnies aériennes dont Royal Air Maroc, de suspendre provisoirement leurs vols sur la capitale anglaise samedi dernier.

Le vol AT 803, du Samedi 23 Février, transportant le Prince Harry et la délégation l’accompagnant a été également affecté par cette décision des autorités aéroportuaires britanniques et a dû subir un retard d’une heure indique le communiqué.

Concernant le sujet des bagages non livrés, il est à noter que les trois passagers concernés ont bien été transportés par Royal Air Maroc sur le vol AT 801 du Vendredi 22 février, entre Londres et Casablanca. Pour autant, ces passagers n’avaient pas enregistré de bagages à bord de l’avion les transportant.

Le communiqué poursuit : « « Nous avons par la suite été informés que, pour des raisons purement opérationnelles propres aux trois passagers, lesdits bagages devaient être acheminés de Londres à Casablanca via une escale à Madrid à travers des compagnies aériennes autres que Royal Air Maroc. »

Et de conclure : « Ce n’était pas une décision de notre compagnie. Royal Air Maroc n’est, de ce fait, nullement responsable de la non réception de leurs bagages à Casablanca, n’ayant à aucun moment transporté lesdits bagages sur ses lignes ».

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TIC – La Banque Mondiale octroie une aide de 700 millions de dollars au Maroc

Le Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale a approuvé un nouveau Cadre de partenariat avec le Maroc, qui permettra de guider le programme d’assistance financière et technique du Groupe dans le Royaume au cours des six prochaines années.

Le cadre de partenariat-pays (CPF) 2019-2024 vise à soutenir l’ambition du Royaume de renforcer son avantage concurrentiel dans l’économie mondiale tout en promouvant une prospérité partagée au sein de sa population. Conformément à ce nouveau CPF, les Administrateurs ont également donné leur aval à un projet de 611,3 millions d’euros (soit l’équivalent de 700 millions de dollars) destiné à aider le Maroc à accélérer l’adoption des technologies numériques afin d’en faire une source d’emplois, de croissance et de services de meilleure qualité et de se doter d’une base essentielle pour conduire la transformation économique en Afrique du Nord et plus généralement sur le continent africain.

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Monday, February 25, 2019

Vidéo – WMC2019/Jour1 : La 5G impressionne

C’est la 5G qui a le plus attiré l’attention des visiteurs du Congrès mondial du mobile qui se tient à Barcelone du 25 au 28 février 2019.

Reportage réalisé par Mohammed Zainabi

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Le Prince Harry remet au Roi Mohammed VI un message écrit de la part de la Reine Elisabeth II

Le Roi Mohammed VI, accompagné du Prince Héritier Moulay El Hassan, du Prince Moulay Rachid et de les Princesses Lalla Meryem et Lalla Hasnaa, a offert, lundi 25 février 2019 à la Résidence Royale à Salé, une cérémonie de thé en l’honneur du Prince Harry, Duc de Sussex, et de son épouse Meghan Markle, Duchesse de Sussex, qui effectuent une visite dans le Royaume.

A cette occasion, le Duc de Sussex a remis au Roi, un message écrit de la part de la Reine Elisabeth II du Royaume Uni.

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Le DG de l’ONEE s’insurge contre le vol d’électricité

Le directeur général de l’ONEE, Abderrahim Hafidi, a lancé un cri de secours au chef du gouvernement et aux ministres de l’Intérieur, des Finances et de l’Energie, mettant en garde contre les énormes pertes infligées à l’ONEE par le vol d’électricité, estimées à plus de 43 milliards de centimes.

Dans son édition du lundi 25 février 2019, le quotidien Al Massae explique qu’Abderrahim Hafidi a jugé impératif de combattre ce vol et la dégradation des installations électriques et assurer la protection des employés de l’ONEE, qui ont subi des violences physiques. La réactivité du ministère public n’a pas tardé.

Son président, Mohamed Abdennabaoui, a envoyé une note aux procureurs généraux du Roi près les cours d’appel, ainsi qu’aux procureurs du Roi près les tribunaux, leur demandant d’agir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de voler de l’électricité.

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Diapo – Chef Moha reçoit le Prince Harry et son épouse pour une dégustation culinaire

Le Prince Harry d’Angleterre et son épouse la Princesse Meghan Markle ont assisté, lundi 25 février 2019, dans la Villa des Ambassadeurs à Rabat, à une démonstration de la gastronomie marocaine traditionnelle en présence d’enfants défavorisés et aux besoins spécifiques, membres de trois associations. Accueillis par le propriétaire de la maison d’hôtes, Jaouad Dich et son épouse, le Duc et la Duchesse de Sussex ont été conviés à la traditionnelle cérémonie d’offrande de lait et de dattes, avant de suivre avec enthousiasme le Chef Moha dans l’exploration des différents mets mis en valeur sur les nombreux stands aménagés à l’occasion.

Le Duc et la Duchesse, qui n’ont pas résisté à la dégustation des plats exposés, parmi lesquels des briouates, des pastillas, de la harira et des baghrir, ont pris le temps d’échanger avec les enfants qui ont contribué à la préparation de ces repas et qui ont tenu à faire part au couple princier de leurs expériences et préférences culinaires.

Au terme de cette présentation, le Chef Moha a offert au Prince Harry et à la Princesse Meghan des tabliers de cuisine personnalisés, ainsi qu’une copie dédicacée de son livre de recettes et a reçu, en échange, un livre de cuisine.

Dans une déclaration le Chef Moha s’est dit « fier de la visite du couple princier », d’autant plus que « ce sont de grands amateurs de la cuisine marocaine », ajoutant qu’ils pourront, de ce fait, goûter à ces plats préparés par des enfants de différents âges et catégories sociales rassemblés, aujourd’hui, pour une seule et même cause.

Après avoir posé pour une photo de groupe avec le Chef, son équipe et les enfants présents à l’événement, le Prince et la Princesse, qui étaient accompagnés de l’ambassadeur britannique, Thomas Reilly, ont brièvement discuté avec les responsables des associations, des activités auxquelles les enfants à leur charge, dont des orphelins, des trisomiques et des enfants aux besoins spécifiques, aiment prendre part.

 

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E-commerce au Maroc : 3,3 MMDH de transactions en 2018

Les sites marchands et sites des facturiers affiliés au Centre monétique interbancaire (CMI) ont réalisé 8,3 millions d’opérations de paiement en ligne via cartes bancaires, marocaines et étrangères, pour un montant global de 3,3 milliards de dirhams (MMDH) en 2018.

Ces sites ont enregistré une progression de 25,4% en nombre d’opérations et de 24,4% en montant par rapport à 2017, fait savoir le CMI dans son rapport sur l’activité monétique marocaine, publié sur son site web.

Les paiements en ligne par cartes bancaires marocaines et étrangères sur les sites marocains se répartissent, en termes de volume, essentiellement sur les opérateurs Télécom (23,7%), les compagnies aériennes (21,9%), les régies (Electricité, Eau) (29,5%), les services gouvernementaux (10,2%) et les hôtels (4,5%), précise la même source.

Le rapport fait également état d’une évolution du nombre des opérations de l’activité des cartes marocaines de 25,1% à 8,1 millions de transactions en 2018, pour un montant global de 3 MMDH, en hausse de 23,3%.

Pour ce qui est de l’activité des cartes étrangères, elle s’est améliorée de 46,3% en nombre d’opérations à 173.164 transactions durant l’année 2018 et de 37,7% en montant à 275,6 millions de dirhams (MDH), indique le CMI, relevant que les paiements en ligne par ces cartes sur les sites marocains se répartissent, en termes de volume, principalement sur les hôtels (49,4%), les agences de voyage (11,1%) et la location de véhicules (8,9%).

Ainsi, l’activité reste très fortement dominée par les cartes marocaines à hauteur de 97,9% en nombre de transactions et de 91,6% en montant, souligne la même source.

Par ailleurs, le rapport fait savoir que les commerçants et eMarchands affiliés au CMI ont enregistré, durant l’année 2018, 68 millions d’opérations de paiement, par cartes bancaires marocaines et étrangères, pour un montant global de 38,5 MMDH, en progression de 27,2% en nombre et de 20,6% en montant par rapport à 2017.

Les paiements par ces cartes, en termes de volume, ont concerné notamment la grande distribution (19,1%), les hôtels (16,8%), les restaurants (10,3%), l’habillement (9,9%) et les stations (6,1%).

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Les inscriptions au système Bachelor débuteront en juillet 2020

Le système de formations Bachelor entrera en vigueur en 2020, a annoncé le ministère de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

L’inscription à ce système, dont la date d’entrée en vigueur a été fixée lors de la Conférence des présidents d’université, tenue récemment à Mohammedia, aura lieu à partir de juillet 2020, précise le ministère dans un communiqué.

Les étudiants auront rendez-vous avec des tests de classement linguistiques en mai, juin et juillet 2019. De même, le lancement de la plateforme d’information et d’orientation est prévu en octobre 2019, avec l’évaluation de l’Agence nationale d’évaluation et d’assurance qualité de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (ANEAQ) pour les projets de licence (janvier-mars 2020).

Il a, également, été convenu de poursuivre les actions au sein des universités afin d’impliquer toutes leurs composantes dans l’enrichissement de la conception du nouveau système et de continuer l’organisation des réunions des réseaux d’établissements universitaires dans les deux prochaines semaines.

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Mohamed Ifrah, nouveau DG de DHL Maghreb

Le Marocain Mohamed Ifrah a été nommé au poste de directeur général de DHL Maghreb, a indiqué, lundi 25 février 2019, le « leader » du marché de transport express international de documents et colis.  Ifrah, qui pilotera les activités de DHL au Maroc, en Tunisie et en Mauritanie, aura pour mission de concrétiser les projets de la compagnie dans la région notamment l’ouverture de nouvelles agences commerciales au Maroc, l’extension de la plateforme de DHL à l’aéroport Mohammed V, la construction d’un terminal fret à Nouakchott et la création d’un bureau de liaison en Tunisie, souligne DHL dans un communiqué.

A la tête de DHL Maghreb, M. Ifrah participera aussi à la consolidation de la position d’employeur de référence de l’entreprise, DHL étant certifié « Top Employeur » au Maroc depuis plusieurs années. Il continuera également à développer les compétences du capital humain et consolidera le portefeuille de solutions sur-mesure de la compagnie pour les secteurs en pleine croissance, comme l’automobile, l’aéronautique, l’électronique ou l’énergie.

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via Abdo El Rhazi Mohamed Ifrah, nouveau DG de DHL Maghreb

Hydrocarbures : Daoudi ne passera finalement pas à l’acte avant d’avoir trouvé un accord avec les pétroliers

Après avoir menacé à plusieurs reprises de plafonner unilatéralement les marges bénéficiaires des carburants au cas où les prix continueraient à flamber, Lahcen Daoudi, ministre délégué chargé des affaires générales de la gouvernance, ne passera finalement pas à l’acte avant d’avoir trouvé un accord avec les pétroliers.

Selon le quotidien Al Bayanne dans son édition du jour (25 février 2019), le département de Daoudi veut réduire les bénéfices à moins de 70 centimes par litre tandis que le Groupement des pétroliers du Maroc (GPM) propose une marge minimale de 1,40 DH le litre (0,45 DH pour les détaillants et 0,65 DH pour les distributeurs).

Les représentants des stations-services réclament quant à eux une marge de 70 centimes. Le gouvernement est décidé d’agir depuis que la marge dépasse 2,13 DH par litre. Le plafonnement pourrait se faire sur le modèle belge.

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Enquête – Immobilier : Crise économique ou crise de confiance ?

Au terme d’un examen approfondi de la réalité de l’immobilier auprès de ses différentes parties prenantes, L’Observateur du Maroc et d’Afrique a pu dresser cet état des lieux.

Par Hamza Makraoui

Le pouvoir d’achat des Marocains ne leur permet pas d’acheter un logement ». C’est la réponse, toute faite, que l’on annonce à tout va lors du Salon de l’Immobilier et de l’Urbanisme de Marrakech, qui s’est déroulé du 24 au 27 janvier 2019.

D’ailleurs dans la note de conjoncture distribuée au début de la conférence de presse donnée pour le lancement du salon, il est indiqué que « le manque de moyens » des ménages marocains est le principal frein à la demande, s’établissant à 48,1%. « Le coût élevé de l’immobilier », lui, ne représente que 5,5%, sans qu’aucune corrélation ne soit établie entre les deux supposées causes de la stagnation du marché de l’immobilier. Où réside donc la vraie source du mal ? Pour répondre à cette question, nous avons interrogé promoteurs, banquiers, notaires et acquéreurs potentiels.

Crise ou pas crise ?

 Au niveau national, plusieurs notaires ont vu leurs chiffres d’affaires baisser de moitié, confie Mohammed Moumah, Président du conseil des notaires de Marrakech, à L’Observateur du Maroc et d’Afrique. « Le trend baissier des transactions immobilières se répercute directement sur notre profession », insiste-t-il.

On pourrait penser que l’offre en unités immobilières ne couvre pas la demande, mais ce n’est pas exactement le cas, comme l’explique Mohammed Lahlou, président de l’Agence marocaine des agences immobilières.

De passage dans une émission sur une chaine publique, Lahlou explique que les promoteurs préfèrent payer des frais supplémentaires pour leurs stocks (ndlr : de logements prêts à la vente), plutôt que revoir leurs prix à la baisse.

Objectif : attendre une meilleure opportunité pour pouvoir écouler leurs stocks. Les chiffres officiels lui donnent raison. Selon la dernière étude du ministère de l’Habitat et de la politique de la ville (mars 2016), la demande en logement s’élève à l’échelle nationale à 1.572.893 unités d’habitation. L’appartement se place en pôle position avec une demande qui culmine à 54,3%, suivie de la « maison marocaine moderne» (41%).

« Le citoyen a envie d’acheter, sauf que les prix restent élevés et surtout, ils ne cadrent pas avec la qualité proposée », explique Moumah. Avant de conclure : « Le marché n’est pas régulé. Il y a des lois et certains trouvent du plaisir à violer ces lois ».

La Cour des comptes établit d’ailleurs le même constat concernant précisément le logement social, segment pourtant où la demande est des plus fortes. Dans son dernier rapport, la Cour pointe du doigt « l’absence d’une réglementation précise et des dispositions juridiques adaptées devant permettre de définir de manière précise le logement social ». Car rappelons-le, ce type de logement, dit aussi économique, constitue 80% du marché.

Prisé par les promoteurs pour les exonérations fiscales ainsi que les subventions de l’Etat dont il bénéficie, ce segment du marché est devenu une niche de dérive. Une source de l’ordre des notaires nous a assuré que la marge de bénéfices de certains promoteurs peu scrupuleux dépasse les 300%. « Le coût de revient de la construction de certains types de logements sociaux ne dépassent pas les 70.000 dirhams et ils sont vendus à 250.000 dirhams ! », assure-t-il.

Pire encore, souvent, la qualité des finitions est très en deçà des attentes.

 

 

Des clients de plus en plus exigeants

 

Lors du Salon de Marrakech, nous avons approché des ménages désireux d’acquérir un logement. Sur les six ménages que nous avons interrogés à propos des freins éventuels dans l’achat de logements, cinq ont évoqué le problème de la qualité qui ne cadre pas avec le prix. Tous disent être prêts à débourser de 250.000 à 300.000 dirhams pour un appartement, encore faut-il que la qualité soit au rendez-vous.

Un promoteur immobilier, qui exposait ses offres au Salon, le confirme : « Les clients sont très attentifs à la qualité. Et par qualité j’entends la qualité de la finition, les matériaux utilisés, l’emplacement. Les Marocains sont devenus beaucoup plus exigeants ».

Et ce constat est d’autant plus vrai pour le haut et le moyen standing, comme pour le logement social. « Les Marocains ne cherchent plus à se loger rien que pour se loger, ils sont désormais demandeurs d’un cadre de vie agréable », assure ce promoteur.

L’autre partie de la réponse se trouve aussi dans le budget logement des Marocains. Les chiffres du HCP font ressortir que 40% parmi ceux qui sont désireux d’acheter un appartement touchent des salaires entre 2.000 à 4.000 dirhams, la prudence reste donc de mise avant de sauter le pas vers un crédit immobilier et donc un investissement à long terme.

Du coté des banques, l’embellie se fait toujours attendre concernant les crédits logement. Pourtant, les taux d’intérêts pratiqués ces derniers temps sont décrits comme étant historiquement très bas.

Mais deux problèmes persistent : « Le noir d’un côté et les grosses avances qui découragent les clients », explique un couple qui se compte parmi les nombreux hésitants rencontrés à Marrakech, mais aussi à Casablanca. « Il y a des offres sympas niveau budget, mais les avances demandées sont monstrueuses. Pour devenir propriétaire, on se trouve obligé de contracter deux crédits, un à la consommation et un autre immobilier. Pour moi c’est intenable ! », regrette un jeune casablancais fraîchement marié. Il se demande comment les ménages qui vivent au SMIG peuvent acheter un appartement. « C’est juste impossible », conclut-il.

Saber, commercial chez Wafa Immobilier, abonde dans le même sens en affirmant que les prix restent très élevés pour les ménages marocains, « surtout pour la qualité proposée ». Du reste, pour lui, « le noir » continue, malgré tout, à poser problème.

 

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le Roi annonce la prise en charge par le Maroc des études de faisabilité pour finaliser le Plan d’Investissement Climatique pour la région du Sahel

Le Roi Mohammed VI a annoncé, lundi 25 février 2019, à Niamey au Niger, l’engagement du Maroc à prendre en charge les études de faisabilité pour finaliser le Plan d’Investissement Climatique pour la région Sahel.

Dans un discours adressé à la 1ère Conférence de la Commission Climat pour la Région du Sahel, qui a ouvert ses travaux lundi à Niamey, le Souverain a souligné l’importance du lancement du Plan d’Investissement Climat pour la région Sahel et de son Programme Régional Prioritaire qui complétera les projets « d’ores et déjà en cours ».

La Commission pourra compter sur le Centre de Compétences Changement Climatique du Maroc : 4C Maroc, notamment en matière de renforcement des capacités de ses membres, a tenu à préciser le Roi dans ce discours dont lecture a été donnée par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita.

Mis en place en 2014, ce Centre constitue un espace d’excellence national et continental pour le développement et la diffusion des savoirs et des meilleures pratiques en matière de changement climatique, a indiqué le Roi.

Le Souverain a rappelé les impacts « considérables » du dérèglement climatique sur le Sahel, notamment les pénuries alimentaires et la baisse des réserves en eau ainsi que la désertification, qui « continueront à pousser notre jeunesse sur le chemin de l’exil, privant ainsi notre Continent d’une partie de ses forces vives ».

Dans ce sens, le Souverain a estimé que le « combat pour la justice climatique est, pour les Africaines et les Africains, un combat pour l’accès à une vie meilleure et digne ainsi qu’à un avenir prometteur ».

La justice climatique « ne doit pas seulement être un slogan ; elle doit être pour nous tous une exigence », pour préserver la jeunesse africaine du désespoir, « lui évitant par là même de devenir la proie d’organisations criminelles et terroristes », a affirmé le Roi.

« La jeunesse africaine nous engage à ouvrir le chemin des possibles et à inscrire notre Continent sur une trajectoire vertueuse, créatrice d’opportunités », a insisté le Roi, ajoutant que l’avenir de l’Afrique « repose sur notre capacité à imaginer de nouvelles formes de réponses solidaires, selon un engagement concret et respectueux de tous les partenaires, ceux du Sud comme ceux du Nord ».

La région du Sahel peut devenir un modèle d’intégration régionale avancée sur les plans économique, environnemental, politique et humain, a affirmé le Souverain, ajoutant que la Commission Climat pour la Région du Sahel est l’un des leviers qui lui permettra d’atteindre cet objectif.

« L’histoire s’est nouée dans cet espace et son avenir se jouera ici. Nous devons aux générations futures un engagement politique adossé à une action concertée et solidaire, visant à faire face aux défis climatiques », a indiqué le Roi.

Le Souverain a souligné que la mobilisation des acteurs contre les effets dévastateurs des changements climatiques ne saurait s’arrêter aux frontières nationales, précisant qu’elle doit transcender tous les clivages.

Le Roi a rappelé, à cet égard, le lancement, lors du Sommet Africain de l’Action, tenu en marge de la COP22 à Marrakech, d’une dynamique autour de projets transnationaux ambitieux et concrets, pilotés par trois commissions, dont le Maroc est partenaire fondateur.

Il s’agit de la Commission du Bassin du Congo, présidée par le Congo, de la Commission du Sahel, présidée par le Niger et de la Commission des Etats insulaires, présidée par les Seychelles.

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